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(20/06/2006 17:51:29)
Ingres prend appui sur BEA pour se relancer
Ingres confirme sa relance. Tout à sa stratégie de revenir dans la course aux bases de données, l'éditeur open source Ingres vient de décrocher un partenariat avec le spécialiste du middleware BEA. Au programme, le support de la base de données Ingres 2006 par Workshop Studio 3.1, outil de développement Eclipse - issu du rachat de M7 en septembre 2005. BEA explique que la certification a nécessité trois mois de travaux sur l'intégration des pilotes JDBC (Java Database Connectivity), l'optimisation et la reconnaissance des deux plates-formes. Désormais, Ingres 2006 est reconnu automatiquement à l'installation. Un second souffle Au delà de l'intégration technique, ce partenariat hisse Ingres au même rang qu'Oracle 10g, DB2 d'IBM, SQL Server et Sybase, bases également supportées par Workshop Studio 3.1. Reste que ce partenariat pourrait donner un second souffle à la base de données. Ingres, depuis le désengagement de CA et son ouverture open source, cherche à revenir sur le devant de la scène. D'abord en multipliant les offres, par exemple le développement d'une appliance Linux (sortie prévue en juillet). Puis en misant sur ses utilisateurs: le club utilisateurs français s'est re-formé le 26 avril dernier. (...)
(20/06/2006 17:50:46)Oracle prend le train de la gestion des événements
Une suite middleware de plus chez Oracle, cette fois consacrée à la gestion des événements en quasi-temps réel. Cette Event Driven Architecture Suite (EDA Suite) comprend les outils appropriés pour capturer un flux d'événements, l'analyser et déclencher une règle métier (alerter un administrateur, démarrer un processus, etc.). Soit les concepts du Complex event processing (CEP), un domaine encore peu exploité par les acteurs généralistes du middleware (en-dehors de Tibco et Progress), mais promis à un bel avenir. Au fur et à mesure que les procédures s'informatisent, le nombre d'événements (transactions bancaires, lecture de puces RFID...) croît de façon exponentielle et il faut une technologie spécifique pour automatiser leur traitement. Pour Oracle, une EDA, ou architecture guidée par les événements, est indissociable de ce que l'éditeur appelle la SOA (architecture orientée services) 2.0. Une façon pompeuse de dire que l'analyse des événements est susceptible de déclencher les processus exposés par la SOA. Et une façon aussi de mieux se positionner sur le marché prometteur de la RFID : Oracle EDA Suite est en fait composée d'éléments existant, dont le Sensor Edge Server, un middleware destiné au traitement des données RFID. (...)
(20/06/2006 13:50:25)ETL : Sybase rachète l'Allemand Solonde
L'éditeur de base de donnée Sybase annonce le rachat de Solonde, éditeur allemand de solutions d'intégration de données (ETL - Extract, Transform and Loading ), pour un montant non-communiqué. Les technologies de Solonde devraient ainsi permettre à Sybase de greffer des services d'extraction, de transformation et de chargement de données à sa base de données (Adaptive Server Enterprise) et à son serveur analytique (Sybase IQ). Afin de délivrer une solution de bout en bout, à l'image des ténors des bases de données, Microsoft, IBM ou Oracle. Les solutions de Solonde reposent sur une technologie de grid pour accélérer le traitement des données. Et se déclinent en suites d'analyse, de transformation et de migration de données. L'éditeur développe également une solution optimisée pour le PGI SAP R/3. La transaction a été finalisée la semaine dernière. (...)
