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(17/03/2009 18:06:24)
Selon IDC, Linux profiterait de la crise
Linux profite de la crise. C'est tout du moins ce que laisse penser 300 responsables informatiques américains interrogés par IDC pour le compte de Novell, éditeur de la distribution Suse de l'OS Open Source. D'après ce sondage conduit le mois dernier, plus de 72% des responsables interrogés affirment soit être en phase d'évaluation, soit avoir déjà décidé d'accroître leurs investissements sur Linux pour leurs serveurs. Ils sont 68% dans le même état d'esprit pour l'équipement de leurs PC. Tous justifient leurs réponses par leur volonté de réduire les coûts de support. D'ici cinq ans, 49% considèrent que Linux sera leur principale plateforme pour leurs serveurs. Avec un taux d'adeptes de 69% pour les serveurs et de 63% pour les desktops, le secteur de la distribution est le plus engagé sur Linux. L'étude met aussi en avant le fait que 67% des responsables informatiques interrogés considèrent que l'interopérabilité entre Linux et Windows ainsi que la facilité d'administration figurent parmi les critères de choix les plus importants. L'étude a été commandée par Novell alors qu'il s'apprête à lancer les prochaines versions de son OS. (...)
(17/03/2009 17:58:38)Intel nie à AMD le droit de vendre ses licences à ses usines filialisées
Intel n'accorde aucun répit à son concurrent AMD. Il considère que GlobalFoundries, la société au sein de laquelle AMD a transféré son outil de production avec le soutien d'Atic, un fonds d'investissement de l'émirat d'Abu Dhabi, ne peut bénéficier de l'accord de licences croisées signé avec Intel en 2001 pour fabriquer des processeurs X86. Dans une lettre à son rival, Intel « a invité son partenaire à corriger la situation, sans quoi il mettrait un terme dans les 60 jours à l'utilisation (par AMD) de ces droits". Une première phase de négociation entre le géant des processeurs et son challenger a échoué. Et AMD se défend d'avoir violé les termes de l'accord qui le lie à Intel. En revanche, AMD soutient que les manoeuvres de son concurrent visent à détourner l'attention des comportements anticoncurrentiels dont il l'accuse devant la Cour de justice européenne. (...)
(17/03/2009 17:36:16)Les systèmes UCS de Cisco utilisent un accès unique au réseau et au stockage
Cisco fabrique des serveurs. Cette fois, la rumeur est devenue annonce. Mais quelques détails techniques s'imposent. Pour commencer, plutôt que de serveurs, il s'agit en quelque sorte de datacenters prêts à l'emploi en châssis, modulaires et évolutifs. La popularité de la virtualisation et celle de sa petite soeur, la consolidation, ont inspiré Cisco. Son infrastructure s'appuie sur l'utilisation combinée de serveurs physiques et virtuels et sur l'idée d'une augmentation de la capacité de traitement au fur et à mesure de l'évolution des besoins de l'entreprise. L'UCS (Unified Computing system) se compose de quarante châssis maximum dans chacun desquels se logent jusqu'à huit serveurs. Un calcul rapide conduit donc à une limite haute de 320 machines par configuration. Ces serveurs B-Series « made in Cisco » sont des machines banalisées articulées autour du quadri-Xeon d'Intel, le Nehalem. La puce devrait d'ailleurs être officiellement disponible à la fin du mois de mars. A cette occasion, le voile sera levé sur une technologie développée par Intel avec l'aide de Cisco et qui devrait permettre d'étendre la mémoire disponible dans des limites jamais atteintes. Des limites qui seront aussi précisées à l'occasion de l'annonce de la disponibilité du Nehalem. Cet outil d'extension de la mémoire est indispensable à l'UCS, comme le précise Eric Debray, responsable datacenter pour Cisco France. « Cette capacité est importante pour trois raisons. Elle permet de gérer davantage de machines virtuelles, de traiter des fichiers plus gros et d'utiliser des types de mémoire moins chers si besoin. » Le réseau et le stockage accessibles au travers d'un 'Network Fabric' Les châssis d'un UCS intègrent donc uniquement des serveurs et sont débarrassés des encombrants câblages et commutateurs