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(22/01/2010 15:37:35)

Annuels Google : le clic payant reste une bonne vache à lait

Avec un chiffre d'affaires en hausse de 17% sur le quatrième trimestre 2009 et un bénéfice net multiplié par cinq, Eric Schmidt,le PDG de Google, peut se déclarer satisfait. Ce qu'il n'a pas manqué de faire hier, lors de l'annonce des résultats financiers, en attribuant le mérite de la performance à ses équipes et au modèle économique de la société, basé principalement sur les revenus publicitaires générés par le moteur de recherche. Le chiffre d'affaires total s'élève à 6,67 Md$ pour le dernier trimestre 2009, en hausse de +17% par rapport au quatrième trimestre 2008. Une fois soustraites les commissions reversées aux partenaires de son réseau publicitaire, le chiffre d'affaires trimestriel est ramené à 4,95 Md$, soit quelque 30 M$ de plus que ce à quoi s'attendaient les analystes. Sur l'année complète, le chiffre d'affaires total enregistre une progression plus modérée de 8,5% par rapport à 2008, à 23,65 Md$. Le bénéfice net annuel augmente de 54% à 6,52 Md$. Les deux tiers des revenus de Google sont générés par ses propres sites Web, le reste provenant des sites partenaires de son réseau publicitaire. Les 'clics' payants, publicités sur lesquels cliquent les internautes, ont augmenté de 13% au quatrième trimestre par rapport à 2008 et de 9% par rapport au trimestre précédent. Trois relais de croissance pour 2010 Pour l'année entamée, Eric Schmidt s'attend à voir se développer de façon significative les revenus provenant de ses produits mobiles et de ses offres pour entreprises, notamment grâce à l'adoption croissante du modèle cloud computing. Le troisième relais de croissance important pour 2010 réside dans sa nouvelle activité d'affichage de publicités, un secteur sur lequel le groupe demeure pour l'instant un acteur mineur. Le PDG de Google prévoit une forte progression de ses revenus dans ce domaine et rappelle que YouTube constitue un élément essentiel de cette stratégie. Evoquant la croissance externe, le dirigeant pense que la société pourrait réaliser une acquisition par mois pour renforcer sa puissance de feu technologique et ses équipes (le groupe comptait 19 835 salariés à plein temps fin 2009, soit 170 personnes de plus qu'au troisième trimestre). Google a terminé son année avec une cagnotte de 24,5 Md$ en numéraire ou titres de placement à court terme. A propos des récents démêlés de Google avec la Chine et l'éventualité de voir la société quitter le pays, Eric Schmidt a indiqué que des discussions étaient en cours avec le gouvernement chinois. Il espère maintenir la présence de Google en Chine, affirmant apprécier la Chine, les employés chinois de la société et... les opportunités commerciales offertes par le pays. Pour l'instant, les résultats de son moteur de recherche y sont toujours censurés, mais cela pourrait changer bientôt, a indiqué le dirigeant. (...)

(24/12/2009 14:32:11)

