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(24/07/2008 09:19:57)

Google lance Knol, son encyclopédie en ligne

Google ouvre officiellement les portes de Knol, son encyclopédie en ligne annoncée en décembre et jusqu'alors réservée à quelques testeurs. Un moyen pour le pantagruélique acteur du Web de se diversifier encore un peu plus. Si Knol partage le but de Wikipedia - assembler le savoir collectif sur Internet - il diffère de son prédécesseur par plusieurs aspects. En premier lieu, les contributions des internautes y sont signées par leurs auteurs, qui sont encouragés à utiliser leur véritable identité. A l'inverse, Wikipedia baigne dans un climat d'anonymat, où chacun peut modifier un article en paraphant d'un simple pseudonyme. Autre différence : sur Knol, les auteurs sont libres d'enrichir ou de transformer leurs textes à partir des contributions des internautes. Celles-ci ne doivent donc être vues que comme de simples suggestions qui, si elles sont acceptées, permettront à leurs auteurs de co-signer les articles ainsi amendés. "Nous espérons qu'il y ait de multiples knols sur un même sujet" L'objectif de Google est qu'un même sujet fasse l'objet de plusieurs textes, qui reflèteraient autant de points de vues différents. « Chaque knol aura un auteur ou un groupe d'auteurs, résume le blog officiel du groupe. C'est leur knol, leur voix, leur opinion. Nous espérons qu'il y ait de multiples knols sur un même sujet, nous pensons que c'est ce qui est bien. » De multiples points de vue, mais pas question d'y trouver celui de Google. Le moteur de recherche précise, dans les conditions d'utilisation du service, qu'il n'exercera aucun contrôle éditorial sur le contenu qui sera mis en ligne. La responsabilité de ce dernier incombant donc aux seuls auteurs. Les contributeurs peuvent gagner de l'argent avec AdSense Enfin, et c'est une différence de taille entre Knol et Wikipedia, les contributeurs au nouveau service de Google ont la possibilité de gagner de l'argent grâce à leurs articles. Ils peuvent en effet souscrire au programme AdSense et choisir de faire apparaître des publicités - sous forme de liens contextuels - avec leurs textes. Ils ne peuvent choisir les mots clés déterminant les sites vers lesquels renvoient les publicités : Google explique que ses propres serveurs « déterminent le sujet de votre knol et affichent les publicités les plus pertinentes à destination de vos lecteurs. » (...)

(23/07/2008 16:07:10)

Un spammeur condamné à quatre ans de prison

Le spam peut rapporter gros à ceux qui en sont les auteurs. Notamment de fort rondelettes peines de prison. C'est ce qui vient d'échoir à Robert Soloway, qui a été condamné par la justice américaine à 47 mois d'emprisonnement. En plus de ses activités de pourrielleur, le cyber-délinquant comparaissait pour évasion fiscale. Il rejoint, au palmarès des spammeurs les plus actifs, Jeremy Jaynes et Adam Vitale, respectivement enfermés pour neuf et deux ans. Le juge s'est pourtant montré clément en ne suivant pas les réquisitions du procureur. Celui-ci réclamait une peine supérieure à celles dont ont hérité les deux prédécesseurs de Robert Soloway. Sept à neuf ans derrière les barreaux semblaient plus appropriés, aux yeux du ministère public, en raison du degré de « malveillance, des techniques de harcèlement, du nombre de spams » dont le condamné est l'auteur. Pour son avocat, en revanche, la sanction est trop sévère : le détenu n'a endommagé aucun ordinateur avec ses pourriels, n'a jamais expédié de code malicieux, ni dirigé ses destinataires vers des sites pornographiques. En somme, selon le barreau, Robert Soloway est un gentil spammeur. Des arguments qui n'ont pas ému la Cour, qui a tenu à faire de ce cas un exemple qu'elle espère dissuasif. Surtout, les juges ont basé leur condamnation sur le passif du serial-spammeur, comme le suggérait le procureur : « cet individu a refusé de mettre fin à sa conduite délictueuse, n'a pas tenu compte de deux jugements au civil et d'une injonction prononcée par un juge américain. La manière la plus efficace d'arrêter Soloway est une longue peine de prison. » Le coupable, tout penaud, reconnut, avant de partir vers les geôles, que « nul n'est à blamer, sauf [lui]. » (...)

