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(07/10/2005 17:43:29)
Idealx élargit son offre grâce à Arafox
Après avoir levé 3 M€ en avril dernier, La SSLL Idealx, spécialisée dans l'infrastructure Linux et la sécurisation des transactions électroniques, rachète (pour un montant non communiqué) sa consoeur belge et partenaire technologique Arafox (dix salariés). Outre le fait de le doter d'une implantation en Belgique, cette opération permet à l'acquéreur d'enrichir son portefeuille d'outils collaboratifs et de gestion documentaire. Arafox reste dirigé par Gregory Berthet, son actuel Pdg. Pour Olivier Guilbert, Pdg d'Idealx, ce rachat rime d'abord avec internationalisation. Ce rachat ouvre à la SSLL non seulement le marché belge mais aussi celui du Luxembourg. Pour autant, il ne s'agit que d'une première étape. L'objectif d'Olivier Guilbert étant d'" accélérer le développement vers l'international ". Dans cette optique, Idealx souhaite se reposer sur ses partenaires actuels (notamment HP, Atos et Novell) et mener " quelques opérations de croissance externe " pour gagner du terrain à l'étranger.
Pour réussir le rapprochement d'Idealx et d'Arafox, Olivier Guilbert mise sur la complémentarité des offres et des compétences. " Il n'y a aucun chevauchement dans l'offre des deux entités mais une complémentarité dans la clientèle, les services et les applications ". " L'offre d'Arafox est basée sur les services [Ndlr : par opposition à l'ingénierie applicative] de par son faible effectif. Mais elle bénéficie d'un vrai savoir-faire et a contribué historiquement au développement de l'open source et des standards ouverts ", indique le Pdg d'Idealx. La SSLL entend notamment exploiter les offres d'Arafox CheckDocSQL, pour ses fonctions liées à la dématérialisation, et EasySpace, pour son offre de services hébergés. (...)
Symantec pose les bases d'un nouveau procès antitrust contre Microsoft
L'éditeur Symantec a déposé une plainte informelle, auprès de la Commission européenne, relative à l'entrée de Microsoft dans le domaine de la sécurité, entrouvrant la porte à un nouveau procès antitrust contre le géant américain.
La plainte va permettre à la Commission d'examiner si l'ouverture d'une procédure pour pratiques déloyales est opportune. L'information est tombée le jour de l'annonce, par Microsoft, de la prochaine sortie d'une suite de sécurité pour les entreprises, Ms Client Protection. Une version beta du produit est attendue à la fin de l'année. L'éditeur distribue déjà à quelques consommateurs la beta de Windows OneCare, son outil de sécurité destiné au grand public.
L'un des principaux enjeux de la plainte concerne l'intégration prévue par Microsoft de ses logiciels de sécurité dans Windows Vista, la prochaine version du système d'exploitation maison prévue pour l'année prochaine.
La porte-parole de Symantec, Genevieve Haldeman, a indiqué : « on nous a demandé de fournir des informations à l'UE et nous avons satisfait cette requête. Ces informations les ont beaucoup aidé à comprendre la complexité de l'industrie de la sécurité et le rôle que nous y jouons ».
Peu de temps après que Microsoft eut annoncé son intention de s'immiscer dans le marché de la sécurité, le PDG de Symantec, John Thompson, signalait qu'il réfléchissait à une plainte contre le géant du logiciel : « ils ne peuvent pas utiliser leur monopole sur Windows de façon déloyale, le monde les regarde. Et nous aussi » précisait-il ainsi dès le mois d'avril. (...)
Tom Francese nommé président Emea de Novell
Novell annonce la nomination de Tom Francese au poste de président Emea. Un poste laissé vacant depuis le départ impromptu de Richard Siebt (président de Suse lors du rachat par Novell).
Depuis, les fonctions étaient assurées par Ron Hovsepian vice-président exécutif et président des opération Mondiales de Novell.
