Flux RSS
CRM

387 documents trouvés, affichage des résultats 281 à 290.
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(23/05/2008 17:12:45)
Sapphire 2008 : SAP sur tous les fronts du marché PME
Les PME constituant les trois quarts de sa base installée (35 700 entreprises sur 47 800 clients), SAP n'a pas manqué de leur réserver nouveautés, démonstrations et sessions spéciales lors de ses conférences utilisateurs Sapphire (Orlando 4-7 mai, Berlin 19-21 mai). L'éditeur allemand dispose maintenant de trois progiciels de gestion intégrés (PGI/ERP) pour ce marché : SAP Business One (jusqu'à 100 salariés), Business All-in-One (pour les projets métiers), et l'application en ligne Business ByDesign, toujours en phase de pré-lancement dans cinq pays, dont la France. A Berlin, l'éditeur a annoncé pour les utilisateurs de SAP Business All-in-One une gestion de la relation client déclinée de son logiciel CRM 2007. Le produit devrait arriver dans quelques mois (été ou automne) et sera commercialisé par les partenaires revendeurs de l'offre. Bâtie sur la plateforme technologique NetWeaver, la solution couvre la gestion des contacts et des opportunités commerciales, le suivi des actions de marketing et du service au client. L'offre sera livrée préconfigurée afin de faciliter son installation et, ce faisant, de réduire la facture globale. Elle proposera un ensemble de scénarios inspirés des bonnes pratiques identifiées en matière de GRC, ainsi que des fonctions d'analyse intégrées. Un configurateur en ligne pour calculer le coût du projet SAP compte actuellement 11 700 clients de son PGI All-in-One dans le monde dont 1 048 en France. Pour cette offre, SAP a mis en ligne un outil de configuration qui permet à une entreprise de calculer le coût d'un projet All-in-One (licences, services et matériel) suivant les briques fonctionnelles qu'elle souhaite mettre en place. La version française de ce configurateur devrait être disponible sous peu. Dans l'Hexagone, All-in-One est mieux implanté que le produit Business One qui compte seulement 400 clients français, contre 18 690 dans le monde. Pour augmenter ses ventes sur Business One, la filiale française entend maintenant miser sur des partenaires capables de lui apporter un volume d'affaires significatif plutôt que sur « un volume de partenaires », a confié Walter Lenarduzzi, responsable de la division PME de SAP France. « Nous allons vous surprendre » Sur le premier trimestre 2008, l'éditeur allemand a gagné 1 600 nouveaux clients dans les petites et moyennes entreprises. « Chaque jour, vingt-six PME nous rejoignent », précisait à Berlin le président de l'activité PME globale chez SAP, Hans-Peter Klaey.[[page]] En revanche, l'éditeur a levé le pied sur le planning de l'offre SAP Business ByDesign, repoussant sa disponibilité générale de 12 à 18 mois et réduisant de 100 M€ les investissements prévus sur ce projet (lire à ce sujet sur www.cio-online.com l'analyse de Hans-Josef Jeanrond, analyste du Bitgroup : « Les aberrations de la bourse »). Hans-Peter Klaey explique qu'il convient de conforter l'architecture « mega-tenancy » utilisée pour l'hébergement. Celle-ci permet de gérer de multiples instances pour chaque client et de disposer ainsi d'un environnement très sécurisé, facilitant en particulier les opérations de maintenance. [mise à jour] « Pour la première fois, il s'agit pour nous de résoudre des problèmes [NDLR : techniques] que nous n'avions pas rencontrés jusque-là », a expliqué Henning Kagermann (à droite sur la photo), co-PDG de SAP, lors d'une conférence de presse sur Sapphire. En concluant avec un sourire : « Nous allons vous surprendre ! ». SAP veut préserver sa marge financière SAP reconnaît aussi prolonger la phase de lancement de Business ByDesign pour préserver sa marge financière sur ce projet, très stratégique pour lui. « Ce que nous allons livrer sera unique sur le marché, a confirmé Léo Apotheker, deuxième co-PDG (à gauche sur la photo), qui doit succéder à Henning Kagermann l'an prochain. « Il ne s'agit pas d'une application de gestion des opportunités commerciales [NDLR : faisant ainsi référence à Salesforce.com], mais d'une application de gestion intégrée complète conçue pour supporter les processus stratégiques de l'entreprise. » A Berlin, l'éditeur n'a pas lésiné sur les démonstrations de Business ByDesign. Pour l'instant, l'application compte 150 clients. Une demi-douzaine d'entreprises sont déjà en production en France, parmi lesquelles Arumtec (qui est venu témoigner sur Sapphire), Micropole Univers et, au Luxembourg, SOA People. (...)
