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(09/05/2006 12:44:17)

Silicon Graphics vient de déposer son bilan

Le pionnier des stations de travail et des serveurs Unix, Silicon Graphics, cherche une issue à ses difficultés financières. Lui, qui accumulait les pertes depuis plusieurs années, vient finalement de se placer sous la protection de la loi américaine sur les faillites, le « chapitre 11 ». L'industriel entend profiter de cette protection pour réduire sa dette d'environ 250 M$ en six mois. Ce n'est pas à proprement parler une surprise. L'an passé SGI avait déjà mis en garde contre un probable dépôt de bilan après la publication de résultats catastrophiques. En effet, Silicon Graphics a enregistré une perte opérationnelle de 28 M$ pour un chiffre d'affaires de 144 M$ au cours du dernier trimestre 2005. Une perte opérationnelle du même ordre avait déjà été enregistrée au cours du trimestre précédent. En mars dernier, SGI a engagé une politique de restructuration qui n'a visiblement pas suffi à redresser la situation : Silicon Graphics avait alors annoncé le licenciement de 250 salariés, soit 12% de ses effectifs, dans le but d'économiser 150 M$ par an à partir de la fin 2006. A cette annonce s'est ajoutée celle de la démission de Jeff Zellmer, directeur financier, et de Warren Pratt, directeur opérationnel. Aucun des deux n'a pour l'heure été remplacé. Ces deux départs ont fait suite à la nomination d'un nouveau PDG, Dennis McKenna. Selon Charles King, analyste chez Pund-IT, les mauvais résultats de Silicon Graphics sont en partie imputables au lent décollage du processeur Itanium d'Intel, d'une part, et à la concurrence accrue d'autres constructeurs, d'autre part. Selon lui, SGI pourrait même faire une proie de choix pour Hewlett-Packard qui a retenu Itanium pour ses systèmes haut de gamme et gagnerait à attirer les clients de renom de Silicon Graphics. Il reste désormais à voir si la période de redressement judiciaire permettra à l'entreprise de refaire surface, à défaut de renouer avec sa gloire passée. (...)

(09/05/2006 12:43:38)

Les faibles prix conduisent Dell à revoir ses prévisions à la baisse

Dell inquiète les analystes. Le constructeur de PC, premier vendeur mondial, vient en effet de revoir à la baisse ses prévisions pour le premier trimestre de l'exercice 2006. Le groupe texan table sur un chiffre d'affaires de 14,2 Md$, soit la partie basse de la fourchette qu'il avait précédemment annoncée. Surtout, le spécialiste de la vente directe diminue son objectif de bénéfice par action. Là où Dell prévoyait de rémunérer entre 36 et 38 cents ses actionnaires, le groupe a ramené ce chiffre à un plafond de 33 cents. En cause, la politique de prix bas pratiquée "dans la deuxième partie du trimestre", explique le VPCiste. Une grille tarifaire agressive censée porter le volume des ventes et la croissance des revenus. Les analystes s'interrogent cependant sur cette stratégie : les derniers chiffres publiés par Gartner et IDC attestent en effet que les baisses de prix ne s'accompagnent pas d'une progression des ventes. Au premier trimestre 2006, Dell a ainsi réalisé une performance inférieure à celle du marché et, s'il reste premier au classement des vendeurs, il voit sa part de marché fondre doucement au profit de ses poursuivants, HP en tête. (...)

(05/05/2006 16:47:05)

