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Architecture logicielle
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(19/10/2011 10:17:06)
Oracle rachète Endeca, spécialiste de l'analyse des données non structurées
Oracle rachète Endeca Technologies pour un montant non dévoilé. L'opération doit être finalisée avant la fin de l'année. Cette acquisition s'apparente à une réponse d'Oracle sur le rachat d'Autonomy par HP. Endeca est connue pour son moteur MDEX pour le traitement des données non structurées, telles que les emails et les informations textuelles d'autres provenances, mais aussi pour sa plateforme applicative d'analyse Latitude et son produit CEM (Customer Experience Management) InFront.
Les entreprises font face à une explosion du volume d'informations non structurées générées par leurs sites web, les réseaux sociaux, les centres d'appels et d'autres sources. HP et Oracle veulent offrir aux entreprises la capacité d'analyser en détail et rapidement les données pour mieux les comprendre et réaliser des économies.
Avec les application ATG Commerce et de BI (Business Intelligence) d'Oracle, les solutions d'Endeca créeront « une suite d'outils analytiques pour corréler et analyser les données structurées et non structurées grâce à un ensemble commun d'interfaces utilisateur, » précise la firme de Redwood . Des applications analytiques préconfigurées pour certaines industries sont également envisagées.
Sur le plan de la distribution, Oracle bénéficie aussi du portefeuille client d'Endeca qui comprend 600 clients, parmi lesquels Toyota, Ford, Raytheon et Walmart.
VMworld 2011 : VMware veut simplifier la gestion des clouds
Après l'édition américaine de VMworld, en aout dernier à Las Vegas, la déclinaison européenne de l'éditeur VMware, du 17 au 20 octobre à Copenhague, arrive également avec son lot d'annonces. Le spécialiste de la virtualisation a présenté des produits destinés à simplifier et automatiser la gestion des systèmes d'information, à savoir vCenter Operations Management, qui inclut Operations Manager 5.0, Infrastructure Navigator 1.0, Chargeback 2.0, Configuration Manager 5.4.1 et en avant première une préversion d'Operations for View.
« Notre stratégie est très claire: nous voulons réduire la complexité et simplifier les défis que vous avez devant vous », a déclaré Ramin Sayar, vice-président en charge de la virtualisation et de l'administration cloud chez VMware lors d'un point presse. De nombreuses entreprises ont déjà virtualisé de 20 à 50 % des logiciels qu'ils utilisent, ce qui n'est pas suffisant pour VMware, selon M.Sayar. « Nous voulons que vous arriviez à un taux de virtualisation de 80, 90 % [...] et nous sommes là pour vous pour fournir les outils pour le faire », a déclaré le dirigeant. Pour aider les entreprises à atteindre ces objectifs, l'éditeur californien fait monter en puissance vCenter Operations et lance les outils vFabric Application Management et IT Business Management pour mieux gérer les plates-formes virtualisées et les environnements cloud. Ces améliorations sont dans une large mesure destinées aux départements informatiques désirant automatiser leurs procédures pour éviter de répéter plusieurs fois les mêmes tâches.
Mise à jour pour simplifier et automatiser les clouds
Lancée en mars dernier, la suite VMware vCenter Operations est donc mise à jour pour simplifier et automatiser simplifier et d'automatiser l'administration des services fournis en environnement cloud. VMware propose des tableaux de bord avec remontées d'alertes qui permettent de reporter des informations sur les performances pour remédier à d'éventuels goulets d'étranglement causés par des changements de configuration. Operations Manager 5.0 affiche en effet une interface revue qui livre aux utilisateurs un aperçu avec plusieurs indicateurs : santé, efficacité et risque. Les deux premiers donnent aux administrateurs une vue globale mesurant la performance de l'infrastructure virtualisée. L'indicateur des risques délivre aux utilisateurs une vue de ce qui peut poser des problèmes et surtout quand le dysfonctionnement se produira.
L'outil vCenter Navigator 1.0 qui se greffe à la suite vCenter Operations Management, permet d'analyser et d'adapter automatiquement les ressources attribuées à une application. Fonctionnant sans agent passif, ce module permet de mieux comprendre ce qui est exécuté dans un environnement et quelles sont les dépendances entre les applications selon M.Sayar. Cela va faciliter les opérations de dépannage, a-t-il encore indiqué. Opérations for View est encore en cours de développement et aucune date n'est fournie quant à sa disponibilité. Cependant, l'outil aura un rôle important à jouer sur le marché de la VDI dont VMware est un des ardents promoteurs. C'est un logiciel clef pour la compagnie dans le déploiement de bureaux virtuels pour, par exemple, garder une trace des niveaux de performance et de conformité et de timbre, a-t-il dit.