(23/07/2008 15:56:50)

Trimestriels : Yahoo déçoit avec un bénéfice net en chute de 18%

A quelques jours de son assemblée générale (le 1er août), les résultats du deuxième trimestre publiés hier par Yahoo sont mitigés. Le chiffre d'affaires affiche 6 petits points de plus que l'an dernier, le bénéfice net est en perte de vitesse (-18%) et le bénéfice opérationnel (-45%) est plombé par les efforts déployés par Yahoo pour échapper à l'étreinte de Microsoft (22 M$ de frais juridiques), ainsi que par les investissement consentis pour améliorer la plateforme publicitaire du portail. C'est un ouf de soulagement que pourrait néanmoins pousser Jerry Yang - du moins temporairement. Malmené depuis l'OPA hostile lancée par Microsoft, Yahoo vient en effet de retrouver un semblant de quiétude, en signant un accord avec Carl Icahn, l'actionnaire milliardaire mécontent de l'obstination du PDG de Yahoo à refuser les avances de Microsoft. Au vu des résultats décevants diffusés hier, il vaut mieux pour Yahoo affronter la prochaine assemblée générale avec Icahn dans la poche. Reste à savoir si cet arrangement à l'amiable suffira à convaincre les autres actionnaires de faire confiance au conseil administratif actuel. A l'instar de son prédécesseur, Terry Semel, Jerry Yang pourrait y perdre la tête. (...)

(23/07/2008 14:23:19)

Une pénurie d'iPhone bien mal gérée

Orange, grisé par le succès de l'iPhone 3G, semble ne faire que peu de cas de ses clients potentiels. Alors que l'opérateur a eu la riche idée de mettre en ligne un micro-site permettant de suivre en temps réel les stocks d'iPhone disponibles dans chacun de ses points de vente, les informations présentées se révèlent farfelues. Illustration ce matin dans deux boutiques censées, selon le site, détenir le téléphone tant convoité. L'agence des Champs-Elysées semble la plus prometteuse, avec des modèles 16 Go blancs et noirs en stock. Une heure après l'ouverture, nous nous présentons sur place mais c'est la douche froide : les rayonnages sont vides depuis plusieurs jours, seuls quelques iPhone 8 Go sont encore disponibles et le réapprovisionnement est prévu « demain, normalement ». Quelques stations de métro plus loin, détour par Neuilly, où le micro-site assure qu'il est possible d'acquérir des iPhone 3G 16 Go noirs. Un déplacement inutile puisque, là aussi, les commerciaux ne peuvent que démentir l'information et nous inviter à repasser « plus tard ». Les consommateurs pris pour des poires Les fausses informations présentées par Orange sont d'autant plus regrettables qu'elles ne sont vérifiables qu'à condition de se déplacer dans les agences. Ces dernières ne peuvent en effet être jointes par téléphone « pour privilégier le service aux clients présents physiquement », nous explique le service de presse. Dommage aussi qu'il soit impossible de réserver le téléphone, Orange préférant inciter ses futurs clients à « repasser régulièrement ». Ce principe varie cependant d'une boutique à l'autre, certaines acceptant de mettre de côté des iPhone. Contacté par la rédaction, Orange n'a pas tenu à communiquer sa réaction officielle. L'opérateur se contente d'indiquer que le smartphone « a connu un succès assez énorme dès sa première journée. On ne s'attendait pas à une telle affluence ». Une assertion difficile à entendre : le lancement de l'iPhone dans les autres pays où Apple a décidé de le distribuer a systématiquement été suivi par une pénurie. De là à dire que les marques à la pomme et à l'orange prennent leurs consommateurs pour des poires... (...)

