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(24/09/2008 14:38:48)
La Web TV emploi de l'ANPE met les métiers de l'informatique en vidéo
L'ANPE a décidé d'élargir les services proposés sur sa Web TV emploi, lancée il y environ deux ans. Désormais, le site anpe.fr présente des vidéos destinées à informer les internautes sur les métiers, et l'informatique est bien entendu en bonne place. L'agence a choisi de commencer par faire la lumière sur les métiers des réseaux. Elle a choisi pour cela de faire appel à Internet.fr, l'un des spécialistes des solutions d'hébergement et de l'infogérance. L'entreprise ainsi un portrait vidéo du responsable réseau, en vue d'attirer des candidats potentiels. Une vingtaine de vidéos de présentation de la filière IT La Web TV emploi de l'ANPE s'articule autour de quatre rubriques. Un catalogue regroupe plus de 200 métiers présentés en vidéo et organisés par secteur professionnel. Une vingtaine concernent l'informatique et les télécoms. L'espace recrutement, lui, présente en quelques minutes des dispositifs d'aide à l'embauche, ainsi que des témoignages de recruteurs. Une rubrique « aide et conseil » fait le point sur les structures et les aides à l'emploi, la voie de l'alternance, l'accès à l'emploi pour les seniors. Une rubrique initiative présente des exemples de création d'entreprise et de parcours professionnels, des reconversions et des témoignages de retours à l'emploi réussis. (...)
(24/09/2008 13:53:22)Le coup de froid se confirme dans les SSII indiennes
Les SSII indiennes sont touchées par la crise financière qui sévit Outre-Atlantique. Ce n'est pas un scoop, en avril dernier quelques grandes sociétés de services revoyaient déjà leurs prévisions à la baisse, et le syndicat indien des entreprises du logiciel et des services informatiques (Nasscom) avait anticipé un ralentissement de la croissance à l'automne. Les SSII indiennes sont toutefois prises de court par l'ampleur des retombées négatives sur leur business. Certaines d'entre elles réalisent jusqu'aux deux tiers de leur chiffre d'affaires aux Etats-Unis, dans les secteurs des banques, de la finance et des assurances, de surcroît. Pas étonnant donc que les remous financiers américains les atteignent de plein fouet. Les dernières catastrophes bancaires (faillite de Lehman Brothers, rachat de Merrill Lynch) ont précipité les événements. Légère réduction des effectifs Accentuée par la chute du dollar, qui gèle les exportations indiennes, ainsi que par la hausse des salaires en Inde, la crise conduit les SSII à se délester d'une partie de leur masse salariale. Après Wipro et Tata Consulting Services, c'est Satyam, quatrième SSII indienne, qui a récemment annoncé la suppression de 4 500 emplois, soit 9% de ses effectifs. Les résultats financiers publiés par ces SSII restent dans le vert, mais ils sont moins exceptionnels que les années précédentes. Sur le site du Nasscom, le président du syndicat indien Som Mittal ne cache pas son inquiétude. «Les incertitudes mondiales ont atteint leur paroxysme, [avec la combinaison de plusieurs facteurs] : la fluctuation des monnaies, la hausse sans précédent des tarifs du pétrole, la crise alimentaire et l'approche des élections américaines », écrit-il dans un message. Cap sur l'Europe continentale Si les SSII indiennes souhaitent se sortir de la crise, elles ont tout intérêt à ne pas mettre tous leurs oeufs dans le même panier. Il y a près d'un an, avant même que la crise américaine ne fasse autant de ravages, le cabinet Forrester désignait la France comme futur Eldorado de l'offshore indien. Certaines SSII indiennes commencent d'ailleurs à lorgner vers l'Europe, qui ne représente « que » 30,1% de leurs exportations (dont 17,8% en Grande-Bretagne). Infosys a, par exemple, racheté Axon, le spécialiste britannique de l'univers SAP. (...)