réseaux. Pour ce faire, Cisco exploite son 'Network Fabric', module de deux commutateurs FCoE (Fibre Channel over Ethernet) de la famille Nexus. C'est au travers de ce module que chaque serveur se connecte aussi bien au réseau qu'au système de stockage. Chaque noeud intègre en effet deux cartes de connexion identiques pour la redondance, mais surtout des cartes capables de traiter à la fois des trames Fibre Channel et Ethernet. L'UCS est destiné à des environnements virtualisés. VMware est un des partenaires principaux de Cisco sur le sujet, mais le constructeur ne néglige pas Microsoft et son Hyper-V. C'est avec le premier néanmoins qu'il a mis au point un commutateur logiciel capable de mixer serveurs physiques et virtuels. « Le réseau est partie intégrante du processus, rappelle Eric Debray, même quand on souhaite migrer des machines virtuelles d'un serveur physique vers un autre, par exemple. » Enfin, Cisco installe aussi dans son UCS son outil d'administration unique de l'ensemble du système, UCS Manager. Il prédéfinit des profils de service pour certains types d'applications qui définissent les ressources d'infrastructure dont ces dernières ont besoin. Ces profils peuvent être réaffectés à volonté d'un serveur à l'autre pour une répartition de charge optimisée. Une offre disponible au deuxième trimestre L'offre sera disponible au deuxième trimestre 2009, sans plus de précision pour l'instant. Sa commercialisation passera par les partenaires du constructeur soumis à la certification ATP (Advanced technology partner). « Cela sera forcément plutôt réservé à des acteurs ayant des compétences à la fois dans le réseau et les serveurs, insiste Eric Debray. Mais Cisco va faire un gros investissement pour les accompagner. Sur le datacenter, nous avons aussi des équipes de vente traditionnelles qui, en plus des compétences réseau ou serveur, ont des compétences sur les applications, les ERP par exemple, le câblage, la consommation électrique, etc. Aujourd'hui, le marché du datacenter représente 85 Md$ et Cisco n'en a que 9% à travers les technologies réseau. Avec notre nouvelle offre, ce marché pourrait représenter jusqu'à 20 Md$ supplémentaires pour nous. » (...)
(17/03/2009 17:10:28)Manifestation du 19 mars : les syndicats de l'IT sous une banderole commune
Les entreprises de l'IT feront-elles du jeudi 19 mars une journée de mobilisation dans le prolongement de celle du 29 janvier dernier ? En tout état de cause, les fédérations syndicales d'HP, d'EDS et d'IBM, rejointes depuis peu par les syndicats de Bull et d'Ilog, appellent à une nouvelle journée d'action jeudi prochain pour défendre leurs emplois et leurs salaires. Elles ont donc appelé les salariés de l'informatique et leurs organisations à se rassembler pour la seconde fois de l'année dans la Capitale et également en région. A Paris, les syndicats d'HP, d'EDS, d'IBM de Bull et d'Ilog ont prévu de se rassembler à 14 heures en point fixe sur les marches de l'Opéra Bastille, pour faire entendre les revendications du secteur informatique. avant de défiler une nouvelle fois sous une banderole commune. En province, des rassemblements ont été lancés à l'initiative des syndicats d'HP et d'EDS à Grenoble, Bourgoin-Jallieu et Villefontaine (Isère), de même qu'à Lyon. Des mesures insuffisantes face à l'ampleur de la crise Les syndicats de la SSII T-Systems seront eux aussi dans la rue pour le maintien des emplois et obtenir davantage de formations. De même, les organisations syndicales d'Atos Integration et celles de Capgemini ont prévu de participer à la journée, aux motifs que les mesures gouvernementales ne sont pas suffisantes face à l'ampleur de la crise qui frappe bon nombre de salariés, dont ceux de l'IT. Les salariés du groupe de conseil Altran sont également appelés à se mobiliser au moment où leur entreprise vient d'annoncer ses premières mesures de chômage partiel. Enfin, côté opérateurs, l'intersyndicale de France Télécom a décidé de renouveler sa participation à la journée d'action interprofessionnelle du 19 Mars, pour obtenir notamment la revalorisation des minima salariaux dans leur branche. (...)
