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(20/01/2005 19:01:51)

PostgreSQL 8.0 supporte enfin en natif la plate-forme Windows

Le PostgreSQL Development Group annonce la sortie de la version 8.0 de la base de données Open Source (sous licence BSD), PostgreSQL. Principale nouveauté : le support en natif de la plate-forme Windows (à partir de Win2000). Ce qui, selon le consortium, devrait hisser la base de donnée au rang des ténors - non Open Source - du secteur, tels qu'Oracle, DB2 d'IBM, et Sybase. Et également accroître la popularité de la base, auprès des utilisateurs Windows. Il est à noter que l'installation de PostgreSQL était auparavant possible via l'ajout d'une couche supplémentaire de type émulateur, ou en achetant une version commerciale développée par un éditeur tiers.
Outre le support natif de Windows, la version 8.0 embarque une kyrielle de nouveautés, notamment l'apparition des points de sauvegardes, d'espaces logiques (Tablespaces), ainsi que l'amélioration de la gestion du cache.
Une douzaine de sociétés auraient collaboré au développement de la version 8.0, telles que Red Hat et Fujitsu (notamment en finançant en partie le projet).
PostgreSQL reste téléchargeable depuis www.postgresql.org, un fichier d'installation pour Windows (MSI) ayant été par ailleurs développé.

Rappelons par ailleurs que Pervasive Software a récemment annoncé qu'il distribuerait la version 8.0 de PostgreSQL, en solution intégrée, accompagnée d'outils d'administration et de services associés. (...)

(18/01/2005 19:06:42)

La productivité des systèmes logiciels confiée à un consortium mené par Thales

20 millions d'euros sur deux ans : c'est la somme que vient de budgéter la Commission européenne pour l'affecter à un projet de recherche piloté par Thales consacré à la productivité des systèmes logiciels baptisé Modelware (MODELling solution for softWARE systems). Objectif du projet : fournir un cadre rigoureux et cohérent pour améliorer les processus d'ingénierie, automatiser la production de la plupart des logiciels objets (tests, documentations, codes…). En fait, il s'agit de pouvoir concevoir des logiciels de meilleure qualité, plus complexes et plus fiables tout en réduisant les coûts et les délais de développement. Modelware s'appuie essentiellement sur une avancée scientifique et technique récente, le MDD (Model Driven Development). Cette technique a recours à des niveaux d'abstraction poussés sur le développement de modèles pour la spécification et la conception des logiciels. Les outils orientés MDD ou MDA (Model driven architecture) génèrent ensuite les applicatifs depuis le modèle en fonction de la plate-forme de déploiement visée.
Le consortium réunit dix-neuf partenaires technologiques à forte composante logicielle venant de toute l'Europe : Adaptive Limited (Royaume-Uni), AS Aprote (Estonie), Enabler Informàtica (Portugal), ESI (Espagne), France Telecom, Fraunhofer Fokus (Allemagne), IBM (Royaume-Uni et Israël), Imbus AG (Allemagne), l'Inria, Schlumberger WesternGeco (Norvège), Sintef (Norvège), Softeam (France), les Universités Polytechnique de Madrid, Pierre et Marie Curie LIP6 et de York (Royaume-Uni), Zühlke Engineering (Allemagne) et enfin Thales, chargé donc de la coordination de l'ensemble. (...)

(18/01/2005 19:04:38)

Les conséquences pas si limitées des brevets « libérés » par IBM

Le monde de l'open source considère généralement la « libération » de 500 brevets par IBM comme ayant peu d'intérêt. Or, IBM s'arroge insidieusement une place déterminante dans le développement logiciel par cette politique et les informaticiens européens sont tout à fait concernés. « Parmi les brevets en question, 10 à 20% sont étendus en Europe et donc en vigueur chez nous. Certains sont tout à fait techniques [donc valides, même sans recours au « brevet logiciel », NDLR] : ce qui concerne la gestion de mémoire, le multiprocessing, la compression de données… », affirme ainsi Pierre Breese, président du cabinet de conseil en propriété industrielle Breese, Durambure & Majerowicz.
Rappelons que les programmes ne peuvent pas être brevetés «en tant que tels» en Europe mais que, à l'heure actuelle, il est possible de breveter des éléments ayant des « effets techniques » comme la compression d'un signal, un protocole de télécommunication, etc.
Or, IBM ne renonce pas à ses brevets mais s'engage à ne pas poursuivre ceux qui les utiliseraient dans le cadre de développements open source. « De ce fait, si vous effectuez des travaux dérivés à partir des brevets d'IBM en question, vous pourrez certes breveter vos propres avancées, mais vous ne pourrez pas opposer aux tiers vos propres brevets à moins d'enfreindre les conditions fixées par IBM, qui se retrouve ainsi en position de juge arbitre d'une grande famille de développements », souligne Pierre Breese.
La politique d'IBM pourrait-elle brutalement changer ? Pierre Breese répond : « IBM n'a pas inclus de clause de prudence et ne peut donc pas a priori remettre en question ses déclarations, du moins pour durcir ses conditions. Bien que, en France, une licence portant sur un brevet nécessite un document écrit, il semble difficile pour IBM de remettre en cause ici des engagements pris dans le cadre du droit américain. » (...)

