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(30/09/2008 18:06:20)

Les clubs d'utilisateurs de SAP sondent les clients sur le contrat « Enterprise Support »

A la suite de la substantielle modification par SAP des contrats de maintenance de ses applications de gestion, 31 clubs nationaux d'utilisateurs de ces logiciels, regroupés par le SUGEN (SAP User Group Executive Network), mènent de front une enquête auprès des clients de l'éditeur allemand. En France, c'est l'USF qui soumet le questionnaire aux utilisateurs francophones de SAP. Que pensent-ils de la généralisation du contrat « Enterprise Support » qui s'accompagne d'une hausse des tarifs de la maintenance ? Les avis doivent être communiqués par les entreprises avant le 10 octobre 2008. En savoir plus : - Accéder au questionnaire sur le site de l'USF
- Des détails sur le SUGEN (...)

(30/09/2008 16:28:15)

Entrepôt de données HP Oracle : les concurrents réagissent

A côté d'éditeurs comme Teradata, implantés depuis longtemps sur les grands entrepôts de données (datawarehouses), ces dernières années ont vu des acteurs de niche tels que Netezza et Datallegro investir le terrain des appliances décisionnelles (couplant matériel et logiciel) avec des technologies brevetées. Pour certains d'entre eux, la réaction ne s'est pas fait attendre à l'annonce de la 'HP Oracle Database Machine', une solution associant dans le même châssis des serveurs de bases de données et des serveurs de stockage. Par communiqué, Christian Raza, directeur des opérations de la filiale française de Netezza (ouverte en juin dernier), estime ainsi que le produit d'Oracle « n'est rien d'autre que du packaging autour de la base de données traditionnelle Oracle 11g ». Une offre, juge-t-il, conçue pour profiter du secteur en pleine expansion « des appliances décisionnelles dont on nous reconnaît la paternité ». Ce fournisseur américain est effectivement installé sur ce créneau depuis sa création, avec une technologie propre d'alimentation rapide de datawarehouse (streaming analytics) et de traitement massivement parallèle. « Nous sommes partis d'une feuille blanche », poursuit Christian Raza, tant sur le matériel que sur le logiciel, soulignant ainsi qu'Oracle n'aurait fait qu'installer sa base sur un serveur HP. Créer un marché de volume sur les appliances décisionnelles [[page]] Indéniablement, le secteur du datawarehouse bouge. « Datallegro, qui ne fonctionne que sur matériel Bull et Dell, a été racheté par Microsoft cet été, et Sun a fait le chemin inverse avec MySQL », rappelle Jean-Michel Franco, directeur des offres chez Business & Decision. Il y a quinze jours, des rumeurs de rachat par SAP ont fait monter l'action de Teradata. Cette hypothèse qui aurait semblé saugrenue il y a quelques semaines apparaît plausible désormais, évalue cet expert en solutions décisionnelles. Tout cela révèle un sérieux changement du marché et préfigure peut-être de nouvelles consolidations, juge-t-il. L'arrivée d'Oracle sur les appliances décisionnelles montre que les grands éditeurs n'entendent plus laisser les petits acteurs seuls sur ce terrain, souligne Jean-Michel Franco. « Il s'agissait d'un marché de niche, même si Teradata y est depuis longtemps et s'il y a beaucoup de nouveaux entrants, comme Greenplum, Vertica ou Cognito de Neocog. Les grands acteurs vont faire en sorte qu'il se transforme un peu plus en marché de volume. » Pour le directeur des offres de B&D, la solution d'Oracle va cibler les datawarehouses de 5 à 10 To pour lesquels Teradata apparaît trop haut de gamme. Il considère qu'en France, les produits de Teradata et Netezza concernent une trentaine de gros prospects. Et d'ajouter : « Microsoft a bien joué aussi, ils vont approcher les très gros ». Teradata : « Notre cible n'est pas tout à fait la même » Interrogé sur la HP Oracle Database Machine, Michel Bruley, directeur marketing de Teradata France, reconnaît qu'il s'agit forcément d'une offre concurrente, « même si notre cible n'est pas tout à fait la même, pas tant en termes de volumes que d'usage, précise-t-il. Nous cherchons à construire des entrepôts de données d'entreprise couvrant l'ensemble des départements -direction commerciale, marketing, logistique, finance, ressources humaines- pour effectuer des croisements et réaliser des analyses transversales. Ce n'est donc pas tant un problème de volumétrie que de complexité de l'usage. » [[page]] A sa création, Teradata s'est effectivement positionné sur les gros volumes (comme l'atteste d'ailleurs son nom). « Jusqu'à la fin des années 90, il y avait peu de systèmes au-dessus du Téraoctet, rappelle Michel Bruley. En France, nos grands datawarehouses atteignent 10 To comme chez Leroy Merlin, et les très gros gèrent entre 50 et 100 To -chez SFR et IBP, par exemple. Mais à l'étranger, nous en avons constitué d'énormes, dépassant les 200 To, et celui d'eBay monte jusqu'à 1 500 To. » Ce dernier, d'ailleurs, viendra témoigner le 19 novembre, lors de la conférence utilisateurs de Teradata. Par rapport aux datawarehouses qui autorisent des analyses de données sur une fonction de l'entreprise (la gestion de la relation client par exemple), Teradata insiste sur sa capacité à permettre à différents profils d'utilisateurs d'accéder simultanément à un entrepôt d'entreprise, insiste Michel Bruley. « Les uns effectueront de l'analyse standard, tandis que d'autres feront du datamining, éditeront des tableaux de bord préparamétrés ou lanceront des requêtes ad hoc, énumère Michel Bruley. Pendant que d'autres utilisateurs, encore, dans un centre d'appels, par exemple, effectueront du scoring sur des clients et que, dans le même temps, il sera possible de lancer des traitements par lots sur certains types de données. » Des traitements qui requièrent que le système supporte une mise à jour des données en temps réel. (...)