(17/03/2009 10:03:35)Le nouveau serveur à tolérance de pannes de HP passe sous 200 000 €
Hewlett-Packard annonce un nouveau modèle dans sa gamme de systèmes à tolérance de panne NonStop hérités de Tandem par le biais de Compaq. Le NS2000 est un serveur rack 2U destiné à succéder à la Serie S à base de processeur Mips et est animé par un bicoeur Itanium 9100. Une configuration complète se compose de deux à quatre modules. HP promet que le NS2000 pourra accueillir les prochains Itanium quadri et octocoeurs. Ce modèle fait descendre le ticket d'entrée de la gamme NonStop sous la barre des 200 000€ en configuration opérationnelle. Cette annonce s'inscrit dans la tendance générale de proposer aux PME des systèmes réservés jusque-là aux grandes entreprises. L'année dernière, IBM a ainsi proposé une version "Business Class" de son grand système z10 à moins d'un million de dollars. Dans la même perspective, Stratus, lui aussi spécialiste des systèmes à tolérance de panne, mais fondé sur des composants x64, vient d'annoncer une configuration à 35 000€ qui allie les avantages de la redondance matérielle avec ceux de la virtualisation. (...)
(16/03/2009 19:10:38)Cisco lance son offre serveurs, façonnée pour le datacenter
Entouré d'un impressionnant aréopage de grands patrons de l'IT, John Chambers, PDG du géant des réseaux Cisco, a procédé à l'annonce tant attendue de ses serveurs. Le système (ne l'appelez surtout pas « lame ») s'appelle Unified Computing Sytem (UCS). Le principe : réunir en un seul lieu l'ensemble des éléments d'infrastructure nécessaires à la mise en oeuvre d'un datacenter au sein d'un système unique mixant serveurs physiques et virtuels. A la façon d'un datacenter prêt à l'emploi et extensible, il regroupe la puissance de calcul, l'accès au stockage en réseau et la virtualisation. Multi-chassis, UCS inclut les serveurs B-Series de Cisco conçus à base de x86 (des Nehalem pour les premières moutures) et d'une connexion 10 Gigabit Ethernet à faible latence. Il accueille jusqu'à 320 machines et plusieurs milliers de machines virtuelles. Chaque module du système intègre des éléments facilitant l'administration globale de l'ensemble au travers de l'outil d'administration de Cisco, UCS Manager. Par ailleurs, l'allocation dynamique de ressources s'exécute au travers de profils de services prédéfinis privilégiant ainsi les applications et le métier de l'entreprise. Le Cisco UCS 6100 Series Fabric Interconnects, structure unique d'interconnexion, relie quant à lui l'ensemble des éléments du système. Il évite ainsi les câbles, adaptateurs et autres commutateurs qui se multiplient habituellement dans les datacenters. Les configurations détaillées de l'offre ne seront dévoilées qu'en avril. Windows et Linux, vSphere de Vmware et Hyper-V de Microsoft Parmi les acteurs majeurs qui ont participé au développement de cet environnement, Intel est un partenaire de choix puisque les systèmes de Cisco s'appuient sur ses puces. Mais les deux géants ont également travaillé ensemble sur la capacité des UCS à étendre la quantité de mémoire disponible pour tel ou tel service. Une fonction particulièrement utile avec la virtualisation. A ce propos, VMware et Microsoft assurent la compatibilité de leurs hyperviseurs respectifs sur le système. Le premier avait également annoncé récemment un switch virtuel avec Cisco. Le second est, quant à lui, également impliqué au travers de l'ensemble de ses systèmes d'exploitation qui tourneront sur la nouvelle machine. Linux n'est pas exclu puisque RHEL de Red Hat et Suse de Novell sont au programme. Quant à BMC, habitué de l'administration de systèmes hétérogènes, il a adapté son environnement pour gérer l'UCS et ses différents modules physiques, virtuels, de calcul, de stockage, etc. Enfin, green IT oblige, Cisco assure que son système aura besoin de moitié moins d'électricité et moitié moins de refroidissement qu'un environnement lames classique. L'intégration de l'ensemble à elle seule explique un besoin moindre d'alimentation électrique, par exemple. Mais le constructeur a aussi travaillé sur la circulation de l'air dans le châssis et l'efficacité des alimentations. (...)
