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(02/01/2009 15:55:34)
Les rumeurs de licenciements au sein de Microsoft s'intensifient
Voilà plusieurs semaines que des rumeurs sur des suppressions de postes au sein de Microsoft circulent sur la Toile. D'après le site Fudzilla, les rumeurs seraient passées au stade de faits : les cadres de l'éditeur auraient été informés d'un plan visant à supprimer 15 000 des 90 000 postes, soit une réduction de personnel de près de 17%. Microsoft n'a pas encore officiellement réagi à ces allégations. En revanche, un cabinet d'analystes financiers, Oppenheimer & Co, expliquait il y a quelques jours que Wall Street apprécierait grandement que Microsoft annonce à son tour un plan d'économies. Cela montrerait « que la profitabilité est plus importante que la croissance du chiffre d'affaires en ces temps très difficiles ». Brad Reback, d'Oppenheimer & Co, conjecturait qu'un plan de suppression de 10% des postes permettrait à Microsoft d'économiser 1,2 Md$ par an, ce qui devrait se traduire par une augmentation du bénéfice par action de 10 cents. Un argument imparable pour la Bourse, quand bien même il irait à l'inverse de toute logique industrielle. (...)
(02/01/2009 14:39:58)Dell change l'organisation de ses ventes aux entreprises
Terminée l'organisation géographique des ventes aux professionnels chez Dell : le constructeur a décidé de se restructurer en fonction des segments de clientèle. Au lieu du découpage en trois grandes zones - Extrême-Orient, Amériques et EMEA - Dell va se réorganiser pour servir trois secteurs : les grands comptes, le secteur public et les PME. Michael Dell, revenu aux manettes de son groupe il y a près de deux ans, doit faire face à une situation difficile. Le constructeur a déjà annoncé par deux fois, en 2007 et en 2008, des plans d'économies et de suppressions de postes (touchant respectivement 3 200 postes puis 8 800 postes). Dell pense aujourd'hui à autre moyen d'améliorer sa situation, en présentant un autre visage aux clients. Au sens propre, puisque Mike Cannon, président des opérations, prendra sa retraite à la fin du mois (il sera remplacé par Jeff Clarke, patron de l'offre postes de travail professionnels). Au sens figuré ensuite, puisque Michael Dell s'est en effet aperçu qu'il fallait parler besoins et solutions, plutôt que marchés géographiques : « Les besoins des clients sont de plus en plus définis par la façon dont ils utilisent la technologie, plutôt que par où ils l'utilisent. C'est pourquoi nous ne nous laisserons pas enfermés par des frontières géographiques lorsqu'il s'agira de répondre à leurs besoins. » La clientèle grand public n'est pas concernée par ce nouveau découpage : elle faisait déjà l'objet d'une gestion centralisée. (...)
(31/12/2008 10:32:47)La crise fait chuter les ventes en ligne de 3% aux Etats-Unis à Noël
Les ventes en ligne aux Etats-Unis ont baissé de 3% entre les fêtes de Noël 2007 et 2008, selon ComScore. Le cabinet d'études s'avoue déçu par ces résultats. Les internautes américains ont dépensé « seulement » 25,5 Md$ entre le 1er novembre et le 23 décembre, contre 26,3 Md$ un an plus tôt. « C'est la première fois que nous observons des taux de croissance négatifs pour les fêtes de fin d'année depuis 2001, année lors de laquelle nous avons commencé à suivre l'évolution du e-commerce», a déclaré Gian Fulgoni, président de ComScore. La mauvaise nouvelle de Noël plombe évidemment la fin de l'année fait tâche d'huile : c'est tout le qui est affecté : le chiffre d'affaire des ventes en ligne au quatrième trimestre perd 4% (36,8 Md$ contre 38,4 Md$ un an plus tôt). Gian Fulgoni accuse la frilosité des consommateurs en raison de la récession économique. « La saison a été difficile pour tous les consommateurs », a-t-il précisé. eBay a par exemple reçu la visite unique de 85,4 millions d'internautes. Un score qui subit une baisse 4 % an par rapport à 2007. Cette morosité correspond toutefois aux chiffres enregistrés en novembre dernier (-4%). Certains sites tirent toutefois leur épingle du jeu. Amazon grimpe à la deuxième place, avec plus de 76 millions de visiteurs uniques, soit une augmentation d'environ 7% sur un an (le géant de l'e-commerce a même battu son record à Noël, avec près de 73 objets vendus à la seconde). Wal-Mart parvient à la troisième position, avec 51,5 millions de visiteurs (+ 4%). Côté ventes, HP a enregistré une progression de 28% et Apple de 19%. (...)
