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(30/12/2011 14:35:08)

Le nombre d'inscrits à Pôle Emploi dans la IT n'a pas augmenté en novembre

Les statistiques mensuelles sur le nombre de personnes inscrites à Pôle Emploi comportent une répartition par qualification professionnelle. Celle-ci est publiée par la Dares(*) sous la forme de données brutes, non corrigées des variations saisonnières et des jours ouvrables (**).

Pour le mois de novembre 2011, dans les métiers rattachés aux « Systèmes d'information et de telécommunication », les chiffres publiés ne font pas apparaître de hausse du nombre d'inscrits. Sur le décompte de la catégorie A, regroupant les personnes n'ayant déclaré aucune activité dans le mois, ce nombre est revenu à son niveau de septembre, soit 25 900 (contre 26 300 en octobre 2011). En y ajoutant les personnes en recherche d'emploi ayant eu une activité sur la période, même réduite (catégories B et C), on retrouve aussi le nombre d'inscrits publié en septembre pour les métiers de la IT : 32 200 (contre 32 400 en octobre 2011).

La Dares avait communiqué au début de la semaine le nombre de demandeurs d'emploi inscrits à Pôle Emploi. De façon globale, tous métiers confondus, celui-ci a augmenté de 1,1% par rapport à la fin octobre 2011 dans la catégorie A (sans activité dans le mois) et de 1,2% pour les catégories A/B/C, incluant les personnes ayant eu une activité dans le mois, même réduite. Au total, sur un an, l'augmentation est de 5,6%.

(*) Dares : Direction de l'Animation de la Recherche, des Etudes et des Statistiques, Ministère du travail, de la solidarité et de la fonction publique.
(**) cf Séries mensuelles nationales brutes

(...)

(27/12/2011 11:50:52)

Volkswagen met les Blackberry en pause après le travail

Les réactions hostiles aux sollicitations professionnelles interrompues, par smartphones interposés, commenceraient-elles à se manifester ? Reuters signale que le constructeur automobile Volkswagen a accepté d'interrompre les envois d'e-mails effectués en dehors des heures de travail à ses collaborateurs allemands. L'agence de presse explique que le management de l'industriel européen a trouvé avec les représentants des salariés un accord posant des limites strictes sur les créneaux horaires pendant lesquels les employés peuvent recevoir des e-mails de travail sur leur téléphone Blackberry. Précisément, ces messages ne peuvent démarrer qu'une demi-heure avant que la journée de travail ne commence et doivent s'interrompre une demi-heure après qu'elle se soit achevée.

Malheureusement, ces règles ne s'appliqueront pas aux équipes de direction de Volkswagen, mais on peut supposer qu'elles sont rémunérées en conséquence. De nombreux autres salariés ne sont pas non plus concernés par l'accord, en particulier ceux qui doivent assurer la maintenance des équipements 24 h / 24.

Des règles à se fixer soi-même

Est-ce qu'une mesure similaire pourrait s'appliquer aux Etats-Unis, s'interrogent nos confrères de PC World ? Une étude montre que la plupart des Américains consultent leur messagerie tous les quarts d'heure environ. Bien sûr, cela ne signifie pas que tous répondent aux e-mails de leur responsable hiérarchique quelle que soit l'heure, mais « nous sommes nombreux à le faire », reconnaissent-ils. 

Pour récupérer un peu de tranquillité, JR Rafael, de PC World, suggère quelques pistes :

1 - Fixez-vous un couvre-feu pour les e-mails et respectez-le,

2 - Programmez des horaires pour les e-mails,

3 - Déterminez un jour sans e-mail,

4 - Prenez un congé... sans téléphone, sans ordinateur portable, sans tablette ni autre terminal électronique,

5 - L'urgence ne se traite pas par e-mail. En cas d'urgence, l'expéditeur téléphonera, enverra un SMS ou trouver une autre façon de vous joindre.

(...)

