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(19/09/2011 10:56:01)

Diademys démontre l'utilité du cloud dans les airs

Pour la deuxième année, la SSII Diademys a organisé son séminaire dans les airs. Avec l'aide de la compagnie aérienne, Europe Airpost, pas moins de 145 personnes avaient répondu présent pour entendre des témoignages et regarder des démonstrations technologiques, à Biarritz dans l'Hôtel du Palais. Le thème de cette année semblait logique, le cloud computing. Sujet d'autant plus d'actualité que Diademys a, au début de l'année 2011, lancé son offre de cloud baptisée Cirrus. Les partenaires de la SSII, VMware, Citrix ou Datacore (hyperviseur de stockage) sont venus apporter un éclairage sur cette notion de cloud computing.

Du PCA/PRA au cloud

Si au séminaire précédent, l'accent avait été mis sur les plans de reprise ou de continuité d'activité (avec démonstration à l'appui), cette année, les témoignages ont montré que cette démarche pouvait se transformer en réflexion sur le cloud. Ainsi, la société Nacco, qui créé des wagons pour les marchandises, disposait d'un environnement vieillissant (ERP en interne qui prenait beaucoup de temps et de ressources, une architecture sous Citrix, un serveur exchange) et n'avait pas le temps de s'occuper de ses infrastructures. Diademys a été mandaté pour réaliser un audit dans l'optique de transformation des infrastructures. La SSII a proposé deux options, la première était la création d'une plateforme interne modernisée, la deuxième était une orientation vers le cloud. Nacco a choisi la seconde solution pour un accès plus rapide, plus souple et ne plus se soucier de la maintenance de l'infrastructure.

Pour Martin Cassagne, responsable systèmes et réseaux chez NRJ, la question du cloud s'est posée lors du remplacement de l'infrastructure. Le groupe de médias disposait de 2 salles informatiques avec 120 serveurs, d'une capacité de 25 To de données. L'objectif de la transformation des infrastructures était de faire évoluer le système serveur/stockage vers un environnement PCA/PRA. Finalement, NRJ a migré vers un cloud privé en réduisant le nombre de ses serveurs : 120 machines HP à 4 IBM. Les outils de virtualisation ont été fourni par VMware et le stockage est orchestré par Datacore. Martin Cassagne explique que « cela nous permet de donner des service quand les gens en ont besoin ».

Les DSI dans la salle ont écouté attentivement les différentes présentations et ont pu apprécier de discuter avec leurs pairs sur ce sujet. Fabrice Tétu, PDG de Diademys a fait la synthèse de la journée en rappelant l'intérêt d'évoluer vers le cloud « élasticité, souplesse et réduction des coûts ». Rendez-vous a été pris pour l'année prochaine pour un autre séminaire qui pourrait durer un tout petit peu plus longtemps qu'une journée. A suivre...

Illustration : Démonstration de Datacore sur un PRA

Crédit Photo: D.R

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(16/09/2011 20:04:31)

Recap IT : Windows 8 à l'honneur sur Build, conférence IDF d'Intel

La semaine a été marquée par deux grands rendez-vous : la conférence Build Windows, de Microsoft, et l'événement IDF organisé par Intel. Sur le premier, Windows 8 a tenu la vedette. Sa présentation déclenche un enthousiasme un peu exagéré. Certains observateurs auraient aimé y trouver davantage de fonctions spécifiques pour l'entreprise. Microsoft a aussi  levé le voile sur Windows Server 8 en précisant qu'il ne prévoit pas encore de version de l'OS serveur pour les processeurs ARM.

De son côté, Intel a lancé sur IDF ses puces Xeon E5 pour serveurs et McAfee annoncé qu'il intégrait la protection antivirus aux puces du fabricant californien. La tarification des ultrabooks d'Intel a été critiquée. Par ailleurs, le fabricant de puces et Google veulent collaborer pour permettre à Android de fonctionner sur des terminaux dotés de X86.

Une offre de CRM en mode SaaS par SAP et IBM

Parmi les autres actualités de la semaine, SAP et IBM ont annoncé mardi 13 septembre une offre de gestion de la relation client en mode SaaS, basée sur la solution CRM RDS (Rapid Deployment Solution) de l'éditeur allemand et les infrastructures cloud de Big Blue.