Mieux suivre les applications
Le second paquet des annonces VMware concerne le progiciel de gestion vFabric Application Management, qui se compose de deux produits: AppDirector 1.0 et Application Performance Manager 1.0. La mission avec cet ensemble est de rationaliser et d'automatiser le développement d'applications, le déploiement et les opérations de support afin d'améliorer leur efficacité, selon Sylvain Siou, directeur technique de VMware France. Cette plate-forme a été optimisée pour la plate-forme Spring, des applications basées sur Java qui s'exécutent sur les infrastructures vCloud Director, mais « les applications existantes que les entreprises cherchent à moderniser et à installer sur des VM » sont également un bon ajustement, a précisé M.Sayar.
Troisième annonce, la suite IT Business Management, qui est basée sur les technologies de la compagnie Digital Fuel acquise par VMware en juin dernier. La série comprendra trois modules, IT Finance Manager, IT Service Level Manager et IT Vendor Manager avec pour objectif d'apporter aux DSI un meilleur contrôle sur le coût de fonctionnement de leurs infrastructures.
La mise à jour de la suite vCenter Operations Management sera proposée en quatre éditions pour répondre aux besoins des entreprises de toutes dimensions (des PME aux grands comptes) ; elle sera disponible début 2012 - à partir de 50 $ par machine virtuelle. Les mises à jour seront fournies gratuitement aux clients actuels de vCenter Operations.
Les deux outils Application Suite Gestion vFabric n'arriveront pas au même moment. Application Performance Manager 1.0 sera disponible au quatrième trimestre 2011 avec un tarif commençant à 360 $ par machine virtuelle, alors que AppDirector est seulement annoncé pour une disponibilité début 2012. La suite IT Business Management sera également disponible au dernier trimestre, mais VMware n'a pas encore détaillé les prix.
Les apports d'Oracle NoSQL Database
Quand Oracle a présenté sa solution Big Data Appliance (alliant matériel et logiciel), sur OpenWorld 2011 début octobre, il a précisé qu'il la livrait avec « R », le langage d'analyse statistique Open Source, ainsi qu'avec une base de données NoSQL maison. A l'évocation de cette dernière, la plupart des regards ont convergé vers Berkeley DB. En février dernier, Oracle avait effectivement expliqué comment la base Open Source (en 2006, il avait racheté la société Sleepycat Software qui la gérait) pouvait être utilisée comme une solution NoSQL (voir «Using Oracle Berkeley DB as a NoSQL Data Store »).
A l'issue d'OpenWorld, Charles Lamb, l'un des anciens de Sleepycat, désormais membre de l'équipe technique d'Oracle, a jugé utile d'apporter, sur le blog officiel qu'il tient, quelques précisions sur cette base de données capable de manipuler d'importants volumes. « J'ai consulté les commentaires de la Twitter-sphere au sujet d'Oracle NoSQL Database. Il y a un certain nombre de questions et d'idées fausses qui circulent auxquelles j'apporte ici une réponse », y écrit-il.
Selon lui, la première idée fausse est qu'Oracle NoSQL Database se résumerait à la version Java Edition de Berkeley DB (BDB) simplement rebaptisée. Ou encore, que le produit ne serait qu'une BDB avec quelques petites choses en plus. « Lorsque nous avons bâti NoSQL Database, nous avons constaté que Berkely DB Java Edition HA [high availability] disposait de nombreuses caractéristiques pour effectuer du stockage NoSQL, mais que cela ne suffisait pas », relate Charles Lamb. Il énumère ce que JE/HA apporte : des transactions caractérisées ACID (atomicité, cohérence, isolation, durabilité), la persistance, la haute disponibilité, le support des débits élevés et des grandes capacités et l'administration à distance. « Et l'on peut même considérer que son modèle de données clé/valeur est déjà NoSQL », ajoute-t-il. « Mais nous estimons que NoSQL signifie davantage pour la plupart des gens. » Par exemple : la distribution des données et leur découpage dynamique (aussi appelé « sharding »), la répartition de charges, la surveillance et l'administration, des temps de latence prévisibles et un backup multi-noeuds.
Une API différente et des liaisons réseaux
Si la base de données NoSQL présentée par Oracle utilise effectivement BDB JE/HA comme système de stockage sous-jacent («pourquoi réinventer la roue ? » souligne à cet égard Charles Lamb), elle bénéficie au-dessus d'une infrastructure complémentaire importante pour la faire entrer dans l'univers NoSQL.
Par ailleurs, la base Oracle NoSQL ne présente pas la même API (interface de programmation) que BDB JE, poursuit le consultant technique d'Oracle. L'interface est Java et elle procure pour les paires clé/valeur les fonctions CRUD (create, read, update and delete), l'itération et des capacités CAS (Compare and swap ou RMW, Read Modify Write), indique-t-il en détaillant plus avant dans son billet.
