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Architecture logicielle
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(03/06/2010 10:48:57)
Urbanisation commune pour Malakoff Médéric
Les groupes Médéric et Malakoff ont fusionné leurs activités le 1er juillet 2008 pour former Malakoff Médéric, le leader de la protection sociale paritaire en France. Avec ses 6 500 collaborateurs, le Groupe a réalisé en 2009 un chiffre d'affaires de 3,3 milliards d'euros dans ses activités d'assurances et a versé environ 14 milliards d'euros d'allocations retraite. Malakoff Médéric est le premier groupe de retraite complémentaire AGIRC-ARRCO (204 000 entreprises clientes, 3,1 millions de cotisants et 2,7 millions de retraités), et le deuxième assureur collectif (180 000 entreprises clientes et 3,2 millions de salariés assurés). Il compte plus d'un million d'assurés à titre individuel.
La fusion a été l'occasion d'une réflexion sur l'architecture informatique du nouveau groupe, son urbanisation et le destin des applicatifs issus des deux anciens groupes.
« Suite à la fusion, nous disposions de deux applicatifs complémentaires que nous souhaitions faire communiquer » explique Pol Evlard, Directeur des Projets et Systèmes d'information de Malakoff Médéric. Il détaille : « Le premier, G3C, est un système de gestion des contrats clients et des cotisations collectives. Le second, SIP, sert quant à lui à verser des allocations aux assurés dans des problématiques bien définies : incapacités de travail, décès, etc. ».
Le groupe a confié un audit à Sodifrance pour valider la faisabilité du projet de rapprochement des deux systèmes. Mais, se souvient Pol Evlard, « la communication entre les deux systèmes G3C et SIP n'était pas possible, ceux-ci ayant été conçus à partir de modèles conceptuels totalement différents et incompatibles. Dans le cadre de notre stratégie d'urbanisation nous avons donc décidé de ne pas rapprocher les deux systèmes en raison du coût engendré qui aurait été supérieur à celui de la création d'un nouveau système ».
Dans le cadre de son programme d'urbanisation, Malakoff Médéric a réalisé plusieurs migrations de données pour améliorer ses bases clients, et ainsi sa qualité de service.
La fin du programme de convergence vers un SI unique est prévue pour fin 2011 avec un budget non-communiqué. (...)
Adobe dévoile un outil de lecture numérique sur iPad
Adobe a dévoilé une technologie de lecture numérique permettant de porter les publications médias sur les tablettes, y compris l'iPad d'Apple. La démonstration a été réalisée avec le concours du magazine Wired du groupe Condé Nast.
Le magazine numérique comprend des vidéos, des présentations, des images à 360°. Pour Adobe, ce lecteur doit accompagner les habitués du support papier vers l'interactivité du format numérique.
Steve Burkett, vice-président et directeur général de la division Creative Solutions d'Adobe souligne « Nous voulons mettre à disposition de tous les éditeurs notre logiciel de visualisation numérique sur plusieurs plates-formes matérielles. Si vous travaillez déjà sur InDesign CS5, vous serez à même de produire une belle version numérique de votre publication ».
Cette annonce est une bonne nouvelle pour ceux qui pensaient que la technologie et les logiciels d'Adobe n'intégreraient jamais nativement l'iPad, iPhone ou iPod touch, après les propos et les actions de la firme de Cupertino. Condé Nast pense lui que ce lecteur apportera avec l'interactivité des opportunités en matière de publicité. « Le partenariat avec Adobe nous a permis de repenser la maquette des magazines en une expérience étonnante sur iPad », a déclaré Thomas J. Wallace, directeur éditorial de Condé Nast. « Notre travail avec Adobe ne fait que commencer, ajoute-t-il. Nous nous attendons à utiliser cette technologie sur plus de publications au cours des prochains mois. »
Open recherche une cinquantaine de collaborateurs en Nord-Est
Groupe Open poursuit le rythme de ses recrutements en région. Après Rhône-Alpes, la SSII prévoit d'intégrer plus de 50 nouveaux collaborateurs dans le grand Nord-Est. Les postes à pourvoir sont variés : il s'agit de directeurs et de chefs de projets, d'architectes en systèmes d'information et NTIC, de concepteurs fonctionnels, d'assistants à la maîtrise d'ouvrage, d'ingénieurs d'études/concepteurs, d'ingénieurs nouvelles technologies (Java/J2EE, .net, PHP et applications telles que Liferay et Alfresco...) et technologies traditionnelles (mainframe IBM, AS/400, client/serveur...).
