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Carrière

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(16/01/2009 17:25:40)
Les salariés de FM Logistic manifestent pour sauver leurs emplois
Lundi dernier, entre 150 (selon la police) et 300 salariés (selon les organisateurs) du groupe Faure et Machet (FM Logistic) ont manifesté devant la préfecture de Metz pour protester contre les 500 suppressions de postes du site de Woippy (Moselle) prévues d'ici au printemps 2010. Cet appel à débrayer avait été lancé la semaine dernière à l'initiative des syndicats de FM Logistic, ces deniers estimant que leur entreprise avait été contrainte de prendre cette décision après que son principal client, HP, eut décidé de délocaliser en Malaisie. Depuis 1993, la société sous-traitait au géant californien, sur sa base logistique de Woippy (Moselle), le conditionnement d'imprimantes laser et à jet d'encre destinées au marché européen. Mais fin décembre, HP décidait d'attribuer ce marché au néerlandais Flextronics, condamnant la totalité de l'effectif mosellan. (...)
(16/01/2009 16:30:26)Les responsables des datacenters sous pression
Faire plus avec moins, ainsi se résume le rapport que Symantec consacre aux datacenters. Publiée en pleine crise, la deuxième édition de cette enquête annuelle stigmatise la double pression mise sur les responsables de datacenter. D'un côté, ils doivent réduire leurs coûts, de l'autre la demande des utilisateurs va croissante. Pris dans cette tenaille, ils peinent aussi à recruter les compétences qu'ils recherchent et ils ne parviennent pas à optimiser l'exploitation des ressources serveur et stockage dont ils disposent. Pour achever le tableau, les plans de reprise d'activité (PRA) font figure de parent pauvre. Et le green computing dans tout cela ? Et bien, les motivations qui poussent à opter pour une informatique respectueuse de l'environnement relèvent avant tout des économies d'énergie qu'elle permet. Près de 50% des répondants indiquent qu'ils trouvent plus difficile que l'an dernier de répondre aux exigences des utilisateurs. Et ils sont dans le même temps 34% à avoir comme priorité de réduire les coûts. Pour y parvenir, l'automatisation des tâches quotidiennes arrive en tête (44% des répondants), suivie par la formation des informaticiens à plusieurs compétences (41% ). La première réponse technique, la virtualisation / consolidation des serveurs est à l'ordre du jour de 34% des entreprises. Il est vrai que les estimations actuelles portent sur une utilisation du parc installé à 60% de sa puissance. Ces projets s'inscrivent dans un contexte humain tendu. 37% des responsables déplorent un manque d'effectifs et 48% parlent du gros, voire de l'énorme problème, de trouver des professionnels compétents. Réalisée pendant l'explosion putride de la bulle spéculative, l'enquête indique que les budgets des datacenters étaient, à l'époque, orientés à la hausse dans 53% des entreprises (de 5 à 10% dans 50% des cas). Les postes de dépenses le plus en vue sont ceux des applications, de la consommation électrique et de la qualité de service.Bien évidemment, les responsables de datacenters concentrent leurs efforts sur les serveurs et le stockage. Pour les deux, dans 88% des entreprises, le maître mot est standardisation, avec une couche logicielle identique pour tous. Toutefois, les projets n'en sont qu'aux premiers balbutiements. Même situation en ce qui concerne tant la consolidation des serveurs que leur virtualisation : elles sont l'ordre du jour dans 87% des entreprises, mais elles n'en sont qu'aux prémisses. Enfin le rapport souligne que, plus les entreprises s'intéressent à la virtualisation, plus elles découvrent des écueils. En 2007, 31% déploraient un manque de maturité des solutions proposées, elles sont désormais 42%. Même évolution en ce qui concerne l'administration. Elles n'étaient que 18% à se plaindre de difficultés d'administration en 2007. Elles sont désormais 39%. Pour cette étude, Symantec a demandé à Applied Research d' interroger les responsables de 1 600 sociétés de plus de 5 000 personnes de par le monde. Parmi elles figurent 536 sociétés européennes, dont 95 françaises. (...)