Charles Lamb aborde enfin un troisième point, relevé parmi les commentaires diffusés, selon lequel Oracle aurait ajouté à la base Berkeley DB Java la possibilité de configurer des liaisons réseaux avant de la renommer Oracle NoSQL. L'auteur de cette remarque s'interroge aussi sur la facilité de configuration et de développement. Sur ce deuxième point, le consultant technique d'Oracle explique qu'il est possible de lancer une version 'single process' (single-node) d'Oracle NoSQL Database, par invocation d'une simple ligne de commande, afin de tester l'API sans trop se compliquer la vie.
Enfin, sur la question des liaisons réseaux, il préfère une autre formulation. « BDB JE HA permet à un utilisateur de réaliser des opérations soit sur le « master » (pour les mises à jour et la lecture), soit sur les « replicas » (pour la lecture). L'objection la plus courante que nous rencontrons est que l'application doit « savoir » quels sont les noeuds où se trouvent le master et les replicas (pour router les mises à jour et lire les requêtes de façon appropriée). Il n'y a pas de couche réseau dans BDB JE/HA pour le faire, tandis qu'Oracle NoSQL Database le permet », conclut-il en expliquant comment procéder.
(Oracle NoSQL Database/Source Oracle - cliquer ici pour agrandir)
(Oracle NoSQL Database/Source Oracle - cliquer ici pour agrandir)
Recap IT : Blackberry dans le noir, Piratage en tout genre, iOS 5 et iPhone 4S lancés
La palme de la semaine « horribilis » est sans nul doute décernée à RIM pour le plus beau et long plantage informatique. Lundi dernier, beaucoup d'utilisateurs de Blackberry n'ont plus eu accès à leurs services de courriels, de messagerie instantanée (BBM) et d'accès web. Ces désagréments se sont répercutés sur plusieurs continents y compris aux Etats-Unis. Après une communication chaotique, le constructeur canadien a expliqué qu'un commutateur de coeur de réseau et le non fonctionnement de l'équipement de secours était à l'origine de la panne. Le PDG de RIM en personne a présenté ses excuses dans une vidéo. Cette affaire intervient dans un contexte financier difficile et sur un marché très concurrentiel. RIM a indiqué que tous les services étaient rétablis.
Sony piraté encore, l'Open Source aussi, failles Zero Day relativisées
Le lauréat de l'année 2011 en matière de piratage, Sony (plusieurs millions de comptes personnels volés), fait de nouveau parler de lui. Il a été obligé de fermer 93 000 comptes après une attaque contre ceux-ci. Les projets Open Source suscitent aussi un regain d'intérêt chez les pirates, qui s'en sont pris à WineHQ, qui gère Wine, une technologie Open Source qui permet aux utilisateurs d'installer et d'exécuter des applications Windows sur Linux, Mac, Solaris et d'autres systèmes d'exploitation. Dans la catégorie première apparition, la récompense pourrait être attribuée à Raytheon, société américaine dans le secteur de la Défense, qui a constaté une attaque via un service cloud.
Le prix de l'innovation devrait revenir à Moxie Marlinspike, spécialiste de la sécurité, qui fait avancer son concept de « Convergence » pour remplacer les autorités de certifications SSL. Il serait en compétition avec la police allemande qui a utilisé un cheval de troie pour espionner des personnes. Ce procédé a été découvert par le Chaos Computer Club. Enfin, mention spéciale à Microsoft qui dans son rapport SIR salue que la France est un des pays les moins attaqués et relativise l'impact des failles Zero Day.
Une histoire de langage
Cette semaine nous a rappelé ce que doit l'informatique à la programmation. Dennis Ritchie, papa du langage C et co-développeur d'Unix, s'en est allé. Il a laissé un langage en pleine expansion qui concurrence activement Java. Ce dernier a vu également Google se lancer dans l'aventure avec DART. Même ebay a lancé une plateforme de développement.
iOS 5 et iPhone 4S sortis
Le 12 octobre, les possesseurs d'iPhone ou d'iPad ont pu mettre à jour leurs équipements avec la version 5 d'iOS. Plusieurs fonctionnalités sont disponibles, allant de iMessage à iCloud. Il semble que pour ce dernier quelques problèmes soient intervenus. En parallèle, le 14 octobre, l'iPhone 4S est sorti officiellement. Plusieurs personnes se sont empressées d'aller acheter le smartphone d'Apple, y compris Steve Wozniack, co-fondateur d'Apple.
Enfin, en toute modestie, évoquons la vraie récompense, la palme du meilleur site pro attribuée au mondeinformatique.fr par Presse Pro.
Dennis Ritchie, père du langage C et co-développeur d'Unix est mort
Le mois d'octobre aura été fatal aux pionniers de l'informatique. Après Steve Jobs, voici une autre figure qui disparaît en la personne de Dennis Ritchie. Selon nos confrères de Computerworld.uk, c'est Rob Pike, ingénieur chez Google et ancien collègue de Dennis Ritchie qui a annoncé sa mort sur Google+, des suites d'une longue maladie.