Open Nord s'appuie déjà sur l'expertise de quelque 250 collaborateurs intervenant sur ces domaines. Dans cette région, le groupe, qui dispose d'un centre de services sur le site de Lambersart, développe, depuis plusieurs années, une culture axée sur les dossiers à engagement de résultats (tierce maintenance applicative, forfaits).
Pour sa part, Open Est (150 salariés) opère sur des projets de développement de portails internet, de conception de solutions Web, de création, de maintenance et d'évolution de solutions applicatives en centres de services (monétique, titres, banques à distance). Le groupe intervient dans les bassins d'activités de Belfort, Mulhouse, Strasbourg, Metz, Nancy et Luxembourg. Pour soutenir sa campagne de recrutement, Open participera au salon de l'emploi Moovijob, le 28 mai prochain, à Metz, le 25 juin à Strasbourg, le 10 septembre à Mulhouse, et le 17 septembre à Nancy.
Windows Azure : un tremplin pour les start-up de BizSpark
En prenant sous son aile des milliers de start-up du logiciel, allaitées aux logiciels Microsoft et plongées au coeur de son réseau pendant trois ans, pour les faire croître et embellir, c'est à terme sa propre cause que sert la société fondée par Bill Gates. Décupler l'ampleur et la puissance de l'écosystème de Microsoft est en effet la vocation principale du programme BizSpark lancé fin 2008. De surcroît, ces jeunes entreprises sont des candidates idéales pour déployer leurs activités dans le cloud, levier de croissance crucial pour l'éditeur de Visual Studio, Silverlight, SQL Server, SharePoint et consorts. Il n'y avait donc rien d'étonnant à voir s'illustrer ce choix technologique dans la sélection des dix-huit start-up présentées cette semaine, à Paris, à un aéropage d'investisseurs et de professionnels(*), sur l'European BizSpark Summit.
Plusieurs de ces jeunes pousses (le programme BizSpark en compte 30 000 à ce jour à travers le monde) ont effectivement choisi de développer leur activité sur le cloud Windows Azure. La Finlandaise Sopima, par exemple, y loge une solution de gestion des contrats en ligne accessible pour 49 euros par utilisateur et par mois. C'est un logiciel « conçu pour une diffusion virale », n'a pas craint d'affirmer Jaan Apajalahti, son PDG, lors d'une session de questions/réponses un peu serrée avec le jury qui l'a cuisiné après sa présentation. Le jeune homme possède déjà une certaine expérience. C'est la deuxième start-up qu'il fonde après une première société qu'il a menée jusqu'à cent collaborateurs.
Des millions d'utilisateurs en quelques semaines
A sa suite, sur la scène du BizSpark Summit, l'Italien Dario Solera a lui aussi présenté une offre installée sur Azure. Son application, Amanuens, fournit un cadre pour gérer la localisation des logiciels au sein d'une équipe de traducteurs répartie. En version bêta depuis mars, l'outil sera facturé à l'utilisation (« pay as you go ») à partir d'août.