(23/12/2011 09:42:13)

Défi H : Tremplin accorde handicap et études supérieures

L'association Tremplin Entreprises a vocation à guider les étudiants handicapés vers leur insertion professionnelle. Elle est soutenue par un réseau de près de 180 partenaires et administrée par cinq d'entre eux, dont IBM et Capgemini (*). « Nous avons, en fait, un double rôle qui consiste à accompagner les étudiants vers les entreprises, mais aussi à aider celles-ci à accueillir les jeunes », explique Christian Grapin, directeur de Tremplin. L'objet de notre création, avant même de parler de l'intégration dans l'emploi, c'est l'accès aux études. Il faut que les personnes acquièrent les niveaux de qualification demandés ».

Pour que les entreprises puissent répondre à l'obligation d'emploi qui leur est faite, elles doivent pouvoir trouver les profils qu'elles recherchent, souligne le responsable. Or, le manque de qualification les pénalise et notamment dans le secteur IT, en quête de diplômés de niveau Bac+2 et au-delà. « Tremplin veut y remédier en encourageant les jeunes à aller vers les études supérieures », pointe Christian Grapin.

S'orienter, communiquer, se former


L'association Tremplin est, avec l'Adapt, partenaire du Défi H, élaboré par Sogeti avec Le Monde Informatique. Dans le cadre de ce 1er Trophée des Grandes Ecoles et Universités au service du handicap, sept équipes d'étudiants concourent autour d'innovations technologiques facilitant l'insertion professionnelle des personnes handicapées. Chaque groupe est accompagné par un coach Sogeti et par une association. Tremplin soutient le dossier SimpaH, présenté par l'équipe de la MIAGE de Grenoble (**). L'objectif est ici de développer une application pour tablette qui aidera les étudiants en situation de handicap moteur et visuel à disposer des informations pour s'orienter, communiquer et se former (supports de cours, suggestion d'itinéraires adaptés ...).

Dans ce projet, « il ne s'agit pas de maintien dans l'emploi mais d'accès aux études supérieures. Une solution informatisée pour le faciliter, c'est excessivement utile », apprécie Christian Grapin. « Les étudiants utilisent beaucoup l'ordinateur. Encore faut-il qu'ils aient accès aux discours du professeur, s'ils ont une déficience auditive par exemple, ou à ce qui est projeté, s'ils ont une déficience visuelle, ou encore aux bâtiments. »

Le déficit de qualifications parmi les personnes handicapées s'explique non seulement par la difficulté à disposer d'équipements adaptés (le coût des outils représente un obstacle majeur pour certains), mais aussi parce que les jeunes s'autocensurent. Il arrive également que leurs proches les découragent en craignant que les études supérieures ne représentent un parcours trop difficile à surmonter, regrette le directeur de Tremplin. Il rappelle qu'environ 80% des personnes handicapées en âge de travailler, en poste ou à la recherche d'un emploi, ont un niveau inférieur au baccalauréat.

Jusqu'au niveau Bac+5


Sur une année, Tremplin accompagne durablement de 300 à 350 jeunes dans leur cursus d'étude et suit leur entrée dans le monde professionnel. Cela se traduit par plus de 760 actions menées en entreprise : parfois de simples rencontres ou des stages, des jobs d'étudiants, de l'alternance et jusqu'au premier emploi. « Nous les aidons à développer leur niveau de qualification si un métier les intéresse et que leur handicap ne représente pas un obstacle rédhibitoire pour l'exercer. Il arrive que ce ne soit pas possible », indique Christian Grapin. Parmi les jeunes suivis par Tremplin ayant un bac ou allant le passer, « certains ressortent définitivement de l'accompagnement avec un niveau Bac+5 ». Le dirigeant évoque le cas récent d'un jeune homme, détenteur d'un bac S, qui a choisi les carrières de l'informatique à dominante scientifique, un handicap moteur l'empêchant, d'après ses expériences, de s'orienter vers des métiers en laboratoire. « Il s'agit là d'une stratégie professionnelle orientée par le handicap ».

Tremplin a un double rôle. Il lui faut aussi mobiliser les acteurs de l'entreprise (managers, tuteurs, équipes de travail) pour qu'ils accueillent les jeunes et mettent le handicap à sa juste place. Les métiers évoluent techniquement. Ce qui pouvait être pour les personnes handicapées une réelle limite à leur pratique ne l'est parfois plus grâce à l'avancée de la technologie, comme en médecine, avec les capacités d'intervention à distance et de visualisation avancées. Au passage, le dirigeant évoque aussi d'autres solutions informatiques adaptées au monde de l'entreprise, présentées notamment par IBM, telles qu'un clavier pour les personnes ne pouvant utiliser qu'une seule main. Ou encore la plateforme Tadeo qui met en relation collaborateurs sourds ou malentendants avec des interlocuteurs qui entendent, notamment par l'intermédiaire d'un opérateur connaissant le langage des signes.

