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(22/12/2005 17:27:18)
Siemens cède sa filiale maintenance à Fujitsu-Siemens
Siemens a annoncé la vente d'une partie de sa filiale informatique SBS (Siemens Business Services) à Fujitsu Siemens pour un montant non communiqué. La vente concerne la division maintenance de SBS, Product Related Services, et participe de la volonté du groupe de recentrer sa filiale informatique, déficitaire, sur des activités à forte valeur ajoutée. C'est donc sur les services que SBS se concentrera désormais, notamment sur les prestations d'externalisation. Siemens avait indiqué, en novembre, vouloir délester SBS de 3000 emplois. Cette filiale pèse en effet sur les résultats du groupe, enregistrant une perte nette de 690 ME pour un chiffre d'affaires de 5,75 MdE au cours de l'exercice fiscal clos au mois de septembre. (...)
(22/12/2005 17:26:41)Volkswagen vend sa SSII interne Gedas à Deutsche Telekom
T-Systems, la filiale de services informatiques de Deutsche Telekom, va faire l'acquisition de Gedas, la SSII de Volkswagen. Avec cette acquisition, T-Systems entend se renforcer sur les marchés de l'automobile et de la logistique tout en élargissant sa présence géographique. Gedas dispose d'une large offre de services informatiques et de communication, du conseil à l'exploitation en passant par l'intégration. La SSII est spécialisée sur les marchés de la production de biens manufacturiers et de la logisitique. Elle dispose de douze implantations dans le monde en dehors de l'Allemagne, notamment au Brésil, en Chine, au Japon et aux Etats-Unis. Plus des deux tiers des 5500 salariés de Gedas travaillent hors des frontières allemandes. L'opération est soumise à l'approbation du conseil de surveillance de Volkswagen et du régulateur allemand. Son montant n'a pas été communiqué. Parallèlement, Volkswagen vient de signer un contrat d'externalisation avec T-Systems, pour sept ans et un montant de 2,5 MdE. (...)
(22/12/2005 17:26:13)Antitrust : une lourde amende plane au-dessus de Microsoft
La Commission européenne a lancé un ultimatum à Microsoft : si le géant de Redmond ne se plie pas aux exigences édictées contre lui dans le cadre de l'action antitrust initiée par l'instance européenne, il s'expose à une amende de 2 M$ par jour. "La cour de première instance a confirmé, il y a un an, que Microsoft devait respecter la décision de mars 2004. La Commission regrette que Microsoft ait échoué. Nous aurions préféré que Microsoft se plie à la décision de mars 2004 et non à l'interprétation qu'il a faite de cette décision" explique Jonathan Todd, le porte-parole de la commissaire à la concurrence Neelie Kroes. En 2004, la Commission avait notamment imposé à Microsoft de publier des éléments de code source afin de permettre l'interopérabilité des produits concurrents avec l'architecture Windows. Une exigence que l'éditeur n'a pas, aux yeux de la Commission, été en mesure de satisfaire : "la documentation fournie jusqu'ici par Microsoft est incomplète et inadéquate", explique l'instance communautaire. Le groupe présidé par Steve Balmer a jusqu'au 25 janvier pour répondre aux objections de la Commission. Toutefois, l'amende courra à compter du 15 décembre si Microsoft se ne plie pas aux injonctions. (...)
(23/12/2005 09:05:15)IBM s'offre Micromuse
IBM a annoncé le rachat de Micromuse, un spécialiste de l'administration de réseaux, pour 865 M$ en numéraire. L'acquisition a pour but de conforter l'offre de Tivoli en matière d'outils d'administration de réseau et de systèmes. Elle élimine aussi du marché le dernier acteur de taille intermédiaire et place le marché sous la coupe de trois grands acteurs, IBM, HP et CA. CA, l'un des principaux concurrents d'IBM, s'est en effet déjà emparé cette année de Concord et d'Aprisma (Spectrum), tandis que dans le domaine de l'administration de systèmes et de la gestion de services, HP a mis la main sur Peregrine. L'analyse est d'ailleurs confirmée par le patron de Microsmuse, Lloyd Camey, selon lequel Micromuse était coincé dans un "no man's land" entre des start-up très spécialisées et des goliaths, une position où sa taille intermédiaire était devenu un obstacle pour son développement sur de nouveaux marchés. "En tant qu'entreprise indépendante, le défi auquel nous étions confronté dans notre concurrence au quotidien avec des géants comme IBM nous a amené à réalisé que la meilleure solution pour nous était encore d'être intégré à une de ces organisations". Camey devrait rester chez IBM après l'acquisition et travaillera sous la direction d'Al Zollar, le patron de Tivoli. Les solutions Netcool de Micromuse sont notamment utilisées dans le monde des opérateurs télécoms et chez les très grands comptes, et sont réputées pour leur capacités à superviser les équipements réseaux et leurs performances ainsi pour leur aptitude à superviser que les services multimédia IP (téléphonie, visioconférence...) déployés sur les grands réseaux. La société compte quelques 1800 clients parmi lesquels America Online, British Telecommunications, Deutsche Telecom, Fidelity ou la Securities and Exchange Commission. Elle emploie 650 employés et a réalisé une perte nette de 3,8 M$ pour CA de 160,8 M$ lors de son année fiscale 2005 (clôturée fin septembre). Tivoli et Micromuse ont environ 5000 clients communs. Il leur reste désormais à expliquer comment ils vont faire converger leur produits de supervision réseau, une question qui se pose aussi à CA avec le rachat de Concord et Aprisma. (...)