(21/05/2008 18:16:09)Sapphire : SAP presse ses clients vers les projets SOA
SAP enchaîne les conférences utilisateurs. Deux semaines à peine après le Sapphire américain d'Orlando, l'éditeur allemand de progiciels de gestion a réuni ses clients et son écosystème à Berlin (environ 9 000 personnes du 19 au 21 mai). Désormais reconnu aussi comme fournisseur d'infrastructure avec sa plateforme NetWeaver lancée en 2003, SAP a une fois de plus insisté sur les bienfaits de l'architecture orientée services (SOA). Henning Kagermann, co-PDG de SAP (en photo), l'a illustré en montrant comment on pouvait transformer rapidement un processus métier en modifiant l'enchaînement des services Web invoqués, y compris en incluant dans le processus des services Web proposés par des fournisseurs. L'éditeur prépare pour le deuxième semestre de nouveaux outils de gestion des processus et des règles métiers (projet Galaxy) qui, couplés avec son environnement de composition d'applications composites, viendront s'appuyer sur le référentiel de services (Enterprise services repository) pour intégrer des services SAP et non SAP. 1,2 millions de membres sur SAP Developer Network Au niveau mondial, 10 000 clients de l'éditeur ont désormais migré sur ERP 6.0 qui repose sur une architecture SOA, et quelque 38 700 déploiements ont déjà été effectués sur NetWeaver (qui intègre l'outil de portail et permet de mettre en place des applications composites). [[page]] Une fois passé à ERP 6.0, les clients peuvent évoluer à leur rythme en se voyant proposer des packs d'améliorations fonctionnelles (enhancement packages) qu'ils choisiront d'installer en fonction de leurs besoins du moment. SAP fait remarquer qu'en réduisant ainsi le coût des évolutions et en apportant plus de flexibilité dans la transformation des processus métiers, il fait aussi baisser le coût total de possession du système informatique. Il guide donc ses clients dans cette direction. Pour les y accompagner, l'éditeur a annoncé sur Sapphire qu'il renforçait ses prestations de services et de support pour aider les entreprises dans leurs projets SOA. Un « starter kit for enterprise SOA » est notamment mis gratuitement à la disposition des clients sur le réseau SAP Developer Network ouvert par l'éditeur pour favoriser les échanges entre les utilisateurs de NetWeaver. Il s'agit désormais d'un réseau très actif qui compte à ce jour 1,2 millions de membres et sur lequel « une question reçoit en moyenne une réponse en 17 minutes », affirme Vishal Sikka, directeur technique de SAP. Le bon outil d'analyse au bon moment L'un des thèmes favoris d'Henning Kagermann étant la co-innovation, le dirigeant s'est fait un plaisir de présenter aux participants de Sapphire les premiers développements réalisés par RIM, fabricant du smartphone Blackberry, pour exploiter l'application de GRC (gestion de la relation client) de SAP depuis le fameux terminal portable. Accéder à ses contacts, ses dossiers clients et ses rendez-vous depuis le mobile ou y saisir directement de rapides comptes-rendus de visite... Pour avoir vu maintes fois ses équipes commerciales agrippées à leur Blackberry, le PDG ne doute pas un instant du succès de la future application. Enfin, ce Sapphire berlinois avait un caractère particulier. D'une part, il accueillait aussi les utilisateurs de l'éditeur Business Objects, racheté en octobre et désormais entité de SAP. Les premiers packages intégrés avec l'offre décisionnelle de BO ont été livrés et Henning Kagermann ne s'est pas privé de dérouler les écrans d'une SAP Business Suite affichant au bon moment l'outil d'analyse permettant de prendre rapidement la bonne décision (reliant ainsi étroitement stratégie et exécution). Mais, d'autre part, il s'agissait probablement du dernier Sapphire qu'Henning Kagermann présidait en tant que PDG de la société. En avril dernier, le dirigeant a en effet annoncé qu'il quitterait ce poste l'an prochain. Ce faisant, il a souhaité partager pendant une année la direction de l'entreprise avec celui qui doit lui succéder, Léo Apotheker, afin d'effectuer une passation de pouvoir sans à coups. En procédant ainsi, il est assuré que « les décisions prises aujourd'hui seront soutenues par le prochain PDG », confiait-il dans une récente interview. (...)