Trimestriels Dassault Systèmes : le chiffre d'affaires grimpe de 29 %

Dassault Systèmes a publié un chiffre d'affaires en hausse pour son premier trimestre 2006. Les revenus s'inscrivent à 256 ME, soit une progression de 29 % par rapport à la même période de l'année précédente. Sur cette somme, 217 Me proviennent de l'activité logiciel, soit 24 % de plus qu'un an auparavant. A taux de change constant, la hausse du chiffre d'affaires atteint 25 %. En excluant les revenus tirés d'Abaqus, acquise en mai 2005, le CA s'élève de 14 %. Le résultat d'exploitation suit la même tendance - il gagne 33 %, à 60,5 ME - ainsi que le résultat net qui atteint 40,7 ME et bondit de 30,9 %. En dépit de ces indicateurs en hausse, et supérieurs aux prévisions des analystes, les perspectives pour les prochaines périodes restent prudentes, voire en recul. Ainsi, Dassault Systèmes prévoit un CA compris entre 1,105 MdE et 1,115 MdE pour l'ensemble de l'exercice, soit la même fourchette que celle communiquée précédemment. En revanche, une modification des hypothèses de taux de change du yen, ainsi que l'impact de l'acquisition de MatrixOne, conduisent le groupe à abaisser sa prévision de bénéfice par action. Jusqu'alors comprise dans une fourchette de 1,79 à 1,81 euro, l'estimation s'inscrit dorénavant entre 1,76 et 1,78 euros. (...)

(05/05/2006 16:43:30)

Mandriva place Pulse au coeur de sa stratégie d'entreprise

Mandriva confirme son virage vers les entreprises. Et c'est Pulse, outil de télé-distribution fraîchement inauguré par l'éditeur open Source, qui portera haut le flambeau de la stratégie grands comptes de Mandriva. "Pulse reflète notre ambition de nous développer sur le marché des grands comptes ", martèle François Bancilhon, PDG de l'éditeur open source, qui a dédié une équipe de six ingénieurs autour du produit. La télé-distribution, méthode consistant à déployer, à distance, une application ou ses mises à jour sur un parc de PC hétérogènes Windows et Linux, manquait d'un digne représentant dans l'open source, raconte Mandriva. A l'inverse de la gestion des actifs, la couche logicielle et la couche serveur. "Pulse apporte ainsi la flexibilité Linux, dans un environnement généralement hétérogène", explique-t-il. Voyant en Pulse, "la clé du développement de Linux en entreprise", l'objectif premier de l'outil consiste bien à pousser à la migration Linux, depuis Windows. Techniquement, Pulse, en version 1.8 lors de son lancement, s'appuie sur des technologies existantes Mandriva, ainsi que sur de nouvelles, notamment RUBY, langage actuellement très en vogue. Pulse repose sur un mode Pull, centralisé depuis un agent installé côté client, qui interroge un serveur central. A l'inverse d'un mode Push, où le serveur central distille vers chaque station. Un système qui autorise notamment l'interrogation d'un référentiel de RPM, fournissant des scenarii de configurations. Si Pulse reprend les fonctionnalités traditionnelles de la télé-distribution, explique David Barth, directeur technique de Mandriva, l'outil supporte, en plus, la technologie IAMT (Intel Active Management Technology) d'Intel, pour la gestion à distance. Stratégie tournée vers les entreprises, commercialisation adaptée Pulse sera commercialisé en "mode projet", affirme François Bancilhon. Soit, basé sur la vente d'une offre de service combinant conseil, déploiement, support et maintenance. A l'image de Red Hat et JBoss, par exemple. Pas de prix d'entrée, mais un modèle de facture selon l'importance du projet: entre 30 000 et 100 000 euros pour un parc de 500 à 1000 postes. Pas de formule packagée également, comme de coutume chez l'éditeur: Mandriva s'appuiera sur un réseau de SSLL et SSII qu'il se chargera lui-même de former et de certifier autour de Pulse. Elles assureront un support de premier niveau. Mandriva gardant ainsi le support de deuxième et troisième niveau ainsi que la maintenance. Distribué sous licence GPL, Pulse devrait par ailleurs étendre ses fonctionnalités en s'appuyant sur les efforts de développement de la communauté open source. Mandriva parle notamment de modules de supervision de réseau et de gestion d'inventaire. Côté marché, Pulse est notamment concurrencé par Red Hat Network chez Red Hat, et ZendWorks chez Novell. (...)