(21/12/2005 18:11:44)Prévisions pour 2006
Nos experts se sont prêtés au jeu des prédictions. Que nous réserve l'année 2006 ? Les services Web bien digérés, les SOA bien martelées, les architectures orientées services vont entrer dans une phase de rationalisation. Les éditeurs proposent des solutions censées encapsuler la complexité. L'industrialisation des développements prend son envol. L'offre de Microsoft Visual Studio Team System prend enfin forme et commence à entrer dans les entreprises, en évaluation. Mathieu Poujol, consultant chez Pierre Audoin, ajoute en outre que « Les développements logiciels vont de plus en plus être encadrés par les méthodes formelles telles que CMMI ou ITIL. MDA (Model Driven Architecture) va de plus en plus apparaître comme l'IDE des SOA. Un ERP du projet informatique, fusion des approches PPM et IT Gouvernance devrait apparaître, pour que finalement la DSI cesse d'être l'entité la moins bien pourvue en outils de gestion. » Avec la généralisation des SOA et la poussée de l'offshore, la demande de profils haut de gamme va s'accentuer. Des compétences qui vont se faire de plus en plus rares, car comme le fait remarquer Jean-Louis Bénard « en délocalisant le développement, on enclenche inévitablement la paupérisation des compétences d'architecture et de pilotage : on ne devient pas un bon architecte en pilotant des prestataires à l'autre bout du monde, mais en commençant par coder. » Pour Didier Girard, directeur technique d'Improve, « le retour de l'analyste programmeur se fait plus pressant les entreprises veulent de plus en plus oublier la technologie pour faire du métier. » Ajax fait bien sûr partie des concepts prometteurs pour 2006. Mais pour Didier Girard, « Ajax a suscité trop d'espoir, les premières déceptions et contre références arrivent, le passage sur des frameworks est devenu indispensable, Rialto s'impose comme une des technologies de référence sur ce marché. Le navigateur comme socle de déploiement commence a être remis en cause dans l'entreprise, des solutions basées sur des technologies standalone voit le jour, Eclipse RCP commence son décollage, les Microsofties attendent Avalon. » Sami Jaber, consultant Valtech, mentionne encore dans les technos prometteuses mais qui ont du mal à percer faute d'outils : JSF, AOP et l'orchestration de services Web (encore un marché de niche). (...)