(16/03/2009 19:06:24)Grenoble fait avancer son pôle scientifique consacré aux nanotechnologies
Le projet GIANT -Grenoble Isère Alpes NanoTechnologies- est sur les rails. L'ambition de ses instigateurs est de faire de ce pôle scientifique un MIT(*) à la française. Un comité de pilotage partenarial(**) se tiendra cette semaine à Grenoble, le jeudi 19 mars prochain. « Y seront abordés à la fois le projet GIANT, qui est porté par les acteurs scientifiques et universitaires de la région, et le projet urbain qui concerne la presqu'île scientifique et qui est porté par la Ville de Grenoble », explique François Peyronnet, directeur adjoint à la Ville de Grenoble, pilote technique du projet ; Geneviève Fioraso, adjointe au maire en charge de l'économie et députée en étant le pilote politique. Le projet GIANT a été lancé en 2006, sous l'impulsion de Jean Therme, directeur du CEA (commissariat à l'énergie atomique) Grenoble. Il repose sur l'alliance d'acteurs locaux du secteur de la recherche, des grandes écoles et des universités et du monde industriel (grandes entreprises tout autant que start-up), autour de trois axes : les micro et nanotechnologies, les nouvelles technologies de l'énergie et les biotechnologies. La stratégie de développement du site s'appuie aussi sur les trois pôles de compétitivité de la région : Tenerrdis, qui se consacre aux énergies renouvables, Lyonbiopôle, investi dans les biotechnologies et la santé, et Minalogic, spécialisé dans les solutions associant micro-nanotechnologies et intelligence logicielle embarquée. 6 000 chercheurs et 6 000 étudiants GIANT s'insère dans un projet plus global, engagé depuis plusieurs années et visant à désenclaver la presqu'île scientifique situé au confluent du Drac et de l'Isère. Le chantier de la Rocade Nord, conduit actuellement par le conseil général de l'Isère, doit rendre la presqu'île plus accessible. Cette dernière s'étend sur 250 hectares, emploie actuellement 13 000 salariés dont 8 000 chercheurs, et dispose d'un budget scientifique annuel de 800 M€. Elle accueille quelque 20 000 chercheurs étrangers chaque année. Le projet GIANT de son côté rassemble aujourd'hui 6 000 chercheurs et 6 000 étudiants. Il génère 3 600 publications et produit 300 brevets par an. Les objectifs visés, à six ans, consistent à atteindre 8 000 chercheurs, 10 000 étudiants, 5 000 publications et 350 brevets par an, avec un budget annuel de 1 milliard d'euros. (*) Massachusetts Institute of Technology (**) Parmi les partenaires scientifiques qui doivent participer au comité de pilotage figurent les grands instruments européens de recherche comme le Synchrotron, l'Institut Laue-Langevin, le laboratoire de biologie moléculaire -EMBL, ainsi que Grenoble INP, l'Université Joseph Fourier et Grenoble Ecole de management. Parmi les partenaires institutionnels se trouvent le conseil général de l'Isère, la Metro -communauté d'agglomération de Grenoble, et le SMTC - syndicat mixte des transports en commun. (...)
(16/03/2009 18:29:55)HP-EDS France : transferts vers EDS et baisses de salaire à l'ordre du jour
Le nombre de salariés qui seront transférés
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