Trimestriels Red Hat : le revenu des abonnements croît de 21%

L'éditeur de logiciels Open Source Red Hat a enregistré une hausse de 18% sur ses ventes, à 194,3 M$, sur son troisième trimestre fiscal, clos le 30 novembre, par rapport à la même période, l'an dernier. Ce sont les revenus issus des abonnements, notamment au système d'exploitation Red Hat Entreprise Linux 5 et au serveur d'application JBoss, qui tirent l'activité. Ils représentent 85% du chiffre d'affaires total et ont progressé de 21% sur le trimestre. Les revenus provenant des services et de la formation sont restés stables, à 29,914 M$ (contre 29,881 M$ l'an dernier). Pour le septième trimestre consécutif, l'éditeur a non seulement renouvelé ses vingt plus gros contrats sur le point arrivé à échéance, mais il l'a réalisé à 120% de leur valeur l'année précédente, a indiqué Jim Whitehurst, le PDG de Red Hat, lors de la présentation des résultats. Le bénéfice net de la société en revanche, a baissé de 32,5%. Il s'établit à 16,4 M$ contre 24,3 M$ sur le troisième trimestre fiscal de l'éditeur, l'an dernier. Un contrat de plus de 5 M$ Le Top 30 des contrats de Red Hat comporte quatorze contrats de plus de 1 M$ et un de plus de 5 M$, a précisé Charlie Peters, le vice-président exécutif et directeur financier de la société. Vingt-trois contrats concerne Red Hat Enterprise Linux (RHEL) 5 Advanced Platform et les huit autres JBoss. L'un de ces contrats avait été signé au départ pour le déploiement d'un environnement virtualisé. 59% des ventes de Red Hat sont réalisées sur le continent américain, tandis que 29% se font en Europe et 15% sur la région Asie-Pacifique. La durée moyenne d'un contrat est de vingt-deux mois, selon l'éditeur. Le cloud computing progresse [[page]] Le cloud computing progresse Au cours du dernier trimestre, Red Hat a gagné un certain nombre de contrats sur des projets liés au cloud computing, a reconnu le PDG Jim Whitehurst. Selon lui, un éditeur aurait signé un contrat à 6 chiffres pour utiliser RHEL comme système d'exploitation pour mettre à disposition son logiciel sous la forme d'un service sur le cloud d'Amazon (EC2, Elastic Computing Cloud). Pour son quatrième trimestre fiscal, Red Hat prévoit de réaliser un chiffre d'affaires compris entre 191 M$ et 193 M$. Les performances du troisième trimestre l'ont amené à relever ses estimations annuelles de 10 M$. L'éditeur pense que le chiffre d'affaires de son exercice fiscal 2010 se situera entre 743 M$ et 745 M$. Jim Whitehurst décèle un potentiel important de revenus pour le future avec ses solutions de virtualisation, à la fois du nouvel hyperviseur KVM, de la dernière version de RHEL, et des outils d'administration Red Hat Enterprise Virtualization. Il considère que sa suite d'administration est bien moins chère que celle de ses concurrents. Il pense toutefois que le nombre d'abonnements sera limité sur le trimestre entamé, les clients potentiels étant en phase de test du nouveau logiciel. La contribution de ces produits au chiffre d'affaires ne démarrera vraiment qu'avec le prochain trimestre fiscal. (...)

(21/12/2009 16:15:52)

Trimestriels Oracle : les ventes de licences semblent repartir

Oracle a vu ses ventes de nouvelles licences augmenter de 2%, à 1,65 M$ (28% du CA) sur son deuxième trimestre fiscal, clos fin novembre. Et son président, Charles Phillips, ne s'est pas privé, lors de l'annonce de ces résultats, d'affirmer qu'il s'agissait du quatrième trimestre consécutif sur lequel sa société avait pris des parts de marché à SAP, dans chaque région du monde. Il est vrai que l'éditeur allemand a subi un recul de 31% sur ses ventes de licences au troisième trimestre 2009. Selon Safra Catz, les résultats ont été obtenus sur une base large et non à la seule faveur de gros contrats. « Le contexte économique semble s'améliorer. Nous voyons nettement que les clients recommencent à investir [...] de façon vraiment généralisée ». Effectif : près de 1 300 départs sur le trimestre De septembre à fin novembre, Oracle a par ailleurs enregistré une hausse de 14% sur les revenus issus de sa maintenance et de ses mises à jour de logiciels, à 3,28 M$ (56% du CA). En revanche, le chiffre d'affaires réalisé sur les services a reculé de 15%, à 958 M$. L'éditeur affiche par ailleurs un bénéfice net en hausse de 12%, à 1,46 M$, sur ce deuxième trimestre fiscal. Sur la période, Oracle a encore réduit son effectif, de 1 273 personnes, sans que l'on sache précisément ce qui résulte de licenciements. Il comptait fin novembre 83 366 employés (contre 86 657 l'an dernier à même époque). La présentation des résultats trimestriels a aussi permis à Safra Catz, présidente d'Oracle, d'exprimer son optimisme sur l'issue de l'enquête menée par Bruxelles autour du rachat de Sun. « Nous pensons que la Commission Européenne va autoriser sans condition l'acquisition de Sun en janvier, a-t-elle indiqué. Nous voulons remercier tous nos clients pour le soutien massif qu'ils nous ont apporté à Oracle pendant ce processus. » Exadata : des appliances de datawarehouse qui pourraient rapporter gros Parmi les produits sur lesquels Oracle semble miser dans les mois à venir, la récente gamme Exadata Database Machine, spécialisée dans les applications de datawarehouse, pourrait avoir un impact important. La deuxième version associe des serveurs de stockage Sun au logiciel d'Oracle (la première reposait sur des serveurs HP). « La vente [des appliances Exadata] devrait générer des milliards de dollars, a laissé entrevoir le président Charles Phillips. Sans même compter la redevance annuelle des contrats de maintenance. Mais nous ne pouvons pas encore déterminer à quel moment nous atteindrons ce stade ». Certains clients demanderaient des systèmes multiples. « Le problème que nous rencontrons actuellement se situe au niveau des capacités de production », a expliqué le président d'Oracle. (...)