Mais l'un des exemples les plus probants, pour appuyer les thèses de Microsoft mardi dernier, était assurément celui de la start-up française Kobojo. La société a été co-créée en 2008 par le lauréat de l'Imagine Cup 2004 (compétition de développement internationale organisée par Microsoft). Son idée : déployer le concept du jeu de société sur les réseaux sociaux (Facebook principalement) et sur les mobiles. Dès son lancement, sa GooBox a attiré en quelques semaines plusieurs millions d'utilisateurs. Pour une petite équipe comme Kobojo (onze personnes), comment disposer des ressources pour faire face à de telles montées en charge, si ce n'est en exploitant une infrastructure de cloud public. Initialement inscrite au programme BizSpark, la start-up vient d'entrer dans le club très restreint d'IDEES, qui ne regroupe chaque année qu'une vingtaine d'élues suivies par Microsoft France.
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(*) Parmi les investisseurs et professionnels présents sur le campus de Microsoft d'Issy-les-Moulineaux pour l'European BizSpart Summit figuraient notamment Olivier Protard, de Seventure, Olivier Sichel, de Sofinnova, Guillaume Latour, d'AGF Private, mais aussi Loïc Le Meur, de Seesmic, Reshma Sohoni, de Seedcamp ou encore Chris Shipley de Guidewire Group.
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Décidément en veine, la jeune pousse Kobojo attire tous les suffrages puisqu'elle s'est retrouvée co-lauréate du prix décerné à l'issue de l'European BizSpark Summit (10 000 euros pour chacune des start-up retenues).
Adoubé par Salesforce.com, bientôt sur Azure
La deuxième société distinguée par le jury n'est pas en reste. La Britannique Artesian Solutions a déjà rassemblé un beau portefeuille de clients. Sa solution hébergée, Artesian Surveillance, s'adresse aux équipes commerciales des grandes entreprises. Elle leur collecte sur le web, de façon automatisée et personnalisée, toutes les informations pertinentes (technologies sémantiques à l'appui) sur leurs prospects et clients, leur marché et leurs concurrents. Parmi ses utilisateurs, l'éditeur compte de grands noms, dans l'industrie pharmaceutique comme Boehringer Ingelheim, Bayer et GSK, mais aussi sur d'autres secteurs (Siemens, Vodafone ou Barclays, par exemple).
Les informations collectées par Artesian se consultent à partir d'un navigateur web, depuis son mobile, ou bien directement dans l'application de CRM utilisée par les commerciaux (Salesforce principalement). Pour l'instant, l'éditeur héberge lui-même son application, sur une plateforme auditée par KPMG dans le cadre du partenariat qu'il a noué avec Salesforce.com. « Nous avons récemment prototypé notre service sur Windows Azure avec Microsoft, précise Andrew Yates, PDG de l'éditeur. Nous sommes très contents des résultats et prévoyons de rendre disponible certains éléments clés, voire la totalité de notre service, sur Azure d'ici la fin de cette année ».
Le PDG de Software AG prolongé dans ses fonctions jusqu'en 2015
Karl-Heinz Streibich vient de se voir reconduit dans ses fonctions de PDG de Software AG par le conseil de surveillance de la société, jusqu'au 31 mars 2015. Andreas Berckzky, président de ce conseil, souligne qu'il s'agit d'un vote de confiance dans les « qualités d'entrepreneur » de celui qui dirige depuis octobre 2003 l'éditeur allemand de solutions d'infrastructure logicielle et d'outils d'intégration. Software AG a enregistré une croissance durable et rentable au cours des cinq dernières années, rappelle-t-il dans un communiqué, y compris pendant la période de récession économique.
A la faveur du rachat de son compatriote IDS Scheer, en août dernier, Software AG a effectivement terminé l'année 2009 sur un chiffre d'affaires en hausse de 18% (847,4 millions d'euros) et un bénéfice net de 140,8 M€ en progression de 22%. Avec le renfort de cet acteur spécialisé sur la gestion des processus métiers (BPM), le groupe a entamé 2010 en étant déjà assuré de dépasser le milliard d'euros de chiffre d'affaires.
Quelques années plus tôt, l'éditeur de la base de données Adabas et du langage Natural avait déjà eu la main heureuse en rachetant judicieusement webMethods, spécialiste américain des outils de middleware, en avril 2007. Vingt mois plus tard, c'est l'offre SOA de ce dernier qui tirait la croissance de Software AG sur son exercice 2008.