(24/09/2008 13:07:17)IBM menace de quitter les organismes de standardisation
L'adoption d'OOXML de Microsoft comme un standard par l'ISO et IEC ne plaît décidément pas. Après l'Afrique du Sud, le Brésil et le Vénézuela qui ont contesté la décision, c'est au tour d'IBM de montrer les dents. Il menace en effet tout simplement de quitter les organismes concernés si il n'obtient pas de garanties sur « la qualité et l'ouverture de leurs procédures, leurs règles d'admission et leur politique à l'égard de la propriété intellectuelle. » IBM évoque l'absence d'indépendance dans l'affaire OOXML Big Blue propose une nouvelle série de règles « qui assurent que les décisions technologiques, les votes et les résolutions de conflits sont menés équitablement par des participants indépendants, protégés de toute influence indue. » Aucun doute possible. IBM évoque pointe du doigt l'influence de Microsoft dans la décision OOXML. L'absence d'indépendance, ainsi que la procédure accélérée accordée à OOXML, ont été régulièrement évoquées tout au long de la procédure de standardisation du format bureautique de l'éditeur, par les tenants de son rival OpenDocument, au premier rang desquels IBM. [[page]]Mais Big Blue se fixe d'autres objectifs dans le domaine. Il souhaite ainsi encourager les pays développés comme ceux en voie de développement à adopter des standards globaux ouverts et à participer à leur création. Il veut collaborer avec les organismes de standardisation et les communautés de développeurs pour s'assurer que les standards d'interopérabilité logicielle soient disponibles et implémentables gratuitement. Enfin, IBM veut aider à la création de politiques simples et claires pour les organismes de standardisation concernant la propriété intellectuelle qui permettraient à ceux qui développent ou implémentent des standards de prendre des décisions avec toutes les informations techniques et économiques nécessaires. Une réflexion collective avec 70 experts internationaux [[page]]L'ensemble de ces requêtes proviennent d'une réflexion qu'IBM n'a pas menée seul. Cet été, il a organisé des conversations en ligne avec 70 experts indépendants à travers le monde (universitaires, développeurs de standards, juristes, membres de l'administration et citoyens) sur cette question : « les organismes de standardisation ont-il vraiment gardé le contact avec les réalités commerciales, sociales, légales et politiques d'aujourd'hui ? » Des suggestions ont été récoltées sur un wiki associé et un sommet (sur invitation) aura lieu en novembre à l'université de Yale pour proposer des recommendations issues de ces travaux. (...)
(24/09/2008 12:42:16)Microsoft doublé par IBM au jeu de la marque IT la mieux valorisée
IBM supplante Microsoft et toutes les autres marques IT en termes de valorisation et de popularité. Du moins, si l'on se fie au classement 'Best global brands', publié par Interbrand, un spécialiste des études de marché. Comme l'an passé, l'institut a établi le palmarès des 100 acteurs économiques les plus puissants, classés selon leur valeur potentielle. Celle-ci, différente de la valorisation boursière, est une évaluation calculée par Interbrand à partir de projections transmises par des analystes, de documents financiers communiqués par les entreprises considérées et par les propres études de l'institut. Apple toujours absent du top 20 Derrière Coca-Cola, indéboulonnable lauréat, IBM s'arroge donc la deuxième marche du podium aux dépends de Microsoft, qui recule d'une place par rapport à 2007. Dans l'ensemble, les acteurs de l'IT sont fort bien représentés avec 15 apparitions dans les 40 premières positions du classement. Intel est septième, comme l'an passé, et Google clôture le top 10 en gagnant dix places. Plus étonnant, Apple ne parvient pas à dépasser la 24e position. Certes, la marque à la pomme gagne neuf places en un an, mais on pourrait penser qu'un groupe dont le succès repose largement sur la puissance de son nom aurait hérité d'un meilleur classement. D'autant que le regard porté par les consommateurs est évalué par Interbrand et entre en jeu dans le calcul de la valeur des marques. La popularité est donc un critère important, sinon déterminant. Cela explique la première position de Coca-Cola et la 8e de McDonald's. Mais laisse dubitatif sur la 17e position de Cisco, la 23e place d'Oracle ou la 31e marche occupée par SAP. Au-delà de la sphère IT, le classement reflète les grandes tendances de l'économie mondiale. Les marchés émergents s'avèrent, par exemple, être des générateurs de croissance et de nouvelles fortunes avides de produits de luxe. Des marques comme Ferrari, Porsche et Prada profitent de ces richesses naissantes en investissant le palmarès. Autre constatation, les services financiers sont à la peine avec HSBC, Merrill Lynch ou JP Morgan qui perdent tous des places par rapport à 2007. (...)