(21/12/2005 18:11:08)2005, une année de transition
En ces périodes de fin d'année, l'heure des traditionnels bilans a sonné. Nous avons demandé à nos experts leur avis sur cette année écoulée dans le domaine du développement. Certaines tendances se dégagent très nettement : l'avènement des SOA, les débuts de l'industrialisation des développements, montée en puissance des logiciels libres, le client riche et le Web 2.0. 2005, c'est le vrai départ de l'industrialisation du développement logiciel. L'objectif est maintenant de gérer de bout en bout le cycle de vie du logiciel : gestion des exigences, conception, développement, tests, déploiement, maintenance. L'outillage arrive à maturité avec les offres du trio IBM, Borland et Microsoft. Cette année, Microsoft a fait son entrée dans ce marché avec la sortie de Visual Studio 2005 Team System. Une sortie tardive, en novembre, qui a donc laissé un certain répit à la concurrence. D'autant que pour exploiter totalement cette solution, il faudra encore attendre la sortie de Team System Foundation, la partie serveur de Team System, prévue pour le premier semestre 2006. Mais si l'offre des éditeurs est aboutie, le plus gros obstacle reste l'investissement humain. « Le passage à une solution d'industrialisation est encore repoussé par nombre de clients et d'intégrateurs qui refusent les investissements nécessaires (les outils ne sont que la partie émergée de l'iceberg). La politique du court terme, de l'investissement minimal continue de faire des ravages » fait remarquer Jean-Louis Bénard, fondateur de Brainsonic. Le buzzword de l'année 2005 est sans conteste SOA. Les architectures orientées services ont envahi les présentations marketing, les communiqués de presse et les salons branchés. Les éditeurs de middlewares, d'EAI, de BPM, d'outils de workflow ou de messaging ont tous des solutions miracles pour mettre en place la SOA. Les éditeurs n'osent plus parler d'EAI, « un terme tellement devenu en un an quasiment ringard tellement il est signe d'usine à gaz » nous confie Sami Jaber, consultant chez Valtech. Pour Jean-Louis Bénard, « 2005 a été pour les SOA une année paradoxale. Si clients et prestataires s'accordent désormais sur la nécessaire mise en oeuvre d'architectures à couplage faible et à base de services web, l'exaspération face à l'explosion des WS-* ne fait que croître. La complexité sous-jacente que les éditeurs sont en train d'établir, comme toujours «pour le bien du client» pousse les entreprises à travailler sur la base de services web simples et pragmatiques. Des solutions censées encapsuler la complexité suffiront-elles à rendre les choses plus faciles ? Il est encore trop tôt pour le dire. En tout cas nul doute que les SOA vont avoir le vent en poupe pour un moment. » Selon Mathieu Poujol, consultant Pierre Audoin, les tendances de 2005 sont la montée en puissance du logiciel libre, les débuts de l'industrialisation, l'avènement des SOA, la standardisation et la consolidation du marché. « Ceci a provoqué un accroissement des externalisations (centres de compétences, nearshore, offshore, infogérance...) ». Ce que confirme Jean-Louis Bénard : « Les grands intégrateurs présents en France se sont réorganisés en «centres de développement» régionaux et se rôdent sur un modèle de «nearshore» dont on ne peut dire s'il est le prélude à un mouvement plus important. Même si la croissance du marché est repartie à la hausse, elle est en partie absorbée par l'offshore ». Pour Matthieu Poujol et Jean-Louis Bénard, la généralisation des SOA et la poussée de l'offshore conduisent tous deux à une nouvelle tendance, une demande de profils haut de gamme, des moutons à cinq pattes : « architecture, compétences mixtes (techniques & fonctionnelles), experts technologiques et experts fonctionnels. Cela va engendrer des tensions sur le marché du travail, d'autant plus que le "papy boom" commence à se faire sentir » observe Mathieu Poujol. La montée en puissance des logiciels libres s'est encore confirmée en 2005 et se traduit par un phénomène de « commoditisation ». Le middleware qui jadis était vendu très cher par des éditeurs, en passant dans l'Open Source banalise son usage. C'est flagrant dans le domaine des serveurs d'applications avec l'arrivée de JBoss dans les entreprises. Didier Girard, directeur technique d'Improve, constate que « ce serveur bouleverse la donne et transforme le serveur d'applications en une véritable commodité. Au point qu'IBM a réagit à la menace JBoss en se lançant dans l'expérience Geronimo ». Le phénomène de commoditisation atteint aussi les ESB avec des projets Open Source d'IONA et d'ObjectWeb. Industrialisation laborieuse, virtualisation des développements, menace de l'offshore... le tableau pourrait sembler bien sombre. Et pourtant dans cette morosité ambiante, des hommes et des entreprises peuvent encore faire preuve d'imagination, innover et créer de la valeur : Yahoo!, Google... Cette mouvance, que l'on appelle le Web 2.0, révolutionne l'usage du Web. Ce qui est nouveau, c'est que des développeurs Web se sont emparés de technologies qui existaient déjà depuis cinq ou dix ans (les blogs, la syndication