(02/05/2006 17:09:13)

Sun dope Solaris avec ZFS et accueille un nouveau patron pour sa division logicielle

Sun Microsystems devrait annoncer aujourd'hui une nouvelle mise à jour de son système d'exploitation Solaris 10 incluant le support de son système de gestion de fichiers de dernière génération ZFS (Zettabyte file system) et apportant de nouvelles fonctions de disponibilité et d'auto correction sur les serveurs à base de puces Opteron. L'annonce devrait intervenir dans le cadre d'un événement Sun à Washington essentiellement consacré au lancement de nouveaux équipements de stockage de la firme (NAS, SAN et CAS), un lancement sur lesquels nous reviendrons en détail dans notre édition web du mercredi 4 mai. ZFS : optimiser et simplifier la gestion du stockage dans Solaris Annoncé lors du lancement initial de Solaris 10, il y a près de 18 mois, et à l'origine attendu pour novembre 2005, ZFS a été conçu pour simplifier la gestion du stockage et améliorer la protection des données. Le système de gestion de fichiers 128 bit de Sun est censé maximiser l'utilisation des ressources disponibles pour optimiser automatiquement les performances mais aussi lutter contre la corruption des données. Pour cela il est capable de répartir les données ("striping") sur l'ensemble des disques disponibles afin d'optimiser le débit de données. Il sait aussi jouer avec des tailles de blocs variables afin d'adapter la taille des blocs aux types de données stockées et dispose de fonctions intelligentes de gestion du cache. Pour la protection des données, ZFS assure une vérification par Checksum de 64 bit des données enregistrées et il permet un nombre illimité de snapshots, snapshots qui peuvent aussi être utilisés pour créer des clones instantanés des données stockées. Les fonctions avancées de ZFS intéresseraient Apple. Le responsable des développements de systèmes de fichiers de la firme à la pomme, Chris Emura, a récemment indiqué sur la mailing list Open Solaris être intéressé par un portage de ZFS sur Mac OS X. Prévenir les pannes de serveurs Opteron Outre ZFS, la nouvelle mouture de Solaris devrait aussi apporter aux serveurs Opteron de Sun la gestion prédictive des pannes et déficiences matérielles déjà disponible sur les serveurs Sparc de la marque. Ces fonctions seront complétées dans une prochaine révision de Solaris 10 par le support de la virtualisation (basée sur Xen), par l'ajout de la compatibilité avec les binaires Linux sur plate-forme x86 et par l'ajout de nouvelles fonctions de sécurité issues de Trusted Solaris dans Solaris. Un nouveau patron pour la division logicielle Séparément Rich Green fait son retour chez Sun pour prendre la tête de la division logicielle en remplacement de John Loiacono, parti récemment diriger la division logiciels créatifs d'Adobe. Green, un ex-salarié de Sun, s'était fait connaître comme l'un des principaux avocats de Java de la firme mais aussi comme un fervent anti-Microsoft. Au procès antitrust du géant, il avait mené la charge pour Sun en tant que témoin, avant de quitter la firme quelques jours après l'annonce de l'accord à l'amiable avec Microsoft. Green était depuis en charge des produits de Cassat, une start-up fondée par Bill Coleman l'un des co-fondateurs de BEA, qui s'est fait un nom dans l'administration des environnements virtualisés avec sa plate-forme Collage. Dans sa nouvelle fonction, Green présidera aux destinées de la division logicielle de Sun. Une division, qui veille notamment sur Solaris, la plate-forme Java et sur StarOffice. (...)