Utiliser l'informatique pour les études supérieures, puis accéder au système d'information avec des outils adaptés, peut faire évoluer l'insertion professionnelle des personnes handicapées. « Souvent, s'intéresser à l'amont permet de régler, voire d'éliminer, les problèmes en aval », rappelle Christian Grapin.

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(23/12/2011 09:37:28)

Bilan emploi 2011 : Le secteur informatique sous tension

Selon le Syntec Numérique, tous les indicateurs de diffusion d'offres d'emploi, d'intentions d'embauches et d'insertion des jeunes diplômés sont restés positifs tout au long de l'année. Le secteur IT reste toujours le plus important recruteurs de cadres, avec 40 000 recrutements réalisés en 2011 et 10 000 créations nettes d'emplois.

L'Apec confirme, dans la troisième édition de son baromètre réalisé avec Syntec Numérique, que l'emploi des cadres de la high-tech a été  particulièrement dynamique cette année. Deux tiers des entreprises ont indiqué que leurs recrutements étaient plus nombreux qu'il y a un an, et trois entreprises sur quatre ont mentionné maintenir leurs embauches dans les six prochains mois. Effet de la reprise de l'activité et de la forte progression des offres, les recruteurs éprouvent des difficultés à trouver des candidats adaptés aux postes à pourvoir. L'enquête « Besoins en main d'oeuvre » conduite par Pôle Emploi et le Credoc montre en effet que les informaticiens font partie des 10 spécialités les plus difficiles à trouver. Les tensions concernent les cadres et les ingénieurs d'études et développement, les spécialistes de la R&D et les responsables informatiques, les techniciens de maintenance informatique et les ingénieurs télécoms.

Les SSII présentes sur les salons de l'emploi peinent toujours à recruter des profils de niveau expérimenté dans différents domaines, comme celui des infrastructures ou du développement applicatif.

90% des jeunes de la promotion 2010 en poste

Après une année 2010 difficile, l'emploi des jeunes diplômés issus de la filière IT est à nouveau sur une tendance favorable , note encore une fois l'Apec C'est en effet dans les disciplines à forte dominante technologique que le taux d'accès au premier emploi a le plus progressé. Dans l'informatique, les télécommunications, et les technologies multimédia, il a gagné 18 points par rapport à la promotion de 2009 pour atteindre 90%. Les jeunes diplômés de l'informatique ne sont plus que 10% en recherche d'emploi, ce qui représente un taux deux fois moins élevé par rapport aux autres secteurs.  

Reste que la filière continue d'attirer moins de femmes que d'hommes. Selon l'étude « Mutationelles 2011 »  d'Orange sur la situation des femmes ingénieurs en France. seules 14% des ingénieurs de sexe féminin ont un poste dans le secteur numérique, A l'occasion du 100ème anniversaire de la journée internationale de la femme, Neelie Kroes, commissaire européenne en charge de la société numérique a fait remarquer que les femmes étaient sous-représentées dans l'IT surtout dans les fonctions de management.

Cette situation s'accompagne d'un développement du chômage. D'après les derniers chiffres de Pôle-Emploi, l'informatique comptait 32  400 inscrits à la fin du mois d'octobre.  Entre temps, le climat économique difficile a commencé à faire ses premières victimes. Cet été Cisco annonçait la suppression de 10 000 emplois dans le monde, soit14% de ses effectifs, dans le cadre d'un  vaste plan d'économies .L'établissement bancaire britannique HSBC
coupait 30 000 emplois au niveau mondial, dont des fonctions IT liées au back office. Il y a quelques jours, Logica indiquait procéder à 1 300 coupes en Europe, tandis que 360 salariés de la filiale française d'Alcatel Lucent (ALF) apprenaient qu'il devraient changer de métier en 2012, au sein du groupe, faute d'activité.

