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(16/09/2011 10:59:27)

Le marché de l'impression baisse dans le monde

Le marché des imprimantes baisse dans l'ensemble du monde de 0,3%. Mais dans les pays émergents, il progresse de 6%, selon le cabinet IDC. Sans surprise, cette étude reflète  la même tendance que pour les PCs : la croissance est durablement dans les pays émergents.

Il s'est vendu 29 millions d'imprimantes sur ce deuxième trimestre 2011, constate IDC. Celles à jet d'encre représentant 63% du marché. Ce segment des imprimantes à jet d'encre réalise son trimestre le plus faible  depuis le deuxième trimestre 2009 avec 18,3 millions d'imprimantes vendues. Les imprimantes laser réalisent 4% de croissance d'une année à l'autre en unités vendues et gagnent 1 point de parts de marché à 32%.

Les laser couleur en baisse

Les laser monochrome continuent d'afficher une performance positive, comme sur les six derniers trimestres, avec cette fois une croissance de 5% et 7,9 millions d'unités vendues. Toutes les régions, sauf l'Europe de l'Ouest et les Etats-Unis connaissent une croissance dans ce segment des imprimantes monochrome. Quant aux laser couleur, elles sont en déclin de 3% d'une année à l'autre, c'est leur première tendance négative depuis 2009.

Côté constructeurs, HP détient toujours, et largement, la 1ère place avec 12 millions d'unités vendues et 41,5% de parts de marché (41,2% au 2ème trimestre 2011). Canon n'a pas bougé de la deuxième place, mais progresse très légèrement à 5,63 millions d'imprimantes vendues, 19,5% de parts de marché, contre 19,1%. En revanche, Epson, s'il reste troisième, plonge, passant de 4 à 3,5 millions d'unités vendues et de 13,9% à 12,3% du marché.

Samsung progresse et passe de 5,8% à 6% du marché, le coréen a vendu 1,72 million d'imprimantes contre 1,66. Brother, cinquième, passe de 5,4% à 5,6% du marché.

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(16/09/2011 10:35:33)

62,5 millions de tablettes vendues cette année selon IDC

Le cabinet IDC a estimé les ventes de tablettes au second trimestre de cette année. Il s'en est vendu 13,6 millions dans le monde.  Les pourcentages sont évidemment très élevés, mais à relativiser pour un segment de marché émergent. L'augmentation séquentielle est de 88%, et, par rapport au même trimestre de l'année précédente, de 303,8%.

Derrière  ces chiffres, IDC s'attache à mettre en lumière les grandes tendances de ce marché. Un marché tiré par le succès de l'iPad qui a vu ses ventes atteindre 9,3 millions d'unités, représentant une part de 68,3% du marché mondial (contre 65,7% au trimestre précédent). Research in Motion est entré sur le marché avec son PlayBook, qui occupe une part de 4,9%. « La force d'Apple et l'entrée de RIM sonnent comme une mauvaise nouvelle pour les terminaux basés sur Android, qui ont vu leurs parts passer à 26,8%, en baisse de 34,0% par rapport au trimestre précédent » note IDC.

IDC prévoit qu'Android va céder des parts de marché supplémentaires au troisième trimestre (chutant à 23%) avant de remonter au quatrième Le Touchpads va un peu fausser les chiffres. Il en reste un million en stocks selon IDC. Ils vont être commercialisés d'ici la fin de l'année et au-delà. En conséquence, la part de marché mondiale de WebOS dans ce type de ventes devrait atteindre 4,7% au troisième trimestre, avant de rétrécir vers zéro au 1er trimestre 2012.

Apple continuera à dominer Android en 2012

«Les ventes ont progressé à un rythme solide au deuxième trimestre, tiré par une demande forte et soutenue par les produits Apple", souligne Tom Mainelli, directeur de recherche, appareils mobiles connectés, au cabinet IDC. " 

Concernant les eReaders, le deuxième trimestre a vu une baisse de 9% en séquentiel à 5,4 millions d'unités, tandis que, d'année en année, la croissance a été de 167%. Amazon a gardé la tête avec une part de marché de 51,7%, suivie par Barnes & Noble avec 21,2%. IDC prévoit que les ventes de eReader continueront de croître de manière significative pour atteindre un total de 27,0 millions d'unités pour l'année, contre une projection précédente de 16,2 millions d'unités.


(...)

(16/09/2011 10:32:40)

Semestriels Ausy : La SSII poursuit son développement

Ausy présente ses résultats semestriels. Ils sont d'autant plus attendus que la société a réalisé plusieurs rachats, il faut donc bien distinguer la croissance organique de la croissance globale et vérifier si l'intégration pèse ou non sur les comptes.