Tom Francese a passé 30 ans chez IBM. Successivement, vice-président des ventes du département Logiciels de la région Amérique Centrale, Vice-président des ventes, Services financiers mondiaux, et Directeur des ventes Entreprises, il termina sa carrière chez Big Blue au poste de vice-président du département Logiciels Emea, à l'age de 55 ans.
Il répondra directement à Ron Hovsepian. Sa mission : "aider Hovsepian à transférer le modèle de ventes mis en place aux Etats-Unis, vers la région Emea, indique le blog d'un responsable de l'éditeur. (...)
Snort dans le giron de Check Point
Check Point annonce son intention d'absorber Sourcefire, éditeur de la version commercial de Snort, pour un montant de 225 millions de dollars en cash.
Sourcefire a été fondé par Martin Roesch début 2002 , avec l'aide de plusieurs capitaux-risqueurs. Une première levée de fonds de 2M$ puis, un an plus tard, une nouvelle injection de 11M$ donnaient à l'entreprise la "superficie financière" nécessaire pour jouer dans la cour des logiciels commerciaux... sans pour autant abandonner le développement du modèle "Open". Snort et une référence et le demeurera certainement encore.
Pour Check Point, le rachat de Snort-version-commerciale est une opération plus que bénéfique. Si l'on fait abstraction du verbiage marketing qui entoure cette annonce, il faut bien reconnaître que Check Point s'offre déjà une très belle image de marque, une entrée royale dans le monde Linux, une place conséquence dans le royaume des NIDS, un cheptel de près de 100 000 administrateurs ayant réellement installé la passerelle, et surtout une communauté de développeurs et une équipe de coordination qui maintient avec scrupule une base de signature colossale et qui sans arrêt produit de nouvelles extensions.
Sans aucun doute, les premiers temps seront difficiles. Quelque soit l'attitude des gens de Check Point, la communauté Open craindra une disparition du noyau Snort originel. Deux lignes à peine, en fin du FAQ sus désigné, abordent cet épineux problème. PGP, en son temps, avait traversé des remous semblables, et l'on a même craint à une époque pour la survie d'OpenPGP. Snort, de son coté, est protégé par une licence GPL, qui écarte en théorie toute possibilité d'embargo du code. Mais cela suffira-t-il ? L'âme véritable de cet IDS, c'est Roesch qui l'anime. Espérons que CPS ne l'oublie jamais. (...)
Flextronics ferme son usine mayennaise, 503 personnes sur la carreau
Après trois ans de doutes, d'incertitudes et de suppressions de postes, l'usine de Flextronics implantée à Laval va finalement fermer ses portes.
Dans son site mayennais, le sous-traitant électronique basé à Singapour travaillait essentiellement avec Alcatel sur l'activité de téléphonie mobile. Le groupe asiatique avait d'ailleurs racheté l'usine en 2001 à son client. Les commandes d'Alcatel représentaient alors jusqu'à 60 % du chiffre d'affaires.
Progressivement, Alcatel voit son activité téléphonie se tasser. Ce ralentissement entraîne alors la mise en place de deux plans de suppressions de postes. En mai 2005, Alcatel se désengage totalement de la téléphonie mobile : l'usine de Laval ne reçoit plus de commande. A moins d'un repreneur, la fermeture est inévitable ; elle interviendra à la fin de l'année. Ce sont alors 503 personnes qui vont perdre leur emploi. Dans un premier temps 200 salariés partiront début novembre. Cinquante employés supplémentaires quitteront leur lieu de travail au début du mois de décembre, les autres attendront la fin de l'année.
Au total, en prenant en compte les sous-traitants travaillant pour le site sinistré, le département de la Mayenne pourrait voir son taux de chômage progresser de plus de 10 %. (...)
Telecom Italia revient sur le marché des entreprises
C'est reparti pour un tour. Après s'être retiré du marché des entreprises françaises lors de la cession de sa filiale 9Telecom à LDCom, Telecom Italia a annoncé aujourd'hui son grand retour sur ce marché sous sa propre marque.