(21/07/2008 16:48:01)

Carl Icahn troque son proxy fight contre une place d'administrateur chez Yahoo

Carl Icahn et Yahoo rejouent le Grand Pardon. Après avoir mené, pendant des mois, la fronde contre la direction de Yahoo, appelant à son remplacement lors de la prochaine assemblée générale, Carl Icahn vient d'enterrer la bataille de mandats dont il était à l'origine. En échange, le milliardaire a sa place réservée au sein du conseil d'administration qui sera élu le 1er août. La liste des administrateurs que s'apprêtait à présenter l'investisseur, qui détient environ 5% des titres Yahoo, n'a donc plus lieu d'être. Seule la liste de Yahoo sera soumise au vote des actionnaires. Huit des neuf membres actuels du conseil d'administration verront leur mandat renouvelé - dont le PDG, Jerry Yang - et la 9e place échoira à Carl Icahn. Par la suite, le conseil s'élargira à onze membres : les deux recrues supplémentaires seront choisies dans la liste dressée par Carl Icahn pour remplacer les administrateurs actuellement en poste. Dans un communiqué, le président de Yahoo, Roy Bostock, indique, comme après chacune de ses décisions, que cet accord est le plus à même de servir les intérêts des actionnaires. De son côté, le milliardaire américain n'a pas tiré un trait sur son envie de voir Yahoo se vendre, en partie ou totalement, à Microsoft. En dépit de sa conviction, il semble avoir pris conscience que le mouvement de rébellion qu'il tentait de faire naître chez les actionnaires risquait fort de ne pas aboutir. Comme nous l'indiquions à la mi-journée, plusieurs gros actionnaires ont récemment fait état de leur circonspection face aux ambitions de Carl Icahn, voire de leur volonté de se ranger derrière la direction en place. (...)

(21/07/2008 12:20:36)

Les actionnaires de Yahoo prennent position deux semaines avant l'AG

A l'approche de l'assemblée générale de Yahoo, prévue pour le 1er août, les actionnaires du portail affichent leurs positions stratégiques. Si Carl Icahn ne déroge pas de la ligne qu'il suit depuis plusieurs mois et se présente en opposant de l'équipe actuelle, d'autres adoptent des positions différentes. C'est notamment le cas d'Eric Jackson, le fondateur du fonds d'investissement Ironfire Capital, qui a pris la tête d'un groupe d'actionnaires intitulé « Plan B » regroupant 3,2 millions de titres. Son crédo : ménager la chèvre et le chou. Eric Jackson ne souhaite en effet ni sortir tous les sortants, ni barrer l'initiative portée par le frondeur Carl Icahn. Il demande donc aux membres du groupe Plan B d'élire cinq administrateurs présentés par la direction actuelle du portail - dont le PDG et co-fondateur Jerry Yang -, et quatre autres issus de la liste Icahn. Ce cocktail serait, selon Eric Jackson, le meilleur compromis pour servir les intérêts de Yahoo tout en parvenant à conclure un accord avec Microsoft. L'actionnaire ne précise cependant pas s'il souhaite une vente de l'ensemble des actifs du portail, ou simplement de l'activité de recherche en ligne. Face à cette initiative, Yahoo pourra compter sur le soutien de Legg Mason, le plus gros actionnaire du groupe, qui détient 4,4% des titres. En fin de semaine dernière, celui-ci a en effet indiqué qu'il accorderait ses votes à l'équipe actuelle plutôt qu'à la liste présentée par Carl Icahn. Et pour rappeler aux actionnaires que les ambitions de l'investisseur milliardaire sont néfastes à leurs propres intérêts, la direction de Yahoo a mis en ligne une page Web intitulée 'Proxyfacts', conçue comme une diatribe anti-Icahn. Celle-ci s'ouvre sur une citation de l'homme d'affaires - « Il est difficile de comprendre ces entreprises technologiques » - et recense ses investissements malheureux menés depuis quatre ans. (...)