(30/12/2008 17:04:39)Un brevet pour des PC payables à l'usage
Prenez un PC gratuitement et ne payez que pour la puissance et les logiciels que vous utilisez. Tel pourrait être à l'avenir le slogan des vendeurs de PC (ou plutôt de services, dans ce cas), si le brevet que vient de déposer Microsoft devenait réalité. Intitulé « Metered Pay-As-You-Go Computing Experience », le principe décrit par Microsoft consiste à mesurer à la fois le temps d'utilisation et la consommation de ressources d'un utilisateur, de façon à ne lui faire payer que ce qu'il consomme. Cela grâce à une combinaison d'éléments matériels et logiciels embarqués dans le PC. L'idée, explique Microsoft, est que le plus grand nombre de gens possible puisse s'équiper d'un PC haut de gamme, sans s'acquitter du prix facial d'un tel ordinateur. C'est l'usage de l'ordinateur qui serait facturé, soit grâce à des cartes prépayées, soit par prélèvement mensuel en même temps que le paiement de l'abonnement à Internet, soit par tout autre moyen de paiement connu... Pourquoi payer plein pot une carte 3D utilisée seulement de temps en temps ? Microsoft indique quelques exemples où une telle technologie serait utile : un logiciel de création graphique qui n'est utilisé qu'en certaines occasions festives, une carte 3D et plusieurs coeurs qui ne servent que de temps en temps pour un jeu alors que le reste du temps le PC fait tourner un traitement de texte et un navigateur Web, etc. Ce principe de paiement à l'usage est déjà mis en oeuvre pour les gros serveurs et mainframes, mais à un stade rudimentaire - activation d'un processeur, notamment, pour un pic de charge - par rapport à ce qui est décrit dans ce brevet. De même, Microsoft a de son côté déjà appliqué un peu ce principe avec son initiative Flexgo : des PC pour les pays émergents, vendus moitié prix avec un crédit de temps d'utilisation renouvelable. Un plus grand verrouillage de l'utilisateur de PC [[page]] Le brevet va beaucoup plus loin, puisqu'il s'agit de tout instrumenter et mesurer, de la moindre application (commerciale, bien sûr : le brevet évite soigneusement de mentionner les logiciels gratuits et Open Source) au cycle d'horloge de chaque coeur, en passant par les gigaoctets du disque dur. Tout en gardant la possibilité de bloquer l'usage du PC en cas de défaillance du paiement, grâce à un module sécurisé intégré - capable de fonctionner tant en mode connecté qu'en mode déconnecté. La gratuité des logiciels Open Source et des applicatifs Web écorne le modèle Bien sûr, cela soulève plusieurs problèmes et questions. En premier lieu, les actions de l'utilisateur d'un ordinateur serait encore plus scrutées qu'elles ne le sont actuellement, ce qui ne passera pas sans soulever quelques polémiques de bon aloi. En outre, combien d'utilisateurs accepteraient de payer des applications à l'usage, quand l'Open Source fournit des alternatives crédibles que beaucoup de services applicatifs sont accessibles gratuitement sur Internet ? Quant à ses données personnelles, une sauvegarde externe deviendrait alors indispensable. Ensuite, le coût total de possession pourrait bien être plus élevé que le prix théorique d'acquisition de l'ordinateur ; Microsoft le reconnaît, mais explique que la répartition des paiements au cours du cycle de vie de la machine est un avantage (un peu comme louer une voiture plutôt que de l'acheter). Enfin, cela changerait totalement la relation entre les fabricants de PC et les utilisateurs. Les premiers, explique Microsoft, y gagneraient car ils pourraient standardiser leurs lignes de produits et se concentrer sur le haut de gamme. Quant aux utilisateurs, ils devraient ne plus avoir qu'un interlocuteur, sur le modèle de ce qui se pratique avec les téléphones mobiles : l'opérateur subventionne le terminal, perçoit l'abonnement et facture les services supplémentaires. Nul doute que les fournisseurs d'accès à Internet devraient se montrer intéressés par cette nouvelle possibilité de garder des clients captifs. Ils pourraient ainsi proposer des forfaits différenciés : pour la bureautique, pour les joueurs occasionnels. On imagine déjà le succès de la super promo du forfait avec jeu 3D illimité le soir et le week-end ! (...)