(16/01/2009 15:28:30)Les syndicats de France Télécom craignent de nouvelles suppressions de postes
La direction de France Télécom (115 000 salariés) annoncera t-elle une nouvelle vague de suppressions de postes pour 2009 ? C'est en tout cas ce que craignent les organisations syndicales CFE-CGC et Unsa de l'opérateur historique, qui parlent de 10 000 à 12 000 suppressions de postes pour les trois années à venir, sans fournir d'explication claire sur cette évaluation. « La direction annoncera, le 4 mars, date de la publication de ses résultats annuels, le plan Next II, qui entraînera la perte de milliers d'emplois supplémentaires », a ainsi estimé Pierre Morville, délégué central de la CFE-CGC de France Télécom, à l'occasion d'une conférence de presse organisée hier, jeudi 15 janvier, à une semaine du renouvellement des instances représentatives du personnel. « Depuis dix ans, la déréglementation a détruit de l'emploi et l'a précarisé », a t-il ajouté. Le représentant syndical n'a pas manqué de revenir sur les 22 000 pertes d'emplois qui ont découlé du plan Next 1, sur la période 2006/2008. Pas de suppression de postes à l'étude selon la direction De son côté, Sébastien Crozier, président de la CFE-CGC a pointé le niveau record des délocalisations, tant sur les interventions techniques que sur les infrastructures réseaux « Les centres d'appels sont majoritairement délocalisés vers le Maghreb ou l'Ile Maurice, et la R&D est, elle, déportée en Egypte, en Chine ou à Amman. » Ces informations ont aussitôt été démenties par la direction de France Télécom, laquelle aurait indiqué à l'AFP que des suppressions de postes n'avaient pas été définies pour la période 2009-2011. (...)
(16/01/2009 14:31:29)Le WSJ confirme la probabilité de licenciements massifs chez Microsoft... plus ou moins
Les rumeurs d'un plan de suppression de postes d'envergure chez Microsoft ne s'essoufflent pas, au contraire. Le Wall Street Journal, qui cite « des sources familières des plans de Microsoft », confirme que la réduction d'effectifs devrait être sévère, mais n'avance aucun chiffre. En début d'année, Fudzilla évoquait la suppression de 15 000 des 90 000 postes de l'éditeur. Microsoft, qui n'a pas l'habitude d'avoir recours à de tels procédés, rejoindrait ainsi la cohorte d'acteurs de l'IT ayant annoncé des licenciements pour optimiser leur structure de coût et continuer de séduire les investisseurs. Dernièrement : Nortel, Google, Motorola, Seagate, Lenovo... Très prudent, le WSJ explique que Microsoft, qui mettra fin au suspense la semaine prochaine lors de l'annonce de ses résultats trimestriels, pourrait aussi choisir une autre méthode pour diminuer ses coûts d'exploitation. Pour l'heure, l'éditeur se refuse à commenter ce qu'il appelle des spéculations. (...)
(15/01/2009 17:36:05)Motorola annonce de nouvelles réductions d'effectifs
Motorola a décidé de prendre de nouvelles mesures pour tenter de résister à la chute de ses ventes. Le constructeur a annoncé mercredi soir qu'il allait supprimer 4 000 emplois supplémentaires, dont 3 000 dans sa division téléphonie mobile, après les 3 000 déjà annoncés fin octobre. Avec ce nouveau plan, Motorola espère économiser 700 millions de dollars en plus des 800 M$ visés par le plan précédent. Ce qui porterait la diminution des coûts à 1,5 Md$ en 2009. Le fabricant a également précisé qu'il s'attendait à de nouvelles pertes, au quatrième trimestre. (...)
(15/01/2009 16:07:09)Google supprime une centaine de postes de sa division recrutement
Google a décidé de lever une partie du voile sur le nombre de sous-traitants qu'il compte remercier. Le géant des moteurs de recherche vient en effet d'indiquer qu'il allait mettre fin à la majorité des contrats passés avec ses fournisseurs de services de recrutement. Selon le billet posté sur le blog officiel de Google, Laszlo Bock, vice-président de l'activité "People Operations" de la firme de Moutain View précisait : « Google continue de recruter, mais à un rythme moins soutenu, compte tenu du climat économique actuel. Ce ralentissement des embauches nous a conduit à réduire la quasi totalité des contrats passés avec les prestataires qui nous fournissaient des services liés au recrutement ». L'entreprise a décidé d'aller plus loin en réduisant la taille de sa division recrutement, décision qui se soldera par la suppression d'une centaine de postes aux RH. Dans son billet, le vice-président de Google reconnaît que ce soudain changement d'orientation sera très difficile pour les personnes concernées, et il espère qu'elles pourront se reclasser au sein de l'entreprise : « Les salariés qui travaillent aux recrutements ont aidé à bâtir cette entreprise, grâce à l'embauche de nouveaux collaborateurs, et nous leur sommes extrêmement reconnaissants pour tout ce qu'ils ont fait ». Pas sûr que la centaine de salariés concernés par ces suppressions de postes soient sensibles à un tel gage de reconnaissance. (...)