(18/07/2008 12:31:48)

Trimestriels Google : le moteur n'a pas de raté mais déçoit les analystes

On peut être une entreprise largement première sur son secteur, réaliser plus d'un milliard de dollars de bénéfice en trois mois, voir ses revenus croître de plus de 30% depuis de nombreux trimestres, et décevoir les analystes. C'est le cas de Google qui, comme chaque trimestre, présente des résultats en nette progression, mais voit le cours de son action reculer. Le chiffre d'affaires de l'hégémonique géant du Web atteint 5,37 Md$ pour son deuxième trimestre clos au 30 juin, et bondit de 39% sur un an. Le bénéfice net progresse, quant à lui, de 35% pour atteindre 1,25 Md$. Des chiffres conformes aux attentes de Wall Street. Paradoxalement, c'est là que le bât blesse : alors que Google a habitué les observateurs à dépasser le consensus, il se contente, pour ce deuxième trimestre, de s'aligner sur les prévisions. Déception également en ce qui concerne le bénéfice par action : à 4,63 $, il est inférieur aux 4,74 $ attendus par les observateurs. Le résultat est immédiat : le cours du titre Google a reculé d'environ 10%. La situation économique américaine n'affecte pas la croissance Google confirme que son activité est désormais plus importante à l'international que sur le seul territoire américain : la part des revenus réalisés à l'étranger s'élève à 52%, soit un point de plus qu'au trimestre précédent. [[page]]La petite moitié du chiffre d'affaires enregistré aux Etats-Unis se semble pas être affectée par le ralentissement économique observé outre-Atlantique : Google indique que sa croissance n'est pas menacée car « plus les temps deviennent difficiles, plus les gens font attention à leur argent et se tournent vers le commerce en ligne ». Ce qui implique une augmentation de la fréquentation des services Google. Illustration avec l'immobilier, les voitures et les voyages : si ces secteurs pâtissent de la situation économique américaine moribonde, ils continuent de croître en tant que mots-clés tapés sur le moteur de recherche. Les investisseurs, inquiétés par un hypothétique ralentissement de l'activité de Google, semblent ne pas avoir prêté attention au fait que, si le bénéfice du groupe ne progresse « que » de 35%, c'est en partie pour des raisons sans véritable rapport avec la situation économique globale. Ainsi, après déboursé 3,2 Md$ pour s'offrir DoubleClick en mars, les réserves de liquidités de Google ont fondu et produisent, logiquement, des intérêts moins importants qu'au trimestre précédent. Les observateurs ont pu être également effrayés par le peu de détails livrés par le groupe sur l'avancement de ses projets. Ainsi, rien ou presque sur l'intégration de DoubleClick qui doit s'achever « dans les prochains mois ». De même, peu d'informations sur le chantier Android, la plateforme mobile de Google. « Nous continuons de prévoir des téléphones [tournant sur Android, NDLR] pour la fin de l'année », s'est contenté d'indiquer Sergey Brin, le cofondateur du groupe. (...)

(18/07/2008 11:38:21)