(20/06/2006 09:33:01)Réseaux d'opérateurs : Nokia et Siemens convergent
« Siemens est le bon partenaire, au bon moment » lance Olli-Pekka Kallasvuo, PDG de Nokia. Par cette annonce, une rumeur persistante prend fin de façon plutôt heureuse : Nokia et Siemens fusionnent leurs activités réseaux d'opérateurs. Il faut dire qu'après le mariage Alcatel/Lucent, « l'air est aux consolidations » comme le souligne, Klaus Kleinfield, PDG de Siemens AG. La nouvelle joint-venture (50/50) entre le Finlandais et le Munichois pèse 15,8 milliards d'euros. Nokia Siemens Network, c'est son nom, compte ainsi devenir un leader des services « quadruple play » à destination des opérateurs et fournisseurs de services à travers le monde. Les deux compagnies vont réunir leurs activités R&D et seront à même de proposer des solutions complètes aux opérateurs. Nokia Siemens Network affiche dorénavant une large gamme de services réseaux de nouvelle génération : IMS, accès 3G/3G+/3G LTE, haut-débit fixe, IPTV, WIMAX... L'objectif est de proposer de nouvelles applications et des solutions convergentes fixes/mobiles/multimedia. L'acteur ainsi formé, sera capable de rivaliser avec l'exacerbée concurrence asiatique (Huawei et autres ZTE). Le nouvel ensemble (60 000 salariés) se place ainsi second sur les infrastructures mobiles (23% de pdm derrière Ericsson à 26%), idem sur les services et troisième sur les équipements fixes (derrière Alcatel/Lucent et Cisco). « Ce sont deux belles marques à forte qualité de services ! » reprend le PDG de Nokia. Globalement, Nokia Siemens Network devient le troisième plus gros acteur sur le marché des infrastructures télécoms. « Nous sommes les plus petits, mais j'apprécie cela. Nous nous positionnons comme des Challengers » se réjouit-il. « Cette alliance crée un acteur industriel majeur, possédant une force immédiate, un excellent potentiel de croissance et très bien positionné pour améliorer la profitabilité future » enchaîne Klaus Kleinfield. Qui dit fusion dit synergies. Le groupe envisage d'économiser 1,5 milliards chaque année jusqu'en 2010 (consolidation et optimisation de la force de vente et du marketing, réduction de coûts, capacité d'achats, efficacité de la R&D...). Et qui dit synergies, dit réductions d'effectifs. D'ici 4 ans, 10% à 15% des salariés sont menacés. Les deux sociétés comptent donner vie à cette fusion d'ici le premier janvier 2007 pour en tirer profit dès l'année prochaine. A moyen terme, qui rachètera l'autre ? Deux indices majeurs : le nom de la nouvelle entité commence par Nokia et son siège est à Helsinki. Mais attention, ce n'est que de la pure prospective ! Comme il n'est que futurologie de parler d'une éventuelle cession des activités « entreprises networks » ou « wireless modules » de Siemens Communications. Il ne faut jurer de rien... (...)
(20/06/2006 09:32:22)Régulation : L'Arcep veut contraindre les opérateurs à baisser le prix des SMS
L'Arcep (Autorité de régulation des communications électroniques et postales) aimerait réguler le marché de la terminaison d'appel SMS. En ce sens elle a soumis à la commission européenne un projet de décision visant à plafonner les prix de gros des messages courts. Selon l'autorité, ces frais de terminaison d'appel représenteraient près de la moitié du prix de détail des SMS facturés par les opérateurs à leurs clients. L'autorité poursuit ainsi ses efforts visant à contraindre les opérateurs à rapprocher le prix des SMS des coûts réels. L'an passé déjà, elle a ramené les coûts de terminaison à 4,3 centimes d'euros hors taxes et son objectif est désormais d'abaisser ce montant à 3 centimes pour Orange et SFR et 3,5 centimes pour Bouygues Télécom. La proposition de l'Arcep a été transmise à Bruxelles et au groupement européen des autorités de régulation. Elle fait aussi l'objet d'une consultation publique ouverte jusqu'au 17 juillet. Le prix des SMS est un élément important dans la facture des clients des opérateurs mobiles français. En 2005, le trafic de messages à progressé de 20% pour atteindre 12,7 milliards de SMS envoyés. Si tout ce déroule comme prévu, une décision sur l'abaissement du prix de gros des opérateurs pourrait intervenir d'ici à la rentrée. (...)
(19/06/2006 17:55:46)Oracle prévoit des résultats supérieurs aux prévisions
Oracle a publié les pré-résultats du quatrième trimestre de son exercice fiscal. L'éditeur annonce des chiffres nettement supérieurs aux attentes. Les ventes de nouvelles licences ont enregistré une belle envolée de 32 %, pour un montant total de 2,12 Md$, alors qu'Oracle n'attendait qu'une progression de 8 à 18 %. Les licences de bases de données, qui constituent l'habituel gagne-pain de l'éditeur sont également en progression de 18 %. La plus forte croissance revient aux licences pour applications qui font un bond de 83 %. Si l'on exclut les revenus liés à Siebel et Retek, la croissance organique sur les ventes de licences d'applications a tout de même atteint 56 %. Ces belles progressions ont une influence directe sur le chiffre d'affaires du quatrième trimestre qui devrait atteindre 4,85 Md$, soit 25 % de mieux que pour la même période l'an passé. Oracle s'attendait à une croissance largement inférieure, de l'ordre de 13 à 17 %. Les résultats définitifs de l'éditeur seront publiés le 22 juin prochain. (...)