Lundi 12, le Conseil des Affaires générales de l'Union européenne a approuvé la création d'un organisme pan-européen pour gérer ses systèmes d'information regroupant les informations sur les citoyens. Une enquête du gouvernement britannique montre que le trading algorithmique (Trading de haute fréquence, HFT) prend rapidement le pas sur la décision humaine.

Le PDG de Comodo qui a subi en mars dernier un vol de certificats SSL, est encore plus convaincu aujourd'hui que la récente vague d'attaques et l'affaire DigiNotar sont soutenues par le gouvernement iranien. 

Alex Türk va quitter la présidence de la CNIL

En France, Alex Türk annonce qu'il va quitter la présidence de la CNIL pour cause d'élections sénatoriales. L'indicateur Apec montre que les offres IT ont augmenté de 48% en août 2011 par rapport à l'an dernier. 

Cette semaine aussi, Cisco a étoffé ses routeurs Edge pour concurrencer Juniper. L'ordinateur Watson d'IBM se met au service de la médecineEntre Intel et ARM, la bataille se dessine autour du PC portable de demain. Tandis que du côté des tablettes, Samsung répond aux attaques d'Apple contre sa Galaxy Tab en Europeen portant plainte contre le constructeur américain en France sur des brevets 3D.

HP regroupe en une division spécifique ses différentes acquisitions réalisées dans la sécurité (Fortify, ArcSight, Tipping Point).

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(16/09/2011 17:53:48)

Twitter impose des tweets publicitaires aux utilisateurs

En juillet, Twitter avait déjà commencé à introduire des tweets publicitaires dans la timeline de ses utilisateurs. Toutefois, ces tweets ne concernaient que des compagnies dont l'utilisateur suivait l'actualité. Or cette semaine, Twitter a annoncé sur son site avoir commencé à afficher des tweets publicitaires dans la timeline des utilisateurs, indépendamment du fait qu'ils suivent l'actualité de la compagnie auteure de la publicité. Selon Twitter, ce nouveau service est déployé étape par étape et s'adresse actuellement à un nombre restreint d'utilisateurs.

Selon le blog de Twitter «un tweet publicitaire ne sera affiché dans la timeline de l'utilisateur que s'il est susceptible de l'intéresser. Notre plateforme utilise différents signaux pour déterminer quels tweets sont intéressants pour l'utilisateur». En fonction des réactions des premiers utilisateurs, ce système sera étendu à une base d'utilisateurs plus large au cours des prochains mois.

ICTJournal.ch

En savoir plus :

- sur le site de support de Twitter

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(16/09/2011 17:21:25)

Microsoft France se réorganise

« Ce changement organisationnel entérine le virage stratégique de Microsoft qui [...] s'attache à proposer une multiplicité de services et de terminaux afin de répondre aux attentes des consommateurs, des entreprises et des annonceurs. » Eric Boustouller, le président de Microsoft France explique ainsi la logique qui amène aujourd'hui l'entreprise à revoir son organisation. Désormais, la filiale française de l'éditeur est en effet scindée en trois divisions : grand public et opérateurs, marketing et opérations, advertising et online. Elles sont respectivement dirigées par Marc Jalabert, Nicolas Petit et Gregory Salinger.

La division grand public et opérateurs se chargera de gérer les canaux de distribution des produits pour particuliers de Microsoft (Windows, Office, Windows Phone, Xbox/Kinect...). A charge pour elle de développer les relations avec les constructeurs, les opérateurs et les acteurs de la grande distribution (en magasin ou en ligne). Elle assure par ailleurs les activités marketing spécifiques aux lignes de produits Windows Phone et Kinect.

Le reste de l'activité marketing de Microsoft France, que ce soit dans les domaines du grand public ou de l'entreprise, sera piloté quant à lui par sa nouvelle division marketing et opérations. Cette dernière est également affectée au suivi de l'ensemble des opérations de la filiale française, notamment dans le but de mettre en valeur les synergies entre les différents produits et services de la société. Elle veille ainsi au rayonnement des divisions produits Windows, Office et serveurs.