(02/05/2006 17:16:23)

Antitrust Microsoft : l'incertitude prévaut à l'issue des débats

A l'issue des débats entre les défenseurs de Microsoft et ceux de la Commission européennes, les observateurs ne peuvent tirer qu'une seule conclusion : plus que jamais, la décision finale est empreinte d'incertitude. Après s'être écharpés sur la partie du dossier consacrée à Media Player, les parties ont consacré la fin de la semaine à la question de l'interopérabilité. Le respect de la propriété intellectuelle a constitué la ligne de défense privilégiée de l'éditeur : selon lui, il ne saurait exister de mesure imposant un partage de son code source avec ses concurrents sans que cela n'engendre une remise en cause de la valeur portée à la notion même de propriété intellectuelle. Une notion à la base du métier d'éditeur. Pour étayer la légitimité de la condamnation prononcée en 2004 à l'encontre de Microsoft, la Commission a cité à la barre Andrew Tridgell, le créateur de Samba, le serveur de fichiers open source. Dans sa déclaration, celui-ci a démonté les arguments de Microsoft et a décrit sa vision du monde du logiciel, en particulier le rôle qu'y joue le groupe de Redmond. Andrew Tridgell a ainsi expliqué que, chaque année, les principaux éditeurs de la planète se réunissent pour étudier la façon dont leurs produits interagissent. Mais depuis six ans, Microsoft a tourné le dos à la communauté du logiciel en boycottant cette réunion annuelle, marquant alors un tournant dans l'industrie. Andrex Tridgell estime que l'interopérabilité imposée par la Commission européenne est un élément indispensable " pas pour Samba, mais pour l'ensemble de l'industrie IT (...), pour qu'elle retrouve le niveau de coopération qui existait dans les années 90". Renvoyant dans les cordes Microsoft et ses arguments, le père de Samba a, enfin, pointé du doigt ce qu'il appelle une diversion opérée par l'éditeur. Selon lui, Microsoft élude un point fondamental : les versions successives de Windows sont de moins en moins tolérantes aux systèmes de serveurs concurrents. "Windows, sur un poste client, devient de moins en moins interopérable et tolérant à la concurrence". Au terme des débats, aucune partie ne s'est aventurée dans des prédictions sur la décision de la cour. Entre une Commission indiquant que la ligne de défense de Microsoft n'a pas évolué depuis deux ans, et ce dernier se bornant à déplorer l'atteinte à la propriété intellectuelle que fait peser la condamnation de 2004, bien habile qui pourrait entrevoir le verdict. Un verdict qui ne devrait pas être rendu avant l'automne, voire le début 2007. (...)

(02/05/2006 12:51:11)

Microsoft lance un package pour la vente de logiciels à la demande

Micorsoft propose désormais un package qui doit permettre aux éditeurs tiers de commercialiser leurs logiciels « à la demande ». Sous le nom de Microsoft Solution for Windows-based Hosting for Applications Version 1.0, cet ensemble comprend notamment Microsoft Operations Manager 2005, qui permet l'identification et la résolution de problèmes pour les environnements hébergés ainsi que Microsoft Providing System qui automatise des tâches administratives. Le package propose également des solutions pour centraliser la gestion des environnements informatiques ou encore des mises à jour automatiques. Microsoft commercialise Solution for Windows-based Hosting for Applications v1.0 selon un modèle de licence par abonnement mensuel qui permet aux éditeurs et aux hébergeurs de payer en fonctions de leurs besoins et ne payer que ce qu'ils utilisent. Néanmoins, le détail du système de facturation n'a pas encore été dévoilé. (...)

(28/04/2006 16:56:19)

Avec Control Tower, HP veut simplifier la gestion des lames sous Linux

Près de six mois après son acquisition du pionnier texan des serveurs lames, RLX, Hewlett-Packard vient d'annoncer la sortie d'une nouvelle mouture de Control Tower, le logiciel d'administration de serveurs lames qu'avait développé RLX. HP Control Tower vient notamment combler un trou béant dans l'offre d'administration des serveurs lames en offrant le support natif des environnements Linux, un point important pour HP puisque ses ventes de lames sous Linux sont supérieures à celles de son principal rival, IBM. Le logiciel conserve les points forts qui avaient valu plusieurs récompenses à la mouture précédente (notamment une grande simplicité d'installation et des outils de déploiement de serveurs parmi les plus avancés du marché). Comme promis HP a aussi tissé des liens étroits entre Control Tower et les autres outils de la marque notamment HP Systems Insight Manager, qui équipe en série l'ensemble des systèmes de stockage et de serveurs HP. L'intégration avec Openview devrait se renforcer au second semestre. Il faudra aussi attendre une prochaine version pour que Control Tower s'ouvre à d'autres serveurs que ceux d'HP. Pour l'instant le logiciel ne supporte en effet que les lames Proliant. sous Windows Server 2000 et 2003, Red Hat Enterprise Linux et SUSE Linux Enterprise Server. Control Tower sera disponible au début du mois de mai pour un prix de 199 $ par licence. (...)