Fini les offres basées sur un grand réseau ATM du début des années 2000. Pour Telecom Italia, la technologie du moment est l'IP et son support privilégié le DSL. Sur ce support, l'opérateur transalpin entend proposer aux PME et aux professionnels des solutions de réseau privé virtuel, de téléphonie sur IP mais aussi des offres d'hébergement web.
L'offre de l'opérateur est disponible en zone dégroupée soit selon Telecom Italia sur environ 15 millions de lignes à l'horizon juin 2006. Telecom Italia propose tout d'abord des accès Internet basés sur la technologie ADSL, notamment l'offre DSL First Max (jusqu'à 16 Mbits IP) pour 14,90€ HT/mois. Hors des zones dégroupées, l'opérateur s'appuie sur le réseau de Collecte de France Télécom et propose un accès IP jusqu'à 8 Mbits IP pour 26,90€ HT/ mois.
Sur ce support viennent se greffer des services à valeur ajouter comme la téléphonie sur IP, mais aussi un service de VPN MPLS (vendu 4€ par mois en sus de l'offre d'accès). Ces services seront complétés dans le courant de l'année 2006 par des services de Centrex IP et de mobilité. (...)
Motorola a supprimé 1900 emplois
Motorola a confirmé avoir procédé aux licenciements de 1900 salariés depuis le mois de juillet 2005.
Le groupe, qui a réalisé un bénéfice net de 947 M$ au deuxième trimestre, a donc supprimé 1900 postes, répartis sur 29 sites et dans vingt pays. Dans la lignée de HP, ces licenciements n'ont pour autre but que celui de réduire les coûts. Selon Jennifer Weyrauch, directrice de la communication, Motorola avait averti, en début d'année, que des suppressions de postes pourraient avoir lieu.
Le groupe annonce qu'il n'y aura pas d'autres dégraissage et qu'il recrutera dans des secteurs stratégiques, sans préciser combien, ni où.
Les mauvaises nouvelles s'enchaînent pour les salariés IT. Pourtant, leur moral semble ne pas devoir en souffrir. C'est du moins ce qu'indique le résultat d'un sondage réalisé aux Etats-Unis par le cabinet de conseil Hudson. Les travailleurs IT seraient ainsi ceux qui affichent la plus forte confiance pour la pérennité de leur emploi, alors que la foi en l'avenir de l'ensemble des actifs du pays ne cesse de dégringoler. 32 % des salariés des secteurs informatique et télécoms s'attendent à ce que de nouveaux emplois soient prochainement créés par leur employeur, 43 % pensent que rien ne changera. Seuls 21 % craignent des suppressions de postes. Dans une très large majorité - 82% - les salariés américains se déclarent contents de leur emploi. (...)
Comment Dell fait tout pour ne pas vendre de PC sans Windows
Dell a fait tout récemment une annonce assurant la mise à disponibilité pour les particuliers d'un ordinateur, le E510 série n, fourni sans Windows. Dell prétend ainsi s'adresser aux utilisateurs désireux d'installer un logiciel libre. Cet ordinateur vierge évite la fastidieuse désinstallation de Windows. Le E510 n est doté d'un processeur Pentium 4, il est équipé de 512 Mo de mémoire DDR et d'un disque dur Ultra ATA de 80 Go. Seul le système d'exploitation FreeDOS est fourni sur une copie. Merveilleuse idée de Dell pour favoriser le développement de Linux ? Pas si sûr si l'on en croit nos confrères britanniques de The Register. Ces derniers ont voulu se procurer une machine et la quête fut épique. Première difficulté : trouver le produit sur le site du constructeur. Il faut vraiment le chercher... Une fois l'appareil devant les yeux, on s'aperçoit que le prix est loin d'être intéressant par rapport à une machine équipée de Windows. En effet, le Dimension 510 classique livré avec Windows XP Media Center 2005 est proposé au prix de 719 $ contre 825$ pour la série n sans aucun système d'exploitation installé. Pour finir de décourager les plus motivés, Dell met en garde l'utilisateur sur le fait que l'entreprise n'assure pas de support pour ses appareils dont le système d'exploitation n'a pas installé en usine...