(16/12/2009 16:50:20)

Annuels Adobe : 2009 en baisse, des espoirs pour 2010 avec la CS5, Flash/Flex et LiveCycle 2

Après le coup de froid de 2009, Adobe est sur les rails pour rebondir en 2010. Tel est le message que Shantanu Narayen, PDG de l'éditeur, a tenu à faire passer lors de l'annonce des résultats annuels, mardi soir. Le dernier trimestre a été particulièrement rude, l'éditeur affichant une perte de 32 M$, malgré une politique assez sévère de réduction de coûts. Côté chiffre d'affaires, la baisse au quatrième trimestre est de 17,3%, reflétant celle de l'année, de 17,7%. Après six années consécutives de croissance à deux chiffres, Adobe affiche une année morose, et retombe sous la barre des 3 Md$ de chiffre d'affaires. La faute à la récession explique-t-on chez Adobe, qui a frappé au moment de la sortie du produit phare pour les consommateurs, la suite d'outils pour créatifs CS4. Néanmoins, indique le CEO d'Adobe, le groupe est en ordre de bataille et devrait renouer avec la croissance en 2010 : « Nous avons connu une amélioration de la demande des clients pour nos produits au quatrième trimestre. Nous pensons que les investissements que nous avons réalisés l'année passée, ainsi que les nouveaux produits que nous sortirons durant l'année à venir, nous permettront de croître lorsque les conditions économiques s'amélioreront. » Omniture devrait représenter 10% du CA au premier trimestre 2010 A priori, Adobe devrait conserver la confiance des marchés financiers, ces derniers ayant anticipé un plus mauvais résultat pour le dernier trimestre. Pour le premier trimestre 2010, l'éditeur prévoit de remonter à un chiffre d'affaires compris entre 800 et 850 M$. Dont 78 à 83 M$ provenant de sa nouvelle filiale, Omniture, spécialiste de l'optimisation du trafic des sites Web. Au dernier trimestre, le revenu en provenance d'Omniture n'avait contribué au CA global qu'à hauteur de 26 M$. La fusion avec Omniture a par ailleurs fait subitement remonter le nombre de collaborateurs du groupe, qui avait ajusté ses effectifs pour resserrer ses coûts et réaligner ses effectifs sur ses nouveaux objectifs stratégiques. Adobe est ainsi passé de plus de 7 600 employés au troisième trimestre 2008 à moins de 7 200 au premier trimestre 2009, avant de remonter à un peu plus de 7 500 au troisième trimestre, et enfin de bondir à 8 660 au dernier trimestre, avec l'acquisition d'Omniture. En attendant que l'intégration des capacités d'Omniture pèse véritablement sur le chiffre d'affaires, la stratégie de Shantanu Narayen s'appuie sur deux grands piliers. L'offre pour créatifs, bien sûr, avec la CS5 qui devrait sortir courant 2010. Et si le parc informatique finit par se renouveler, les éditeurs de logiciels pourraient aussi en profiter, les clients effectuant alors leurs mises à jour. Le second pilier est celui de l'entreprise, où Adobe est plus à la peine. « Un outil comme Livecycle [gestion de processus documentaire, NDLR] se vend davantage comme un outil serveur de type WebSphere, chose dont Adobe n'a pas l'habitude », explique par exemple Mathieu Poujol, consultant chez PAC. En pleine réflexion sur ses méthodes de vente, l'éditeur s'attache à convaincre avec la face émergée de l'iceberg, les RIA (applications Internet riches). Le format Flash, qui focalise tous les efforts d'Adobe - à tel point qu'on peut se demander ce qu'Adobe ferait aujourd'hui s'il n'avait pas racheté Macromedia - sert en effet de tête de pont, voire de cheval de Troie, pour vendre le reste des solutions. L'association Flash/Flex emporte l'adhésion, LiveCycle reste dur à vendre La journée Adobe Business Exchange RIA 2009, organisée hier pour la deuxième année consécutive par Adobe France, a vu se succéder de nombreux partenaires et clients expliquant pourquoi et comment ils ont opté, tant pour des applications internes qu'externes, pour des solutions techniques s'appuyant sur le Player Flash (et Flex plus BlazeDS ou LiveCycleDS pour l'intégration avec les données d'entreprise). Simplicité du déploiement, ergonomie, fluidité des processus, performances correctes, globalement, les clients se montraient très satisfaits. Les technologies de RIA offrent en effet aux utilisateurs un moyen d'interagir avec les données beaucoup plus en phase avec ce qu'ils peuvent attendre aujourd'hui. En revanche, ces mêmes clients ne se montraient guère empressés de s'appuyer sur l'offre serveur de l'éditeur, dont la version 2 vient d'être annoncée (et fait justement le lien entre une architecture basée sur SOA/mash-up et une interface ergonomique). La proposition de services LiveCycle hébergés dans le cloud fera peut-être évoluer cet état d'esprit. (...)

(26/11/2009 13:04:47)

Semestriels Solucom : Cosmosbay-Vectis en difficulté

Solucom publie les résultats des six premiers mois de son année fiscale 2009-2010, achevés au 30 septembre. Le chiffre d'affaires, 48,3 millions d'euros (M€), progresse de 1% en organique. Le résultat opérationnel courant, 3,2 M€, baisse de 35%. Le résultat opérationnel, également 3,2 M€, baisse, lui, de 33%. Le résultat net part du groupe, à 2 M€, baisse de 33%. Solucom explique ces résultats par les difficultés de sa nouvelle filiale, Cosmosbay-Vectis, rachetée au mois d'avril 2008 afin de lui permettre de dépasser les 100 M€ de chiffre d'affaires. Lors de son rachat, elle réalisait 21,7 M€ de CA annuel pour une marge d'exploitation de 7%. Son taux d'activité est en baisse à 57% au 2e trimestre 2009/2010 contre 65% lors du 1er trimestre. Le taux d'activité de l'ensemble du groupe se monte à 78% sur le semestre contre 79% sur l'ensemble de l'exercice précédent. Le prix de vente journalier moyen (722 euros) a reculé de 2% par rapport l'année précédente. (...)

(24/11/2009 16:04:13)

Annuels HP : les services tirent le quatrième trimestre

Pour HP, l'année fiscale se termine au 31 octobre. Son chiffre d'affaires (présenté sur une base GAAP) s'est élevé à 114,6 milliards de dollars sur son exercice 2009, en baisse de 3% par rapport au précédent exercice, mais de 1% seulement si l'on intègre les effets de change. La faiblesse des résultats annuels serait compensée par un bon quatrième trimestre, notamment dans les services, annonciateur, selon la direction, d'une année 2010 profitable. Il y a quelques jours, Dell présentait les résultats des neuf premiers mois de son année. Malgré le décalage entre les exercices des deux fournisseurs, le contraste est évident entre la méforme du constructeur texan Dell et un HP proche du retour à l'optimisme. Sur le quatrième trimestre, le chiffre d'affaires de la société dirigée par Mark Hurd baisse de 8% à 30,8 milliards de dollars, mais HP a réalisé un bénéfice en hausse de 14%, à 2,4 milliards de dollars principalement grâce à son activité services (+18% sur le bénéfice dilué par action). Sur la zone Europe-Moyen Orient-Afrique, le chiffre d'affaires baisse de 17% à 11,7 milliards de dollars. Le recul n'est que de 3% sur le continent américain à 13,6 milliards et de 1% en Asie-Pacifique à 5,4 milliards de dollars. Si l'activité « services » progresse de 8% à 8,9 milliards de dollars, en revanche les autres activités accusent un fort retrait. Les ventes d'ordinateurs fléchissent de 12% à 9,9 milliards de dollars et les ventes d'imprimantes de 15% à 6,5 milliards de dollars. Sur la partie « stockages et serveurs d'entreprises », la chute atteint 17% à 4,2 milliards de dollars. Forte hausse du bénéfice d'exploitation sur les services Arrivée en tête de la croissance, la partie « services » va bénéficier de l'intégration d'EDS. Sur le 4ème trimestre, elle se répartit en quatre activités : l'outsourcing (4,1 milliards de dollars de CA), les services de technologies (2,5 milliards de dollars), les services d'application (1,5 milliards de dollars) et le BPO -business process outsourcing (778 millions de dollars). Sur ces activités de services, le bénéfice d'exploitation s'est élevé de 1,4 milliard de dollars (contre 945 millions de dollars au quatrième trimestre 2008). Sur l'activité PC, les ventes de portables sont en baisse de 8%, alors que celles des desktop ont chuté de 16%. Le bénéfice d'exploitation de cette entité chute de 616 M$, à 460 M$. Quant aux ventes d'imprimantes aux entreprises et au grand public, elles ont respectivement reculé de 32% et 17%, mais le bénéfice d'exploitation de cette division imprimantes se maintient à 1,2 milliards de dollars comme au 4e trimestre 2008. L'activité stockage et serveurs enregistre un chiffre d'affaires de 4,2 milliards de dollars en baisse de 17%. Le stockage, seul, baisse de 20%, la ligne de produit milieu de gamme EVA de 23%. Les produits « Industry Standard Server » sont en recul de 10%, « Business Critical Systems » de 33%, « ESS lame » de 8%. Le bénéfice d'exploitation de cette division se monte à 481 millions de dollars (contre 705 millions de dollars l'année précédente). Pour l'année à venir, HP prévoit un CA compris entre 118 et 119 milliards de dollars. Sur le 1er trimestre de l'exercice 2010, HP s'attend à un chiffre d'affaires de 29,6 à 29,9 milliards de dollars. Des prévisions qui ne tiennent pas compte du rachat de 3Com mais indiquent un CA en progression par rapport à celui de 2009 (retour au niveau de 2008 qui était de 118,4 milliards de dollars) et des bénéfices en nette hausse. (*) Au quatrième trimestre, HP a utilisé 2,1 Md$ de cash pour racheter quelque 46 millions d'actions sur le marché. (...)

(23/11/2009 16:27:12)

Mozilla : CA en hausse de 4,6%, dépenses en hausse de 48,2%

La fondation Mozilla vient de publier ses comptes pour l'année 2008, et elle se révèle moins économe que l'an passé. Si le chiffre d'affaires de la fondation et de ses filiales est sensiblement le même (78,6 M$, en hausse de 4,6%), les dépenses font un bond de 48,2%, passant de 33,3 M$ à 49,4 M$. La majorité de cette somme (58%), explique Mitchell Baker, dirigeante de la fondation, sur son blog, sert à rémunérer les quelque 200 personnes qui travaillent à temps plein ou partiel pour Mozilla - contre 150 l'année dernière. Une croissance qui s'accompagne d'une explosion des frais administratifs et généraux, qui ont presque doublé, à 9,7 M$. Le contexte économique n'a pas impacté le chiffre d'affaires, dans la mesure où celui-ci dépend essentiellement de l'accord noué avec Google jusqu'en 2011. En revanche, la valeur des investissements s'en ressent, puisque la fondation doit inscrire une perte à ce niveau de 7,7 M$. Côté activités, Mitchell Baker rappelle le succès de Firefox : le navigateur serait utilisé par 330 millions de personnes dans le monde, dont un tiers pour un usage quotidien (soit 110 millions, contre 75 millions en 2008, 49 millions en 2007 et 28 millions en 2006). Et Fennec, la version de Firefox pour les smartphones, devrait sortir sous peu. Moins emblématique, le gestionnaire de courriels Thunderbird a eu une vie un peu mouvementée. Etouffé par le navigateur, il bénéficie depuis 2008 d'une filiale pour lui seul, Mozilla Messaging, dirigée par David Ascher. Néanmoins, si on peut noter des projets intéressants comme Raindrop (qui veut mixer plusieurs types de messages, comme Google Wave), le développement est beaucoup plus long que pour Firefox. Ainsi, Mitchell Baker annonce la sortie imminente de Thunderbird 3, dont la bêta a déjà un an. (...)

(03/11/2009 16:27:11)

Truffle 100 Europe 2009 : des effectifs en hausse chez les éditeurs, surtout en R&D

La croissance générée par l'activité des cent premiers éditeurs européens a sensiblement ralenti entre 2007 et 2008. L'indice Truffle 100 Europe 2009, tout juste livré, fait apparaître une croissance de 2,5% sur les activités d'édition de ce Top 100, pour un chiffre d'affaires de 25 milliards d'euros (24,4 Md€ en 2007). Un taux de progression à comparer aux +10,7% enregistrés un an plus tôt, entre 2006 et 2007. Bernard-Louis Roques, directeur général et co-fondateur de Truffle Capital, rappelle que plusieurs de ces acteurs européens, et non des moindres, ont été acquis par des sociétés américaines en 2008. En les incluant dans le périmètre de calcul, il note que la croissance aurait été presque deux fois plus importante. 

Ainsi, outre GL Trade (20e au Truffle 100 Europe 2008) racheté par SunGard, trois autres éditeurs du Top 50 sont sortis du classement en 2008. Telelogic (22e) et Ilog (32e) sont passés chez IBM et Fast Search and Transfer (46e) chez Microsoft. Quant à Iona (65e), il a été absorbé par Progress. 

+9,3% d'emplois qualifiés en 2008

Malgré la disparition de plusieurs éditeurs de poids au classement par rapport à 2007, on voit progresser le nombre d'emplois qualifiés gérés par les cent premiers éditeurs européens. Le Truffle 100 en comptabilise '211 985' en 2008, contre environ '194 000' l'an dernier, soit une augmentation de 9,27%. A lui seul, le Top 34 emploie 80% de cet effectif. L'Allemagne est le principal employeur (31,6% du total, contre 28,6% en 2007), suivi du Royaume-Uni (23,2 % contre 18,8% en 2007) et la France (19,4%, contre 20,7% en 2007). A noter, la forte baisse de la part de l'Italie : 6,9% des emplois qualifiés du Top 100 contre 16,6% l'an dernier. La Pologne, de son côté, représente maintenant 3,7% de ces emplois, contre seulement 0,6% en 2007.

Des investissements R&D en baisse, des profits en hausse

La progression des équipes polonaises est encore plus marquée sur les emplois de R&D dont les effectifs globaux ont fait un bond de 25% entre 2007 et 2008 pour atteindra 52 020 personnes. Dans ce domaine, la Pologne a représenté 10% des effectifs R&D en 2008, alors qu'elles ne dépassaient pas 1% en 2007. Les autres emplois en R&D se répartissent principalement entre l'Allemagne (37%), le Royaume Uni (21%), la France (13%, contre 18% en 2007 !), la Norvège (8%) et l'Italie (5%).

En revanche, le montant des investissements en R&D ont baissé de 2,5%, à 3,642 milliards d'euros par rapport à 2007. Dans le même temps, les bénéfices de ces 100 sociétés ont progressé de 12,5%, à 3,6 milliards d'euros. Quant à la croissance globale des acteurs du Truffle européen, calculée sur l'ensemble de leurs activités (chiffre d'affaires total), elle a progressé de 6,9% à 31 Md€ (contre 29 Md€ en 2007). 

19 Français au Top 100 européen dont 7 au Top 50

Dans ce paysage des éditeurs européens de logiciels en 2008, la France pèse 15% du chiffre d'affaires (contre 11,8% en 2007 et, ce, malgré le départ de GL Trade et d'Ilog). L'Hexagone compte 19 acteurs au Top 100 européen, dont 7 dans le Top 50. Dassault Systèmes est à la 3e place du classement, derrière le Britannique Sage et l'Allemand SAP, comme l'an dernier. Sopra Group/Axway arrive à la 10e, Cegid à la 14e, Linedata Services à la 23e, GFI Informatique à la 31e, Avanquest à la 33e et Murex à la 42e. Générix arrive en 51e position.

Parallèlement au Truffle 100, l'Afdel, PwC et PAC ont publié hier l'EuroSoftware 100 qui livre le classement des 100 premiers éditeurs français.

Le Truffle 100 a été réalisé avec le soutien de Viviane Reding, commissaire européen responsable de la société de l'information, en partenariat avec le cabinet d'études CXP et Top 100 Research Fondation. (...)

(02/11/2009 16:20:34)

La gestion de patrimoine applicative dope la croissance de la TMA

Dans son étude 2009 du marché de la TMA (Tierce maintenance applicative), le cabinet Pierre Audoin Consultants a identifié une double révolution : la TMA s'élargit à la GPA (Gestion du patrimoine applicatif) et les deux marchés réunis réalisent une croissance record de 8% en 2009. « Le marché de la TMA évolue très fortement, souligne Frédéric Giron, directeur des études chez Pierre Audoin Consultants, les entreprises élargissent leurs prestations en intégrant la Gestion du patrimoine applicatif (GPA) et ce marché augmente en volume, de 8% sur 2009, alors que l'ensemble du marché des logiciels et services restera proche de zéro ». Il atteindra alors 2,2 milliards d'euros de chiffre d'affaires contre 2 milliards en 2008 et 1,76 milliard en 2007. Une partie des prestations réalisées auparavant en interne par les entreprises en maîtrise d'oeuvre, est désormais confié aux prestataires de la TMA. Il s'agit de l'intégration, de l'audit, de la cartographie des parcs applicatifs regroupées sous la dénomination GPA. Dans ces nouveaux types de contrats de TMA, les clients donnent davantage de latitude et de plus en plus de marge de manoeuvre à leurs prestataires. Ils mettent néanmoins de plus en plus leurs prestataires sous pression, notamment dans les négociations tarifaires. De nouveaux gros contrats avec Michelin ou SFR La forte croissance de ce marché que PAC nomme désormais l'Application management (TMA et GPA) est également due aux nombreux renouvellements de contrats de TMA intervenus en 2009 et à la signature de plusieurs gros contrats comme Michelin (300 millions d'euros sur trois ans) ou SFR (30% d'économie attendus en trois ans). Les acteurs restent les mêmes, avec Atos, Logica, Cap, Sopra, IBM aux cinq premières places. Mention particulière pour Sopra qui réalise la plus forte progression. Ce marché se distingue donc avec une croissance en volume pour la partie TMA (avec des contrats pluri-annuels, encadrés par des contrats de services) et un élargissement de celle-ci aux prestations de GPA. Et la valeur se transfère sur ce dernier type de prestations. Pour 2010, PAC prévoit une croissance un peu plus faible de l'Application Management du fait de la pression sur les prix, la croissance restera forte en volume mais devrait ralentir en valeur. (...)

(28/10/2009 17:21:36)

Trimestriels SAP : chute de 9% pour le CA et de 31% pour les ventes de licences

Les trimestres négatifs se suivent et se ressemblent chez SAP, qui se montre de plus en plus pessimiste pour l'ensemble de son exercice 2009. En plus des mauvais résultats financiers trimestriels, l'éditeur d'ERP souffre d'un effondrement de ses ventes de logiciels. Dans les services, ses ventes sont également légèrement négatives. Le troisième trimestre fiscal de SAP s'achève en effet sur un chiffre d'affaires de 2,51 milliards d'euros, en baisse de 9%. Le bénéfice net est, lui, en hausse de 12% à 435 millions d'euros. Ce bon chiffre n'est pas dû aux résultats commerciaux mais à la compression des coûts. L'éditeur est par exemple engagé dans un plan de réduction d'effectifs qui porte sur 2 900 salariés dans le monde. La charge de la restructuration pour 2009 se monte à 200 millions d'euros. En plus de ces résultats financiers, SAP souligne la forte baisse de ses revenus de licences. Ils ont chuté de 31% sur ce trimestre à 525 millions d'euros. C'est la principale raison d'inquiétude quant à la santé de SAP. Les services fléchissent de 3%, ils représentent 1,9 milliard d'euros, soit près de 80% du chiffre d'affaires. Pour les trois premiers trimestres de 2009, le géant allemand affiche des résultats semblables. Le chiffre d'affaires baisse de 7% à 7,48 milliards d'euros, le bénéfice net augmentant de 2% à 1,06 milliard d'euros. Mais les revenus de licences baissent de 35% à 1,48 milliard d'euros, ceux des services de 3% à 5,6 milliards d'euros. Ces résultats trimestriels sont en deça des prévisions, alors qu'ils étaient supérieurs aux prévisions pour le deuxième trimestre. A cette occasion, Léo Apotheker, le Pdg expliquait que le pire de la crise était passé pour SAP. (...)

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