Enfin, la division advertising & online se focalise sur le pilotage des activités internet grand public de Microsoft France. Elle doit ainsi développer les audiences du moteur de recherche Bing, de MSN, de Windows Live et de Xbox Live.

Illustration: Eric Boustouller, le président de Microsoft France. Crédit photo: Microsoft

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(16/09/2011 17:10:19)

Oracle répare une faille qui touche des serveurs d'application

Oracle vient de livrer un correctif d'urgence pour réparer une vulnérabilité qui pourrait faire tomber ses serveurs d'application http qu'il fournit et qui s'appuient sur Apache 2.0 ou 2.2. La faille en question peut être exploitée à distance sans passer par un nom d'utilisateur et un mot de passe, a indiqué la société dans une alerte de sécurité diffusée hier, jeudi.

Les produits touchés par le bug incluent Oracle Fusion Middleware 11g Release 1 (versions 11.1.1.3.0, 11.1.1.4.0 and 11.1.1.5.0), Oracle Application Server 10g Release 3 (version 10.1.3.5.0) et Oracle Application Server 10g Release 2 (version 10.1.2.3.0).

Un problème suffisamment sérieux pour que le fournisseur ait décidé de livrer un patch en dehors de ces mises à jour prévues, la prochaine ayant été programmée pour le 18 octobre.

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(16/09/2011 16:39:14)

Les ERP doivent conjuguer collaboration, dématérialisation et mobilité

La dématérialisation des documents, notamment, est présente dans tous les processus d'entreprise, souligne Hélène Mouiche, analyste senior chez Markess International, qui vient de réaliser une étude sur les attentes autour des ERP face aux nouveaux enjeux. La moitié des décideurs interrogés, utilisant une solution de gestion intégrée ou comptant le faire (*), pensent que la dématérialisation et les exigences de traçabilité ont un impact sur l'ERP. Plus d'un tiers estiment que l'essor des échanges électroniques pèse aussi sur ces outils, de même que les besoins accrus en « business analytics ». Enfin, un décideur sur quatre cite, parmi les autres facteurs d'impact, l'évolution des modes collaboratifs internes, l'augmentation des interactions via le web, le recours à des terminaux mobiles, ainsi que le souhait d'optimiser les processus. A côté de l'ERP qui gère des données structurées, les besoins de prendre en compte les données non structurées (documents, échanges sur le web...) ont considérablement augmenté.

Sur la dématérialisation, 84% des décideurs utilisateurs d'ERP expriment des besoins forts. Ceux-ci peuvent porter sur la numérisation des documents entrants (LAD/RAD), tels que les factures, ou sur les documents sortants, comme les bulletins de paie ou les déclarations auprès des organismes sociaux nécessitant de passer par une plateforme spécialisée. Ils peuvent concerner la signature électronique, l'horodatage, l'EDI, la traçabilité ou encore, notamment, l'archivage électronique à valeur probante. Autant de fonctions qui peuvent être apportées par des plateformes ou des outils extérieurs à l'ERP auxquels ce dernier va devoir s'interconnecter.

Disposer de solutions de mobilité autour de l'ERP

Concernant la montée en puissance des modes collaboratifs, 34% des décideurs interrogés considèrent que leur solution de gestion est concernée que ce soit en interne, au sein d'écosystèmes externes ou en lien avec des réseaux sociaux comme LinkedIn. Par ailleurs, 26% d'entre eux aimeraient disposer de solutions mobiles autour de l'ERP. « Ils expriment le besoin de pouvoir saisir des données en situation de mobilité », pointe Hélène Mouiche. Le nombre d'utilisateurs accédant à distance au progiciel de gestion continue à progresser, selon 66% des sondés. 

Interrogés sur leur recours aux applications en mode SaaS (software as a service), les entreprises interrogées plébiscitent encore largement le mode licence sur site (« on premise »). C'est le cas pour 81% des décideurs disposant déjà d'un ERP et envisagé par 57% des personnes ayant un projet d'ici 2013. En 2010, le mode SaaS a été choisi par seulement par 10% des décideurs de l'échantillon. « Il reste plutôt réservé à certains domaines fonctionnels comme le CRM ou les RH », rappelle Hélène Mouiche en constatant que « la notion de SaaS reste encore à expliciter ». Il devrait néanmoins progresser : 24% l'envisagent d'ici 2013.