(29/09/2008 10:43:41)

OpenWorld : WebCenter combine Oracle à BEA pour créer des portails de gestion de contenus

Parmi les annonces d'OpenWorld 2008 (21-25 septembre, San Francisco), figure dans la catégorie des offres Fusion Middleware, la constitution de la suite WebCenter. Destinée à la création de portails de différents types (intranet et extranet collaboratifs, site de commerce électronique...), cette suite permet aussi de constituer des applications composites intégrant dans la même interface des processus faisant appel à des fonctions de gestion de contenus et d'analyse décisionnelle. Comme Oracle l'avait évoqué début juillet au sujet de l'avenir du catalogue produits de BEA, l'offre WebCenter est en fait constituée de produits déjà commercialisés, certains bénéficiant ici de mises à jour très récentes. La véritable nouveauté réside dans le fait d'avoir rassemblé dans une même suite des produits venant des deux éditeurs. WebCenter inclut WebLogic Server 10g 3 On trouve en particulier dans WebCenter la version 10g Release 3 de WebLogic Server, sortie en août, peu de temps après qu'Oracle a officiellement choisi de faire de WebLogic Server son serveur d'applications. Le produit apporte sa plateforme de commerce électronique, capable de récupérer des contenus dans tous les référentiels compatibles JCR 1.0. Sa nouvelle version présente une meilleure intégration avec les produits d'Oracle, notamment avec l'outil de développement JDevelopper et la console d'administration Enterprise Manager, mais également avec l'offre de gestion de contenus d'Oracle, Universal Content Management. Des espaces communautaires avec Aqualogic User Interaction [[page]] La suite WebCenter comprend par ailleurs un framework JavaServer Faces pour développer les applications composites, ainsi qu'un ensemble de services de communication (wikis, blogs, espaces de discussion...) à intégrer dans les processus pour une utilisation contextuelle. On y trouve aussi l'ancien BEA AquaLogic User Interaction, rebaptisé WebCenter Interaction, qui permet de créer des espaces communautaires intégrant des environnements hétérogènes. Enfin, la suite inclut WebCenter Anywhere, un ensemble de services permettant d'accéder aux différentes applications depuis un terminal mobile. Sur OpenWorld, Thomas Kurian, vice-président d'Oracle pour l'offre Fusion Middleware, a largement illustré les différentes applications de la suite WebCenter, et en particulier sa capacité à exposer des fonctions de gestion de contenus de l'offre Universal Content Management, cette dernière ayant été constituée à la suite du rachat de Stellent en novembre 2006. (...)

(24/09/2008 09:56:52)

OpenWorld : Oracle accoste le cloud d'Amazon et complète 11g

Il en va d'OpenWorld, la conférence utilisateurs d'Oracle (21-25 septembre, San Francisco), comme du catalogue de solutions de l'éditeur. Le foisonnement de produits génère une cascade de mises à jour et d'avancées, dans les trois catégories d'offres investies par Oracle : applications, middleware et base de données. Conjointement, Charles Phillips, président d'Oracle, et Chuck Rozwat, vice-président, responsable du développement des produits, ont annoncé la possibilité d'utiliser désormais la base de données 11g et l'offre Fusion Middleware dans un environnement de 'cloud computing' permettant une facturation du produit à l'usage. L'environnement d'Amazon, EC2 (Elastic compute cloud), est le premier sur la liste d'Oracle. D'autres environnements seront supportés par la suite, a précisé Chuck Rozwat lors d'une session de questions/réponses. « Pour l'instant, notre objectif est de permettre aux clients d'accéder facilement à ce type de services », a ajouté le vice-président. Oracle ne prévoit pas à court terme de 'cloud' à son nom Oracle lui-même n'envisage pas, pour l'instant, de fournir une plateforme purement matérielle de 'cloud computing'. Même si, rappelle Chuck Rozwat, les services d'informatique à la demande qu'il propose déjà depuis dix ans à ses clients ont beaucoup de points communs avec les offres actuelles d'informatique dans les nuages. Le ralliement à Amazon comporte une deuxième déclinaison, elle aussi conçue comme un accès facile au 'cloud'. Le logiciel Secure Backup Cloud Module, basé sur Oracle Secure Backup, permettra d'automatiser la sauvegarde de données encryptées sur le service Simple Storage d'Amazon. En attendant 11g R2 [[page]] Chuck Rozwat a également confirmé la disponibilité d'une mise à jour importante - 11.1.0.7 - pour la base de données Oracle 11g (livrée il y a un peu plus d'un an). En revanche, le vice-président ne communique pas de date pour la version 2 de 11g - même si les développements semblent bien avancés (Oracle serait en quête de bêta testeurs). Chuck Rozwat insiste : « L'important, c'est de fournir aux clients les informations dont ils ont besoin aujourd'hui sur les produits qu'ils peuvent concrètement déployer. » Pas de date, non plus, pour la version gratuite de la base, 11g Express Edition (XE), qui devrait suivre 11g R2. L'intervention, toujours attendue, de Larry Ellison, fondateur d'Oracle, s'intitule cette année « Extreme Performance » et pourrait porter sur les technologies permettant d'améliorer les performances de la base de données. Oracle VM supporte le clustering Parmi les évolutions de produits figure aussi celle d'Oracle VM, l'offre de virtualisation de serveur. Dans sa version 2.1.2, le produit apporte des fonctions de migration sécurisée (avec encryptage des données). Il est maintenant certifié avec la technologie RAC (Real application clusters) d'Oracle, ce qui permet de combiner virtualisation et clustering, en exécutant une application répartie sur plusieurs serveurs dans une infrastructure en grille (de type grid). Oracle devrait maintenir sa cadence de livraison dans les prochains mois. Charles Phillips, président d'Oracle, a en effet mentionné dans son discours d'ouverture, lundi dernier, que la société allait investir 3 milliards de dollars en R&D sur son nouvel exercice (2,7 Md$ l'an dernier) pour faire évoluer son portefeuille de produits et en concevoir de nouveaux. Ses innombrables acquisitions lui apportant régulièrement de nouvelles équipes, Oracle s'appuie actuellement sur quelque 20 000 développeurs. (...)

(23/09/2008 09:23:44)

OpenWorld : Avec Beehive, Oracle se met à la collaboration

La conférence utilisateurs d'Oracle a pris ses quartiers d'automne au Moscone Center de San Francisco. En cinq jours (21-25 septembre) et 1 800 sessions, OpenWorld va présenter la revue de détail d'une offre étendue, régulièrement complétée par croissance externe ; un catalogue produits qui va de la base de données aux applications de gestion, en passant par une vaste gamme d'outils de middleware et de développement. Pour cette édition 2008, marquée notamment par le rachat de l'éditeur de middleware BEA Systems, Oracle dit attendre 43 000 participants, soit un millier de plus qu'en 2007. Les clients français, parmi lesquels France Télécom, y sont aussi plus nombreux que l'an passé : 150 ont programmé leur venue, Oracle n'ayant pas prévu de version européenne d'OpenWorld. Beehive, pour communiquer au moment opportun Le président Charles Phillips a consacré sa conférence d'ouverture aux applications, rappelant qu'Oracle continuait à faire évoluer les gammes rachetées (Siebel CRM, PGI de PeopleSoft et JD Edwards) et déroulant les plus récentes mises à jour. A ce train de nouveautés attendues a succédé une annonce plus surprenante. Avec Beehive (la ruche), c'est une plateforme complète de services de collaboration que Charles Phillips a présentée, en mettant l'accent sur l'intégration des différents outils offerts et la gestion sécurisée des accès : e-mails, voix, messagerie instantanée, gestion de la présence des utilisateurs, des contacts, du calendrier et des tâches, auxquels s'ajoutent des outils de recherche, de conférence, de boîte vocale, ou encore, de blogs et de wikis. Beehive intégrée à Microsoft Outlook [[page]] Le nom de l'offre fera immanquablement penser aux anciens clients de BEA à ce projet de framework de développement aujourd'hui hébergé par Apache, mais il s'agit bien d'une suite logicielle directement concurrente des solutions de travail collaboratif promues par Microsoft, Novell ou IBM Lotus. Avant tout destinée aux clients d'Oracle (plutôt de grandes entreprises), la suite Beehive présente l'intérêt de pouvoir s'insérer dans un processus métier pour pouvoir collaborer au moment le plus opportun. Il peut être intéressant, par exemple, lors d'une prise de commande, de contacter un commercial par messagerie instantanée pour obtenir une précision sur un produit. A noter que Beehive peut s'utiliser à partir d'un client Microsoft Outlook (avec lequel il présente une intégration avancée) ou d'un autre client de messagerie IMAP. Des outils de gouvernance et d'entreprise 2.0 Cette toute nouvelle solution succède à l'ancien OCS (Oracle Collaboration Suite). Elle se veut plus ouverte sur les logiciels tiers car bâtie sur des standards ouverts, orientée « entreprise 2.0 » grâce à la présence d'outils estampillés Web 2.0, et conforme aux exigences de gouvernance grâce à des outils de sécurité intégrés. [[page]] Officiellement annoncé sur OpenWorld, Beehive est déjà utilisée par certains clients d'Oracle depuis mai dernier. Le fabricant américain de charpentes métalliques Whirlind Steel, notamment, a choisi la version hébergée de Beehive qu'il a intégrée avec son infrastructure de téléphonie IP interne et son service d'annuaire. L'application relie les employés de cinq de ses sites et son équipe informatique gère le contrôle des accès de façon centralisée. CRM et réseau social Parmi les autres nouveautés détaillées par Charles Phillips, l'ERP maison, e-Business Suite, est attendu dans sa version 12.1, pourvue de neuf nouveaux produits (gestion des prix, planification du renouvellement des pièces détachées, modélisation de scénarios pour la chaîne logistique...). Nouvelles fonctions aussi pour JDE Enterprise 9.0, ainsi que pour l'offre de gestion des talents et pour Siebel 8.1, l'application de CRM (gestion de la relation client). En complément, l'éditeur annonce les outils de CRM, Sales Campains et Sales Library, qui s'appuient sur des fonctions de réseau social (tags, commentaires, notations, partage de contenus...), l'un pour augmenter les taux de retour des campagnes marketing, l'autre pour constituer des documentations commerciales. Le président d'Oracle a également présenté deux packs d'intégration (AIA) apportant des composants applicatifs pour les secteurs de l'assurance et de la fourniture d'énergie (« utilities » en anglais) ; deux packs destinés à faciliter la création d'applications composites, et qui peuvent s'utiliser avec le serveur d'application WebLogic de BEA, devenu le conteneur Java officiel d'Oracle. Rappelons que les solutions métiers, alimentées par le rachat d'éditeurs spécialisés, constituent l'un des axes stratégiques d'Oracle. (...)

(16/09/2008 10:09:41)

Diffusion de contenus dynamiques : Adobe acquiert le Danois YaWah ApS

Adobe vient de racheter pour un montant non communiqué le Danois YaWah ApS, éditeur d'une solution destinée aux professionnels du marketing multicanal et du commerce électronique. Produit phare de YaWah ApS, le serveur d'images eRez permet en effet de gérer, d'archiver, d'échanger et de diffuser des images en haute résolution. Adobe prévoit d'intégrer ces outils à Scene7, sa plateforme hébergée de diffusion de contenus dynamiques issue du rachat du Californien Scene7 en mai 2007. Cette offre de services hébergés permet aux e-marchands de distribuer leurs vidéos publicitaires et les images de leurs catalogues. Accélérer l'adoption de Scene7 en Europe La technologie de Scene7 permet de redimensionner dynamiquement les images haute définition en fonction du contexte (zooms, vignettes, présentation des produits sous divers angles). Parmi les services proposés par Scene7 figure un configurateur de produits en ligne permettant, par exemple, de modifier la couleur et la texture des objets présentés). En rachetant YaWah ApS, l'éditeur américain compte accélérer l'adoption de sa plateforme, en particulier en Europe. (...)

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