Flux RSS
Business
9034 documents trouvés, affichage des résultats 5261 à 5270.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(14/10/2008 14:10:22)
Les dépenses IT vont se tasser...mais moins qu'en 2001, prédit Gartner
Si la crise boursière - les plus pessimistes diront systémique - frappant toutes les places financières de la planète se ressentira nécessairement sur les budgets IT en 2009, Gartner se veut néanmoins rassurant. Selon le cabinet d'études, le ralentissement des dépenses technologiques restera en effet inférieur à celui observé en 2001, quand la bulle Internet a éclaté. A l'occasion du Symposium ITxpo, le 13 octobre, à Orlando, Gartner a revu ses prévisions de croissance des dépenses IT. Alors que les analystes tablaient jusqu'à présent sur une croissance mondiale de 5,8% pour 2009, ils anticipent désormais une progression de 2,3%. « Les économies développées, et particulièrement les Etats-Unis et l'Europe de l'Ouest, seront les plus affectées, mais les marchés émergents ne seront pas épargnés, précise Peter Sondergaard, vice-président du Gartner. L'Europe connaîtra une croissance négative en 2009 ; les Etats-Unis et le Japon afficheront une stagnation. » Mais, même si les prévisions sont revues à la baisse, les retombées de la crise économique devraient rester moindres que celles observées en 2001. Selon Peter Sondergaard, les entreprises sont en effet mieux préparées à répondre à une situation économique délicate. La place qu'occupe l'IT dans les sociétés contribue également à contenir l'ampleur des dégâts. Les technologies sont désormais « impliquées dans toutes les composantes de l'activité [et impliquent souvent] des contrats pluriannuels » auxquels il est délicat de mettre un terme. (...)
(14/10/2008 14:01:00)Appel à la grève chez Thales Services
Le projet de cession du site d'Aix-en-Provence de Thales Services à la SSII Osiatis n'est pas pour rassurer les 63 salariés du site provençal. D'après le site Web syndical Miroir Social, les 9 et 10 octobre derniers, le mouvement de grève lancé à l'appel des syndicats aurait été suivi par la quasi totalité des salariés du sous-traitant informatique. Ces derniers craignent pour leur emploi, après l'annonce en juin dernier de la vente des activités d'infogérance bureautique de l'agence d'Aix-en-Provence. Dominique Malrin, délégué syndical CFTC de Thales Services, signale sur son blog que la direction de Thales n'aurait formulé aucune proposition permettant de débloquer la situation. Sur proposition des organisations syndicales, les salariés devraient donc poursuivre le mouvement de grève, au travers de plusieurs actions. Demain, mercredi 15 octobre, un rassemblement est prévu devant les sites d'Osiatis à Vitrolles (Bouches-du-Rhône) et à Vélizy (Yvelines). Le lendemain, jeudi 16 octobre, sans signe significatif de la direction, les salariés sont appelés à manifester de nouveau devant le siège du groupe à Neuilly-Sur-Seine. La rédaction du site Lemondeinformatique.fr a tenté de joindre la direction de Thales Services à Aix en Provence, sans succès. De son côté, la SSII Osiatis n'a pas souhaité faire de commentaires. (...)
(14/10/2008 12:29:05)L'annonce du plan européen redonne des couleurs aux valeurs IT
Deux semaines après le cyclone qui s'est abattu sur les places boursières, les valeurs IT repassent progressivement au vert, grâce aux interventions des gouvernements européens. Outre-Atlantique, le Trésor a promis de mettre en place un programme de rachat d'actions auprès d'institutions financières (700 Md$), mais ce sont surtout les décisions prises hier sur le Vieux Continent qui ont fait réagir les marchés. Les gouvernements ont en effet présenté un plan d'un montant de 1 700 Md€ pour venir au secours des banques en faillite. Capgemini, fortement éprouvé la semaine dernière, reprend 7,79% La réaction ne s'est pas faite attendre et le secteur IT a repris le chemin de la hausse. A la clôture du Nasdaq hier, Apple a par exemple vu le cours de son action grimper de 13,90%. Et le rebond est quasi général : +19,58% pour Sun, +18,60% pour Microsoft, +14,77% pour Google, +11,89% pour HP, +11,85% pour Intel (qui publiera les résultats de son troisième trimestre ce soir), +9,76% pour Yahoo. Même Capgemini fortement éprouvé il y a une semaine par les recommandations négatives de la banque d'affaires JP Morgan a rebondi à +7,79%. Le titre avait perdu plus de 20% en l'espace de deux jours. (...)