Sur le premier semestre 2011, le chiffre d'affaires augmente globalement de 45,7%, pour atteindre 139,3 millions d'euros. En organique , cette croissance est de 14,2%. Le groupe a intégré Aptus (en février) et le fonds de commerce APX-AS. C'est 75 ME annuels supplémentaires qui tombent dans l'escarcelle d'Ausy. Une troisième acquisition, celle de l'allemand Elan, intégrée en juillet, n'est pas prise en compte dans ces résultats semestriels, Elan représente 25 ME de CA en rythme annuel.

De bons résultats

La rentabilité est forte sur ce semestre, avec un résultat opérationnel courant de 7,5 ME, en hausse de 15,4%, un résultat opérationnel de 10,4 ME (+60%), un résultat net part du groupe de 8 ME (contre 3,9).  Sur la France, la croissance organique atteint 11,4%. Elle est due pour 10,5% à la croissance pure, pour 0,9% aux hausses tarifaires (et au fait qu'Ausy, comme ses consoeurs, est arrivée à contenir les hausses de salaires).

Les résultats sont bons et surtout, martèle la direction, en ligne voire en avance par rapport au plan de développement sur trois ans. Lancé en mars 2010, après une année 2009 passable, (3,6% de croissance organique quand même) ce plan prévoit d'atteindre les 300 ME de CA annuel d'ici fin 2012. Moitié en organique, moitié par croissance externe. Ce cap est en passe d'être franchi avec un an d'avance. Ausy met en relief trois autres objectifs : l'implantation en région, celle à l'international et le développement des offres.

Le couplage organique / externe joue à plein
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Le couplage organique / externe joue à plein

En région, le développement d'Ausy s'effectue, là encore, autant par recrutement et développement direct, que suite aux rachats. L'Ile de France est ainsi passée de 800 à 1 400 collaborateurs entre janvier 2010 et juin 2011, essentiellement suite à la reprise d'Aptus et de ses équipes. En PACA, aux mêmes dates, Ausy arrive à 370 collaborateurs, contre 280 il y a dix huit mois, sur plusieurs implantations : Sophia, Aix, Marseille, soit avec les équipes d'Aptus et d'APX, soit par recrutement. En Rhône Alpes, Ausy souhaitait atteindre une taille critique, elle est passée de 30 à 180 collaborateurs pour tenir compte, comme en PACA, du potentiel de la région.

Sur Toulouse, cas particulier, Ausy double ses effectifs, de 210 à 450 collaborateurs, l'objectif de 500 a été fixé, pour traiter les grands clients de l'aéronautique. Ces grands clients sont déterminants. EADS, par exemple, guide une partie du développement d'Ausy. C'est pour accompagner de grands clients de ce type qu'Ausy doit se développer à l'international. En Allemagne, par exemple, la société avec le rachat d'Elan peut maintenant recruter parce qu'elle connaît mieux le marché de l'emploi des ingénieurs (salaires, profils, méthodes de recrutement) et que ses ingénieurs n'hésitent plus à travailler pour elle. Toujours avec le rachat d'Elan, Ausy va pouvoir vendre ses propres logiciels outre-rhin, le potentiel lui paraît énorme, par exemple avec les sous-traitants d'Eurocopter. Le tout est donc lié, accompagner les grands clients à l'international et ensuite procéder, soit par croissance externe soit en  organique.

Elan lui apporte aussi une petite implantation à New Delhi, de quinze ingénieurs. Ausy vient d'ouvrir une autre unité, à Bengalore, pour travailler sur du soft embarqué, avec  EADS. Cette dernière fait pression pour que ses fournisseurs l'accompagner en offshore. »Pour être référencé avec cette société, il faut être présent en Inde » souligne Philippe Morsillo directeur général délégué.

 

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(15/09/2011 15:26:25)

Cisco : après la restructuration, Chambers redistribue les coups

Lors de conférence annuelle destinée à la présentation des résultats de l'entreprise aux analystes financiers qui s'est tenue mardi à San Jose, Californie, les dirigeants ont donné davantage de détails sur les transformations de Cisco. L'entreprise, spécialiste et leader dans les réseaux, avait commencé à rationaliser ses opérations et à se recentrer sur son coeur de métier, plus tôt cette année, après la publication de résultats financiers décevants. La réorganisation conséquente qui s'en était suivie, avait démarré par l'arrêt de son unité de production de caméscopes grand public Flip et d'autres activités, la suppression de 12 900 emplois et la réaffectation de 23 000 salariés.