(19/06/2006 17:53:00)Yahoo revient sur la marché des entreprises à travers X1
Yahoo revient vers le marché de la recherche sur les postes de travail. Mais contrairement à Google ou Microsoft, qui pour pénétrer sur ce segment, développent en interne, Yahoo opte pour le partenariat avec l'éditeur X1, spécialiste de la recherche sur le desktop d'entreprise - et partenaire de longue date autour de la version grand public de Yahoo Search Desktop. Selon les termes de l'accord, la prochaine refonte de X1 Enterprise Client intégrera la technologie de recherche web de Yahoo, ainsi que sa barre d'outil pour navigateur (Yahoo Toolbar). Concrètement, X1 bénéficiera d'un bouton activant la recherche web sur le moteur de Yahoo. En contre-partie, X1 percevra une partie des recettes issues du trafic qu'il aura ainsi généré. La barre d'outils sera quant à elle disponible en option lors de l'installation de X1. Et ce ne serait qu'un premier jet : X1 et Yahoo pourraient collaborer autour de la messagerie instantanée. Un marché dominé par MSN Messenger (en Europe) et AOL AIM (aux Etats-Unis). Ce dernier teste actuellement une version professionnelle. Ce partenariat intervient alors que Google et Microsoft tentent de s'imposer dans la recherche sur poste de travail en entreprise. Un segment que Yahoo avait abandonné en fermant en 2003, sa division entreprise Enterprise Solutions, lâchant du coup des développements de Yahoo Business Messenger. (...)
(19/06/2006 17:53:33)Triple play : l'exception française, un modèle économique risqué pour FT
Selon le cabinet d'études Forrester, c'est en France que les offres triple play sont les plus attractives, la plupart des opérateurs alternatifs proposant leur formule à moins de trente euros. La situation hautement compétitive et dynamique du marché incite les FAI à se distinguer non plus en tirant sur les prix, mais en proposant des services : espace de stockage, services mobiles, convergence, etc. Les bas prix proposés sur le marché français tranchent avec ceux constatés dans les autres pays d'Europe de l'Ouest et contribuent à rendre les offres triple play plus populaires dans l'Hexagone que chez ses voisins. Ainsi, 8 % des consommateurs français sont d'ores et déjà équipés, contre 5 % des Européens. De même, 47 % des Français se déclarent intéressés par les offres triple play, contre 35 % des Européens. Malgré cet enthousiasme français, a priori annonciateur de juteuses retombées pour les opérateurs, Forrester met en garde France Télécom face à ce qui pourrait s'apparenter à un suicide. La conjugaison de deux éléments explique cette alarme tirée par le cabinet d'études. En premier lieu, l'investissement pour l'entretien et la mise à niveau des réseaux est extrêmement lourd au cours des dix premières années d'abonnement et ne décroît que de 3 % annuellement après la première décennie. En second lieu, Forrester note une faible progression des revenus par utilisateur. Toujours sur une période de dix ans, les FAI ne devraient constater qu'une progression annuelle du revenu par abonné de 2,5 %. Selon l'institut, les consommateurs français, s'ils sont avides d'offres triple play, apprécient avant tout le faible coût de ces dernières et ne sont pas disposés à payer pour des services TV supplémentaires, pourtant générateurs de valeur ajoutée pour les FAI. Au final, un abonné triple play chez France Télécom devrait coûter 4 311 € sur dix ans à l'opérateur historique. En dépit d'une forte croissance du nombre d'abonnés et de l'intérêt qu'ils portent aux formules d'abonnement "tout inclus" - Forrester prévoit une pénétration de l'IPTV dans 33 % des abonnements d'ici à dix ans - les revenus devraient donc plafonner et rendre le modèle économique pour le moins instable. Internet et la télévision numérique bientôt dans le service universel ? Bruxelles aussi songerait à inclure la télévision numérique dans le périmètre des services universels des télécoms. Alors que la Commission européenne indiquait, il y a deux mois, qu'elle ne ferait "aucune proposition pour changer le périmètre" du service universel - c'est à dire qu'elle ne l'étendrait pas au mobile et au haut débit - elle semble sur le point de faire, en partie, machine arrière. C'est ce qu'indique l'agence Reuters qui, dans une dépêche, révèle la volonté de Viviane Reding, la commissaire européenne à la société de l'information, de réviser le périmètre du service universel en l'élargissant aux services Internet - ce qui équivaudrait à transférer dedans l'intégralité du concept du triple play. Pour autant, selon l'agence de presse, l'obligation de service universel ne continuera à porter que sur les opérateurs de téléphonie fixe, et pas sur les opérateurs mobiles ou autres FAI. (...)