(24/09/2008 11:33:11)Les datacenters refroidissent à l'air libre
Le datacenter est au coeur des questions d'économies d'énergie. Son fonctionnement est consommateur, mais son système de refroidissement aussi. Et s'il était possible de faire des économies d'énergie tout en rafraîchissant ses salles de serveur ? Chacun de leur côté, Microsoft et Intel ont trouvé une solution simple et radicale à la fois : utiliser l'air ambiant. Microsoft envisage ainsi d'installer une salle serveurs hors les murs, sous une tente. Deux ingénieurs de la société, Sean James et Christian Belady, ont en effet mis en place pendant huit mois (entre novembre 2007 et juin 2008), cinq serveurs HP DL585 sous une simple tente sans protection particulière contre le vent, la pluie ou les feuilles des arbres. Résultat : aucune panne, ni redémarrage des serveurs. Au delà de la simple expérience, cet essai pourrait démontrer que les paramètres d'utilisation fournis par les constructeurs sont peut être trop rigides. Une approche moins conservatrice des standards environnementaux [[page]]« Je ne dit pas que c'est à quoi doit ressembler le datacenter du futur, mais je pense que cette expérience illustre ce qu'une approche moins conservatrice des standards environnementaux pourraient apporter, » affirme Christian Belady sur son blog. Intel a d'ailleurs, de son côté, publié en août un rapport montrant qu'il est tout à fait possible de refroidir une salle de serveur avec de l'air en provenance de l'extérieur (jusqu'à 32°C) avec une filtration minimale et sans aucun contrôle d'humidité. Les deux géants envisagent de pousser leurs tests un peu plus loin. Et si ces essais sont probants, ils envisagent d'installer leurs prochains datacenters dans de telles conditions. Finalement, pour refroidir ses serveurs, la solution est peut-être tout simplement de laisser la fenêtre ouverte... (...)
(24/09/2008 11:05:30)Cisco met du SAN dans son Data Center 3.0
Sous le label Data Center 3.0, Cisco rassemble ses produits les plus récents destinés à « dynamiser » les infrastructures de services en s'appuyant sur un ensemble de ressources matérielles virtualisées (serveurs, stockages, réseau) et une optimisation des applications. Dans cette optique, Cisco s'attaque désormais au SAN en annonçant trois commutateurs MDS 900 Fibre Channel à 8Gb/s, en version 24 ports, 48 ports et 4/44 ports. Le tout s'installe dans un châssis Cisco 9500, comme les commutateurs précédents à 4 Gb/s et 2 Gb/s. Et fonctionne avec la dernière version du système d'exploitation SAN de Cisco, rebaptisée NX-OS. Ces modules seront vendus par les distributeurs agréés à partir du dernier trimestre 2008. Les prix de départ seront fixés par ces distributeurs. (...)
(24/09/2008 10:55:18)La FFII décrète une journée mondiale contre les brevets logiciels
« Une coalition mondiale de plus de 80 sociétés informatiques, associations et développeurs a déclaré le 24 septembre "Journée mondiale contre les brevets logiciels". » Adversaire résolu de la brevetabilité des logiciels, la FFII (Fondation pour une infrastructure informationnelle libre) a décidé de relancer sa croisade aujourd'hui, en mémoire d'une décision adoptée par le Parlement européen il y a 5 ans. Ce jour-là, précise la FFII dans un communiqué, les eurodéputés adoptaient « une série d'amendements pour limiter la portée du droit des brevets et ainsi protéger les petites et moyennes entreprises (PME) du secteur informatique contre les effets dévastateurs de brevets logiciels multiples et triviaux ». A noter aussi qu'aujourd'hui débute la manifestation « Paris, capitale du Libre », où seront décernés les désormais traditionnels Lutèce d'Or. Le but : éradiquer les « patent trolls » Si les brevets permettent de protéger des inventions, ils sont souvent utilisés dans le seul but de verrouiller un marché (par le biais de menaces, telles que celles formulées par le patron de Microsoft à l'encontre des utilisateurs de Linux) ou de récolter des royalties. Certaines sociétés ont fait une spécialité d'amasser des brevets et de lancer des procédures contre des éditeurs ; on se souvient dernièrement de JuxtaComm, dans le domaine de l'ETL, qui a attaqué BO, Ascential, Microsoft, IBM, Intersystems, etc. En anglais, ces sociétés sont qualifiées de « patent-trolls », qui reprend le terme péjoratif désignant les éléments perturbateurs des forums en ligne. Pour Benjamin Henrion, initiateur de l'effort de coalition StopSoftwarePatents, exclure les logiciels du champ de la brevetabilité est « la meilleure solution pour se débarrasser des 'trolls' et des risques juridiques incontrôlables engendrés par les brevets logiciels ». L'OIN rachète des brevets pour protéger les développeurs et utilisateurs d'Open Source [[page]] Keith Bergelt, patron de l'Open Invention Network, prône de son côté une démarche opposée. Le but de l'OIN est en effet d'accumuler le plus grand nombre de brevets liés à l'Open Source en général et à Linux en particulier afin d'en protéger les utilisateurs. Cette entreprise, soutenue par plusieurs géants du secteur (IBM, Novell, Red Hat, HP, Intel, Sun, Dell, AMD, Fujitsu...) rachète à tour de bras des brevets logiciels qu'elle propose gratuitement sous licence à qui en fait la demande. La seule condition : s'engager à ne jamais attaquer Linux. Eduquer les fonds d'investissement pour éviter qu'ils financent les trolls Spécialiste de la finance et des problèmes de propriété intellectuelle, Keith Bergelt, arrivé récemment à la tête de l'OIN, estime que le problème vient d'un manque d'éducation sur le sujet. « Je crois moins dans une réforme du système des brevets que dans une prise de conscience de l'importance de l'Open Source », nous a-t-il déclaré. Il considère que son rôle est d'informer les fonds d'investissement sur le potentiel lié à Linux, afin d'éviter que ces derniers n'apportent leur argent à des « patent trolls ». Un bon premier pas, dit-il, serait que les fabricants d'appareils mobiles clament haut et fort que leurs produits fonctionnent sous Linux. Dans tous les cas, explique Keith Bergelt, « l'OIN n'attaquera pas unilatéralement sur la base des brevets qu'elle détient ». En revanche, l'entreprise se réserve le droit de contre-attaquer, si jamais un développeur, un éditeur ou un utilisateur d'Open Source était la cible d'une attaque en justice. En cela, l'OIN se veut une deuxième ligne de défense, venant après les conseils juridiques prodigués par le SFLC (Software freedom law center). (...)
(24/09/2008 10:29:04)Les entreprises relèvent leur niveau d'exigence vis à vis de l'infogérance
Le marché de l'infogérance devrait passer en France de 5,9% de croissance en 2007 (où il représentait 5,6 milliards d'euros de chiffre d'affaires) à 6,4% pour 2008. C'est la prévision du cabinet Pierre Audoin Consultants (PAC). Sans progresser de manière très forte, ce marché confirme son dynamisme, supérieur à celui de l'ensemble des services informatiques. Derrière cette donnée globale, le cabinet PAC observe plusieurs tendances de fond. D'abord, la croissance est désormais le fait d'une multiplication de petits contrats. Finis ou presque les méga contrats, à l'exception de celui signé en 2007 par IBM avec CMA-CGM et AGF. Les petits contrats se retrouvent aussi bien dans les grands comptes sur une partie de leurs activités que dans de grosses PME. Deuxième tendance de fond, l'infogérance change de nature. « La demande se modifie en faveur d'une infogérance de transformation des infrastructures et des systèmes », analyse Elisabeth de Maulde, présidente de Pierre Audoin Consultants. « Avant, le principal argument de l'infogérance c'était la réduction des coûts, maintenant ce procédé permet au-delà de cette réduction des coûts, d'optimiser le système d'information. » Les clients se montrent ainsi très exigeants. PAC note « la maturité du marché en termes de volume d'affaires, d'industrialisation des prestations, de structuration et de normalisation des process et de comportement des entreprises vis-à-vis de l'infogérance ». Le cabinet relève aussi plusieurs éléments qui montrent la difficulté de ce marché pour les prestataires de services. 18 mois à 2 ans pour signer un contrat [[page]] Les contrats se négocient de manière plus ardue. Désormais, il faut compter entre dix huit mois et deux ans pour en négocier un. Le client met son prestataire sur le gril au plan financier ou en termes de prestations. Il se montre plus rigoureux en termes de contenu, de sélection des prestataires, de modes de delivery. La durée des contrats est elle-même réduite, passant de 5 à 3 ans en moyenne. Des contrats plus que jamais enrichis de possibilités de révision annuelle. Les clients ne se privent pas non plus pour mettre en oeuvre plus facilement des possibilités de « réversibilité ». En clair, quand il signe un contrat, le prestataire s'engage à fournir les bons niveaux de documentation au client. Si ce dernier décide de changer de prestataire, le nouveau venu pourra plus facilement reprendre le contrat pour un périmètre équivalent. Comme le dit Elisabeth de Maulde avec humour, « c'est comme pour un contrat de mariage, où on prévoit le divorce ». Ces différentes données rendent le marché de l'infogérance encore plus sélectif. Cinq grands acteurs cumulent 47% du marché, le n°1 IBM truste 21% des parts. En dehors d'eux, difficile d'exister. Plusieurs acteurs ont même disparu, Getronics s'est vendu à APX, CS a cédé sa division infogérance à BT. Là encore, les contraintes sont redoutables. « Vous ne pouvez plus suivre sur un tel marché sans une certaine [[page]] taille au plan européen « note Elisabeth de Maulde. Reprise de la guerre des prix Les prestataires sont également soumis à une sévère guerre des prix. Certains comme Osiatis en ont fait l'argument principal de leurs très décevants résultats annuels. Elle a toujours existé mais reprend et explique le recours au nearshore ou au offshore. « Les SSII n'ont pas beaucoup de choix, relève Elisabeth de Maulde, soit elles ont recours au nearshore et au offshore, soit elles réduisent leurs marges ». Dernière observation de PAC, les SSII françaises sont un peu moins investies dans ce mouvement d'infogérance que leurs homologues européennes. C'est en fait une attitude générale de méfiance à l'égard de toute forme d'externalisation, infogérance ou autre. Les pays de l'Europe du nord et la Grande-Bretagne sont de grands adeptes du BPO et de la TMA. Le secteur public anglais a de plus en plus recours à l'infogérance, contrairement à son homologue français resté très frileux. « Sur l'ensemble des marchés de l'externalisation, la France est encore loin de la moyenne européenne, avec 34% de prestations externalisées en moyenne en France contre 41% en moyenne en Europe de l'ouest ou du nord » souligne PAC. (...)
