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(04/10/2006 17:47:55)
Microsoft et EMC : un Duet pour la gestion de contenu d'entreprise
Une semaine après avoir inauguré InfoScape, plateforme de gestion de documents non-structurés pour Windows, EMC confirme son engagement avec Microsoft. Les deux partenaires ont décidé d'étendre leur alliance en rapprochant leurs technologies respectives de gestion de contenu. D'un côté, le très attendu système Office 2007 et sa brique collaborative SharePoint Server, et le complexe système Documentum de l'autre. Cette stratégie rappelle celle établie par Microsoft et SAP autour de Duet (connu auparavant sous le nom de code Mendocino), un module qui permet de manipuler les données ainsi que le process du PGI allemand depuis Outlook et Word. Mais plus globalement, cela s'inscrit dans le vaste projet LOBi, stratégie de Microsoft qui vise à rendre SharePoint intéropérable avec nombre d'applications d'entreprises. Sur le plan technologique, EMC prévoit de livrer pour la mi-2007 - date de sortie prévue d'Office 2007 - deux services de liaison entre Documentum et les outils de gestion de contenu et d'archivage de SharePoint : EMC Documentum Content Services for Microsoft SharePoint Server 2007 et EMC Documentum Archive Services for Microsoft SharePoint Server 2007. "Ces services seront payants, indique l'éditeur, et constitueront un moyen d'étendre les options de Documentum aux utilisateurs de SharePoint". A terme, EMC devrait également commercialiser un outil qui permettra de rechercher depuis Documentum dans SharePoint. Concrètement, les services d'archivage développés par EMC permettront d'archiver, manuellement ou automatiquement un flux de documents depuis Sharepoint vers un référentiel Documentum, et d'y accéder depuis SharePoint Server 2007, indique les porte-paroles d'EMC. EMC, également dans le cadre de ce partenariat, indique avoir rehaussé le niveau d'intégration entre SQL Server 2005 et Documentum. En mars dernier, les deux sociétés avaient noué un partenariat d'interopérabilité entre Exchange, SQL Server et Documentum. (...)
(28/09/2006 17:50:36)Bull rachète la SSII française Agarik
Bull a annoncé aujourd'hui le rachat d'Agarik, une petite SSII spécialisée dans l'hébergement et l'infogérance. Créée en 1997, Agarik emploie près de 30 collaborateurs et a réalisé un CA de 5,2 ME en 2005. La société, qui compte parmi ses clients SFR, Canal+ et Dassault Systèmes, est selon Bull reconnue pour son expertise technique et pour la qualité et la disponibilité de ses services. Les salariés d'Agarik devraient intégrer la division infogérance de Bull. Le montant du rachat n'a pas été précisé par le constructeur informatique français. (...)
(27/09/2006 18:02:51)Cisco adapte la diffusion vidéo communautaire aux entreprises
Mettre en place un portail vidéo à la YouTube dans son entreprise. C'est ce que Cisco propose depuis hier avec le lancement de son Digital Media System. Cette solution "clé en main" rassemble tous les composants nécessaires pour permettre à une entreprise de diffuser de la vidéo sur un intranet et la mettre à disposition de ses salariés, de ses partenaires ou de ses clients. La solution se compose de trois éléments. Tout d'abord Cisco propose sa propre solution d'encodage vidéo avec le Cisco Digital Media Encoder 2000 et le Cisco Digital Media Encoder 1000, deux appliances destinées respectivement à encoder en temps réel des flux en studio et en déplacement. Ensuite, le constructeur propose sa solution de bibliothèque multimédia, le Cisco Digital Media Manager. Ce composant permet de publier les séquences numérisées et de leur attacher des mots clés et autres métadonnées. Il peut aussi être utilisé pour gérer le workflow de production. Enfin, Cisco propose son propre portail vidéo, destiné à permettre une consultation simple des ressources multimédias disponibles par les salariés ou clients. Le portail comprend par exemple un guide des programmes et des fonctions de recherche. Il permet aussi à un utilisateur de se constituer sa propre liste de diffusion. Intégré avec le Cisco Digital Media Manager, il supporte pour l'instant les formats Windows Media, RealPlayer et Flash. Curieusement, les formats QuickTime et MPEG-4 sur lesquels Cisco a beaucoup travaillé au sein de l'ISMA (Internet Streaming Media Alliance) ne seront supportés que vers la fin de l'année. Le Digital Media System est disponible immédiatement à partir de 133 000 $ pour une configuration de base. La solution s'accompagne d'une offre de service d'aide au déploiement. (...)
(22/09/2006 17:16:15)Cognos dépasse ses prévisions au deuxième trimestre
Comme il avait été annoncé au début du mois de septembre, Cognos a dépassé ses prévisions au deuxième trimestre. L'éditeur canadien a réalisé un chiffre d'affaires en progression de 9,2% sur un an, à 229,5 M$. Le consensus des analystes plafonnait à 227,05 M$. Le bénéfice net atteint quant à lui 23,8 M$ sur une base Gaap, contre 24,9 M$ un an auparavant. Malgré ce recul, le bénéfice par action s'élève à 0,33 $ hors exceptionnel, soit 0,06 $ de plus que l'estimation des observateurs. Sur l'ensemble du premier semestre, le CA atteint 446,9 M$, contre 412,1 M$ à la même période de l'année d'avant. Le bénéfice net n'affiche pas la même tendance : il passe de 45,3 à 38,3 M$ en un an. Le groupe a mis en place un plan d'amélioration de la rentabilité - annoncé le 7 septembre - censé corriger le tir et générer des économies annuelles d'environ 28 M$. Une batterie de mesures qui inclut notamment le licenciement de 6% des effectifs à travers le monde. Confiant et rassurant - comme son rôle l'exige - le PDG de Cognos, Rob Ashe, s'estime "très bien positionné pour la seconde moitié de l'année et les périodes suivantes". (...)
(20/09/2006 18:05:05)Oracle fête un bon premier trimestre sur un air d'arrogance
Résultats premier trimestre Chiffre d'affaires : 3,6 Md$ (+30%) Bénéfice net : 670 M$ (+29%) Oracle démarre très fort son exercice fiscal 2007 en rendant une copie pour le premier trimestre qui dépasse à la fois ses propres prévisions et les attentes des analystes. Le bénéfice net atteint 670 M$, soit une progression de 29% sur un an et le bénéfice par action s'aligne à 0,13 $. En laissant de côté les impacts des récentes acquisitions - Oracle a dépensé environ 20 Md$ au cours des trois dernières années en croissance externe en se payant notamment Peoplesoft et Siebel - le bénéfice croît de 26%, à 930 M$. Heureux actionnaires, leur titre leur rapporte 0,18 $ hors exceptionnel, soit davantage que les 0,16 $ escomptés par Oracle et les analystes. Enfin, le chiffre d'affaires du groupe bondit de 30%, à 3,6 Md$. Les observateurs tablaient sur un revenu de 3,47 Md$ et Oracle avait annoncé en juin une progression seulement comprise entre 19 et 20%. Le groupe a su profiter d'une spectaculaire croissance des ventes de nouvelles licences (+80% en valeur), celles-ci représentant 22% du CA global. Les mises à jour et le support ont, pour leur part, généré 54% des revenus du groupe, à 1,9 Md$. Enfin, les services complètent le tableau avec 846 M$. Un bon trimestre qui rend arrogant Forts de ces bons résultats, les dirigeants d'Oracle n'ont pu se contenter de se taper dans le dos en se félicitant. Ils ont également jugé bon de fanfaronner et de faire preuve de ce que d'aucuns qualifieraient d'arrogance à l'égard de leur principal concurrent, SAP. La première salve est tirée par Charles Philippe, le co-président du groupe, qui précise qu'Oracle a remporté 88 contrats au cours du trimestre pour lesquels il était placé en situation de concurrence frontale avec l'éditeur allemand. Le PDG, Larry Ellison, prend le relai en affirmant que la partie middleware de Fusion - la suite d'applications construite à partir des produits Oracle, Siebel et Peoplesoft - est "à des années [devant]" NetWeaver de SAP, un produit qui reste "relativement nouveau et incomplet". Poursuivant sur le même ton, Larry Ellison s'en prend ensuite à la stratégie de SAP et plus particulièrement à la décision de l'Allemand de ne sortir une nouvelle version de son PGI mySAP ERP qu'en 2010. "Ils auront deux années entières de retard sur la sortie de Fusion", explique Ellison. La réaction de SAP ne s'est pas faite attendre. Par la voix du vice-président Bill Wohl, l'éditeur rappelle que si la partie middleware de Fusion est disponible, le développement de l'ensemble de la suite applicative - nommée Project Fusion - doit théoriquement toucher à son terme en 2008. Et que ces futurs développements n'existent à l'heure actuelle "que sur PowerPoint". Pire encore, l'éditeur d'Outre-rhin accuse à demi-mot son concurrent de tromper son monde sur l'état d'avancement de Fusion. "En janvier, Oracle prétendait qu'il avait développé la moitié de Fusion et, il y a deux semaines, il affirmait qu'il n'en avait pas encore terminé la moitié. Oracle doit se fixer sur une version de la vérité et être honnête sur son état d'avancement". (...)
(20/09/2006 12:36:59)Oracle signe un premier trimestre dépassant toutes les prévisions
Résultats premier trimestre Chiffre d'affaires : 3,6 Md$ (+30%) Bénéfice net : 670 M$ (+29%) Oracle démarre très fort son exercice fiscal 2007 en rendant une copie pour le premier trimestre qui dépasse à la fois ses propres prévisions et les attentes des analystes. Le bénéfice net atteint 670 M$, soit une progression de 29% sur un an et le bénéfice par action s'aligne à 0,13 $. En laissant de côté les impacts des récentes acquisitions - Oracle a dépensé environ 20 Md$ au cours des trois dernières années en croissance externe en se payant notamment Peoplesoft et Siebel - le bénéfice croît de 26%, à 930 M$. Heureux actionnaires, leur titre leur rapporte 0,18 $ hors exceptionnel, soit davantage que les 0.16 $ escomptés par Oracle et les analystes. Enfin, le chiffre d'affaires du groupe bondit de 30%, à 3,6 Md$. Les observateurs tablaient sur un revenu de 3,47 Md$ et Oracle avait annoncé en juin une progression seulement comprise entre 19 et 20%. Le groupe a su profiter d'une spectaculaire croissance des ventes de nouvelles licences (+80% en valeur), celles-ci représentant 22% du CA global. Les mises à jour et le support ont, pour leur part, généré 54% des revenus du groupe, à 1,9 Md$. Enfin, les services complètent le tableau avec 846 M$. Pour le deuxième trimestre, Safra Catz, la directrice financière, table sur une croissance du bénéfice net comprise entre 13 et 17% et sur un chiffre d'affaires en hausse de 22 à 24%. (...)
(15/09/2006 17:40:19)De la PAO au PGI, visite guidée d'Apple Expo
Certaines mauvaises langues parlent de l'événement en le nommant iPod Expo. Pourtant, si le baladeur relifté est présent dans chaque allée - et presque sur chaque stand - les professionnels trouvent aussi leur compte en parcourant les travées de l'Apple Expo. Il y a d'abord les habitués du Mac, les enseignes incontournables, les grosses machineries. Quark est de ceux-là. Le spécialiste de la PAO, s'il avait snobé jusqu'à peu les rendez-vous mondains, agglutine les visiteurs autour de son espace où est présenté le dernier né Xpress 7. « Nous organisons des sessions de formation toutes les heures, sur 22 postes, explique Jean-Marc Emery, responsable des relations avec la presse pour l'Europe du Sud. Depuis le début du salon, toutes les places sont occupées ». Cet enthousiasme n'est pourtant pas l'apanage des grands. L'américain SeeFile, éditeur d'un outil de partage de fichiers pour les petites structures, est ravi d'avoir fait le déplacement depuis Boston. « Nous sommes enthousiasmés par le salon, confie Patrice Gouttebel, chargé de la collaboration franco-américaine. En seulement deux jours nous avons rassemblé plus de contacts que nous en espérions pour la semaine ». Même son de cloche pour la start-up Ubistorage. Son PDG, Gil Utard, a presque du mal à réaliser le succès d'estime dont jouit, auprès des visiteurs, son système de sauvegarde de données dématérialisé : « c'est notre premier salon et on n'arrête pas. On a pris 150 contacts en deux jours, on n'en revient pas ». Au détour d'une autre allée, on trouve aussi des éditeurs de PGI pour Mac-addicts. Evidemment, leur audience est moins démentielle que celle du stand FileMaker, à seulement quelques enjambées. Mais les hérauts d'Archoffice et d'Equapro semblent heureux d'être présents : « j'ai fait le tour du salon, nous ne sommes que deux sur le créneau des solutions de gestion. Alors, si quelqu'un veut s'équiper sur Mac, il viendra sur le salon et tombera sur nous. C'est pour cela que j'y suis », note Marc Fournier, ingénieur commercial pour Equation (éditeur d'Equapro). Les deux éditeurs revendiquent entre 20 et 40% de leur clientèle équipée en Mac (leurs produits sont multi-plateformes) et attendent avec impatience les premières retombées du Mac-Intel, une association « qui ouvre des perspectives formidables pour ceux qui aiment Mac », poursuit Marc Fournier. C'est certain, ils seront de retour l'année prochaine. (...)
(13/09/2006 16:33:20)SAP dévoile son moteur de recherches maison
La mine d'informations que constituent les progiciels SAP installés en entreprise va devenir exploitable. C'est la promesse faite par Peter Graf, vice-président exécutif marketing de l'éditeur, lors du Tech'Ed SAP, la conférence développeurs, hier à Las Vegas. L'application Enterprise Search, qui sera commercialisée en 2007, permettra d'effectuer des recherches au sein des systèmes SAP avec une grande simplicité, explique SAP, grâce à une interface de type Google. Il sera possible, a illustré Peter Graf, de rechercher dans la structure hiérarchique d'une entreprise qui rapporte à qui, ou bien de trouver dans une entreprise qui serait par exemple expert en telle technologie. L'application tourne sur la plate-forme d'intégration de l'éditeur, Netweaver, et dispose d'interfaces ouvertes afin de le connecter à d'autres applications. Les développeurs pourront ainsi connecter Enterprise Search à des applications non-SAP, voire intégrer ses capacités de recherche au sein d'une application maison. SAP donnera l'exemple en branchant Enterprise Search à son appliance pour le décisionnel, BIA (Business Intelligence Accelerator). Pour une stratégie similaire à celle de tous ces acteurs du décisionnel qui nouent des accords avec Google afin que même les utilisateurs les moins aguerris puissent avoir le sentiment d'avoir toute l'information au bout de leurs doigts (pour la pertinence, c'est autre chose). Pour l'heure, une version d'essai gratuite est disponible pour la communauté des développeurs SAP. (...)
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