(30/12/2008 15:32:37)Bilan 2008 : La crise financière oblige les acteurs IT à se serrer la ceinture
La crise économique était latente depuis quelques mois, selon les analystes. Fin août, ils n'observaient toutefois pas encore d'impact significatif sur le marché européen. C'était sans prévoir l'ampleur du krach boursier qui a atteint les places financières américaines, japonaises et européennes entre septembre et octobre, notamment en raison du rejet du plan Paulson, censé relever l'économie américaine à grands renfort de dollars (700 Md$). « Cette crise brutale n'a fait qu'exacerber une situation économique déjà fragilisée », notait alors Virginie Lazes, directrice associée pour la banque d'investissements Bryan Garnier & Co. L'analyste s'attendait par ailleurs à une multiplication des alertes sur résultats dans le courant de l'année, ainsi qu'à un ralentissement de l'activité dans les sociétés IT. L'avenir lui a donné raison. Témoin de la morosité régnante, même l'action de Google est passée sous la barre des 300 $, une première depuis trois ans. De fait, si les entreprises du secteur ne sont pas directement affectées par la crise financière, elles le sont indirectement, du fait de la méfiance des investisseurs et des ralentissements et suspensions de projets décidés par les entreprises utilisatrices. De nombreux acteurs - à l'instar de Microsoft, de Sun ou encore de SAP - ont donc présenté des plans internes de restriction drastique des coûts : gel des embauches, réduction des frais de marketing, examens de tous les frais généraux, notamment liés aux voyages professionnels... Même du côté des SSII indiennes - réputées pour leur croissance flirtant avec les 50% - les résultats restent à deux chiffres, mais sont quasiment divisés par deux. Nombreuses d'entre elles ont par ailleurs annoncé des plans de licenciements et de réduction des coûts. Quant aux analyses des grands cabinets, elles ne sont pas fameuses : selon iSuppli, le marché des ventes de PC, grand abonné des taux de croissance à deux chiffres, devrait subir de plein fouet la crise économique. Même constat pour IDC, qui prédit une croissance de l'ensemble des dépenses high-tech de l'ordre de 2,6% seulement en 2009, contre les 5,9% annoncés en août dernier. A lire sur le sujet : Le 28 novembre 2008 : L'Europe divise par deux ses prévisions de croissance des TIC pour 2009 Le 21 novembre 2008 : Le rythme des ventes de PC devrait s'écrouler l'an prochain Le 14 novembre 2008 : IDC révise à la baisse ses prévisions de dépenses IT pour 2009 Le 13 novembre 2008 : Badaboum: Intel révise fortement ses prévisions à la baisse Le 12 novembre 2008 : Même la Silicon Valley est affectée par la crise, montre le Mercury News Le 6 novembre 2008 : Trimestriels Cisco : l'équipementier contraint de geler ses embauches Le 24 octobre 2008 : Microsoft se serre la ceinture pour affronter la crise Le 21 octobre 2008 : Sun lance un avertissement sur ses résultats trimestriels Le 14 octobre 2008 : Les dépenses IT vont se tasser... mais moins qu'en 2001, prédit Gartner Le 10 octobre 2008 : Trimestriels : l'Indien Infosys reste en croissance, mais subit la crise Le 7 octobre 2008 : SAP avertit que son activité a été touchée par les troubles économiques Le 7 octobre 2008 : La crise boursière ébranle les valeurs IT françaises Le 30 septembre 2008 : Douche froide pour les valeurs technologiques après le rejet du plan Paulson Le 24 septembre 2008 : Le coup de froid se confirme dans les SSII indiennes Le 18 septembre 2008 : La crise bancaire américaine n'épargnera pas l'informatique Le 27 août 2008 : La crise des subprimes n'impacte pas encore les services informatiques bancaires (...)