(14/10/2008 11:17:30)Silverlight 2 convoque Eclipse via le Français Soyatec
Microsoft a officiellement lancé Silverlight 2, qui adjoint à son outil de présentation graphique concurrent de Flash les possibilités de développement de .Net. L'inclusion de la plateforme de programmation de Microsoft, et la sortie des outils connexes dédiés aux utilisateurs de Visual Studio, n'est pas une surprise. En revanche, Microsoft a aussi décidé de séduire les développeurs Eclipse, en annonçant la prochaine sortie d'un outil Open Source, Eclipse4sl, élaboré par la start-up française Soyatec. Microsoft n'a jamais caché, en sortant Silverlight, son désir de proposer une plateforme de client riche de type RIA (Rich Internet Application) accessible à la fois aux designers (via la suite d'outils Expression) et aux développeurs (via Visual Studio). Le fait d'inclure .Net dans cette v2 permet ainsi à des développeurs VB, C#, Javascript ou des versions pour .Net de Python et Ruby (IronPython et IronRuby), de concevoir dans leur langage des applicatifs pouvant bénéficier d'une interface écrite en XAML, le langage descriptif utilisé par WPF (la couche graphique de Vista) et Silverlight. Un point sur lequel Microsoft insiste, afin de bien marquer la différence avec Flash et son langage unique. eFace reliait déjà XAML et Java L'accord avec Soyatec donnera également la possibilité de construire les applicatifs Silverlight au sein de l'atelier Eclipse, en Java. Emanation - suite à une dissension - de l'éditeur français d'outils de modélisation Omondo, Soyatec bénéficie d'une subvention de Microsoft pour mener à bien ce projet (interrogé, un responsable de Soyatec n'a pas donné de précisions sur ce financement). L'éditeur avait déjà relié Java et XAML au travers d'un outil, eFace. L'idée de Soyatec est en effet de favoriser la génération d'applications à partir des modèles (approches MDA et MDD, architecture et développement guidés par les modèles). Le fait d'offrir un framework graphique indépendant des plateformes technologiques s'inscrit dans cette optique, la même application Java pouvant ainsi être accessible depuis une interface Web classique ou Silverlight. Silverlight pour Windows, Mac et Linux, et pour IE, Firefox et Safari [[page]] Le lancement de Silverlight 2 correspond à celui de la première version alpha d'Eclipse4sl. Une seconde version d'essai est prévue pour décembre (elle inclura notamment le support des services Web), et la version finale pour le printemps prochain. Elle sera disponible sur SourceForge, sous licence Eclipse. Les spécifications XAML ouvertes aux éditeurs tiers Toujours afin de justifier sa stratégie d'ouverture - qui vise en fait à élargir son écosystème - Microsoft a également rappelé sa volonté de fournir un client fonctionnant sur plusieurs systèmes d'exploitation (Windows, Mac et Linux) et navigateurs (IE, Firefox et Safari), et a annoncé la publication des spécifications de XAML sous les conditions OSP (Open specification promise). Des modèles (SCP, Silverlight Control Pack) seront aussi disponibles selon les mêmes termes, afin d'accélérer le développement. Scott Guthrie, vice-président de Microsoft responsable de la division développeurs .Net, a expliqué lors du lancement que cela offre une protection légale aux développeurs, et que cela devrait inciter les éditeurs tiers à développer des applications recourant à XAML pour leur interface. Scott Guthrie a rappelé que, depuis environ un an que Silverlight a été lancé, la technologie a été adoptée par 150 partenaires, « des dizaines de milliers d'applications », et jusqu'à la moitié des postes clients installés « dans certains pays » (sachant qu'Adobe revendique pour son Flash un taux de pénétration de 90%). Cet été, Silverlight était en première ligne grâce à la chaîne américaine NBC, qui a retransmis sur son site les Jeux olympiques de Pékin, soit 10 millions d'heures de vidéo vues par 50 millions de visiteurs uniques. (...)
(13/10/2008 17:16:15)Marc Godin, vice-président serveurs chez Lenovo, commente la sortie de l'offre pour PME
Lors du dernier salon Interop en septembre dernier, Lenovo a lancé ses premiers serveurs hors de Chine. Basés sur le design des System X d'IBM, ces cinq serveurs en tour et en rack sont destinés avant tout aux PME et PMI, avec une offre de logiciels et de services associés et une solution d'entrée de gamme à 700 euros. Marc Godin, vice-président en charge de la partie serveur chez Lenovo, explique à la rédaction les raisons de cette nouvelle diversification. (...)