John Chambers reconduit et Mea Culpa

Finalement, le président du conseil d'administration et CEO, John Chambers, n'aura pas fait les frais de cette réorganisation, en dépit d'informations selon lesquelles il annoncerait sa démission. Au terme de la conférence, en réponse à la question d'un analyste, le CEO a déclaré qu'il avait accepté de rester « à la demande du conseil d'administration » de Cisco. Il a été reconduit pour 3 ans. John Chambers a reconnu que l'entreprise s'était un peu égarée et avait manqué d'efficacité dans certains domaines. « Nous étions trop gros, » a ajouté le CEO de Cisco. « Je veux dire que nous avions pris quatre ou cinq tailles de trop. » En particulier, la structure de Cisco est devenue trop lourde, compliquant la relation avec les clients. « Nous avons rendu nos rapport douloureux dans les négociations de contrats et de licences logicielles, » a ajouté John Chambers. En outre, « l'entreprise n'a pas suffisamment pris en compte les retours clients sur certains produits et n'a pas fait assez circuler l'information pour modifier sa feuille de route en conséquence, » a t-il précisé.

De plus, « les clients demandaient une meilleure intégration des produits afin qu'ils soient plus faciles à utiliser. Et certains départements ont pris du retard en terme d'innovation, » a encore reconnu le président. « Cette réorganisation a été l'occasion de désigner des personnes spécifiques pour répondre à ces lacunes, » a ajouté John Chambers. L'entreprise a également mis fin à une série de commissions et de conseils de gestion en nommant des responsables pour ses lignes de produits.

Autonomie, collaboration, rationalisation


Les dirigeants ont également donné quelques détails sur la façon dont Cisco pensait rationaliser ses activités. Par exemple, « l'entreprise va accorder aux commerciaux plus d'autonomie, et nous avons réduit le temps consacré à l'examen des contrats de 2/3, » a déclaré Gary Moore,  Chief Operating Officier (COO) de Cisco.

Illustration: John Chambers lors de l'intervention devant les analystes

Crédit Photo: IDG

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Selon le CEO, l'entreprise a également fait en sorte que les équipes travaillant sur les produits collaborent plus étroitement entre elles, au lieu d'être en concurrence. « L'entreprise prévoit d'intégrer davantage ses technologies et de se servir de ses composants comme levier pour d'autres produits, » a ajouté John Chambers.

De plus, Cisco prévoit d'utiliser les mêmes circuits ASIC (Application-Specific Integrated Circuits) dans plusieurs lignes de produits pour réduire les coûts de développement des processeurs. Les cinq domaines d'activité de Cisco sont désormais centrés sur le routage et la commutation d'entreprise, la collaboration, la virtualisation des datacenters, la vidéo et tout ce qui permet de relier ces éléments ensemble dans une architecture globale.

Optimisme retrouvé par rapport à la concurrence

Selon les dirigeants, après cette cure d'amaigrissement, l'entreprise peut afficher de fortes perspectives pour les trois années à venir, avec des prévisions de croissance moyenne de 5 à 7 % en revenus annuels. Selon Frank Calderone, le directeur financier, « le bénéfice par action devrait croître de 7 à 9 % par an, sans tenir comptes des éléments non récurrents. »

« Pendant ce temps, les concurrents commencent à peine à s'attaquer à leurs propres problèmes, » a déclaré John Chambers, citant Hewlett-Packard aux prises avec sa stratégie. Pour sa part, il considère que Cisco a surmonté la question de la compétition sur les prix en faisant la démonstration que ses propres produits étaient moins chers sur le long terme. S'adressant aux analystes après les principales présentations, John Chambers a estimé que « HP n'avait jamais été plus vulnérable qu'aujourd'hui. » Pendant la conférence, Cisco s'en est également pris plusieurs fois à Juniper, quelques jours après le début d'une campagne de publicité qui ridiculise l'entreprise, se moquant de ses produits toujours livrés en retard. « Notre rival de la Silicon Valley est trop éparpillé entre son activité principale de prestataire de services et celle, récente, de fournisseurs de produits pour l'entreprise, » a commenté John Chambers. « Nous n'avons jamais été en meilleure position par rapport à nos concurrents », a t-il encore déclaré.