Des budgets consacrés à l'évolution des ERP

Une large majorité des décideurs interrogés par Markess International, environ 87%, ont conscience que leur solution intégrée va devoir évoluer. Sur la période 2011-2013, ils confirment l'existence d'un budget spécifique consacré à ces évolutions. Pour 41% d'entre eux, ce budget est en hausse.

Enfin, un décideur sur deux envisage de se tourner vers d'autres solutions que l'ERP pour répondre à ses besoins du moment. Que ce soit pour les expertises métiers, comme la gestion des talents dans la RH, pour la dématérialisation, pour les aspects éditiques, le collaboratif, la gestion des contenus de l'entreprise (ECM), le business analytics, les fonctions de géolocalisation (nécessaires, par exemple, dans la gestion des points de vente) ou la mobilité. Les décideurs interrogés citent également les fonctions de BPM (gestion des processus métiers).

« Pour un euro dépensé pour l'ERP, il y a 0,7 euro déboursé autour des ERP », note Hélène Mouiche. En 2011, Markess évalue à 1,9 milliard d'euros le marché des logiciels et services liés aux ERP et à 1,5 milliard d'euros le marché des logiciels et services associés aux nouveaux besoins qui se sont créés autour des ERP.

(*) Entre juillet et août 2011, Markess International a mené 160 interviews de décideurs dans des entreprises ou des organisations publiques, dont 125 utilisaient ou comptaient utiliser un ERP.

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(16/09/2011 16:03:27)

IDF 2011 : Intel critiqué sur la tarification des ultrabooks

A l'occasion de la conférence IDF, Intel a donné plus de détails sur les ultrabooks, des ordinateurs portables qui font moins de 20 millimètres d'épaisseur (0,8 pouce), possèdent  des caractéristiques similaires à celles des tablettes et qui sont animés par des  processeurs Core. Il travaille au développement  de fonctionnalités telles que des écrans tactiles, des batteries qui tiennent toute la journée et des capacités de boot instantané qui devraient être disponibles au cours des prochaines années.

La firme de Santa Clara, qui a fixé le prix initial de ses ultrabooks à environ 1 000 dollars, espère que ces ordinateurs portables représenteront 40% des ventes de PC portables à destination du grand public d'ici la fin de l'année prochaine. Mais les analystes qui ont participé à la conférence IDF ont jugé que leur prix pourrait ne pas baisser dans un  marché des PC en pleine récession, où les acheteurs cherchent avant tout à faire de bonnes affaires. Les Ultrabooks pourraient alors rester des produits de niche comme les MacBook Air, si leurs prix ne sont pas réduits, estiment les analystes.

Pas destinés à remplacer les netbooks

Intel a lancé l'ultrabook après des recherches intensives sur le design des ordinateurs portables et l'utilisation qui en est faite, a rappelé Erik Reid, directeur général des terminaux mobiles chez Intel. Il s'agit d'un redesign des laptops traditionnels avec de nouveaux composants à basse consommation et le fabricant de processeur rallie des constructeurs de PC afin qu'ils adoptent ces nouveaux produits.

« Les Ultrabooks ne sont pas destinés à remplacer les netbooks ou autres ordinateurs portables à faible coût », a-t-il tenu à préciser. « Comme les volumes baissent et que l'activité des PC continue elle de progresser, les prix baisseront de façon générale », a-t-il  ajouté.  Le dirigeant n'a toutefois pas fourni d'indications sur la fourchette d'estimation des prix en indiquant que celle-ci dépendait de la configuration des machines et  également des fabricants de PC.

Une première salve commercialisée dans le mois

La première vague d'Ultrabooks sera commercialisée ce mois-ci. Le prix de base de l'IdeaPad U300S de Lenovo est annoncé à 1 200 dollars,  l'Aspire S3 d'Acer sera vendu 1 134 dollars, et le Portege Z830, de Toshiba, sera proposé pour un coût inférieur à 1 000 dollars. Ces portables seront tous équipés de processeurs Core basés sur l'architecture Sandy Bridge.