(14/01/2009 17:26:09)Aux Etats-Unis, plus de 200 patrons de la high-tech ont dû prendre la porte de sortie
Les pertes d'emplois qui découlent de la crise économique actuelle frappent bon nombre de salariés de la high-tech, et n'épargnent pas leurs patrons pour autant. Selon nos confrères de Computerworld, sur les 1 500 chefs d'entreprise qui ont perdu leur emploi l'an dernier, 210 dirigeaient des sociétés spécialisées dans les technologies de l'information ou les télécommunications. Pour dresser son analyse, le site s'est appuyé sur des données publiées par Challenger, Gray & Christmas, un cabinet de reclassement américain. Ce dernier estime que les 700 Md$ de fonds accordés par le Congrès américain à l'automne dernier imposent aux entreprises de se pencher attentivement sur les performances de leurs dirigeants et sur la manière dont ils ont été indemnisés. Exit les patrons de Yahoo, VMware, Corel, Symantec Du coup, le cabinet a eu l'idée d'établir la liste des chefs d'entreprises qui ont démissionné l'an dernier dans le secteur des nouvelles technologies : y figurent, notamment, Jerry Yang, l'ex PDG de Yahoo qui vient d'être remplacé par Carol Bartz, suite à une gestion qualifiée de désastreuse, Diane Greene, évincée de la présidence de VMware en juillet dernier, ou encore David Dobson, également pressé de quitter la direction du fournisseur de logiciels Corel l'été dernier. A leurs côtés, Kris Hagerman, ex-PDG du constructeur Symantec, et Michael Fister, anciennement aux commandes de l'éditeur de CAOCadence Design Systems. Le cabinet Challenger s'attend aussi à d'autres départs en 2009. C'est Bill Watkins, PDG de Seagate Technology, qui a ouvert le bal en annonçant, hier, qu'il quittait la direction de son entreprise. (...)
(14/01/2009 12:45:11)La fonction publique continue de recruter des informaticiens
Crise oblige, les campagnes de recrutement, auparavant massives, ont tendance à se raréfier dans les entreprises informatiques du privé. En revanche, le secteur public, lui continue de recruter, pour répondre aux enjeux de la réforme de la modernisation de l'Etat. C'est le cas du ministère de l'Intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales, qui annonce l'ouverture, pour 2009, de ses concours d'ingénieur des systèmes d'information et de communication. Plus d'une centaine de postes à pourvoir aux Finances Les candidats devront retirer leurs formulaires d'inscription avant le 27 février pour participer aux épreuves, dont la date a été arrêtée au 6 avril. Ils pourront s'inscrire en se connectant sur le site Internet du ministère de l'intérieur, ou bien par voie postale. Le nombre de postes ouverts pour chacun des concours sera fixé par arrêté, ultérieurement. Autre concours pour les informaticiens qui souhaitent intégrer la fonction publique, celui de la direction générale des finances, qui cherche à recruter un peu plus d'une centaine d'informaticiens, des analystes et des programmeurs. La date de retrait des candidatures a été fixée entre le 22 janvier et le 11 février, selon les catégories professionnelles recherchées. (...)