(19/05/2008 16:27:31)4 MdE de revenus pour le marché français de l'ERP en 2007
Selon le cabinet d'études IDC, les ventes de licences de logiciels ERP et les prestations de services associées ont progressé de 5,9% comparé à 2006, générant ainsi 4,03 Md€ de revenus l'an dernier. Les services constituent de loin la plus importante partie du chiffre d'affaires dégagé puisqu'ils ont occasionné 3,13 Md€ de facturation en 2007. Les revenus issus de la vente de licences et de services de maintenance se sont établis quant à eux à 899 M€, soit une croissance de 4,9% sur un an. Par domaines fonctionnels, « l'essentiel des revenus du marché des ERP s'articule encore aujourd'hui autour des modules classiques », à savoir la comptabilité / finance (30% des revenus licences et maintenance en 2007), la gestion des RH (17,5%), la GPAO (14,7%), la gestion commerciale (12,6%) et le CRM (11,7%). Les modules liés à la gestion de projet ou à la gestion de la chaîne logistique ne représentent respectivement que 3,1% et 8% des revenus du marché de l'ERP. A noter que les modules Ressources Humaines et CRM ont été les plus dynamiques en 2007 avec des volumes de ventes de licences en croissance leur respective de 7,1 et 6,5% en 2007. (...)
(09/05/2008 13:53:52)Henning Kagermann évoque l'avenir de SAP, un an avant son départ
Les conférences Sapphire qui réunissent en ce mois de mai les utilisateurs des applications de gestion de SAP (à Orlando, du 04 au 07, à Berlin du 18 au 21) figurent parmi les dernières auxquelles Henning Kagermann assistera comme PDG de l'éditeur allemand, numéro un mondial des progiciels de gestion intégrés (PGI, en anglais ERP). Il est en effet prévu que le dirigeant transmette les rênes de l'entreprise l'an prochain à Léo Apotheker. Henning Kagermann se dit sur la même longueur d'ondes que son futur successeur avec lequel il a déjà travaillé pendant de longues années. Depuis un mois déjà, les deux hommes co-dirigent la société, à la demande d'Henning Kagermann lui-même. « Cela me permettra de transmettre mes responsabilités tranquillement. Je n'ai aucun souci, » a-t-il confié à IDG News Service. Avec son équipe, [Léo Apotheker] fera en sorte d'atteindre les objectifs fixés pour 2010. » L'éditeur devrait attendre l'an prochain pour dévoiler sa stratégie au-delà de 2010. « J'aurais pu le faire cette année, mais j'estime qu'il faut impliquer la nouvelle équipe dans cette démarche ». Un dirigeant qui connaît bien SAP SAP a toujours compté de nombreux ingénieurs et scientifiques dans son encadrement. Pour autant, le profil plus commercial de Léo Apotheker ne gêne pas le futur retraité. « SAP est une entreprise différente maintenant. Grande, équilibrée. Les enjeux technologiques sont pris en charge par un très grand nombre de collaborateurs. La responsabilité n'en incombe plus à une seule personne. Partant de là, nous avons davantage besoin d'un dirigeant qui comprend SAP et les problèmes de ses clients, et qui soit capable de rassembler une bonne équipe autour de lui. C'est ce qui me paraît le plus important à l'avenir. » Pour Henning Kagermann, il n'est pas nécessaire d'être ingénieur pour conduire une entreprise d'édition de logiciels. Le concept de co-PDG, très particulier, fonctionnerait sans doute moins bien aux Etats-Unis où l'on trouve de fortes personnalités comme Larry Ellison ou Steve Ballmer. Henning Kagermann reconnaît que les dirigeants américains avec qui il s'entretient sont plutôt surpris de cette direction partagée. Mais « pour SAP, ce n'est pas exceptionnel. Moi-même, j'ai co-dirigé l'entreprise entre 1998 et 2003 avec Hasso Plattner [NDLR, l'un des cinq co-fondateurs de la société en 1972] » Il s'agit avant tout de bien préparer la transition, d'assurer une succession sans rupture. Cette année de co-direction, c'est un « bon signal » que SAP envoie pour montrer qu'il n'y aura pas de changement radical. « Les décisions prises aujourd'hui sont soutenues par le prochain PDG, c'est nettement mieux, » juge Henning Kagermann. Il n'y a personne qui ne puisse être remplacé en interne[[page]] Interrogé sur le départ, l'an dernier, du directeur technique Shai Agassi, forte personnalité qui aurait dû le remplacer, le dirigeant dit respecter les décisions de chacun. Il fait aussi remarquer que SAP compte dans ses rangs de très nombreux talents et souligne qu'il n'y a personne qui ne puisse être remplacé en interne. « Si une entreprise ne peux pas faire cela, c'est qu'elle a un problème. Il doit en être ainsi. » Et s'il devait dresser un bilan de son action, le dirigeant retient que, depuis 2002, alors que le contexte économique était particulièrement difficile, l'éditeur allemand est revenu à une croissance à deux chiffres et a gagné des parts de marché. Le rachat de Business Objects [NDLR, éditeur français, spécialiste des applications décisionnelles] a constitué la plus importante acquisition de l'histoire de la société. Enfin, Henning Kagerman, rappelle l'ampleur du projet SAP Business ByDesign [NDLR : solution de gestion hébergée pour les PME qui, tant par la nature de son modèle économique qu'au niveau technologique, constitue un défi de taille pour SAP]. Le dirigeant estime qu'il partira en laissant l'entreprise dans une bonne position pour croître sur de nouveaux secteurs et dotée d'un bon portefeuille de produits pour les cinq à dix ans à venir. (...)
(07/05/2008 09:49:03)Le fondateur de TomorrowNow s'attaque au support de SAP R/3
Des prestations de maintenance autour des applications de gestion SAP R/3 qui diviseraient par deux les dépenses annuelles consacrées à ce poste. C'est l'offre que vient de constituer, aux Etats-Unis, la société Rimini Street en profitant, pour l'annoncer discrètement, de la tenue concomitante à Orlando de la conférence utilisateurs Sapphire de l'éditeur allemand SAP (04-07 mai 2008). Rimini Street a été créée en 2005 par Seth Ravin, qui n'est pas un inconnu pour SAP. C'est lui qui, cette année-là, avait revendu à l'éditeur allemand la société TomorrowNow, spécialisée dans la maintenance des applications Oracle. Une acquisition qui, par la suite, devait causer bien des tracas à SAP, accusé par Oracle de vol d'informations par son intermédiaire (l'instruction est en cours). La société dirigée par Henning Kagermann aimerait bien, depuis quelques mois, se séparer d'une filiale devenue plutôt embarrassante. Une prestation à prix cassé alors que SAP augmente ses tarifs En s'attaquant au support de SAP R/3, Rimini Street espère tirer profit de la récente décision de SAP de supprimer son option de « Basic Support » tarifée à 17%, en faveur d'une option plus complète, proposée à 22%. Prévue pour démarrer début 2009, la prestation de support de Rimini Street vise en effet les entreprises qui répugnent à lâcher des versions de progiciels qui leur conviennent encore parfaitement, même si elles commencent à dater. Des utilisateurs qui, toutefois, ne sont pas prêts à débourser plus que de raison pour conserver ces applications. (...)