(28/04/2006 17:09:02)

Intel se prépare à une réorganisation de grande ampleur

Branle-bas de combat chez Intel. Après un trimestre décevant et la révision à la baisse de ses prévisions pour l'ensemble de l'année 2006, le géant des microprocesseurs se lance dans une revue de fond en comble de ses effectifs et de ses activités. Son CEO, Paul Otellini, n'hésite plus à évoquer un plan de licenciement pour les 90 prochains jours. Les bénéfices d'Intel devraient baisser de près d'un quart en 2006, passant de 12,1 Md$ à 9,3 Md$ en 2006 et son CA reculer de 3% (le sens du mot crise chez Intel reste très relatif, NDLA). En conséquence, Intel prévoit de réduire son train de vie en coupant près d'1 Md$ dans ses dépenses générales et en réduisant ses investissements dans de nouveaux équipements de 300 M$. La firme prévoit aussi de passer en revue ses activités en perte pour décider de leur avenir. "Nous allons restructurer, réorganiser et retailler Intel pour l'avenir" a expliqué sans rire Paul Otellini, des propos qui ont dû glacer certains salariés d'Intel. Otellini n'a pas précisé le nombre de suppressions d'emplois prévues (Intel emploie 100 000 salariés) mais a confirmé que des changements serait annoncé très prochainement : "Il serait trop simple de se limiter à une réduction de nos effectifs. Notre revue sera achevée dans les 90 jours, mais nous n'attendrons pas aussi longtemps pour prendre des mesures. Nous allons mener une réorganisation structurelle de grande ampleur". Intel est confronté à la concurrence d'AMD sur le secteur des microprocesseurs pour PC et serveurs et il doit aussi faire face à la vigueur de concurrents comme Samsung sur le marché des terminaux portables ou à la résistance de Texas Instruments sur le marché des téléphones mobiles et PDA communicants. A propos d'AMD et de sa progression sur le marché des serveurs (l'Opteron détient désormais 22 % des ventes), Anand ChandraSekher, le patron des ventes et du marketing d'Intel a ainsi fait ce rare aveu :" Nous n'avons pas répondu aux besoins du marché ou notre concurrent avait un meilleur produit que le notre". Face à la concurrence, il n'est toutefois pas dans la tradition de la firme de rester immobile. Intel entend regagner du terrain avec ses nouvelles générations de processeurs, attendues pour le second semestre 2006. Ces nouvelles puces devraient afficher un rapport performance par Watt supérieur à celui des meilleures puces d'AMD, un point qui, Intel l'espère, lui permettra de reprendre des parts de marché à son concurrent et d'aborder 2007 en bien meilleure situation. Article rédigé avec la contribution de Ben Ames, notre correspondant d'IDG News Service à Boston (...)

(28/04/2006 16:57:24)

Avocent rachète LANDesk

Avocent, un spécialiste de la gestion d'infrastructures, connu notamment pour ses équipements KVM IP, vient de racheter LANDesk, une ex-filiale d'Intel spécialisée dans les outils d'administration de postes clients pour 416 M$. LANDesk est notamment connu pour ses outils de gestion de parc et de postes, mais aussi pour ses logiciels de gestion de correctifs et de gestion de la sécurité des postes clients. Certaines de ses technologies sont embarquées dans leurs PC par de grands constructeurs notamment Lenovo Le rachat de LANDesk est le second depuis le début de l'année pour Avocent, qui a déjà mis la main sur Cyclades un éditeur d'outil d'administration linux. (...)

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