(13/10/2008 17:12:36)Atos Worldline lance une solution pour développer des applications mobiles
Atos Origin propose Worldline Padda, une solution industrielle pour concevoir des applications mobiles. Elle s'adresse aux acteurs de l'industrie, des médias, de la grande distribution ainsi qu'aux banques. Elle est basée sur une infrastructure fonctionnant en mode client-serveur et sera hébergée chez Atos Worldline. Les applications mobiles sont développées du côté serveur avec une approche de type Web qui permet de personnaliser les applications (nouvelles fonctionnalités, design, ajout de logos, graphiques zoomables...). Worldline Padda permet de développer un annuaire d'entreprise, une consultation de messages vocaux et de mails, un paiement par mobile... Un système de cache permet à l'application mobile de ne télécharger que les éléments nouveaux et dont la personne a besoin. Testé et certifié sur plus d'une centaine de terminaux mobiles [[page]]Worldline Padda sera d'abord lancé en France puis en Belgique et en Allemagne. Il a été testé et certifié sur plus d'une centaine de terminaux mobiles. Cette solution a été conçue par Worldline, une filiale d'Atos spécialisée dans le traitement des transactions électroniques de grands volumes ainsi que les services de paiement. Atos a d'ailleurs récemment rejeté une offre de rachat de Worldline par le fonds Candover, qui en proposait 1,6 Md$. Malgré cette somme rondelette, la SSII française a préféré garder dans son giron une filiale qu'elle estime rentable et qui lui permet de réaliser 11% de son chiffre d'affaires (soit 654 M€ en 2007). (...)
(13/10/2008 17:06:13)Syntec Informatique regrette le manque de SSII et d'éditeurs de taille moyenne
En 2003, le cabinet d'études Gartner prévoyait une forte concentration des SSII pour les deux années suivantes. La moitié d'entre elles devait connaître les délices d'un rachat. La prédiction ne s'est pas vérifiée. En France, le secteur des logiciels et services nargue les analystes en résistant à la vague internationale de concentration, comme le montre la dernière étude publiée par le Syntec Informatique. Chaque année depuis dix ans, en moyenne, 89 opérations de rachats sont menées dans les logiciels et services en France. Elles portent sur des entreprises d'un chiffre d'affaires (CA) de 16 millions d'euros (ME) en moyenne. Au total, toujours par an et en moyenne, ces opérations de concentration se montent à 1,4 milliard d'euros. Plus qu'à ces chiffres généraux, les enseignements de l'étude tiennent à l'analyse par métier et par taille d'entreprise. Par métier d'abord, une conclusion s'impose : les éditeurs se concentrent de plus en plus, alors que les SSII restent toujours rétives au mouvement. Chez les éditeurs, le nombre d'opérations menées a doublé ces deux dernières années pour atteindre 43 opérations en 2007. En valeur, la tendance est un peu faussée avec le « big deal » du rachat de Business Objects par SAP l'an dernier. En réalité, le mouvement est dû essentiellement à de petits éditeurs français non cotés qui rachètent d'autres petits éditeurs non cotés. Les SSII se concentrent moins que les éditeurs Concernant les SSII, la tendance à la concentration est encore plus faible, et elle concerne là aussi essentiellement de petites entreprises. La majorité des concentrations se fait dans les SSII de moins de 7,5 ME de CA annuel. Sur l'ensemble de la période considérée, 71% des opérations de concentration, dans les SSII, se font dans celles de moins de 7,5 ME de CA. [[page]] Pour bien saisir la différence entre SSII et éditeurs, l'étude montre ainsi que les SSII concentrent 61% des opérations de rachat réalisées au cours de la décennie alors que les éditeurs n'en mènent que 32%. Mais en valeur, les éditeurs font 55% des « deals » alors que les SSII tombent à 38%. Le troisième secteur membre du Syntec Informatique, celui du conseil en technologie représente 7% des opérations en nombre et 7% aussi en valeur. Voilà pour le constat. Il reste à comprendre. Prudent, le Syntec Informatique a simplement identifié des freins et des moteurs à cette concentration. Sur le premier point, le secteur est très disséminé du fait de la facilité à créer une entreprise, à s'installer sur une niche de marché, à agir en sous-traitance de grandes SSII. Ce dernier marché dit de « second niveau » permet aux SSII régionales de contourner les politiques de déréférencements menés par les grands comptes à l'encontre des petits acteurs. En sens inverse, il note quatre points qui favorisent la concentration : la pression sur les prix, le recours à l'offshore, l'arrivée de nouveaux acteurs (SSII étrangères, opérateurs de télécoms), la recherche d'économies d'échelle qui tendraient à renforcer des acteurs de plus grande taille. Forte natalité des petites SSII On assiste donc, selon Romain Hugot, président de la Commission Economie-Marché du Syntec Informatique, à une consolidation du marché plutôt qu'à une concentration. A l'évidence, le syndicat le regrette. Le secteur n'arrive pas à créer des acteurs de taille moyenne capables d'affronter la concurrence. En matière de logiciels et services, la France est la terre bénite des petits éditeurs et des petites SSII. Le secteur reste d'ailleurs très nataliste souligne l'étude. Il est facile de créer son entreprise, mais 80% des sociétés créées restent inférieures à dix salariés et ont du mal à se développer. Le syndicat compte sur les pouvoirs publics pour aider la profession à monter en régime. Avant les présidentielles elle avait élaboré un Livre Blanc. Aujourd'hui, elle table sur le Plan numérique de Nicolas Sarkozy, dont l'annonce a été repoussée d'une semaine, pour aider à constituer des entreprises de taille moyenne en France, ce qu'on appelle des entreprises de « mid market ». (...)