Annuels Microsoft : les services en ligne perdent 1,23 Md$

A première vue, les résultats annuels de Microsoft ont tout pour plaire. L'éditeur affiche pour son quatrième trimestre fiscal un chiffre d'affaires de 15,84 Md$, un peu au-delà de ce que prévoyaient les analystes, tandis que le gain par action se situe juste à la lisière de ce que le marché attendait (46 cents par action, contre 47 cents). Pour l'année, le CA dépasse les 60 milliards, soit une hausse de 18% par rapport à l'année fiscale 2007. Et alors que les analystes attendaient 60,24 Md$, Microsoft affiche 60,42 Md$. Ce qui vient gâcher la fête, c'est la rentabilité de la division des services en ligne (OSB, Online services business) : son CA a certes monté cette année de presque 32% à 3,2 Md$, mais la perte opérationnelle a elle doublé, pour s'établir à 1,23 Md$ ! Etant donné la bonne santé des autres divisions de Microsoft, cette contre-performance pourrait passer pour un aléa normal. La division Client (les systèmes d'exploitation pour PC, autrement dit Vista) affiche ainsi un résultat d'exploitation de 13 Md$ pour un chiffre d'affaires de 16,8 Md$ - soit une marge brute de 77,4%... Microsoft Business Division, qui chapeaute les progiciels Dynamics et la suite bureautique Office, enregistre un gain opérationnel de 12,3 Md$ pour un CA de 18,9 Md$, soit une marge brute de 65% Après Yahoo, Microsoft courtise la part de marché d'AOL [[page]] Mais le fait est que Microsoft mise énormément sur OSB. Steve Ballmer l'avait admis dans un entretien exclusif avec LeMondeInformatique.fr : le business en ligne est devenu - dans l'esprit du patron de Microsoft sinon dans les faits - le second pilier de l'éditeur. Comme le prouvent la stratégie S+S (Software plus services) et le long feuilleton du rachat impossible de Yahoo. Responsable des relations avec les investisseurs, Colleen Healy explique cette contre-performance d'OSB par les restrictions budgétaires chez les annonceurs et la pression sur les prix exercée par la concurrence sur ce marché. Elle a ajouté que le nombre d'annonceurs avait tout de même augmenté de 28% au cours de l'exercice fiscal. De fait, comme l'a constaté IDC, le marché de la publicité en ligne est promis à un bel avenir : le cabinet d'études le voit doubler de taille rien qu'aux Etats-Unis d'ici à 2012, pour passer à 51,1 Md$. Depuis son rachat de la régie publicitaire aQuantive, Microsoft n'a qu'une idée en tête : améliorer sa part de marché dans le domaine des moteurs de recherche, pour mieux concurrencer Google ; d'après Comscore, Yahoo a deux fois sa part de marché, Google six fois. L'éditeur a ainsi racheté Fast, puis plus récemment le moteur de recherche sémantique Powerset, et, éconduit par Yahoo, est en négociations avec AOL. (...)

(16/07/2008 15:58:48)

Microsoft conteste l'accord Google/Yahoo devant le Sénat américain

Deux semaines avant l'assemblée générale qui devrait décider du sort de Yahoo, tous les prétextes sont bons pour déstabiliser l'adversaire et faire pencher la balance de son côté. Il y a quelques jours, c'est Yahoo qui refusait une offre formulée par Microsoft avec l'association de Carl Icahn, n'hésitant pas à la qualifier de grotesque. Aujourd'hui c'est au tour du géant de Redmond de dégainer ses derniers arguments. Brad Smith, avocat général du groupe, a descendu le partenariat liant Yahoo à Google devant le Sénat américain. Dès son annonce, Microsoft avait condamné cette alliance, la jugeant anti concurrentielle sur le marché de la publicité en ligne. Brad Smith est monté hier au créneau devant les sénateurs, arguant que Google détenait déjà 60% du marché de la recherche sur Internet. L'adossement de Yahoo lui permettrait de contrôler 90% du secteur, écrasant au passage toute concurrence, dont Microsoft et son petit 3%. Ce partenariat entraînerait en outre une hausse inéluctable des tarifs publicitaires, toujours selon Microsoft. La justice américaine planche déjà sur le dossier Yahoo/Google. Elle rendra probablement ses conclusions bien après l'assemblée générale de Yahoo. Mais Microsoft n'en a cure, dans cette bataille de nerfs tous les coups sont permis pour semer le doute dans l'esprit des actionnaires, et renverser le conseil d'administration de Yahoo. (...)

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