Avant de rejoindre le groupe qu'il dirige depuis six ans et demi, Karl-Heinz Streibich était président délégué du conseil d'administration de la SSII germanique T-Systems. Il a commencé sa carrière d'ingénieur en 1981 chez Dow Chemical, dans le développement logiciel.
Illustration : Karl-Heinz Streibich, PDG de Software AG (crédit photo : DR)
Amazon gère RDS dans le cloud
Les utilisateurs vont donc contrôler les performances de leurs services RDS à partir de l'AWS (Amazon Web Services) Management Console. Avec l'aide d'un assistant graphique dans leur navigateur, les administrateurs pourront, lancer ou modifier une instance de la base, selon Amazon. Les autres caractéristiques comprennent la capacité de prendre un instantané de la base de données, qui peut ensuite être archivé, ou contrôler la lecture et l'écriture, mais également le niveau de latence et accéder à un espace de stockage gratuit.
Outre RDS, l'AWS Management Console peut être utilisé pour gérer EC2 (Elastic Compute Cloud) et CloudFront, qui est le service d'Amazon pour la délivrance de contenu, y compris audio et vidéo. À l'avenir, l'éditeur prévoit de permettre l'administration de S3 (Simple Storage Service). Les administrateurs seront en mesure de créer et supprimer des boîtes de stockage - et le service SimpleDB. Basé sur MySQL 5.1, Amazon RDS est encore en bêta test.
L'éditeur s'intéresse de plus en plus aux bases de données dans le cloud. Il y a quelques semaines, il avait annoncé une fonctionnalité nommée, Zone de Multi-disponibilité, en rendant accessible et opérationnel depuis le cloud, une copie de la base de données, stockée dans différents endroits.
Steve Jobs présidera la WWDC 2010, signe d'annonces surprises
Absent de la WWDC l'an dernier en raison d'un cancer du pancréas qui a nécessité une transplantation, Steve Jobs sera présent sur scène pour lancer l'événement qui durera cinq jours. « Steve Jobs retrouve avec enthousiasme sa place de meilleur présentateur du pays, » a déclaré Ezra Gottheil, analyste chez Technology Business Research, à propos du CEO d'Apple qui était revenu devant le public en septembre 2009, pour présenter la nouvelle ligne d'iPod. Tout le monde s'attend, bien sûr, à entendre les éloges du patron d'Apple sur le prochain système d'exploitation 4.0 de l'iPhone, un thème placé au centre de l'événement WWDC 2010, mais espère aussi avoir la primeur sur le smartphone maison de prochaine génération. Cette année cependant, il y aura moins de surprises que par le passé puisque, au cours des quatre dernières semaines, des photographies de deux prototypes de l'iPhone v4 ont été publiés sur Internet, dont celles diffusées par le blog spécialisé en technologie Gizmodo, qui a acheté un modèle de démonstration à un californien pour 5.000 dollars.
De nouveaux services sur iTunes
Plus récemment, un forum vietnamien a même posté des photos d'un iPhone qualifié par un expert en électronique de matériel « sorti de production », ou de quasi-production. « Cela ne veut pas dire que Steve Jobs n'a pas gardé quelques surprises dans son sac, » a déclaré Ezra Gottheil. Selon ce dernier, « on trouve, dans le dernier bilan, quelques indices quant aux annonces possibles. Celles-ci pourraient avoir notamment un rapport avec les services online, comme par exemple, l'intégration de Lala, un petit service de streaming acquis à la fin de l'année dernière et qui sera fermé le 31 mai prochain. Le plus probable concerne l'abonnement à des services de streaming de musique ou de vidéo. »
Steve Jobs lors de la conférence sur iPhone OS 4.0.
Crédits photo : IDG NS, avril 2010.