(...)

(22/12/2011 10:49:48)

Un accord de branche signé sur le chômage partiel des informaticiens

La F3C-CFDT, la fédération des sociétés d'études CGT, Syntec* et le CICF se sont mis d'accord, hier, sur, un accord de branche relatif à la question du chômage partiel dans la filière du conseil, des services et des technologies de l'information et de la communication. Il s'agit d'encadrer le recours au chômage partiel pour éviter les dérives, mais aussi de permettre aux collaborateurs dont l'emploi est menacé, de se réorienter par la formation.

L'accord permet un maintien de 75 à 95 % de la rémunération ainsi qu'une couverture prévoyance et santé. Les clauses contractuelles de non-concurrence ou de dédit-formation sont levées. Ainsi les salariés qui pendant le chômage partiel retrouveraient un autre emploi sont libres de quitter leur entreprise.

Les inter-contrats exclus du dispositif

Toute personne positionnée en chômage partiel aura droit à la réalisation d'un bilan d'étape professionnel quelle que soit son expérience professionnelle et son ancienneté dans l'entreprise. La finalité de ce bilan permettra de définir le besoin de formation dans la perspective soit d'une reconversion, soit d'un approfondissement des compétences.

Le Fafiec, organisme collecteur de la branche, prendra en charge les formations définies dans le cadre de ce bilan. Les syndicats déclineront en région la mise en oeuvre du dispositif national.

La F3C-CFDT précise qu'il ne sera pas possible d'inclure dans la demande d'indemnisation de chômage partiel les salariés en inter contrat, sauf fermeture totale de l'entreprise.

* Syntec représente les professions de l'ingénierie, des services informatiques, des études et du conseil et de la formation professionnelle.

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(20/12/2011 14:38:38)

10 projets étudiants pour une administration numérique

Le challenge Administration 2020 propose  à tous les étudiants de l'enseignement supérieur d'imaginer l'administration de demain. Par équipes de deux à trois, ils sont invités à approfondir leur projet de modernisation de l'Etat sur un blog consultable jusqu'à fin la fin du mois de janvier 2012.  Des experts ou non de la modernisation de l'Etat pourront consulter ces espaces communautaires, voter et commenter les travaux qu'ils jugeront les meilleurs.  10 équipes ont été sélectionnées pour la demi-finale. Celle-ci sera marquée par l'utilisation massive des médias sociaux par les étudiants dans l'élaboration de leurs propositions.

Une demi-finale numérique et participative

Sont en lice, les élèves de l'ESCP Europe (équipe RS&PB) pour un projet de site Internet en temps réel collectant les données statistiques géolocalisées sur les accidents de la route. L'ESCP est également représentée par le groupe Data Team et son projet Open data school des agents de la fonction publique qui inclut le citoyen au coeur du site open.data.gouv.fr. Egalement dans la compétition, les étudiants de l'Ecole Nationale d 'Administration (équipe Arenalert) pour avoir créé un système d'alerte de la population en cas de risque imminent ou avéré  de crise (sociale, sanitaire, environnementale, ...).  

Au rang des demi-finalistes, on retrouve aussi  les étudiants de l'Université Paris II Panthéon Assas qui ont développé une  plateforme numérique  de communication sur le droit et les normes dans la Fonction publique. A leurs côtés, les jeunes de l'IEP de Lille qui ont créé des services personnalisés online de manière à  améliorer le site Internet du Ministère du Travail de l'Emploi et de la Santé. Les équipes de Sciences Po Paris ont elles aussi été sélectionnées pour avoir simplifié les procédures d'inscription aux concours administratifs par la mise en place d'un portail unique.

Parmi les projets retenus en demi-finale, figure aussi celui de l' ENFIP Noisiel qui propose de regrouper l'essentiel des informations et des services utiles au télépaiement des amendes et des services publics locaux sur smartphone, via un flashcode.

Concourent également les élèves de l'IEP de Bordeaux et leur site web qui indique les temps d'attente dans chaque service administratif. Ceux de l'IEP de Lille sont en demi-finale  pour avoir amélioré la page « étudier en Europe et dans le Monde » grâce à une plateforme interactive. Enfin, l'équipe de l'IPAG de Clermont  a été retenue pour ses forums en ligne au niveau régional et national entre agents/usagers.