(19/06/2006 17:55:22)« Notre charte donne des garanties d'accompagnement aux salariés »
Lemondeinformatique.fr : quels sont vos objectifs de recrutement en volume sur la fin de l'année 2006? Sont-ils destinés à pourvoir des postes sur des projets déjà signés ou à venir? Annie Méheust: Nous avions un objectif de recrutement de 1700 personnes sur l'année que nous avons réactualisé à 1800. Pour le second semestre 2006, il nous reste environ 800 personnes à embaucher. Ces prévisions correspondent à des créations d'emploi destinées à accompagner notre croissance. Elles visent à pourvoir des besoins en ressources humaines sur des projets que nous avons gagnés. Certains n'ont pas encore démarré mais il n'y a pas d'embauche pour des projets que nous ne sommes pas sûrs de mener. Au contraire, nous risquons même de revoir encore nos objectifs de recrutement à la hausse d'ici à la fin de l'année. Constatez-vous une hausse du nombre de démission et du turn over cette année avec la reprise du marché et si oui quel est impact sur le recrutement ? Notre taux de turn-over est en légère hausse de 1% par rapport à l'année dernière à la même époque. Il s'élève à 11%, soit une proportion dont nous n'avons pas du tout à rougir. Cette faible augmentation n'a pas d'impact sur la croissance de nos besoins en recrutements. Quels profils recrutez-vous? Nous recrutons des ingénieurs informaticiens. 40% des effectifs embauchés sont des jeunes ayant moins de deux ans d'expérience et 60 % des profils plus expérimentés. Ces derniers peuvent avoir de 3 à 15 ans de vie professionnelle derrière eux, peu importe, nous sommes avant tout intéressés par une expertise et non par un nombre précis d'années d'expérience. Par ailleurs, les trois quart (77%) de nos besoins portent sur des informaticiens purs, des ingénieurs/chefs et directeurs de projets qui peuvent intervenir dans l'intégration de systèmes et réseaux, des ingénieurs études et développement, tests et recettes, des architectes, des urbanistes, etc. Le reste de nos embauches concerne des profils de consultants métier, de chefs et de directeurs de projets (16%) qui seront amenés à travailler sur des projets d'intégration de progiciels de gestion intégrés, comme ceux des éditeurs Sap et Oracle ( y compris les offres des ex Peoplesoft/JDEdwards, Siebel rachetés par Oracle, NDLR) entre autre. Nous cherchons enfin des profils de commerciaux et d'ingénieurs avant-vente. Avez-vous des postes pour des plus de 40 ans? Si oui dans quelles proportions. Avez-vous constaté un certain « jeunisme » dans le secteur impulsé parfois par la demande des clients eux-mêmes ? Oui nous avons des postes pour des plus de 40 ans s'ils ont une expertise qui nous intéresse. En revanche, nous n'avons pas de données chiffrées sur les proportions puisque nous ne raisonnons pas par âge dans notre politique de recrutement. Je n'ai par ailleurs pas constaté de demandes particulières pour des jeunes de la part de nos clients. Nous nous attachons de toute façon essentiellement à la compétence et à l'expérience des personnes. Quelles compétences technologiques cherchez-vous en priorité? Lesquelles sont difficiles à trouver ? Nous cherchons des compétences sur les nouvelles technologies, Java, Java/J2EE, .net ainsi que sur des solutions de type pgi comme celui de Sap. Il y a clairement une pénurie de compétences sur le marché des consultants Sap, nous devons d'ailleurs travailler pour faire en sorte qu'elle se résorbe. Nous réfléchissons à envisager le même type d'opération que celle que nous avons mené avec Oracle cette année. Le 31 mars dernier, nous avons organisé une journée de recrutement d'ingénieurs évoluant dans la finance et les ressources humaines. Elle nous a permis de recruter 16 futurs spécialistes fonctionnels