(13/01/2009 17:12:02)Oracle fait l'objet de rumeurs sur des suppressions de postes massives
La crise ébranlera t-elle l'industrie de l'édition logicielle ? Quoiqu'il en soit, après Microsoft et IBM, c'est au tour du Californien Oracle de faire l'objet de rumeurs sur des suppressions de postes. Vendredi dernier, des sources d'origines diverses ont indiqué que le géant des logiciels d'entreprise s'apprêtait à tailler massivement dans ses effectifs : les consultants et les équipes commerciales seraient les plus touchés, de même que les employés qui ont rejoint Oracle suite aux rachats d'Hyperion Solutions et de BEA Systems. Néanmoins, la lumière reste à faire sur le nombre de salariés qui pourraient être remerciés, car le chiffre varie sensiblement selon les différentes sources et cabinets d'analystes. Ainsi, Tim Klasell, consultant chez Thomas Weisel Partners, table sur plusieurs centaines de suppressions de postes, en tout cas sur un nombre inférieur à 1 000, et ne croit pas aux 8 000 coupes franches évoquées sur certains blogs et forums, qui correspondraient à la suppression de 10% des effectifs d'Oracle (84 000 employés dans le monde). En se référant à à l'historique des acquisitions et des plans de restructurations chez Oracle, l'analyste considère que les départs pourraient intervenir à compter du printemps 2009 et qu'ils s'effectueront non pas en bloc, mais par vagues. Du côté des salariés d'Oracle, on est loin de partager ce point de vue : ainsi, un commercial basé chez l'éditeur aux Etats-Unis aurait appris, en réunion, que le nombre des suppressions de postes était beaucoup plus élevé que les 1 000 mentionnées par l'analyste et qu'Oracle serait contraint d'en passer par là en coupant principalement dans les effectifs très élevés de BEA. D'autant que, selon un document remis le 22 décembre par Oracle à la SEC, l'éditeur se serait engagé à verser 141 M$ d'indemnités de départ à des salariés de BEA. En 2007, BEA décidait de revoir les modalités d'indemnisation des salariés qui auraient quitté l'entreprise moins d'un an après son rachat, modalités estimées entre 3 et 12 mois de salaires, plus le bénéfice d'une assurance santé. De son côté, la direction d'Oracle a refusé de commenter ces informations. (...)
(13/01/2009 17:06:28)Syntec Informatique prépare son plan d'action pour doper l'industrie du logiciel
C'est le 20 janvier prochain que la commissaire européenne à la Société de l'information Viviane Reding doit recevoir à Bruxelles les différents contributeurs lui ayant transmis des propositions pour développer l'industrie du logiciel en Europe. Parmi eux, le Comité Editeurs de Syntec Informatique, co-présidé par Pascal Rialland (DG de SAP France) et Gérard Claverie (vice-président du conseil de surveillance de Générix), qui a remis le 12 novembre dernier à la commissaire une prise de position commune avec huit autres associations professionnelles IT européennes. Entre-temps, chacune de ces organisations a travaillé localement pour bâtir un plan d'action afin d'avancer concrètement au niveau de chaque pays, dans la droite ligne des propositions faites à Bruxelles. Dans ce cadre, le Comité Editeurs du Syntec Informatique devrait restituer, fin février ou début mars, un premier niveau de plan d'action détaillé répartissant les actions à mener en quatre axes, sous le sigle i3C : Innovation, Client, Croissance et Consolidation. " Le rapport Besson a formalisé qu'il y a création de croissance lorsqu'on investit dans les nouvelles technologies, mais sans mettre suffisamment l'accent sur l'industrie du logiciel ", rappelle Pascal Rialland. D'où l'importance, pour le syndicat professionnel, de renforcer les initiatives propres à doper ce marché sur lequel évoluent une multitude de petits acteurs. Un statut pour les éditeurs et l'extension du crédit innovation En tout premier lieu, dans le domaine de l'innovation, primordial s'il en est, le Comité Editeurs maintient son souhait que soit établi un véritable statut pour les sociétés d'édition de logiciels, dans l'esprit de ce qu'il avait déjà proposé en janvier 2008 dans le rapport réalisé avec le Medef (" Faire de la France un leader de l'économie numérique "). De même, le Syntec Informatique réitère son intérêt pour la création d'un fonds commun de placement (les SOFICIEL) qui permettrait de déduire fiscalement les investissements réalisés dans les sociétés d'édition de logiciels, au même titre que les SOFICA aident à financer l'industrie cinématographique et audiovisuelle. " Cela me paraît simple à mettre en place et pourrait aider bon nombre de création d'entreprises ", juge Pascal