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(19/12/2011 14:58:54)

Additeam s'associe à la formation Miage

La SSII Additeam vient de signer un partenariat annuel avec le réseau de formations Miage (Méthodes Informatiques appliquées à la Gestion des Entreprises). Ce diplôme universitaire français allie une double compétence en informatique et en gestion. Dispensé dans une vingtaine d'universités de l'Hexagone, Il est destiné à former des cadres d'entreprise experts en ingénierie et management des systèmes d'information.

Des ateliers de formation aborderont des problématiques techniques et managériales précises. Un cours intitulé  « Ingénierie des systèmes d'information » présentera des concepts de management,  de gestion de projets et sensibilisera les étudiants aux activités concernées par une DSI. « Sciences et technologies informatiques » enseignera les principaux langages de développement, et proposera de se spécialiser sur une technologie en particulier. Enfin le cours « Gestion des organisations » offrira aux étudiants la possibilité de découvrir toutes les facettes d'une entreprise, du marketing au juridique en passant par des notions de comptabilité.

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(15/12/2011 15:23:00)

360 postes redéfinis chez Alcatel-Lucent

En 2012, 360 salariés de la filiale française d'Alcatel Lucent (ALF) devront changer de métier dans le cadre de la GPEC (gestion prévisionnelle des emplois et des compétences), ont indiqué aujourd'hui la direction et la CFDT du groupe. « Le  bilan de l'accord GPEC 2011, qui a été signé en juillet dernier, a montré que 360 postes avaient été menacés cette année, suite à des problèmes de charge » , a indiqué Hervé Lassalle, délégué central syndical à la CFDT. «  Les activités qui étaient en transformation en 2011, le seront de nouveau pour la plupart en 2012, avec 360 emplois supplémentaires fragilisés », a-t-il ajouté. Une procédure d'information a donc eu lieu hier et aujourd'hui lors d'un CCE (Comité central d'entreprise) où ont été abordées les prévisions d'Alcatel Lucent France, en termes d'activités et de charges.

Différentes pistes à l'étude

Les solutions d'emplois identifiées par la CFDT pourraient passer par la récupération de certains sous-traitants ou par l'affectation des personnes sans activité sur des secteurs en croissance comme la 4G ou l'IP.  

Une porte-parole d'Alcatel-Lucent a confirmé le nombre de 360 postes impactés par une GPEC et la poursuite des discussions avec les syndicats. « Nous avons identifié plusieurs solutions qui pourraient se concrétiser par de la mobilité interne et externe, la suspension du contrat du travail dans le cadre d'une période d'essai chez un autre employeur, de l'aide à la création d'entreprise ou par la mise en place de dispositifs de transition professionnelle à destination des seniors », a souligné la porte-parole de l'équipementier. La gestion prévisionnelle des compétences est indispensable pour anticiper les besoins d'évolution et le développement du groupe, a ajouté la direction d'Alcatel qui prévoit de recruter une centaine ingénieurs par an et ce pendant trois ans, selon l'accord GPEC signé au cours de l'été dernier.

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(15/12/2011 10:56:02)

Alter Way recrute et forme aux logiciels libres

Pour  faire face au besoin croissant de recruter des profils spécialisés dans son secteur, Alter Way, société de services spécialisée dans les logiciels libres, annonce la mise en place d'un programme de formation et de recrutement dédié aux passionnés de l'Open Source. A partir de janvier prochain, La Libre Académie  accueillera des jeunes diplômés, des personnes en reconversion, ou des informaticiens seniors adeptes du logiciel libre.

Administration, développement, contribution

La formation, qui s'étale sur 4 mois, mêle théorie, pratique et contribution. Elle se compose de deux parcours  axés sur l'administration systèmes et réseau et sur le développement web. Encadrés par des collaborateurs seniors d'Alter Way, les participants travailleront également aux projets contributifs de l'opérateur.

La SSLL entend doubler sa taille pour atteindre environ 250 salariés fin 2013 soit un plan de recrutement de 150 personnes sur 3 ans, grâce à ce dispositif de formation.  Ce parcours devrait couvrir 25 à 30 % des besoins de recrutement du groupe.

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