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(11/12/2008 16:48:11)

Les clients allemands de SAP obtiennent un sursis sur les tarifs de la maintenance

La grogne persistante des utilisateurs allemands de SAP contre la hausse du coût de la maintenance annuelle annoncée en juillet (de 17 à 22% du prix initial des licences) aura finalement porté ses fruits. L'éditeur d'ERP -progiciels de gestion intégrés- va finalement permettre à ceux d'entre eux qui le souhaitent de conserver en 2009 leur contrat de maintenance Standard à 17%. Il en ira de même pour les clients autrichiens. De fait, ces entreprises avaient vu SAP mettre un terme à leur contrat de maintenance en cours pour les faire passer à la nouvelle formule, Enterprise Support. Une formule très enrichie, certes, comme le souligne constamment SAP, mais beaucoup plus chère (même si l'éditeur affirme que le client doit y trouver son compte dans la durée et faire baisser son coût total de possession). La résiliation des contrats mal interprétée par certains clients allemands, selon SAP Volker Merk, le patron de SAP Allemagne, a reconnu mardi dernier lors d'une conférence téléphonique, que la résiliation des contrats avait été mal interprétée par certains clients qui l'ont, en quelque sorte, ressenti comme une rupture de la relation de confiance qu'ils avaient avec leur éditeur. SAP explique, dans un communiqué cité par nos confrères d'IDG News Service, que les modifications apportées aux contrats existants s'appuient sur les législations en vigueur, différentes dans chaque pays. En Allemagne et en Autriche, il aurait ainsi fallu résilier les contrats existants pour faciliter le passage au contrat Enterprise Support. C'était sans compter la levée de boucliers des utilisateurs locaux. Une centaine d'entreprises, parmi lesquelles Miele, Bahlsen ou encore Villeroy & Boch, se sont notamment regroupées pour protester contre cette politique de prix qu'ils jugent « irresponsable et injustifiée », selon l'édition locale du Financial Times. Jusque-là, SAP s'était montré inflexible, en dépit des offensives répétées des clubs utilisateurs pour qu'il révise la nouvelle tarification de son support. En novembre dernier, le Sugen, qui fédère ces clubs au niveau mondial, avait bien obtenu quelques aménagements (notamment l'allongement du support d'ERP 6.0 et la mise en place d'un contrôle de la satisfaction des utilisateurs), mais sans revenir sur la hausse programmée. une action en recul de 2,90% [[page]] Selon le DSAG, club des utilisateurs germanophones de SAP , les clients allemands et autrichiens vont avoir la possibilité de conserver leur ancien contrat ou d'y revenir pendant toute l'année 2009. Une décision qu'ils devront notifier d'ici le 30 mars prochain. SAP devrait sous peu leur écrire à ce sujet. Pour les clients qui choisiront de conserver le contrat Standard, l'augmentation de tarif n'interviendra alors qu'à partir du 1er janvier 2010 et se calera sur l'indice du coût de la main d'oeuvre (LCI, Labour cost index), un indice harmonisé au niveau européen. Cet aménagement, qui se limite aujourd'hui à l'Allemagne et à l'Autriche, ne fait évidemment pas les affaires de SAP. L'éditeur voit la croissance de ses ventes de licences ralentir. Et les revenus de la maintenance représentent à eux seuls plus de 40% de son chiffre d'affaires (sur les neuf premiers mois de l'année). D'autant plus que l'arrangement proposé aux utilisateurs germanophones risque d'inciter les clients des autres pays à maintenir leur demande de révision de tarif. Conséquence directe ou non, l'action de SAP le 11 décembre à 14h53 avait enregistré un recul de 2,90% à 25,82 euros. En France, l'augmentation du taux est progressive En France, comme l'a rappelé fin novembre Lionel Schwirtz, directeur des ventes de maintenance chez SAP, dans un entretien avec CIO-online.com, « le taux de 22% ne concerne pour l'instant que les nouveaux acquéreurs de solutions SAP, les anciens clients de la maintenance à 17% bénéficiant d'une période d'adaptation où la maintenance va progressivement passer de 17 à 22%, aujourd'hui 18,3% », en soulignant que l'augmentation est donc « similaire à ce que l'on constate dans l'indice Syntec ». (...)

(08/12/2008 15:55:29)

Dassault Systèmes et Chanel réfléchissent ensemble sur la lumière

L'éditeur de Product lifecycle management (PLM) Dassault Systèmes signe un accord de recherche avec Chanel dans le domaine de la cosmétique. Pour les deux partenaires de cette étonnante association, il s'agit d'étudier dans un monde 3D virtuel le rendu de la lumière sur la peau en général (en fonction du type de peau, de l'âge, des conditions atmosphériques, etc.) mais aussi en fonction de l'application de certains produits. Chanel apportera bien entendu ses connaissances en cosmétique et Dassault Systèmes son savoir-faire dans les technologies 3D et la modélisation du virtuel. Le partenariat exploitera le potentiel du Design Studio Avec cet accord, l'éditeur français sort de ses activités habituelles de CAO et de PLM. Mais Dassault Systèmes touche aussi un secteur nouveau pour lui, celui de la cosmétique. Et ce, même s'il avait déjà travaillé à la modélisation du follicule de cheveu en CAO avec L'Oréal en 2002. Le partenariat annoncé aujourd'hui s'appuie une équipe mixte de chercheurs de Chanel et de Dassault Systèmes. Mais il exploitera aussi le potentiel de la nouvelle entité Design Studio de l'éditeur dont il constitue le premier projet d'envergure. Le Design Studio avait été annoncé fin novembre à l'occasion de la grand-messe parisienne de Dassault Systèmes, l'ECF. Dirigé par Anne Asensio, il réunit les designers et les ingénieurs de la R&D de Dassault Systèmes pour développer de nouvelles offres spécifiquement destinées aux designers. Un rendu réaliste du comportement de la lumière Les deux partenaires ne donnent que peu de précisions puisque le projet ne devrait pas aboutir avant 2010. Mais on sait néanmoins que, dans ce cadre, l'éditeur exploitera sa CAO 3D Catia, bien sûr, et ses applications de rendu réaliste, en particulier pour la lumière. Celle-ci est un domaine de recherche important de l'éditeur. Les algorithmes reproduisant les caractéristiques de la lumière qu'il a élaborés sont déjà utilisés dans l'industrie automobile par exemple, pour rendre le monde virtuel le plus ressemblant possible. Ces outils virtualisent la lumière et son comportement. Chanel, de son côté, a développé par exemple de nouveaux pigments pour les fonds de teint ou les rouges à lèvres qui réfléchissent la lumière en fonction des éclairages. (...)

(05/12/2008 12:58:18)

Gestion de la chaîne logistique : JDA ne rachètera pas i2 Technologies

L'éditeur américain i2 Technologies, spécialisé sur la gestion de la chaîne logistique, a annoncé hier qu'un terme avait été mis au plan de fusion engagé le 10 août dernier par son compatriote JDA Software. Début novembre, ce dernier avait notifié au Texan i2 qu'en raison de la situation économique défavorable, les conditions de crédit accessibles allaient mettre l'entité fusionnée dans un contexte de coûts et de risques inacceptable. JDA demandait alors à i2 de négocier un prix d'achat réduit pour finaliser ce rapprochement. En août, son offre initiale d'achat s'élevait à 346 M$. Certains analystes avaient dès le départ évalué que le processus d'absorption ne se déroulerait pas sans mal. En particulier Bruce Richardson, d'AMR Research, qui listait alors cinq obstacles sur le chemin de l'acquisition parmi lesquels la forte spécialisation de i2, ainsi que la forte chute de son chiffre d'affaires, de ses effectifs et du nombre de ses clients. JDA devrait verser un dédit de 20 M$ La rupture des négociations devrait conduire JDA à verser un dédit de 20 M$ à l'éditeur i2. En revanche, JDA ne souhaite pas voir la teneur des discussions entre les deux parties révélée. Dans un communiqué, Jackson Wilson, président du comité exécutif de i2, regrette l'arrêt du processus de fusion et affirme que sa société se trouve dans une situation financière solide. Son action a néanmoins chuté de 20% hier, à 6 dollars. Celle de JDA a baissé de 8% à quelque 11,50 dollars. (...)

(04/12/2008 14:42:21)

Adobe clôt l'année moins bien que prévu et supprime 8% de ses effectifs

L'éditeur Adobe fait à son tour les frais du ralentissement économique. A l'occasion de la publication, mercredi dernier, des résultats préliminaires de son quatrième trimestre fiscal, le groupe a indiqué qu'il allait supprimer l'équivalent de 600 postes dans le monde, soit 8% de ses effectifs. Sa nouvelle gamme Creative Suite 4, qui comprend des produits comme Photoshop et Dreamweaver, ne se serait pas vendue aussi bien que prévu en raison de la baisse des investissements des entreprises. "La crise économique mondiale a touché de manière significative notre chiffre d'affaires au cours du quatrième trimestre", s'est ainsi justifié Shantanu Narayen, PDG d'Adobe. L'éditeur prévoit sur son quatrième trimestre fiscal un chiffre d'affaires compris entre 912 et 915 M$, alors que ses précédentes estimations s'établissaient entre 925 et 955 M$. Les bénéfices, en revanche, seront plus élevés qu'attendu, entre 0,59 et 0,60 dollar par action avant charges (les analystes tablaient sur 0,51 dollar). Pour le premier trimestre de son exercice 2008-2009, le groupe table sur un chiffre d'affaires de 800 à 850 M$ (alors que les analystes attendaient 944 M$). Serait-ce également des raisons économiques qui ont conduit Adobe à ne par participer à la prochaine grand messe annuelle du Monde Mac ? En tout état de cause, l'éditeur a fait savoir qu'il n'exposerait pas au MacWorld Expo 2009 à San Francisco, sans préciser si cette décision résultait d'un souci de réduction des coûts. (...)

(04/12/2008 09:41:36)

Le CA de Sage en hausse de 6%

L'éditeur Sage publie ses comptes annuels mondiaux, pour un exercice clos fin septembre. Le chiffre d'affaires a progressé au total de 7%, passant de 1,430 milliard d'euros * (1,214 milliard de livres) à 1,525 milliard d'euros (1,295 milliard de livres) mais de 6% si l'on considère uniquement la croissance organique. Sage a en effet réalisé des acquisitions représentant 11,2 millions de livres de CA sur ce dernier exercice. La marge Ebita a légèrement baissé de 24 à 23%, justement du fait des acquisitions : KCS et HR en Grande-Bretagne, Eurowin en Espagne. Toutefois, le groupe indique avoir passé une année calme en matière d'acquisitions. Même s'il regarde beaucoup de dossiers, les prix proposés ne lui paraissent pas adaptés. L'activité progresse dans toutes les zones géographiques, sauf en Amérique du nord où le chiffre d'affaires baisse, de 607,4 millions d'euros (515,6 millions de livres) à 590,1 millions d'euros (500,9 millions de livres). Le management a été changé sur cette zone géographique. (*) Les conversions ont été faites suivant les valeurs de change enregistrées à midi le mercredi 3 décembre, jour de publication des résultats. (...)

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