Bien que les analystes aient été impressionnés par la finesse et la légèreté des ultrabooks montrés sur l'IDF, le prix les a déçus. Ils ont également pointé la date de sortie des ultrabook annoncés par les fabricants, considérant qu'Intel lancera une nouvelle architecture de processeurs possédant des fonctionnalités avancées  d'ici quelques mois et que Microsoft s'apprête à sortir son OS Windows 8. « Si Intel cherche à redéfinir le marché des ordinateurs portables avec ses ultrabooks, leur tarification initiale ne l'aidera pas », a pour sa part déclaré Roger Kay, président d'Endpoint Technologies Associates, « Le prix estimé doit baisser pour que ces ordinateurs aient un impact significatif », a-t-il ajouté. « S'il y a un hic, c'est bien le prix. Car même si ces PC sont d'excellente facture, on parle bien de 1 000 dollars. »

Des prix qui pourraient rebuter les marchés émergents

Pour les représentants d'Intel, les marchés émergents offrent une opportunité de croissance pour le marché des PC. Mais, pour Roger Kay, les acheteurs, sur certains marchés, sont plus sensibles aux prix que sur d'autres. « L'Asie du Sud et l'Europe de l'Est sont des marchés particulièrement sensibles au prix, et des coûts importants pourraient bien empêcher la croissance des PC », a-il considéré.

Selon l'analyste,  même dans les pays développés, les acheteurs ont pour habitude de dépenser la moitié de cela. Pour lui, les Ultrabooks sont positionnés comme des terminaux mobiles de grande classe, ce qui les met en concurrence avec des produits comme l'iPad, qui sont proposés à partir de 500 $. Et si Intel s'est fixé pour but  d'atteindre le marché de masse avec ses ultrabooks, un prix qui se situerait entre 500 et 750 $ aurait davantage de sens, a-t-il suggéré.[[page]]

De son côté, l'analyste Jack Gold, du cabinet J. Gold Associates, a fait savoir que s'il avait le choix, il opterait pour un ultrabook basé sur  l'architecture Ivy Bridge d'Intel, qui est attendue pour le prochain semestre.

« Si vous pouvez attendre un an ou un an et demi, vous aurez Windows 8, Ivy Bridge, ce qui vous donnera une meilleure autonomie côté batterie, un poids et un prix moins élevés », a-t-il  déclaré.

En plus d'une plus longue vie de la batterie, de meilleurs graphismes et des performances plus rapides, les  ultrabooks équipés d'Ivy Bridge ne posséderont pas de ventilateur et seront plus  rapides. Lors de la conférence IDF, Intel a aussi mis en évidence certaines caractéristiques des ultrabooks qui seront disponibles avec Ivy Bridge. Ces derniers se rallumeront en trois secondes de leur mode pause et disposeront de mises à jour automatiques de données dans lesquelles les e-mails, les fils de réseaux sociaux et d'autres données seront automatiquement mises à jour même si l'ordinateur portable est en veille.

Les puces Ivy Bridge utiliseront aussi des transistors 3D, qui seront 37% plus rapides et consommeront moins de la moitié des transistors 2D sur des puces 32 nanomètres. Elles seront conçues suivant le procédé 22 nm et auront intégré le support de Thunderbolt et les technologies d'interconnexion USB 3.0.

Pour Jack Gold, les prix des ultrabooks baisseront graduellement dès lors qu'il y aura compétition sur ce segment  Les utilisateurs devront peut-être attendre Windows 8, qui est conçu pour les tablettes et les PC, et qui pourrait provoquer un sursaut sur le marché des ultrabooks et faire baisser les prix. Mais si ceux-ci restent à 1 000 dollars, il ne s'agira pas d'un marché de volume pour Intel. « S'ils sont vendus 600 à 800 dollars, cela ira », estime Jack Gold. « Il n'y aura pas d'ultrabook à 300 dollars », ajoute-t-il.

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(16/09/2011 13:42:29)

Microsoft Build : les premiers éléments sur Windows Server 8

Certes, la version serveur n'est pas aussi glamour ou flashy que Windows 8, avec son interface Metro et son écran magique. Mais Microsoft avait tout de même quelques trucs dans son sac pour attiser la curiosité des visiteurs. Car Windows Server 8 est une mise à jour au moins aussi audacieuse - si ce n'est plus - que peut l'être sa jumelle de bureau. Alors que Microsoft semble vouloir faire du traditionnel bureau de son système d'exploitation un hybride à la frontière du desktop et de la tablette tactile, la nouvelle version serveur de Windows 8 s'emploie quant à elle à se placer à cheval entre le datacenter traditionnel et le cloud computing.