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Même si la conférence ne semble pas être le lieu idéal pour ce type d'annonce - généralement l'événement se concentre sur des questions concernant directement les développeurs - Ezra Gottheil prévoit une dérogation à cette règle. « Ce ne serait pas tout à fait dans l'esprit de la WWDC, sauf si ça a un rapport avec la programmation, » a reconnu l'analyste. « Mais dans la mesure où Apple arrive avec une plate-forme qui interagit avec le code d'un ou de plusieurs de ses appareils mobiles, il serait logique qu'elle fournisse aussi quelques APIs. » Dans son raisonnement, la firme de Cupertino pourrait être prête à rivaliser avec Amazon et Google - lesquelles offrent toutes deux des services de stockage aux développeurs - en utilisant son grand centre de calcul construit en Caroline du Nord. « Apple n'est pas encore entré dans ce monde, mais comme il souhaite conserver les développeurs de l'iPhone et de l'iPad dans son environnement, » a déclaré l'analyste.
De la visioconférence pour l'iPhone v4
« Des contenus éducatifs, un domaine privilégié de longue date par Apple, pourrait également être hébergés dans ce centre de calcul, » a t-il déclaré. Une autre annonce possible, à la fois autour de l'iPhone et du datacenter de Caroline du Nord, concernerait l'appareil photo frontal aperçu sur les prototypes de l'iPhone, vus ici et là. « Beaucoup de gens utilisent Skype pour les appels vidéo, et seul un nombre restreint fait appel à une technologie haut de gamme pour la visioconférence. Il y a donc un gros potentiel dans ce domaine, »a déclaré Ezra Gottheil. » Steve Jobs pourrait donc révéler des capacités vidéo de l'OS 4.0 de l'iPhone tenues secrètes, avec certaines APIs qui permettraient aux développeurs de s'ancrer à une plate-forme de vidéoconférence reposant sur un cloud. « Apple pourrait dire : voici la base pour créer du chat vidéo, » puis proposer aux développeurs des APIs à développer pour ajouter le chat vidéo à des jeux sur iPhone, par exemple » a t-il ajouté.
A noter qu'Apple ne diffusera pas cette fois la conférence en direct sur le Web.
(...)(25/05/2010 09:18:44)IBM rachète Sterling Commerce pour 1,4 milliard de dollars
Au début du mois, Sam Palmisano, le PDG d'IBM, avait déclaré que sa société prévoyait de débourser 20 milliards de dollars dans des opérations d'acquisition au cours des cinq prochaines années. La première de ses transactions porte sur l'éditeur américain Sterling Commerce et s'élève à 1,4 milliard de dollars en numéraire. Cette filiale d'AT&T est spécialisée dans les solutions d'intégration entre applications et les échanges de données interentreprises (transferts de fichiers EDI notamment). Sur ce terrain, elle est en concurrence avec des acteurs comme Axway (fort de Tumbleweed), filiale de la SSII française Sopra qui doit acquérir son autonomie cette année. Elle rencontre aussi des sociétés comme Inovis et le numéro un GXS (Global eXchange Services), à qui IBM avait vendu deux activités portant sur les échanges B-to-B en 2004.
Sterling Commerce édite aussi des suites de gestion logistique (Sterling Order Management, Supply Chain Visibility...) et de gestion des ventes (Sterling Catalog and Offer Management...). La société, dont le siège social se trouve à Dublin, dans l'Ohio, est présente en France.
Sterling Commerce compte 18 000 clients au niveau mondial, dans les services financiers, la distribution, l'industrie manufacturière et plusieurs autres secteurs.
Une offre elle-même constituée par rachat
Il est prévu que l'acquisition par IBM soit réalisée au second semestre de cette année. Environ 2 500 collaborateurs de Sterling Commerce devraient rejoindre la division WebSphere qui gère le large catalogue d'outils d'intégration d'IBM. Le choix de la société rachetée s'est fait sur la base de ses résultats et du niveau de satisfaction de ses clients, a expliqué Craig Hayman, directeur général de l'entité WebSphere, lors d'une conférence téléphonique. Sterling Commerce s'est elle-même constituée par rachat, ayant notamment acquis Yantra, en 2005, spécialisé sur la gestion logistique, et Nistevo, en 2006, éditeur de logiciels de gestion du transport.