(18/01/2005 19:02:52)

Un groupe de députés européens verts souhaite réétudier la Directive sur les brevets logiciels

Un groupe de parlementaires européens, composé de 42 députés issus du groupe Green / European Free Alliance, a décidé de redémarrer la procédure légale visant à définir la Directive sur les brevets logiciels. Le groupe aurait ainsi adressé une lettre au Comité des Affaires Légales du Président du Parlement, qui doit encore rendre sa décision.
Selon Eva Lichtenberger, député vert autrichien, il s'agirait de remettre à plat la Directive, « la situation au Conseil étant si confuse que le Parlement se doit de reprendre l'affaire en main ». Et de pointer du doigt les décisions prises auparavant par ce même Conseil : « les ministres ont fait ‘une grosse bêtise' en adoptant la proposition du 18 mai, qui servait essentiellement les intérêts des grands comptes. Et ce en ignorant les recommandations du Parlement».
Si le Comité autorisait la relance de la procédure, l'initiative des Verts européens devra toutefois obtenir l'aval des principaux groupes politiques du Parlement.

Lundi 10 janvier, 61 députés de 13 pays avaient également fait part de leur intention de relancer le débat. (...)

(11/01/2005 19:00:57)

Bruxelles pourrait reprendre à zéro le débat sur la brevetabilité du logiciel

Un nouvel épisode de la saga sur la brevetabilité du logiciel est en cours à Bruxelles. Un groupe de soixante et un membres du Parlement européen, en provenance de 13 pays, vient de déposer une motion afin que la Commission et le Conseil européens revoient leur copie.

Le texte récemment soumis au Conseil est critiqué par la communauté Open Source, mais aussi par plusieurs éditeurs européens pour sa position trop "pro-brevabilité". Il est l'objet de multiples polémiques entre le Conseil et le Parlement et n'a été bloqué qu'en dernière limite par un veto polonais au dernier Conseil européen... sur la pêche (voir à ce propos le blog d'Olivier Rafal sur le Web du Monde Informatique…)

Si une majorité de parlementaires vote en faveur de cette motion, Bruxelles pourrait être contraint de reprendre ses travaux à zéro. Le porte parole de l'Association des industriels, l'EICTA, qui comprend parmi ses membres des poids lourds tels que Microsoft, SAP, Sun, Nokia, etc., estime que ce recours à peu de chance d'aboutir. Florian Muller défenseur actif du mouvement « NoSoftwarePatent » a tout de même bon espoir puisque 400 des 732 membres du Parlement sont des nouveaux venus. Quoi qu'il en soit, la prochaine séance du 21 février promet d'être intéressante... (...)

(11/01/2005 18:43:59)

Pervasive Software donne des ailes à PostgreSQL

Le Texan Pervasive Software va distribuer sous forme de solution intégrée la base de données Open Source PostgreSQL. L'offre sera baptisée Pervasive Postgres, et intégrera le portefeuille de produits de l'éditeur dès février 2005. Objectif mis en avant: s'insérer sur le marché professionnel, et surtout offrir une alternative à MySQL, la base de données Open Source concurrente, qui, pour l'heure, squatte les applications Web Open Source des grands comptes. L'éditeur couplera la base dans sa version 8 à une gamme d'outils d'administration et de connecteurs. Pour toucher les entreprises, Pervasive entend également développer une série de services associés : une assistance à l'abonnement, comprenant notamment les mises à jour, le support et l'utilisation d'outils d'administration. Son coût : à partir de 99 $ par an et par serveur, pour une version de base (mise à jour seule), à 4 999 $ par an et par serveur, pour la version Premium. L'éditeur proposera également des services de migration depuis notamment MySQL, Oracle, DB2 et Sybase, via l'intervention sur place de consultants. A l'image de MySQL AB, qui a récemmentétendu son offre de conseil autour de sa base éponyme, « pour accélérer son adoption dans les entreprises ».
Autre service pouvant être couplé à Pervasive Postgres : le développement personnalisé (telle que l'optimisation de la base), puis la formation du personnel dédié.
Pervasive indique que Postgres sera distribuée gratuitement sous licence BSD. Il devrait également poursuivre les développements en collaboration avec la communauté PostgreSQL (PostgreSQL Core Team).
Pour l'heure, l'éditeur rend disponible en téléchargement une version de test, baptisée Pervasive Postgres 8 Early Access Edition. (...)