(24/09/2008 09:56:52)OpenWorld : Oracle accoste le cloud d'Amazon et complète 11g
Il en va d'OpenWorld, la conférence utilisateurs d'Oracle (21-25 septembre, San Francisco), comme du catalogue de solutions de l'éditeur. Le foisonnement de produits génère une cascade de mises à jour et d'avancées, dans les trois catégories d'offres investies par Oracle : applications, middleware et base de données. Conjointement, Charles Phillips, président d'Oracle, et Chuck Rozwat, vice-président, responsable du développement des produits, ont annoncé la possibilité d'utiliser désormais la base de données 11g et l'offre Fusion Middleware dans un environnement de 'cloud computing' permettant une facturation du produit à l'usage. L'environnement d'Amazon, EC2 (Elastic compute cloud), est le premier sur la liste d'Oracle. D'autres environnements seront supportés par la suite, a précisé Chuck Rozwat lors d'une session de questions/réponses. « Pour l'instant, notre objectif est de permettre aux clients d'accéder facilement à ce type de services », a ajouté le vice-président. Oracle ne prévoit pas à court terme de 'cloud' à son nom Oracle lui-même n'envisage pas, pour l'instant, de fournir une plateforme purement matérielle de 'cloud computing'. Même si, rappelle Chuck Rozwat, les services d'informatique à la demande qu'il propose déjà depuis dix ans à ses clients ont beaucoup de points communs avec les offres actuelles d'informatique dans les nuages. Le ralliement à Amazon comporte une deuxième déclinaison, elle aussi conçue comme un accès facile au 'cloud'. Le logiciel Secure Backup Cloud Module, basé sur Oracle Secure Backup, permettra d'automatiser la sauvegarde de données encryptées sur le service Simple Storage d'Amazon. En attendant 11g R2 [[page]] Chuck Rozwat a également confirmé la disponibilité d'une mise à jour importante - 11.1.0.7 - pour la base de données Oracle 11g (livrée il y a un peu plus d'un an). En revanche, le vice-président ne communique pas de date pour la version 2 de 11g - même si les développements semblent bien avancés (Oracle serait en quête de bêta testeurs). Chuck Rozwat insiste : « L'important, c'est de fournir aux clients les informations dont ils ont besoin aujourd'hui sur les produits qu'ils peuvent concrètement déployer. » Pas de date, non plus, pour la version gratuite de la base, 11g Express Edition (XE), qui devrait suivre 11g R2. L'intervention, toujours attendue, de Larry Ellison, fondateur d'Oracle, s'intitule cette année « Extreme Performance » et pourrait porter sur les technologies permettant d'améliorer les performances de la base de données. Oracle VM supporte le clustering Parmi les évolutions de produits figure aussi celle d'Oracle VM, l'offre de virtualisation de serveur. Dans sa version 2.1.2, le produit apporte des fonctions de migration sécurisée (avec encryptage des données). Il est maintenant certifié avec la technologie RAC (Real application clusters) d'Oracle, ce qui permet de combiner virtualisation et clustering, en exécutant une application répartie sur plusieurs serveurs dans une infrastructure en grille (de type grid). Oracle devrait maintenir sa cadence de livraison dans les prochains mois. Charles Phillips, président d'Oracle, a en effet mentionné dans son discours d'ouverture, lundi dernier, que la société allait investir 3 milliards de dollars en R&D sur son nouvel exercice (2,7 Md$ l'an dernier) pour faire évoluer son portefeuille de produits et en concevoir de nouveaux. Ses innombrables acquisitions lui apportant régulièrement de nouvelles équipes, Oracle s'appuie actuellement sur quelque 20 000 développeurs. (...)
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