(30/12/2008 12:36:38)Telelogic sélectionné par Eaton pour développer un système d'économie de carburant
Toujours soucieux d'apparaître actif sur le front du Green IT, IBM a annoncé que son logiciel de modélisation Telelogic Rhapsody avait été sélectionné par Eaton (spécialisé dans la protection électrique) pour développer un nouveau système de distribution hydraulique hybride pour les voitures. Ce système (baptisé SHH pour système hydraulique hybride) devrait permettre - à long terme - de réaliser des économies de carburants de l'ordre de 50%, selon Eaton, et remplacer les systèmes de transmission classique. Grâce à un système (dirigé par une puce électrique), l'économie de carburant est réalisée de trois manières: à chaque freinage, l'énergie du véhicule (normalement gaspillée) est récupérée, le fonctionnement du moteur est optimisé et le moteur est automatiquement coupé lorsqu'il est à l'arrêt ou en phase de décélération. Telelogic, racheté en juin 2007, servira à modéliser le logiciel gérant le comportement du système. Les premiers tests grandeur nature seront réalisés sur deux camions de livraison UPS à Minneapolis au cours du premier semestre 2009. (...)
(29/12/2008 15:42:56)Le câble sous-marin reliant le Web européen au Proche-Orient casse encore
Pas de chance. Alors que le navire-câblier dépêché par France Telecom pour réparer les câbles sous-marins rompus le 19 décembre dernier en avait terminé avec le 'Sea Me We 4' (qui assure le trafic Internet entre la France et Singapour, en passant par l'Egypte, l'Arabie Saoudite, l'Inde...), le même câble a cassé en un autre endroit. Il y a dix jours, quatre câbles étaient rompus, entraînant de sérieuses perturbations du trafic Web entre l'Europe, le Proche-Orient et l'Asie. Les opérateurs avaient assuré les liaisons professionnelles en les faisant transiter par les Etats-Unis, en attendant que les réparations soient effectuées. Deux des câbles, Sea Me We 3 et Sea Me We 4, sont opérés par France Telecom, les deux autres, Flag Europe Asia et Go, par Reliance Globalcom. Le 25 décembre, le navire-câblier de France Telecom faisait route vers la Sicile pour se ravitailler en câble et se rendre sur les lieux de l'incident survenu sur Sea Me We 3 lorsqu'est parvenue l'information de la nouvelle cassure, a indiqué un porte-parole de l'opérateur. Mais cette fois, la rupture s'est produite à environ 3000 mètres de fond (à un peu moins de 400 km d'Alexandrie) alors que les premiers incidents étaient survenus à quelques centaines de mètres de fond. Des glissements de terrain seraient à l'origine de la cassure. France Telecom, qui espérait avoir tout réparé avant la fin de l'année, vise désormais le 5 janvier pour Sea Me We 4, et ne donne pas de date précise pour Sea Me We 3. (...)
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