(13/10/2008 16:44:03)Hausse de la maintenance SAP : Forrester suggère des parades
Alors même que SAP vient de supprimer le choix entre ses contrats de maintenance Basic et Premium pour ne proposer qu'un contrat annuel unique à 22% (du prix des licences achetées), il ressort d'une étude publiée par Ray Wang, vice-président de Forrester, que de nombreux clients de l'éditeur s'interrogeaient déjà sur ce que leur apportait leur contrat de base à 17%. Parmi les 200 clients interrogés par le cabinet d'étude, 80% décrivent en effet une utilisation minimale de ce contrat Basic. Le client moyen contacte SAP moins de six fois par an, ce qui revient pour lui à souscrire une assurance très complète mais rarement mise à contribution. Les entreprises se plaignent aussi à Forrester du temps qu'il faut à SAP pour prendre en compte leurs demandes de nouvelles fonctionnalités. « Les clients pensent que la contribution versée à SAP pour la maintenance doit servir à combler les manques fonctionnels de l'offre, indique le rapport de Ray Wang. Pourtant, on trouve pléthore d'exemples de fonctionnalités clés ayant été réclamées deux à quatre ans plus tôt par de nombreux clients -d'un même secteur d'activité ou de secteurs différents- qui n'ont pas été livrées dans SAP R/3 4.7, pas plus que dans SAP ERP 6.0. » Selon Forrester, les entreprises aimeraient savoir dans quelles proportions leur contribution annuelle est réellement réinvestie dans le développement. Faire baisser le prix des licences, évaluer la concurrence [[page]] Pour contrebalancer la hausse du coût de la maintenance, les clients devraient chercher à obtenir des réductions supplémentaires sur le prix des licences, estime Forrester. Une autre tactique pourrait consister à mettre sur pied une stratégie de « contention » de SAP incluant une surveillance de ce que font les autres éditeurs. Le cabinet indique qu'une partie des entreprises qu'il a interrogées avait, par exemple, commencé à évaluer les solutions de gestion de la relation client (CRM) d'Oracle/Siebel ou de Salesforce.com. Les clients peuvent aussi s'enquérir des solutions de support externes. Rimini Street, par exemple, créé par le fondateur de ToMorrow Now (qui a causé et cause encore tant de tracas à SAP), avait annoncé son intention d'offrir une alternative de maintenance moins coûteuse autour des applications SAP. Mais celle-ci n'est pas encore disponible et ne devrait de toute façon concerner que les applications R/3. Sur tous ces points, le rapport de Forrester contredit donc quelque peu l'argument avancé par SAP qui établit que, même si les clients répugnent à voir leur facture augmenter, ils savent reconnaître la valeur d'un nouveau service. En France, l'USF, club des utilisateurs francophones de SAP, devrait communiquer, dans les jours ou semaines qui viennent, les résultats de l'enquête menée auprès de ses adhérents sur la hausse du tarif de maintenance. L'USF tient sa convention annuelle à Tours mercredi prochain 15 octobre, en présence de Léo Apotheker, fondateur de la filiale française et désormais co-PDG de SAP. (...)
(13/10/2008 14:38:00)Seesmic licencie la moitié de ses effectifs
Patatras. Un an après sa création et deux prometteuses levées de fonds, d'un montant de 6 M$ chacune, la start-up Seesmic est rattrapée par la tourmente économique. Le site français de partage de contenu et de conversations vidéo va en effet se séparer de la moitié de ses salariés, soit sept personnes. Il y a quelques semaines pourtant, Loïc Le Meur, fondateur du site, affirmait que la crise n'avait pas encore atteint la Silicon Valley (où il s'est expatrié depuis un an). « Elle reste protégée, on ne note pas de ralentissement des levées de fonds », précisait Loïc Le Meur lors du lancement du programme Le Web'08. C'est un tout autre discours qu'il tient aujourd'hui sur son blog, en évoquant dans une vidéo des « temps difficiles et incertains », avant d'annoncer les licenciements. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |