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(01/06/2006 17:57:11)

IBM veut faciliter la facturation des environnements virtuels à l'usage

IBM a annoncé aujourd'hui la disponibilité de Tivoli Usage and Accounting Manager (UAM), un logiciel permettant aux services informatiques de refacturer l'utilisation de serveurs virtualisés en fonction de leur usage réel. Tivoli UAM s'appuie sur les technologies acquises par Big Blue lors du rachat de CIMS Lab en janvier dernier. Au travers d'une interface web, le logiciel permet de suivre en détail l'utilisation des environnements virtualisés par les applications du SI et d'agréger les consommations par services, départements ou division afin de leur refacturer les coûts des environnements virtuels en fonction de l'usage réel qui en est fait. L'outil permet en fait de facturer très finement des environnements qui sont par nature mutualisés. Il fonctionne avec les environnements de virtualisation mainframe d'IBM ainsi qu'avec les outils de VMware. Le support des environnements virtualisés sur plates-formes Unix devrait être ajouté au logiciel dans le courant de l'année. L'outil d'IBM est une alternative aux logiciels proposés par un éditeur comme Evident Software, qui s'est lui aussi fait une spécialité des outils de refacturation de coûts informatiques. Pour ceux qui ne souhaitent pas aller aussi loin, une feuille de calcul Excel produite par Ron Oglesby, un architecte spécialisé dans les outils de virtualisation, permet d'estimer le coût d'une VM sur un serveur virtualisé. L'outil est téléchargeable gratuitement sur le site web d'Oglesby à l'adresse http://www.ronoglesby.com/ article rédigé avec la contribution de Manek Dubash, Techworld et Shelley Solheim, IDG News Service New-York Titre de l'encadré: (...)

(01/06/2006 17:59:06)

Recrutement : Alten et Teamlog ouvrent leur portes en Bretagne

Pour percevoir l'état d'esprit et l'approche professionnelle des acteurs du conseil et du service en technologie, rien ne vaut les rencontres avec leurs collaborateurs. Or, au mois de juin, les ingénieurs pourront mettre cela en pratique et échanger de vive voix avec des prestataires de l'ouest, en commençant par Alten. Après Strasbourg et Lille, la société de conseil et d'ingénierie en technologie organise en effet une nouvelle soirée de recrutement à Rennes le 7 juin dans ses locaux pour attirer de futurs collaborateurs. Elle leur proposera une présentation de la société et des entretiens individuels, le tout autour d'un cocktail dînatoire qui donnera un tour convivial à la manifestation. Cette soirée s'adresse à des jeunes diplômés de niveau bac +5 (en priorité) et à des personnes ayant jusqu'à 5 ans d'expérience. Elle vise à pourvoir trente postes d'ici au début du mois de juillet pour l'activité forfait du groupe. Alten Ouest cherche en particulier des développeurs C++/java, des ingénieurs ayant un bagage télécom et des compétences C embarqué pour intégrer des projets dans le domaine des télécoms et du multimédia. Le 9 juin, ce sera au tour de la SSII Teamlog d'accueillir des jeunes ingénieurs dans ses locaux à Rennes (à 12 heures). Elle fera de même le 15 juin à Lannion (17h30) et le 29 juin à Nantes (18h30). Autour d'un buffet, les invités pourront échanger avec les collaborateurs de Teamlog et faire le tour des projets menés localement. Globalement, Teamlog annonce avoir environ 70 postes à pourvoir sur ces trois villes, des postes très variés, dans le développement C++, J2EE, Microsoft, Webservices, Mainframe, dans les domaines des réseaux et des télécoms, etc. (...)

(01/06/2006 17:59:43)

Recrutement : les CNE déboulent, pour le meilleur ou pour le pire ?

Les premiers résultats de l'enquête annuelle de la Conférence des grandes écoles (CGE) sur l'insertion des jeunes diplômés montre le succès des contrats nouvelles embauches (CNE). Ces contrats de travail représentent 2% de l'ensemble des recrutements recensés sur la promotion 2005 et surtout environ 21% des embauches effectuées par les entreprises de moins de 20 salariés. Doit-on conclure à une précarisation des conditions d'emploi des bac +5 ? Certes si l'on considère que 2% des jeunes embauchés se voient à l'essai pendant deux ans. Moins si l'on estime qu'il y a une corrélation entre le recours aux CNE pour les petites entreprises et la baisse du nombre de diplômés en recherche d'emploi mise en évidence dans l'enquête (au moment de l'étude, 16,8 % des ingénieurs interrogés se trouvaient dans cette situation, contre 21,2% l'année précédente). Par ailleurs, si les CNE se substituent aux CDI qui sont en très légère baisse par rapport à la promotion précédente (76% contre 77% en 2005), on voit qu'ils remplacent également les CDD, un autre type contrat plus précaire que le CDI, qui diminuent dans les mêmes proportions (18% contre 19% en 2005). La Conférence des Grandes Ecoles estime que cet effet de substitution méritera un suivi attentif. Elle rappelle que « le temps moyen passé en entreprise par les étudiants de ses écoles au cours des deux années d'études est de l'ordre de 10 mois. Il peut donc être considéré comme une expérience pouvant valider et constituer une période d'essai ». D'autres conclusions pourront être avancées lorsque le taux de transformation des CNE en CDI sera connu (ou le taux de rupture des CNE) ainsi que leurs conditions d'octroi. Il sera notamment essentiel de voir si des CNE ont été proposés à des jeunes qui avait déjà effectué leur stage au sein des entreprises qui les ont recrutés. (...)

(01/06/2006 18:00:50)

Team System se tourne vers les administrateurs de bases de données

Avant l'arrivée d'Orcas, prochaine mouture de Visual Studio, dans la foulée de Vista, Microsoft complète sa famille Visual Studio 2005 Team System, sa plate-forme ALM décliné par métier. Cette fois-ci, avec VS Team Edition for Database Professionals, l'éditeur se tourne vers les développeurs et administrateurs de bases de données. Une édition qui constitue la quatrième brique de l'édifice Team Studio, après avoir été décliné pour architectes, développeurs et testeurs. L'objectif que vise Microsoft est de connecter les développeurs avec les administrateurs de base de données. Pour cela, l'éditeur met à disposition des modules reposant sur la collaboration des deux rôles: gestion et versionning des changements des schémas des bases de données, infrastructure de test baptisé "Data Generator", qui virtualise les données dans un environnement de production. Inclus également, deux outils, Schema Compare et Data Compare, pour synchroniser les changements des données et des schémas, entre la base source et la base cible. VS Team Edition for Database Professionals devrait être disponible dès la fin 2006. D'ici là, Microsoft prévoit de livrer une version de test durant le TechEd et via le réseau MSDN, à partir du juin. Son prix pourrait avoisiner les 5 500$. (...)

(01/06/2006 17:57:48)

Sapphire'06 Paris : Muse devra rendre l'utilisateur heureux

Ouvrant la deuxième journée de Sapphire'06 Paris, la conférence utilisateurs de SAP, Shai Agassi s'est un peu éloigné de son sujet de prédilection, l'architecture, pour débuter son discours d'introduction avec l'interface Muse. Le président du groupe produits et technologies de SAP s'est longuement attardé sur la façon dont SAP allait simplifier la vie des utilisateurs, et les rendre heureux d'utiliser le progiciel. Muse, développé avec la technologie Flex de Macromedia (racheté depuis par Adobe), offre il est vrai une interface plus riche que le portail de SAP, avec des possibilités de glisser-déplacer, de menus contextuels, d'animations Flash, et de « procédures guidées » rejouant en fait les transactions traditionnelles du progiciel dans un style plus moderne. Autre intérêt de la technologie d'Adobe, elle permet de partager un contexte entre différentes applications pouvant être appelées au sein de Muse (PDF Reader, Excel...). La licence Muse devrait être comprise dans la licence SAP, mais les détails sont encore minces. Une autre partie de la journée a été consacrée à Duet, l'offre conjointe SAP-Microsoft. Tout comme Muse, Duet exige d'être passé à MySAP ERP. Plus, dans le cas de Duet, Office Pro 2003, Active Directory, Exchange Server et Windows Server 2003. Le résultat est plutôt bluffant, le panneau latéral d'Office 2003 montrant enfin son utilité en donnant accès à des données directement puisées dans le système SAP. Plusieurs scénarios sont proposés (gestion des congés, des dépenses, etc.) et d'autres s'y ajouteront régulièrement. Un client sud-africain a témoigné de l'engouement des utilisateurs pour ce système, « alors qu'ils n'allaient jamais sur le portail ». A en croire Shai Agassi, alors que Muse est destiné aux utilisateurs réguliers de SAP, Duet est plutôt dirigé vers des utilisateurs occasionnels, qui ne peuvent ou ne veulent être formés au progiciel. Il fallait aussi fouiner sur le stand IBM pour trouver Harmony, un projet similaire à Duet, cette fois pour les utilisateurs de Notes. « Les connecteurs existent depuis longtemps, la nouveauté ce sont les modèles que nous livrons gratuitement », expliquait un démonstrateur. Sachant que ces modèles ressemblent furieusement aux scénarios élaborés pour Duet. Toujours chez IBM côté interface SAP, le Workplace for SAP constitue une alternative intéressante dans la mesure où il s'agit d'un portail préconfiguré pour SAP mais capable d'accéder aussi bien à d'autres systèmes en même temps. (...)

(01/06/2006 18:01:30)

Sapphire'06 Paris : SAP à fond dans les appliances

Beaucoup de problématiques dans l'univers SAP se résolvent aujourd'hui avec des appliances, à en croire Shai Agassi, président du groupe produits et technologies de l'éditeur, qui ouvrait la conférence utilisateurs mercredi matin. Après avoir expliqué la nouvelle architecture orientée services de MySAP ERP, dite ESA (Enterprise service architecture), et érigé la flexibilité comme moyen ultime pour faire face à la concurrence, Shai Agassi a insisté sur le fait que cela ne signifiait pas que l'épine dorsale du système doive changer sans arrêt. Deux appliances, des serveurs préconfigurés (matériel, système d'exploitation, logiciels), sont prévus à cette fin : l'un côté développement, ESA Discovery Server, pour tester les capacités d'ESA ; l'autre côté déploiement, une sorte de socle d'exécution pour les xApps, ces applications transversales généralement conçues pour s'exécuter au-dessus de SAP. Dennis Moore, responsable des produits émergents aux SAP Labs, invite à voir ce « side-car » (pour reprendre l'expression utilisée par Shai Agassi en conférence de presse) comme un ensemble front-end modèle-vue-contrôleur capable d'accéder au back-end MySAP. Qui peut donc rester tel quel pendant plusieurs années. Shai Agassi a surtout mis l'emphase sur l'appliance BI Accelerator, issue d'un projet commun avec Intel, HP et IBM. « Google a changé la façon dont on accède à l'information », a-t-il indiqué : désormais, on lance les requêtes les unes après les autres, et on attend des temps de réponse inférieurs à la seconde. Ce Business Intelligence Accelerator tire parti des capacités du Xeon 64bit pour améliorer les performances d'interrogation de l'entrepôt de données BW (Business Warehouse). Coca-Cola aurait vu « une augmentation des performances de reporting de 90% sur 60 millions de lignes », le temps de réponse passant de 30 à 3 secondes. Et Shai Agassi d'inviter à réfléchir au TCO (coût total de possession), en se basant sur le calcul d'un client : soit, en résumé, augmenter les performances du système BW en achetant un système SMP à 3 millions d'euros, soit investir 300 000 euros dans 6 serveurs lames... (...)

(01/06/2006 12:52:02)

Steve Ballmer charme les investisseurs

Steve Ballmer, en VRP de luxe, est allé porter la bonne parole à Wall Street. L'homme fort de Microsoft a tenu à rassurer les investisseurs et les analystes, rendus soucieux par les lourdes dépenses en R&D du groupe. Le PDG a rappelé que Microsoft prépare deux produits d'importance majeure - Vista et Office 2007 - tout en cherchant à acquérir des parts de marché dans des domaines nouveaux comme les services hébergés, la sécurité ou le stockage. Selon Steve Ballmer, l'investissement dans toutes ces sphères est indispensable et doit continuer. Et Ballmer se fait apôtre : "si vous croyez en ce que nous croyons, vous devez investir. Soyez confiants en notre capacité à changer le monde. Cela réclame une vision à long terme. J'ai bien peur que tout ce qui concerne Microsoft réclame une vision à long terme". Le mois dernier, le géant du logiciel a annoncé qu'il augmenterait ses dépenses en R&D d'environ 2,6 Md$ au troisième trimestre. Une décision qui a échaudé Wall Street, les investisseurs étant plus enclins à apprécier des dépenses aux retombées rapides que des financements à long terme. En avril, l'action Microsoft dégringolait à son niveau le plus bas depuis un an. Il faut pourtant poursuivre les investissements, a insisté Steve Ballmer devant le tout Wall Street. Et de s'appuyer sur l'exemple du navire amiral, Windows : "nous avons annoncé Windows en 1983 mais n'avons rien gagné avec avant 1993 et 1994. Je ne pense pas que les investisseurs aient à se plaindre du RoI (...) Nous avons versé 87 Md$ à nos actionnaires entre l'exercice fiscal 2001 et le dernier trimestre". Et pour continuer à choyer de la sorte ses actionnaires, Steve Ballmer martèle que les investissements sont nécessaire : "si nous n'entretenons pas Windows, Windows ne continuera pas à fleurir". La recherche de nouveaux marchés justifie également, selon le PDG, l'augmentation des dépenses, notamment de R&D. Ainsi, pour se lancer dans le domaine des jeux vidéo et développer la console XboX, Microsoft a d'abord perdu 4 Md$ avant d'enregistrer des bénéfices. Ce qui, selon Steve Ballmer, reste moins élevé que d'acquérir une société déjà implantée dans le secteur comme Nintendo. Steve Ballmer a néanmoins admis avoir trop tardé sur le développement de Vista, qui devrait être disponible en version grand public au début de l'année 2007. Fixer une date précise serait pure spéculation tant le groupe multiplie les reports. Et si, d'après les derniers propos tenus par Steve Ballmer, l'agenda devrait désormais être respecté, les analystes et les industriels restent très dubitatifs et attendent déjà l'annonce du prochain retard. (...)