RSS, Ajax... ) pour les combiner entre elles et pour créer une nouvelle ergonomie, un nouvel usage social. Pour certains, « l'informatique ne sert pas qu'à réduire les coûts, mais bien à créer de la valeur (120 Milliards de dollars pour Google !!!). Elles prouvent que l'imagination débridée peut créer la différence face à ses concurrents. » indique Jean-Louis Bénard, qui s'emballe pour cette nouvelle aventure : « Oui, pour réduire ses coûts, optimiser ses processus, l'informatique industrialisée avec ses armées de développeurs délocalisés, CMMisés, à la créativité bridée, bien propres derrière les oreilles, est certainement la voie tracée pour les années à venir. Mais pour écrire la formidable histoire, l'épopée de la convergence de l'Internet, de la vidéo et du téléphone, il faut à la fois beaucoup moins et beaucoup plus que cela : une poignée de guerriers du code doublés d'une imagination et d'une passion débordantes, bref des chercheurs d'or... » L'année 2005 n'aura pas connu de bouleversements technologiques. Le grand lancement de l'année, Visual Studio, à la fois très attendu par la communauté et très redouté par la concurrence, est arrivé tardivement, laissant ainsi le champ libre quasiment toute l'année. Java, PHP en ont profité pour se développer tranquillement. Le grand gagnant de cette année semble être IBM, tablant sur Java et sur Eclipse, flirtant avec PHP, présent sur tous les fronts : industrialisation, Java, Open Source et même .NET. Pour Sami Jaber, « l'année 2005 a été une année de transition. De nombreuses technologies ont été incubées pendant cette année (en fait, elles avaient débuté courant 2004) et il faudra attendre encore quelques mois pour juger de leur capacité à conquérir le terrain (client riche, Indigo/Avalon). Microsoft a non seulement pris une avance sur Java dans certains domaines (Web, C#, Indigo) mais sa crédibilité devient de plus en plus importante aidé par les gains de part de marché sur le serveur (Windows devant Unix pour la première fois depuis très longtemps). » (...)
(21/12/2005 17:11:18)1 600 Md$ : le revenu des télécoms en 2010
Les revenus mondiaux de l'industrie des télécommunications atteindront la somme faramineuse de 1200 Md$ en 2006, selon l'étude d'Insight Research. Début 2006, les utilisateurs d'un téléphone mobile seront plus de 1,8 milliard sur la planète. Fin 2006, les revenus des mobiles représenteront environ la moitié de l'ensemble des services télécoms, un taux qui atteindra 55 % en 2010. Le chiffre d'affaires global du marché télécoms devrait adopter un rythme de croissance annuelle de 6 %, pour s'établir à 1600 Md$ à l'horizon 2010. Une progression qui sera davantage tirée par les régions dites émergentes - Asie-Pacifique, Amérique latine - que par les économies occidentales. (...)
(21/12/2005 17:09:03)HP prolonge le support du e3000 jusqu'en décembre 2008
HP a décidé de prolonger le support de son système e3000 jusqu'en décembre 2008. Un support que le constructeur aurait dû abandonner en décembre 2006. Le constructeur poursuivra la publication de rustines et mises à jour, selon les besoins des clients. HP reconnaît que « certaines sociétés auront encore besoin de leur système après décembre 2006, pour des contraintes liées au métier, au planning de migration ou de stockage de données ». Notons que HP avait stoppé la commercialisation du e3000 en octobre 2003. En revanche, le constructeur a annoncé qu'il n'ouvrira pas le code de MPE, le système d'exploitation des e3000. Du moins, pas avant 2008. Retardant du coup l'évolution du projet open source OpenMPE, mouvement initié par les utilisateurs du mini-système e3000 lors de son arrêt par HP, à la même date. (...)
(21/12/2005 17:08:11)Le GRC de Salesforce inaccessible la journée du 20 décembre
Selon le blog www.salesforcewatch.com, le service de GRC hébergé de Salesforce aurait soudainement été coupé dans la journée du 20 décembre, privant d'accès quelques utilisateurs. Une panne, pour l'heure non confirmée par l'éditeur, qui reste muet quant à cet incident. Seul une poignée d'utilisateurs auraient toutefois été touchés. Actuellement, Salesforce.com affiche 350 000 abonnés à son service, commercialisé à partir de 70E par mois. (...)
(21/12/2005 17:07:31)IBM acquiert Bowstreet pour conforter son offre de portail
IBM a annoncé hier l'acquisition de l'éditeur de solutions de Bowstreet pour un montant qui n'a pas été communiqué. La technologie de Bowstreet permet aux entreprises d'assembler des applications composites à partir de composants applicatifs et de sources de données disparates. La société propose aussi des applications pré-packagées par exemple pour l'analyse de la performance d'entreprise. Enfin elle a conçu un atelier de construction de portlets qui permet d'interagir avec des données situées dans une feuille de calcul, un datawarehouse ou d'autres sources de données. IBM indique que le rachat devrait conforter sa stratégie SOA en fournissant de nouveaux outils d'intégration pour WebSphere Portal. Une déclaration qui semble indiquer que Big Blue a l'intention de faire converger les deux lignes de produits. (...)
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