Illustration: John Chambers lors de l'intervention devant les analystes

Crédit Photo: IDG

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(15/09/2011 17:33:21)

Pas de version Windows Server pour ARM en vue

Pour l'instant, Microsoft n'a pas prévu de développer une version ARM de son prochain système d'exploitation serveur. Interrogé sur cette éventualité, Bill Laing (en photo), vice-président pour la division serveur et cloud de Microsoft, a livré une réponse sans équivoque : « A court terme, la réponse est non ». Cette semaine, sur la conférence Build, qui se tient à Anaheim, en Californie, le responsable de l'offre serveur a présenté certaines fonctionnalités du prochain Windows Server 8. On y trouve notamment une version révisée de l'interpréteur de commandes PowerShell qui permettra aux administrateurs de contrôler de multiples machines, ainsi qu'une nouvelle console d'administration. Cette dernière rassemble, en une seule vue, les ressources de serveurs installées en interne et celles disponibles dans le cloud. Pour autant, pas d'édition de Windows Server pour ARM en vue.

Ces processeurs à faible consommation d'énergie ont suscité un regain d'intérêt au cours des dernières années, à mesure que les constructeurs se sont mis à les utiliser pour leurs terminaux mobiles. Quelques observateurs de l'industrie ont avancé que ces puces pouvaient tout aussi bien fonctionner dans des environnements de datacenters afin de réaliser des économies d'énergie. Le concepteur de puces britannique étudie la possibilité de processeurs ARM pour serveurs. Mais si ceux-ci étaient produits, ils auraient toujours besoin d'OS basés sur Windows Server pour être exploités. L'un des problèmes les plus évidents pour porter Windows Server vers ARM est que l'OS est écrit pour les processeurs 64 bits, tandis que l'actuelle architecture ARM est limitée aux traitements 32 bits, a rappelé Bill Laing. Or le support 32 bits de Windows Server a été arrêté avec la Release 2 de Windows Server 2008.

En dehors de cela, l'une des raisons pour ne pas porter le système d'exploitation est qu'il y aurait peu de bénéfices à exploiter Windows Server sur ARM, a poursuivi Bill Laing. Les machines basées sur ces puces auraient peu d'impact sur l'usage énergétique. « Sur un serveur, le processeur ne représente qu'une partie de la consommation d'énergie, explique-t-il. La carte mère, la mémoire, les contrôleurs réseau et d'autres composants consomment également. « Même si vous réduisez considérablement les exigences côté processeur, il reste d'autres besoins en énergie à satisfaire par ailleurs ».

Automatiser les routines à travers plusieurs machines
Pour autant, Bill Laing n'a pas dit que Microsoft ne s'intéresserait jamais à une version ARM de Windows Server. Il a simplement indiqué qu'il n'était pas prévu de le faire pour l'instant. Voilà trois ans que l'éditeur développe « Windows Server 8 », a indiqué Bill Laing. Il y a de nombreux objectifs avec cette version, tels que la compatibilité avec le cloud et l'automatisation de routines à travers plusieurs machines. « Désormais, un serveur ne tourne plus sur une seule machine », souligne le vice-président. Il explique par ailleurs qu'il n'a pas demandé aux ingénieurs de développer des technologies spécifiques, mais plutôt de résoudre des problèmes susceptibles de couvrir un ensemble de technologies, comme de transférer des machines virtuelles de serveur en serveur sans aucune interruption. « Nous attachons toutes les pièces ensemble, afin d'obtenir une version plus cohérente », explique Bill Laing.

La nouvelle version bénéficie aussi du travail réalisé par Microsoft dans la mise au point de ses services sur le cloud Azure, a-t-il encore ajouté. De nombreuses technologies développées pour le serveur ont été testées dans le cloud. A l'inverse, des technologies conçues pour Azure ont été ensuite portées vers le serveur. « Historiquement, il y avait une séparation entre les gens qui développaient des applications et ceux qui évoluaient dans le datacenter, rappelle-t-il. Nous avons cherché à maintenir un feedback étroit entre les deux équipes, afin de partager la technologie ».

Illustration : Bill Laing, vice-président pour la division serveur et cloud de Microsoft (crédit : Microsoft)

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(15/09/2011 16:04:30)

Les tarifs mobiles de Free dévoilés par une banque suisse

La future offre de Free mobile se déclinerait en trois forfaits de 6 à 30 €, selon une note d'analystes de la banque UBS relayée par le site Tradingsat.com. Les abonnés ADSL chez Free bénéficieraient d'un tarif privilégié à 20 € pour des appels et l'internet illimités.

Un premier forfait à 6 € comprendrait 2h de communication, les appels illimités vers les numéros Freebox et les SMS illimités. En revanche, la consommation de datas serait facturée selon le nombre de Mo utilisés. Le forfait 10 € est sans aucun doute celui qui s'adressera au plus grand nombre, avec 5 h de communication, appels illimités vers les numéros fixes en France, les SMS illimités et 2 Go de data pour surfer sans stress.