(01/06/2006 12:52:38)

Google toujours pas rassuré par IE7

Google continue d'entretenir des doutes sur l'intégration dans le futur Internet Explorer 7 d'une barre de recherche renvoyant par défaut sur le moteur de recherche de Microsoft, MSN. Un peu plus tôt dans le mois, le glouton moteur avait saisi la justice américaine à ce sujet, mais n'avait pas ému les juges, lesquels avaient estimé que "la nouvelle boîte de recherche n'est pas de nature anti-concurrentielle". Pas de quoi dissiper les craintes de Google qui, par l'intermédiaire de son PDG, Eric Schmidt, fait de nouveau part de son scepticisme : "nous voulons être certains que la puissance de Windows est utilisée d'une manière correcte et légale". Pour autant, en dépit des critiques envers le prochain navigateur estampillé Microsoft, Google n'entend pas développer son propre browser : "notre décision est fondée sur les désirs des utilisateurs et pas sur un vaste mouvement défensif face à nos concurrents, explique Eric Schmidt. Il y a déjà beaucoup de bons navigateurs, les gens ont le choix". Par ailleurs, interrogé sur ce qu'il considère comme l'initiative la plus réussie du groupe, Jonathan Rosenberg, vice-président Produits, a cité l'acquisition de Keyhole en octobre 2004. Un achat qui a permis à Google d'intégrer à son service de recherches locales la technologie de cartographie basée sur des images satellites développée par Keyhole. A l'inverse, le projet le plus décevant de moteur de recherche est sa tentative de vendre de la publicité aux publications sur support papier. (...)

(01/06/2006 12:53:12)

Sun cherche des économies : 4 à 5000 suppressions de postes

Le directoire de Sun a validé le plan de réorganisation initié par Jonathan Schwartz : prévu pour assurer un retour aux bénéfices, il se traduira par 4000 à 5000 suppressions de postes au cours des six prochains mois. Sun, qui ne s'est jamais bien rétabli depuis l'effondrement de la bulle, enchaîne depuis les pertes ou les résultats tout juste équilibrés. Au cours de son dernier trimestre fiscal, le groupe a ainsi publié une perte de 217 M$. Jonathan Schwartz a donc décidé de réagir de frapper un grand coup pour réduire les coûts. Une volonté qui se concrétisera par la suppression de 11 à 13 % des postes, soit 4000 à 5000 emplois, au cours des six prochains mois. Sun va également fermer les sites des campus de Newark et Sunnyvale aux Etats-Unis. Au final, le groupe prévoit d'économiser entre 480 et 590 M$ par an, pour une charge de restructuration comprise entre 340 et 500 M$. Par ailleurs, le directoire a validé les nouveaux objectifs : le résultat opérationnel du quatrième trimestre devra au moins atteindre 4 % des revenus, un taux qui devrait s'élever à 10 % à plus long terme. Cette réorganisation est le deuxième mouvement d'ampleur depuis l'arrivée de Jonathan Schwartz à la tête de Sun en avril. Au début du mois de mai le successeur de Scott McNeally a réuni les divisions serveurs - Sparc et x64 - au sein d'une même entité présidée par John Fowler. (...)

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