Rialland. Il souligne aussi tout l'intérêt d'étendre l'assiette du crédit innovation, au-delà du coût de l'invention, à l'ensemble du coût de développement, ce qui inclut ainsi la réalisation et le test d'un logiciel prêt à la commercialisation (un coût environ dix fois supérieur à celui de la stricte invention). Communiquer sur les travaux de recherche publics " Nous souhaitons aussi que les pouvoirs publics communiquent sur les travaux des centres de recherche publics qui travaillent parfois dans des domaines proches de l'édition de logiciels, poursuit le co-président du Comité Editeurs. Par ailleurs, Syntec Informatique aimerait se rapprocher des pôles de compétitivité pour développer avec eux une approche collaborative et faciliter les synergies avec nos adhérents. " La valeur réside dans ce qui est développé, et non dans le 'business model' [[page]] Toujours dans le domaine de l'innovation, inventaire sera dressé des différents modèles économiques qui existent dans l'industrie du logiciel (Open Source, SaaS, droit d'usage...) en prenant garde à souligner que l'innovation ne réside pas dans le " business model ", mais dans la plateforme développée et dans la " réponse métier " que le logiciel apporte aux clients qui, seuls, déboucheront sur un revenu récurrent et la génération d'un cash-flow positif. Enfin, dans le cadre du financement de l'innovation, le Syntec Informatique va répertorier les aides disponibles pour indiquer à ses adhérents les mieux adaptées à leur situation. Approfondir les relations avec Ubifrance et avec le Cigref Dans le domaine de l'accès aux clients, deuxième rubrique du plan d'action du Comité Editeurs, l'une des premières initiatives consistera à approfondir les relations avec Ubifrance, l'agence française pour le développement international. Après avoir développé son activité sur le territoire national, un éditeur cherche à l'étendre dans les pays de l'Union européenne et dans les pays francophones. Or il s'agit d'une aventure rien moins qu'évidente (voir par exemple la tribune de Julien Victor, d'Effisoft, dans notre blog Experts) dans laquelle Syntec Informatique peut accompagner fort utilement les PME innovantes qu'il compte parmi ses adhérents. " Nous allons également travailler avec le Cigref avec lequel nous avions déjà une charte ", ajoute Pascal Rialland. Le Cigref, club informatique des grandes entreprises françaises, est présidé par Bruno Menard, vice-président IT groupe de Sanofi-Aventis depuis novembre dernier. Des outils pour aider à attribuer une valeur au système d'information [[page]] Le troisième point du plan d'action concerne la croissance. Il est ici question de valoriser le système d'information des clients et de montrer comment celui-ci peut apporter de la croissance aux entreprises. " Dans ce domaine, nous comptons nous rapprocher de l'Observatoire de l'immatériel ", précise Pascal Rialland. Le co-président du Comité Editeurs reconnaît ici une frustration. " Les entreprises apportent une valeur tangible à leur marque, mais elles ne sont pas capables d'attribuer une valeur à leur système d'information ", regrette-t-il. Une méthodologie et des indicateurs vont donc être mis au point pour aider les clients à valoriser leur SI, notamment face à leur banquier ou à des acquéreurs. Favoriser l'apprentissage et la formation en informatique " Nous entendons aussi mettre l'accent sur l'importance du capital humain en renforçant nos relations avec l'association Pascaline ", complète Pascal Rialland. Créée à l'initiative du syndicat professionnel, Pascaline regroupe 61 écoles et entreprises autour de la promotion des métiers de l'informatique. " Nous utiliserons l'interface unique du Syntec Informatique pour favoriser l'apprentissage et la formation en alternance qui permettent de former et de pré-recruter. " Protéger la propriété intellectuelle Enfin, le quatrième point du plan d'action concerne la consolidation. Ce thème recouvre principalement la protection de la propriété intellectuelle, capitale pour les éditeurs de logiciels. " En trois ans, j'ai constaté une évolution ennuyeuse, alerte Pascal Rialland. Il faut être vigilant sur ce terrain et communiquer. Attention, notamment, aux dépassements d'usage sur les logiciels. Je suis inquiet pour les petits éditeurs. Pour vivre dans ce métier, il faut apporter de la valeur ajoutée et faire respecter son modèle. " Enfin, une réflexion est également menée sur les moyens à mettre en oeuvre pour apporter un peu d'air aux éditeurs au niveau de leur trésorerie et de leurs capacités de financement. (...)
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