Dell, qui affiche d'un côté son intérêt pour le logiciel libre souhaiterait-il ne pas trop vendre d'ordinateurs sans Windows ? (...)
Bruxelles et Microsoft nomment un mandataire pour surveiller Windows
La Commission européenne a nommé le mandataire chargé de contrôler l'application des obligations prononcées à l'encontre de Microsoft pour abus de position dominante, en mars 2004.
C'est Neil Barrett qui se verra confier cette mission pour une durée de cinq ans. Ancien de chez Bull, Barrett est un informaticien britannique, expert dans plusieurs procès, spécialiste des questions de sécurité. Proposé par Microsoft parmi une liste de quatre noms, il a été retenu par l'exécutif européen.
La Commission avait établi, en mars 2004, que le géant du logiciel enfreignait les règle de concurrence communautaire. Un certain nombre de sanctions ont donc été prononcées, au premier rang desquelles une amende de 497 M€. Au titre de mesures correctives, la Commission ordonnait à Microsoft de publier des informations permettant d'assurer l'interopérabilité entre Windows et les serveurs de groupe de travail concurrents et de sortir une version de Windows XP amputée de Windows Media Player. L'instance communautaire indiquait également : « pour que la décision soit mise en oeuvre de manière efficace et dans les délais prescrits, la Commission désignera un mandataire qui aura pour mission, entre autres, de vérifier que les divulgations de Microsoft concernant les interfaces sont complètes et précises et que les deux versions de Windows sont équivalentes sous l'angle de leurs performances ».
Du côté de l'éditeur, on affiche sa satisfaction après l'annonce de cette nomination : « nous attendons avec impatience de travailler avec lui de manière constructive afin d'assurer la pleine conformité du groupe avec la décision de la Commission », indique ainsi un avocat du groupe. (...)
Adobe, Cegid, Genesys, Macromedia: opération "Spécial campus"
Autour de leur PC à 1 euro par jour, les étudiants -et enseignants- attisent les bonnes intentions des éditeurs de logiciels qui rivalisent de campagnes de remises et autres contributions à leur formation, via -bien sûr!- l'utilisation de leurs logiciels. La salve de rentrée de propositions des éditeurs à l'égard du milieu étudiant et enseignant inclut: -un accord-cadre de Adobe (Acrobat, Photoshop, Creative Suite) signé pour deux ans avec le Ministère de l'éducation, pour une série de "faveurs", dont des tarifs préférentiels (déjà appliqués pour l'achat en volume des établissements, mais étendus cette fois à l'achat à l'unité), la mise à disposition de contenus multimédias éducatifs, le soutien à des espaces publics numériques, des tutoriels et "trucs et astuces", etc. Pour info: www.adobe.fr/education. -une offensive commerciale de Macromedia qui n'hésite pas à passer sous la barre de 100 euros (99 €) pour faire connaître son produit-phare Studio 8 (Dreamweaver, Flash Professional, Fireworks, Contribute et FlashPaper) à un milieu par définition, gros créateurs de "doc" interactives. Pour info : http://education.pcpartner.fr -Cegid Education joue plus ciblé avec le partenariat signé pour cette rentrée 2005 avec l'école de commerce et de management lyonnaise ESDES, treizième de la liste des établissements (IUT, IUP, écoles de management, IAE, écoles hôtelières) qui se sont équipées pour entraîner leurs étudiants à évoluer dans une environnement informatique PGI (progiciel de gestion intégré). Pour info: www.cegid.com/societe_education_programme_objectif.asp -Genesys n'est pas en reste en annonçant son incursion dans la pédagogie de la London Business School, dont les étudiants de MBA disposent de la solution Genesys Meeting Center afin de se réunir en ligne, et de communiquer (audio-web-video) à tout moment et en tout lieu. De quoi faciliter à ces managers (en devenir ou déjà en poste) le suivi d'un programme intensif de MBA (incluant des travaux dirigés le week end), à concilier, pour certains, avec la poursuite d'une activité professionnelle. Pour info: www.genesys.com (...)
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