Enfin, le tout illimité (communications vers les fixes et les portables en France, Etats-Unis et Canada, SMS, internet) serait proposé au prix cassé de 30 €, avec une réduction de 10€ pour les abonnés Freebox, soit 20 € seulement.

Les rumeurs sur les futurs forfaits Free mobile se recoupent donc et cette offre apparaît, sur le papier du moins, comme la plus économique pour les mobinautes face aux forfaits Sosh (Orange) et B&You (Bouygues) présentés cet été. Free a annoncé le 1er septembre que son offre mobile sera officiellement lancée début 2012.

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(15/09/2011 16:04:14)

SHI se lance dans le cloud hybride

SHI est un des plus grands revendeurs de software dans le monde avec un chiffre d'affaires de 4 milliards de dollars. Depuis 3, 4 ans, la société revend aussi du hardware avec des marques comme HP ou Acer auprès de grandes entreprise. Les dirigeants de SHI ont souhaité prendre le virage du cloud. Ils ont investi 25 millions de dollars dans la création d'un datacenter dans le New Jersey.

L'approche cloud de SHI est celle du Manage Private Service. Cela signifie, selon Alberto Gabaï Responsable SHI en France d'apporter une extension de l'activité des entreprises. Nous sommes dans le cadre d'une solution de type IaaS et plus particulièrement de cloud hybride. Concrètement, une appliance basée sur VMware, baptisée Vcore est installée chez le client, mais le pilotage des différents services se fait depuis le datacenter de SHI.

S'adapter aux habitudes de l'entreprise

« Il s'agit d'éviter de bousculer les habitudes des clients qui disposent de leur infrastructure, mais qui ont des besoins d'extension de leurs activités ». Côté tarification, le revendeur propose la solution vCore 100 (2 Go de Ram, 100 Go de stockage) pour 200 dollars par mois et la vCore 400 ( sur la même configuration mais pour 400 machines virtuelles) pour 279 dollars par mois.

Le coeur de cible de SHI est les grandes entreprises et plutôt orienté vers la production. Cette offre a été présentée à VMworld 2011, mais Alberto Gabaï indique qu'à l'avenir elle pourra s'étendre à d'autres solutions de virtualisation. Sur le marché français, Alberto Gabaï estime que l'on est encore au balbutiement et qu'un effort d'évangélisation est à faire.

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(15/09/2011 14:49:29)

Google acquiert plus de 1 000 brevets d'IBM pour se protèger

Google a acquis plus de 1 000 brevets d'IBM, dans le cadre de sa stratégie visant à renforcer son portefeuille de brevets pour se protéger d'éventuels litiges, selon les registres du United States Patent and Trademark Office (le bureau américain des brevets). Jim Prosser, un porte-parole de Google, a confirmé cette transaction, signalée par le blog « SEO by the Sea », mais n'a pas fourni de détails sur le prix payé par l'éditeur. En juillet dernier, Google avait déjà acquis 1 000 brevets auprès d'IBM. Il a transféré certains de ces brevets au fabricant de smartphone HTC pour se défendre dans le litige contre Apple.

La firme de Mountain View s'est intéressée depuis un certain temps à l'acquisition de droits de propriété intellectuelle. On se souvient de l'échec de sa candidature en juin dernier pour le rachat des brevets de Nortel Networks. Le rachat de Motorola Mobility pour 12,5 milliards de dollars en est un autre exemple. Kent Walker, vice-président de Google et conseiller juridique avait alerté sur le blog de Google que l'explosion des contentieux sur les brevets menaçait l'innovation et d'ajouter « aujourd'hui, l'une des meilleures défenses pour une entreprise contre ce type de litige est (ironiquement) d'avoir un important portefeuille de brevets, car cela l'aide à maintenir sa liberté de développer de nouveaux produits et services ».

Un portefeuille varié


Les brevets d'IBM, récemment acquis, portent sur des domaines variés couvrant le desktop et les serveurs, la sécurité informatique, les bases de données, conception de circuits, l'architecture et les systèmes de bases de données parallèles, l'authentification d'utilisateur, les tests sur des cartes de crédit / cartes à puce, etc. explique le blog SEO by the Sea. La grande majorité des brevets semble avoir été initialement attribuée à IBM, mais quelques-uns  sont issus de l'acquisition de Cognos en 2007, qui a fusionné avec l'offre de Business Intelligence d'IBM.

La date d'enregistrement auprès de l'USPTO est le 13 septembre, mais la date d'exécution sur le document est le 17 août. IBM n'a pas pu être joint pour commenter.

Illustration: Siège de l'USPTO

Crédit Photo: D.R

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