Microsoft souligne que, en plus d'être abordable en termes de prix et/ou de coût-efficacité, cette version de son système d'exploitation Windows Server sera à la fois plus fiable et plus facile à gérer. Cela étant dit, voici un rapide aperçu de certains aspects importants de Windows Server 8 mis en avant pendant la keynote et les démos.

Interface graphique à la demande.
Avec Windows Server 2008 et Windows Server 2008 R2, il fallait décider dès le départ si l'on souhaitait exécuter une version complète du système d'exploitation - interface graphique, Internet Explorer, et le reste - ou une version allégée. Dans Windows Server 8, il est possible d'exécuter la version allégée, avec les fonctions serveur essentielles, mais si nécessaire, de faire appel à l'interface graphique, dans le cas notamment où l'on souhaite travailler avec le système.

Une interface utilisateur Metro pour le Server Manager.
Ceci n'a rien à voir avec la fiabilité, mais on peut considérer comme un avantage de pouvoir disposer de la même interface en tuiles de Metro, commune à Windows Mobile 7 et au prochain Windows 8. La cohérence de l'interface entre tous les environnements rendra le travail avec le Server Manager d'autant plus intuitif.

Un Direct Access simplifié.
Direct Access est sans doute l'une des fonctionnalités les plus intéressantes de Windows Server 2008... potentiellement. C'est comme un VPN surpuissant qui permet à des PC distants ou itinérants de rester connectés virtuellement au réseau en permanence, à travers les firewalls, du moment qu'ils disposent d'une connexion Internet. Malheureusement, ce système n'a jamais eu vraiment de succès et n'a jamais atteint cet objectif dans l'usage - en partie parce qu'il est trop compliqué à configurer et à gérer pour la plupart des entreprises. Avec Windows Server 8, Microsoft promet de rendre Direct Access très simple à utiliser.

Des tas de réglages et de changements à venir dans Windows Server 8.
Des améliorations en matière de performance réseau et de gestion, des améliorations dans Active Directory, des améliorations dans le stockage et la gestion des données, l'amélioration de la virtualisation, et plus encore.

Pour l'instant, Windows Server 8 est à un stade de développement précoce. Au fur et à mesure des bêtas, des détails seront fournis sur les nouvelles fonctionnalités.

Illustration : Satya Nadella, président de la division Serveurs et Outils de Microsoft, lors de son keynote sur la conférence Build qui se tient en ce moment à Anaheim, en Californie (crédit : Microsoft)

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(16/09/2011 11:02:59)

Semestriels Vision IT Group : 20% de croissance sur 6 mois

La SSII doit plus de 20% de sa croissance au premier semestre 2011 aux différentes acquisitions qu'elle a réalisées depuis l'an dernier. Sur six mois, ses revenus se sont établis à 60,9 M€, soit une hausse de 24,6% à période comparée de l'exercice précédent. Hors rachats, Vision IT Group affiche une croissance organique de 2,3%.

Pas de croissance en France

Sa meilleure performance semestrielle, la société de services l'a réalisé au Benelux où son activité a progressé 163%. Cette zone représente désormais le quart du chiffre d'affaires du groupe. Sa progression s'explique notamment par l'implantation de l'entreprise aux Pays-Bas suite au rachat de Qwise dont les résultats sont consolidés depuis le deuxième semestre 2010. Vision IT Group a aussi effectué quatre opérations de croissance externe en Allemagne où ses revenus se sont appréciés de 62% pour atteindre également 25% de ses facturations totales. La France reste néanmoins le territoire qui contribue le plus aux résultats de l'entreprise (38% du total) bien que le chiffre d'affaires n'y ait progressé que de 0,4% lors du premier semestre de l'année.

Pour le second semestre 2011, la SSII prévoit de dégager environ 60 M€ de revenus, ce qui lui permettrait de publier un chiffre d'affaires de 120 M€ pour l'ensemble de l'année.

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