IBM prévoit de combiner les technologies rachetées avec les siennes avec l'objectif de supporter ce que les clients de Sterling Commerce ont installé et d'apporter à ses propres utilisateurs ce qu'ils souhaitent mettre en place, a déclaré Craig Hayman.
Pour la société dirigée par Sam Palmisano, c'est le 57e rachat depuis 2003. Le dernier en date, début mai, est celui de Cast Iron Systems. Selon Ken Vollmer, analyste chez Forrester Research, cette transaction était pressentie depuis quelques temps. Il considère que Sterling Commerce est un « solide numéro deux » sur le secteur des solutions B2B, derrière GXS, et qu'il pourrait y avoir d'autres acquisitions sur ce marché dans les prochains mois.
Steve Jobs ouvrira bien la conférence développeurs 2010
Le CEO d'Apple, Steve Jobs, effectuera sa traditionnelle keynote lors de la prochaine édition de la Worldwide Developers Conference (WDC), du 7 au 11 juin, à San Francisco. Il ouvrira cette conférence dès 10h du matin, avec une allocution devant une assemblée internationale de développeurs d'applications pour les produits de la marque à la pomme. La venue de Steve Jobs signifie généralement l'annonce de nouveaux produits, comme celle du très attendu iPhone v4. Durant ces cinq jours, plus de 5.000 développeurs venus du monde entier vont se retrouver pour présenter leurs applications dédiées aux différents produits Apple comme l'iPhone et l'iPad.
Steve Jobs lors de la conférence sur iPhone OS 4.0.
Crédits photo : IDG NS, avril 2010. (...)(21/05/2010 17:52:09)
BizTalk et AppFabric, pour 'composer' des applications ouvertes vers le cloud
Microsoft vient de dévoiler la Release Candidate de son serveur d'application AppFabric, socle d'exécution des applications .Net sur Windows Server et dans le cloud Azure. L'éditeur a procédé à cette annonce sur le web, dans le cadre d'un événement virtuel consacré à ses solutions d'infrastructure, www.appinfrastructure.com. Par ce biais, il a également indiqué la disponibilité de la première version bêta publique de ses outils d'intégration BizTalk Server 2010.
Dans ces présentations en ligne, Microsoft souligne l'intérêt d'apporter les capacités propres aux environnements de cloud aux ressources IT exploitées derrière le firewall. AppFabric, destiné au déploiement et à la gestion d'applications web et composites, de même que BizTalk Server, vont permettre aux applications déployées au sein des entreprises de trouver des prolongements dans les services proposés au sein de clouds publics tels que Windows Azure.
Des applications qui passent vers le cloud sans retouche
Le modèle de l'application composite permet de prendre les ressources logicielles existantes et de les associer pour construire un ensemble d'applications distribuées au sein de l'entreprise aussi bien que prolongées sur Internet. En procédant ainsi, on facilite la portabilité des applications, de telle façon qu'il ne sera pas nécessaire de les réécrire pour qu'elles fonctionnent dans les clouds, affirme Abhay Parasnis, directeur de l'entité serveur d'application chez Microsoft. Windows Server AppFabric va aider les développeurs à bâtir et gérer des services pour des applications composites. Il sera disponible gratuitement pour les clients qui ont acquis des licences de Windows Server 2008.
BizTalk Server 2010 sera utilisé par les développeurs, de façon combinée avec le socle d'exécution AppFabric, pour élaborer plus rapidement des applications composites qui se connectent à des systèmes disparates au travers des adaptateurs BizTalk au sein des environnements de développement .Net, avance Microsoft. Cette mise à jour apporte aussi un outil de mapping qui simplifie les transactions complexes et un tableau de bord unifié pour les fonctions de sauvegarde et de restauration.
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