(05/05/2008 17:34:13)SAP et RIM intègrent les fonctions de SAP CRM à celles du BlackBerry
L'éditeur de progiciels intégrés SAP prépare avec RIM l'intégration de ses applications aux fonctions de communication du BlackBerry, terminal portable qui s'est largement diffusé ces derniers mois (quelque 14 millions d'exemplaires du Blackberry ont été écoulés entre mars 2007 et février 2008). Pour l'éditeur allemand, insérer ses fonctions, en mode natif, dans cet environnement mobile devenu familier à de nombreux utilisateurs peut contribuer à en favoriser l'adoption. Les équipes commerciales constituent l'une de ses premières cibles. A l'occasion de sa conférence utilisateurs Sapphire (Berlin, 19-21 mai 2008), SAP présentera ainsi une version de son offre de gestion de la relation client, SAP CRM, intégrée de façon native avec la messagerie, l'agenda et le calendrier du terminal de RIM, pour accéder aux contacts et préparer les rendez-vous commerciaux. La sortie de ce logiciel est prévue pour le troisième trimestre. Les utilisateurs itinérants accéderont aux données en mode connecté, mais pourront également continuer à travailler en cas d'interruption de la liaison. Le BlackBerry synchronisera automatiquement les données avec le serveur distant dès le rétablissement de la connexion. Des fonctions d'administration centralisée des applications mobiles seront évidemment disponibles. Rappelons que le fournisseur allemand a livré en décembre dernier une nouvelle version de son offre de gestion de la relation client, SAP CRM 2007. D'autres solutions SAP seront ultérieurement intégrées de la même façon au BlackBerry. Quant à RIM, il n'exclut bien sûr pas de réaliser des partenariats similaires avec d'autres éditeurs. (...)
(02/05/2008 18:04:17)IBM ouvrira une place de marché applicative pour les PME
IBM poursuit ses grandes manoeuvres en direction des PME. Le fournisseur a annoncé jeudi 1er mai qu'il préparait pour cette cible d'entreprises une place de marché proposant un catalogue d'applications développées par des éditeurs indépendants. Ce projet, appelé Blue Business Platform (ou encore Global Applications Marketplace), est destiné à faciliter la recherche de solutions informatiques pour des structures de moins de 500 salariés, segment encore largement inexploré pour IBM. L'initiative implique évidemment les partenaires de Big Blue qui déploieront ensuite les logiciels auprès des clients. Son succès dépendra beaucoup de l'adhésion des éditeurs puisque ces derniers devront intégrer un jeu d'API pour que leurs solutions figurent sur cette place de marché. En présentant ce projet, IBM l'a comparé à Amazon.com en précisant que la description des produits pourra s'accompagner d'avis d'utilisateurs. Par ailleurs, en osant une autre comparaison, à l'instar d'iTunes qui s'adresse aux utilisateurs de matériels Apple, la Blue Business Platform vise uniquement les utilisateurs de matériels IBM. D'autres éditeurs ont déjà ouvert des places de marché en ligne. Précurseur en ce domaine, Salesforce dispose d'un catalogue de plus en plus étoffé. Et Microsoft a créé sa propre place, Small Business Center. IBM devra aussi compter avec Intel qui vient de présenter un projet similaire. Sur la place Intel Business Exchange, on également annoncée jeudi,pourra de la même façon explorer un catalogue d'applications, fonctionnant cette fois-ci dans les environnements Intel. Une place de marché où, entre autres, on trouvera à la fois des solutions développées par Salesforce.com et Microsoft. (...)
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |