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(19/08/2010 11:33:58)

Intel s'approprie des parts de marché d'AMD sur les serveurs

Intel a gagné des parts sur le marché des microprocesseurs pour serveur, prenant avantage de la lenteur de renouvellement des produits d'AMD si l'on en croit des chiffres publiés mercredi par IDC. Le fondeur de Santa Clara a fourni 93,5 % de ces processeurs au second trimestre, contre 89,9 % à la même époque en 2009, tandis qu'AMD est passé de 10,1 % à 6,5% sur cette période. Cette perte de parts de marché s'est principalement produite entre le premier et le second trimestre. Il paye le retard des fabricants de serveurs à proposer les processeurs Opteron série 6000. « Intel a vu ses ventes augmenter grâce aux produits Xeon DP 32 nanomètres et Xeon MP 45 nanomètres. Par comparaison, tandis qu'AMD lançait ses processeurs Opteron 8 et 12 coeurs, les OEM ne se sont pas rués dessus, et ne les ont livrés qu'en faible quantité au second trimestre. Je pense que cela devrait changer durant le troisième » a déclaré Shane Rau, analyste pour IDC. « On peut présumer que leurs chiffres ne seront pas autant plombés par ces problèmes de transition durant les deux derniers trimestres de l'année fiscale » a confirmé Dean McCarron, analyste chez Mercury Research.

Des chiffres pas si mauvais pour AMD

Sur le marché global des x86, incluant les serveurs, les ordinateurs de bureau et les processeurs mobiles, les chiffres sont plus positifs pour AMD, sa part de marché étant passée de 18,8 % à 19 % des processeurs livrés entre les deux premiers trimestres. Les parts sur les puces à destination des notebooks ont elles aussi augmentées sur cette période, de 12,1 % à 13,7 %, là où Intel a perdu du terrain, ses parts tombant à 86,1 % alors qu'elles s'élevaient à 87,8 % au premier trimestre.

Pour les processeurs de PC de bureau, Intel a néanmoins gagné un demi point, grimpant à 72,2 % des livraisons. Via Technologies représentait quant à elle, au second trimestre, 0,3 % des livraisons totales de processeurs, contre 0,2 % au premier, mais surtout contre 0,5 % à la même période en 2009. Les livraisons totales, tous fournisseurs confondus, étaient en hausse de 30,8 % d'une année sur l'autre pour le second trimestre, marquant le retour des investissements en équipement informatique. Le marché des mobiles a connu la plus forte hausse, suivi ensuite par celui des serveurs.

Crédit Photo : D.R.

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(18/08/2010 10:03:43)

Semestriels ARES : une discrète amélioration

Après de fortes restructurations, Ares publie ses résultats semestriels, achevés au 31 juillet dernier.  Le chiffre d'affaires consolidé sur les six premiers mois de l'année se monte à 27,9 millions d'euros (ME) contre 28 un an auparavant. Le chiffre d'affaires du deuxième trimestre est même en hausse de 3% à 13,4 ME. Les chiffres ne comprennent plus les activités d'infogérance aux infrastructures en Ile-de-France et à Toulouse revendues à SCC.

Les activités d'Ares se répartissent en trois pôles, dont un seul  est en progression : « Innovation et design ». Il passe de 7,5 ME au 1er semestre 2009 à 9,1 ME au 1er semestre 2010.  Ce pôle repose essentiellement sur Autodesk.  Le pôle principal, celui des services, passe de 16,8 ME à 15,3 ME entre le 1er semestre 2009 et le 1er semestre 2010. Dernière activité, celle d'intégration passe de 3,8 ME à 3,5 ME.
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(12/08/2010 17:03:40)

Annuels Cisco : un quatrième trimestre en forte hausse

C'est sur un très bon trimestre que l'Américain Cisco a clos son année fiscale fin juillet. L'équipementier réseau a vu son chiffre d'affaires croître de 27% sur les trois derniers mois de son exercice, à 10,8 milliards de dollars, et son bénéfice net grimper de 79%, à 1,93 Md$. Sur douze mois, ses ventes ont progressé de 11% pour atteindre 40 milliards de dollars et son bénéfice net de 26,6% à 7,7 Md$. La marge opérationnelle Gaap du groupe a gagné 2,6 points, à 22,9% du chiffre d'affaires (contre 20,3% sur l'exercice 2009).

En avril, Cisco a définitivement acquis en avril le Norvégien Tandberg, spécialiste des solutions de téléprésence. Cette opération, estimée à 3,4 milliards de dollars, renforce son activité sur un marché où le constructeur californien était déjà présent. Parallèlement, le groupe dirigé par John Chambers a poursuivi sa percée sur le marché des serveurs, avec sa ligne UCS (Unified Computing System), lancée en mars 2009. Sur ce terrain, il totaliserait désormais une base installée de 1 700 clients.

+27% sur les commutateurs, le sans fil et la sécurité

Ainsi, si les ventes de ses gammes traditionnelles d'équipements réseaux ont enregistré de belles progressions sur le quatrième trimestre (+27% pour les commutateurs, les produits sans fil et la sécurité, +15% sur les routeurs), c'est sur ses autres activités que l'augmentation est la plus sensible : +139% pour un chiffre d'affaires (CA) de 900 M$. Toutefois, ces revenus ne pèsent encore que 8,3% du CA trimestriel et 6,5% du CA annuel. Lors de l'annonce des résultats financiers, John Chambers a indiqué que des ventes clés seraient bientôt annoncées dans cette division, réalisées avec des entreprises où l'on ne se serait pas attendus à voir Cisco gagner.

A noter que l'activité services de la société a elle aussi bien progressé sur l'année, de 9%, à 7,6 Md$.

Des prévisions optimistes dans un contexte incertain

Sur le trimestre entamé, le premier de l'exercice 2011, les prévisions de croissance du groupe oscillent entre 18 et 20% (les estimations à plus long terme s'établissent entre +12 et +17% par trimestre). Cet optimisme mesuré s'inscrit dans un contexte économique qui reste incertain, a souligné John Chambers. « L'économie globale envoie des signaux mitigés, Cisco aborde donc avec prudence les trimestres qui s'annoncent ».

En dépit de ces réserves, le groupe a confirmé son intention d'ajouter près de 3 000 collaborateurs à ses effectifs dans les prochains trimestres. Au cours des deux derniers, il a déjà embauché plus de 3 000 personnes. Les recrutements viendront en grande partie renforcer les nouvelles activités du constructeur. En juin 2010, Cisco employait 70 714 personnes dans le monde, contre 65 545 un an plus tôt.

Cisco a recruté 2 100 salariés sur le dernier trimestre, sans compter les équipes de Tandberg qui ont rejoint le groupe, a précisé John Chambers. Soixante-dix pour cent de cet effectif a été embauché aux Etats-Unis, dont environ 600 personnes dans l'état de Californie où se trouve le siège social de Cisco.

Les ventes de l'équipementier ont été soutenues sur toutes les zones géographiques, a ajouté John Chambers, avec une performance plus marquée en Inde (+50%). Elles ont progressé de 20% en Chine et aux États-Unis.

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(10/08/2010 17:01:23)

Trimestriels Steria : prise de commandes en forte hausse

Steria a affiché un chiffre d'affaires étal, à 417,5 M€ (-0,1%), sur le deuxième trimestre 2010 par rapport à l'an dernier. Lors de la communication de ses résultats financiers la semaine dernière, la SSII française a en revanche souligné la hausse de 17,6% enregistrée sur la prise de commandes pendant cette période.

Par zone géographique, la France a vu son chiffre d'affaires progresser de 4,9% en organique, à 128,6 M€ sur le trimestre. Le Royaume-Uni (39% du CA global sur le trimestre contre 31% pour la France) a reculé de 3,9% à 163,3 M€, mais les résultats du trimestre sont néanmoins supérieurs à ce que prévoyait la SSII. En Allemagne, le CA a augmenté de 1,3% à 57,6 M€ et sur le reste de l'Europe, il a baissé de 0,8% à 68 M€ sur le trimestre.

Infogérance et BPO en hausse

Depuis le début de l'année, sur six mois, l'activité conseil et intégration a reculé de 1%, avec un chiffre d'affaires de 507,2 M€. A l'inverse, Steria a vu progresser de 5,4% ses activités infogérance et BPO (business process outsourcing) à 324,8 M€ sur un chiffre d'affaires total de 832,1 M€ (+1,4%).

Sur l'ensemble de son premier semestre, en France, la SSII a enregistré une croissance organique de 3,7% de son chiffre d'affaires, à 259,9 M€ (+3% en Allemagne à 115,2 M€, mais -1,2% au Royaume-Uni, à 325,3 M€).

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(05/08/2010 14:52:33)

Semestriels Sopra : forte progression de la marge opérationnelle

La SSII française Sopra a enregistré une croissance organique de 2,5% sur son activité principale de conseil et d'intégration de systèmes et de solutions (CISS), sur ce premier semestre 2010, à 473,8 millions d'euros (83% de son chiffre d'affaires total). C'est la France qui tire ce résultat, avec un chiffre d'affaires de 386,9 M€ faisant apparaître une croissance organique de 3,9%. Les activités CISS Europe (qui ne pèsent que 18,3% de CISS Sopra Group) sont en retrait par rapport au premier semestre 2009, à 86,9 M€ (-2,9%).

La marge opérationnelle passe de 4,2% à 6,8% du CA

En revanche, la progression la plus notable concerne le résultat opérationnel des activités CISS. Celui-ci s'établit à 38,8 millions d'euros, soit une progression de 69,4% par rapport au premier semestre 2009. La marge opérationnelle s'établit ainsi à 6,8% du chiffre d'affaires (8,2% pour CISS France, 1,6% pour CISS Europe) contre 4,2% l'an dernier à même époque (6,3% pour CISS France, 0,2% pour CISS Europe).
Le bénéfice net de CISS Sopra Group s'élève à 19,8 M€ (+83,3% comparé à l'an dernier) et le flux net de trésorerie disponible est de 11 M€ (contre 34,1 au 1er semestre 2009).

Quant aux ventes d'Axway, filiale de Sopra Group spécialisée sur les solutions d'interaction dans l'entreprise (échanges de fichiers, de messages et de services), elles ont de leur côté augmenté de 14,6%, à 95,2 millions d'euros. La filiale enregistre une marge opérationnelle de 5,6%.

580 collaborateurs de plus depuis fin décembre 2009

Sur ces six premiers mois, le groupe a procédé à une politique de recrutement active. Son effectif a crû de 580 personnes depuis le 31 décembre dernier, pour atteindre 13 030 personnes au 30 juin 2010. La SSII avait indiqué au premier trimestre qu'elle prévoyait de recruter un millier d'informaticiens dans l'Hexagone pour ses trois métiers : le conseil, l'intégration de systèmes et l'édition de logiciels.

Rappelons qu'un projet de séparation entre Sopra Group et sa filiale Axway est en cours. Il devrait être soumis au Conseil d'administration du group en septembre, précise la société dans un communiqué.

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(02/08/2010 17:44:08)

Trimestriels Alcatel-Lucent : affectés par la pénurie de composants

La direction de l'équipementier télécoms Alcatel-Lucent maintient le cap et ses prévisions 2010, c'est l'essentiel de son discours. La société table sur une progression du marché comprise globalement entre zéro et 5 points, ses propres revenus devant progresser entre 1 et 5%.

Pour le deuxième trimestre 2010 toutefois, la situation est plus contrastée. Le chiffre d'affaires de ce trimestre s'élève à 3,8 milliards d'euros, en progression de 17,4% par rapport au trimestre précédent, mais en baisse de 2,4% par rapport au même trimestre de l'année précédente. A taux de change et périmètre constants, le chiffre d'affaires de ce trimestre se révèle en hausse de 11,8% par rapport au 1er trimestre 2010 et en baisse de 6,9% par rapport au 2ème trimestre 2009.

Ces résultats décevants sont dus, comme pour le précédent trimestre, à la pénurie de composants. Deux concurrents d'Alcatel-Lucent, Ericsson et Nokia-Siemens Networks ont, selon l'agence Reuters, invoqué la même raison. Selon Ben Verwaayen, PDG d'Alcatel-Lucent, les industriels des composants mettront plusieurs mois avant de résoudre cette pénurie.

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(30/07/2010 12:03:50)

Semestriels Bull : la société se montre prudente pour l'avenir

Impacté par la crise, Bull a publié des résultats financiers pour le premier semestre en demi-teinte. Certes le chiffre d'affaires est en hausse de près de 6% à 591,3 millions d'euros. La marge brute progresse de 7,5% à 131,2 millions d'euros. Au sein des différentes activités, on note une bonne tenue de la branche hardware et solutions systèmes, +5,5% avec 190,6 millions d'euros. Le groupe indique que cette activité est portée par les efforts réalisés dans l'extreme computing et le stockage sécurisé. Par contre l'activité revente de produits tiers chute de 42,3% en raison d'un désengagement volontaire de Bull. La partie maintenance subit aussi une décroissance de 4%, également anticipée.

Des pertes et des prévisions prudentes


Le groupe affiche une perte nette de 18,4 millions d'euros contre un bénéfice net de 2 millions d'euros à la même période un an auparavant. Bull explique en partie cette chute par une charge exceptionnelle de 9,2 millions d'euros représentant la dépréciation de l'écart d'acquisition résiduel de Siconet, une filiale espagnole. Par ailleurs, l'intégration d'Amesys (société de conseil et d'ingénierie dont l'acquisition a été finalisée mi-janvier) impacte les résultats par l'ajustement d'une clause de remboursement de créance de 4,2 millions d'euros.

Pour les perspectives, la société française est très prudente en estimant le résultat d'exploitation pour le second semestre 2010 à un minimum de 30 millions d'euros. La nouvelle équipe dirigeante présidée par Philippe Vannier, après le départ de Didier Lamouche au mois de mai dernier, va présenter à l'automne son plan pluriannuel pour le groupe.

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(30/07/2010 09:42:03)

Semestriels France Télécom : Des bénéfices en forte hausse

France Télécom a présenté le jeudi 29 juillet ses résultats financiers du premier semestre 2010. Le directeur général de l'opérateur historique, Stéphane Richard aura affirmé : « nos résultats sont solides et le groupe est bien sur les rails du plan Conquêtes 2015 ». Cette présentation à été l'occasion pour l'exécutif de France Télécom de clarifier, une nouvelle fois, sa stratégie sur les contenus et de préciser l'arrivée des offres quadruple play.  L'opérateur a ainsi réaffirmé selon les dires de Stéphane Richard, « une stratégie d'engagement en direction des contenus ». Le dirigeant a également déclaré que "France Télécom est aujourd'hui un groupe sain." A l'appui de ses dires, le bénéfice net de France Télécom s'est envolé de 45% (comparé à la même période de l'année 2009) à 3,72 milliards d'euros ce qui a fait bondir, lors de l'annonce, le cours de l'action du groupe de près de 5% à 15,90 euros. Reste que cette évolution très positive est essentiellement due à la cession de certains actifs en Grande-Bretagne. En fait le chiffre d'affaires marque un recul de 2,2% comparé au premier semestre 2009. Il est de 22,1 milliards d'euros, ce qui est légèrement au dessus des attentes du marché.

Près de 30 milliards d'endettement

La dette du groupe, quant à elle, poursuit sa baisse. Elle est certes conséquente à presque 30 milliards (29,9 plus précisément) contre un peu de plus de 32 milliards sur la même période en 2009. Stéphane Richard, via le conseil d'administration de France Télécom, poursuit sa stratégie en direction des actionnaires en versant un dividende par action égal à celui des deux années précédentes soit 1,40 euros et ce pour les 3 années à venir. Dans cette période sociale tendue, le groupe a également confirmé la distribution d'actions gratuites à 160 000 salariés pour un coût global évalué entre 200 et 300 millions d'euros à l'image de ce qui avait déjà été fait en 2006. Stéphane Richard a également tenu à se féliciter de la bonne résistance de l'activité entreprise du groupe (OBS) qui était en perte de vitesse ces derniers temps.

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Il a été aussi question de l'évolution de la stratégie en matière de contenu de France Télécom en fin de conférence. Pour ce qui est de la gestion des deux chaînes Orange Sport et Orange Cinéma Séries, des discussions se poursuivent avec de potentiels partenaires à l'instar de Canal + fortement pressenti pour devenir le partenaire de l'opérateur. Stéphane Richard, sans nier l'expertise de Canal + et l'intérêt d'une telle association, a tenu à calmer le jeu en affirmant que des discussions étaient en cours mais que rien n'était arrêté « c'est une possibilité parmi d'autres, laissons à ces discussions le temps de progresser. » En effet d'autres options sont possibles et notamment celle menant au groupe de Rupert Murdoch. Une piste menant à la ligue de football pour la cogestion d'Orange Sport. 

Un partenariat indispensable pour partager les coûts

Le groupe cherche plus que jamais une solution de partenariat rapide c'est-à-dire dès septembre prochain. Stéphane Richard justifie cet empressement par les coûts d'exploitation élevés de ces chaînes puisqu'il s'élève à 300 millions d'euros et il a précisé que l'objectif, à terme, était d'être minoritaire dans ce partenariat. A une question portant sur les offres Quadplay (TV, fixe, mobile, internet), France Télécom a fait savoir que la gamme d'offres se nommerait « Orange Open » et qu'elle comporterait cinq offres différentes en fonction des budgets. Les différentes tarifications n'ont pas filtré et il faudra attendre le 19 août, date de commercialisation de ces offres, pour connaître le prix de ces forfaits.

Le syndicat CFE-CGC dénonce les échecs à l'international


La CFE-CGC a immédiatement tenu à réagir après l'annonce des résultats de France Télécom.  Le syndicat dénonce l'échec de la politique internationale avec la cession du réseau fixe ADSL en Grande Bretagne à BT, la baisse du chiffre d'affaires en Pologne et une stratégie qui ne fonctionne pas en Espagne. Qui plus la branche CFE-CGC de France Télécom, dirigée par Sébastien Crozier, dénonce la politique de dividende du groupe, qui selon le syndicat, plombe les investissements et demande que ceux-ci tombent à 0,50 € par action au lieu de 1,40 € actuellement. Si le syndicat reconnaît par ailleurs les compétences de la nouvelle équipe dirigeante, elle dénonce le comportement irresponsable de l'Etat, qui est l'actionnaire majoritaire de France Télécom. Au final, le syndicat estime que la tâche s'annonce titanesque pour Stéphane Richard et son équipe.

Photo : Stéphane Richard, Directeur Général de France Télécom, D.R
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(29/07/2010 12:07:35)

Trimestriels Dassault Systèmes : Forte croissance globale

Les résultats du second trimestre et du premier semestre de Dassault Systèmes sont bons. Le chiffre d'affaires pour les différents exercices sont respectivement de 385,6 millions d'euros en croissance de 24% et de 697,5 millions d'euros en hausse de 12%. La partie logiciel représente 346,4 millions d'euros (+28%) au deuxième trimestre et 626,1 millions d'euros (+15%) au premier semestre 2010. Bernard Charlès, Directeur Général de Dassault Systèmes explique ces résultats par « une bonne performance commerciale et opérationnelle ». Il ajoute que le trimestre a été marqué par l'intégration de l'activité PLM d'IBM, la mise en place de partenariats stratégiques avec des groupes comme Michelin ou Gap. Plus récemment encore, la société a acquis Exalead pour prendre pied dans le métier des « Search Based Applications ». Elle s'est emparée aussi de Geensoft, spécialisée dans les systèmes embarqués.

Sur le plan géographique, la croissance a été plus soutenue en Europe (+20%) et en Asie (+22%), qu'en Amérique (+12%). Sur les différentes activités, les logiciels PLM progresse de 24% au deuxième  trimestre à 268,4 millions d'euros et la conception mécanique 3D croit de 14% à 78 millions d'euros.

Avec ses résultats, le bénéfice par action ressort à 0,40 euros soit une hausse de 82% sur un an. La trésorerie nette est de 714,1 millions d'euros. Sur les perspectives, Thibaut de Tersant, directeur général adjoint aux Affaires Financières a déclaré « nous visons une accélération de la croissance à un niveau d'environ 22% à 25% pour le second semestre 2010. Nous révisons à la hausse l'objectif de croissance de notre chiffre d'affaires dans une fourchette de 16 à 18% ».

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(29/07/2010 12:00:19)

Semestriels Capgemini : Prêt à basculer dans la reprise

Les chiffres sont parfois trompeurs. A première vue, la comparaison du chiffre d'affaires du premier semestre 2010 et celui de 2009 porte à croire à une baisse d'activité (-3,8%), mais si on le compare avec le second semestre 2009, il progresse de 5,4% à 4,211 milliards d'euros. Cela confirme un point d'inflexion des activités du groupe et une stabilisation des principaux marchés. Capgemini indique que le chiffre d'affaires du deuxième trimestre 2010 ressort à 2,159 milliards d'euros, soit une hausse de 5,2% par rapport au premier trimestre.

Les prises de commandes croissent de 14% au premier semestre. Sur les métiers, comme son concurrent Atos Origin, l'activité Intégration de systèmes subit un repli de son chiffre d'affaires en raison d'une forte pression sur les prix. L'infogérance ralentit elle aussi à cause d'une baisse du volume d'affaires. La branche conseil continue de souffrir avec des revenus en recul de 9,3%. Enfin, l'activité des services informatiques de proximité (Sogeti) enregistre elle aussi une contraction de son chiffre d'affaires (-4,1%).

Si les résultats du premier semestre reflètent une bonne résistance aux reliquats de la crise, les dirigeants sont maintenant tournés vers le second semestre 2010. Paul Hermelin, directeur général de Capgemini souligne « le groupe renouera avec la croissance au deuxième semestre. Nous avons d'ores et déjà relancé une politique de recrutement dynamique et nous mettrons particulièrement l'accent sur nos cinq lignes de services mondiales ». Le spécialiste des services informatiques et d'infogérance prévoit pour le second semestre 2010, un chiffre d'affaires 2010 en croissance de 3 à 5% par rapport à la même période en 2009. Par ailleurs, le taux de marge opérationnelle devrait être supérieur à 6,5%.

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