(10/01/2005 18:20:56)

Le W3C relance Internationalization Activity et élève Smil 2.0 Second Edition au rang de recommandat

Le W3C réactive son activité liée à l'internationalisation (i18n) et à la localisation (l10n), via trois groupes de travail. Yves Savourel (de la société Enlaso) présidera The Internationalization Tag Set (ITS) Working Group, en charge de la partie technique (notamment la création d'attributs et d'éléments de nouveaux DTD).
Les deux autres groupes de travail, The Internationalization Core et The Internationalization Guidelines, Education & Outreach, seront respectivement dirigés par Addison Phillips (de WebMethods), et Richard Ishida (W3C).
L'objectif du W3C : coordonner et proposer toutes techniques, conventions et guides pour la promotion des standards W3C, toutes langues et cultures confondues.

En parallèle à cette annonce, le consortium vient de passer au rang de recommandation le standard Smil 2.0 Second Edition (Synchronized Multimedia Integration Language), qui est censé autoriser le contrôle d'applications multimédias. Pour autant, il ne s'agit pas d'une refonte du standard. Le W3C corrige ici quelques bogues de la première édition. (...)

(05/01/2005 18:30:11)

UGS achète Tecnomatix pour contrer Dassault Systèmes

L'éditeur de logiciels de CAO et de PLM UGS vient d'annoncer le rachat de Tecnomatix, éditeur de logiciels d'usine numérique (MPM, manufacturing process management) pour un montant de 228 millions de dollars. Une fusion logique et peu surprenante, puisque les deux sociétés, dont les produits sont complémentaires, s'étaient rapprochées il y a deux ans pour proposer une offre commerciale unique. Avec l'intégration de Tecnomatix et de sa gamme eMPower, UGS peut proposer une palette complète de logiciels dans les domaines de la création et de la simulation de produits et de chaînes de fabrication et de la gestion du cycle de vie du produit. Le numéro « un bis » du marché pourra ainsi mieux contrer l'offre de son alter ego Dassault Systèmes, qui dispose du produit Delmia face à eMPower.
UGS avait été vendu par EDS en mars 2004 à un groupe d'investisseurs et a réalisé environ 900 millions de dollars de chiffre d'affaires en 2003. Dassault Systèmes a quant à lui réalisé un chiffre d'affaires de 755 millions d'euros en 2003 (soit environ 1 milliard de dollars au cours actuel), mais la plupart des produits sont distribués par IBM, ce qui minimise le chiffre d'affaires de Dassault Systèmes par rapport à UGS. De son côté, Tecnomatix a réalisé en 2003 un chiffre d'affaires de 86 millions de dollars et subi une perte de 10 millions de dollars. Le chiffre d'affaires de 2004 devrait être en progression de 15 à 20 %, pour un résultat proche de l'équilibre. Tecnomatix compte environ cinq mille clients, dont presque tous les grands constructeurs d'automobiles, d'avions et d'électronique. (...)

(04/01/2005 18:49:27)

AMD World : une conférence développeurs autour du monde AMD

Après des années de guérilla en marge de l'Intel Developer Forum, AMD a finalement décidé d'organiser sa propre conférence développeurs, AMD World, qui devrait se tenir au deuxième trimestre 2005 à Las Vegas ou Phoenix. Selon une source proche d'AMD, l'objectif du fondeur est d'organiser sa conférence au moment du lancement officiel par Microsoft des versions 64 bit de son système d'exploitation Windows.

L'année écoulée a particulièrement bien réussi à AMD qui a réussi à se faire une place au soleil dans le monde des serveurs avec sa ligne de processeurs 64 bit Opteron. En misant sur l'extension à 64 bit du jeu d'instruction x86, AMD a réussi à faire dérailler les plans d'Intel et à marginaliser l'Itanium, désormais relégué à la niche des grands serveurs d'entreprises et des grands clusters de calcul. Le fondeur a de plus pris une confortable longueur d'avance sur son rival, contraint de retoucher ses puces Xeon pour les rendre compatibles avec son jeu d'instruction AMD64.

A ce jour, trois des plus grands vendeurs de serveurs de la planète (HP, IBM et Sun) ont inscrit l'Opteron à leur catalogue et l'intérêt pour la puce va croissant. AMD World pourrait être l'occasion pour AMD de mettre en avant son avance technologique, mais aussi de présenter les futures évolutions de ses puces. Le fondeur devrait en effet présenter vers la même époque ses premières puces bicoeurs Opteron, avec près de six mois d'avance sur les futurs Xeon bicoeurs. (...)

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