RH et finance Oracle PeopleSoft ainsi que des experts techniques. Pour qu'ils acquièrent des compétences sur les progiciels de gestion intégrés, nous avons monté une formation sur les solutions de l'éditeur Oracle qui démarre le 3 juillet. Les compétences Sap font donc partie des plus valorisées à l'heure actuelle chez Steria? Oui, comme les postes d'architectes et d'urbanistes qui sont difficiles à pourvoir. Les postes à pourvoir sont-ils proposés en CDI ? Utilisez-vous le CNE dans vos petites filiales ? Oui, ces postes sont proposés en CDI. Le recours au CNE ne nous apparaît pas comme une solution d'emploi pertinente étant donné notre politique de recrutement. Celle-ci vise en effet à embaucher des personnes sur le long terme et à les faire évoluer au sein de notre structure. Le plan « emploi seniors » du premier ministre prévoit entre autre un CDD seniors de 18 mois pour les plus de 57 ans. Qu'en pensez-vous? Est-ce un contrat qui puisse favoriser l'embauche de seniors chez Steria? Nous avons récemment embauché une personne de 58 ans en CDI en raison de ses compétences dans le domaine de l'intégration de systèmes et pour sa connaissance du secteur public. Nous n'avons pas besoin de contrat particulier pour procéder à ce genre d'embauche. Nous recrutons toujours sur des critères de compétences. Steria a la particularité d'avoir établi une « charte sociale » en 2003 pour encadrer l'intégration du personnel repris dans le cas de contrats d'infogérance globale de service informatique. Quelles garanties donne-t-elle aux personnes concernées. Son champ d'action se limite-t-il à ces collaborateurs ou est-il étendu à tous les nouveaux entrants chez Steria ? Cette charte a été conçue à l'origine pour assurer le suivi des collaborateurs qui arrivent d'autres sociétés. Elle leur garantit un accompagnement sur six mois, un système de parrainage, la prise en compte de leurs souhaits d'évolution de carrières et la possibilité de faire un bilan de compétences en arrivant. Aujourd'hui, ces mesures sont tout à fait d'actualité pour l'ensemble des collaborateurs de Steria. Nous sommes attachés à offrir une intégration optimale à nos recrues, qui se concrétise par une demi-journée de rencontre avec les responsables rh pour aborder les volets formation et évolution de carrière, un rendez-vous avec le DG France et un échange avec le fondateur de Steria, Jean Carteron. Ces rencontres leur permettent de bien comprendre les valeurs de notre société, notamment les valeurs humaines. Par la suite, nos collaborateurs profitent aussi d'un suivi et d'accompagnement tout au long de leur parcours. (...)
(19/06/2006 15:13:55)Google veut élargir la disponibilité internationale de ses produits
Pour les fournisseurs de services en ligne, la carte de l'international est certainement l'une des meilleures solutions pour gagner de l'audience. Google l'a bien compris. L'américain cherche à élargir la disponibilité de ses produits. Mais ce challenge n'est pas si aisé. Le fournisseur de services a besoin d'un bon directeur international. La recherche de ce dernier rejoint la quête du Saint Graal. Il y a deux ou trois mois, Google s'est tourné vers l'Université de Limerick, en Irlande, afin d'identifier des candidats potentiels. Le fournisseur est à la recherche d'un cursus assez précis : 10 ans minimum d'ancienneté dans la direction de produits. Google espère ainsi créer un poste de directeur international afin de mondialiser au maximum ses produits. Google possède actuellement 112 noms de domaines internationaux. Sa plus grande base à l'international se trouve à Dublin. Depuis l'Irlande, Google arrose pas moins de 35 pays de ses produits traduits dans une trentaine de langues différentes. (...)
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