Le monde de l'informatique se souviendra qu'il a été le papa du langage C, dont un récent rapport a montré qu'il était le second langage utilisé pour développer. Par ailleurs, avec son collègue Ken Thompson, il a co-créé le système d'exploitation Unix, au sein des Bell Labs, laboratoire de recherches de Lucent Technologies. Beaucoup de systèmes informatiques, mainframes, supercalculateurs, etc. fonctionnent sous Unix.
Illustration: Dennis Ritchie
Crédit Photo: D.R
(...)(13/10/2011 13:03:50)PASS Summit 2011 : Microsoft saute dans le wagon Hadoop avec Hortonworks
Microsoft va collaborer avec Hortonworks pour développer la mise en oeuvre du framework Apache Hadoop sur son environnement Windows Server et sa plateforme cloud Azure. Cette société, issue de Yahoo, lui apportera son expertise pour intégrer Hadoop dans Windows. On savait depuis cet été que l'éditeur de Redmond s'était attelé à ce projet, l'équipe de SQL Server ayant publié un billet à ce sujet sur son blog officiel.
Une pré-version du service pour Azure est prévue pour la fin de cette année, a indiqué Microsoft sur sa conférence utilisateurs PASS Summit consacrée à SQL Server (du 11 au 14 octobre à Seattle). Tandis que celle destinée à Windows Server arrivera courant 2012 et fonctionnera avec les outils de Business Intelligence de Microsoft. Ces outils permettront aux clients de l'éditeur de mieux appréhender la prise en compte des Big Data (flux d'informations remontés des capteurs, des connexions web, données non structurées provenant des réseaux sociaux, fichiers vidéo, etc.), a confirmé Ted Kummert, vice-président corporate de la division Plateforme Business de Microsoft.
Oracle a aussi adopté Hadoop et IBM racheté Platform Computing
La semaine dernière, dans ce domaine, Oracle a annoncé la solution Big Data Appliance (matériel + logiciel) qui exploite également Hadoop, ainsi qu'une base de données NoSQL maison et une distribution du langage de programmation R pour l'analyse statistique, afin de pouvoir traiter les volumes de données importants.
Hier, IBM a de son côté annoncé le rachat de l'éditeur canadien Platform Computing, spécialisé sur la gestion des clusters et des traitements en grille dans les environnements distribués, dans lesquels Hadoop est typiquement exploité. Ce framework Open Source, qui supporte les applications portant sur les Big Data, suscite de plus en plus l'intérêt des responsables informatiques pour ses capacités à traiter les énormes flux de données qu'ils doivent prendre en compte. Un nombre croissant d'entreprises cherche à les collecter afin de les analyser pour en tirer des informations significatives pour les activités. Jusqu'à présent, elles se trouvaient limitées pour le faire par les limites des bases de données relationnelles traditionnelles, avant tout conçues pour manipuler les données structurées.
Les premiers à l'avoir adopté, parmi lesquels Yahoo, AOL, Google et d'autres, se sont servis d'Hadoop pour stocker et analyser des petaoctets d'informations non structurées. Les autres technologies de datawarehouse se sortent moins bien de ce type de traitements.
Une belle visibilité pour Hortonworks
Pour Merv Adrian, analyste au Gartner interrogés par nos confrères de Computerworld, l'alliance entre Microsoft et Hortonworks n'est pas surprenante. Pour lui, chacun des principaux fournisseurs de base de données doit prendre garde de ne pas amener les clients qui voudront s'atteler aux Big Data à puiser dans d'autres offres. La question principale restant : vont-ils aller seuls sur ce terrain ou vont-ils s'attacher l'expertise d'un spécialiste. Merv Adrian souligne que le partenariat avec Microsoft constitue un « plus » important pour l'éditeur Hortonworks qui réunit une équipe d'experts très spécialisés sur la technologie Apache Hadoop. Cette entreprise, fraîchement émoulue de Yahoo, a pris son indépendance cette année, rappelle l'analyste de Gartner. Sur le marché commercial des systèmes Hadoop, le leader est actuellement Cloudera, cite par ailleurs Merv Adrian.
Selon l'analyste de Gartner, il est probable que de nombreux clients de Microsoft qui commencent à pense aux Big Data pour la première fois n'auront pas entendu beaucoup parler d'Hortonworks. Voilà qui devrait donner une belle visibilité à cette société.
De son coté, Stephen O'Grady, analyste chez Red Monk, considère qu'il est important pour Microsoft de disposer d'une solution compétitive pour mettre en oeuvre Hadoop sur sa plateforme. Il est clair que Microsoft estime qu'il est important d'optimiser et d'ajuster sa plateforme dans ce domaine pour se différencier.
Ebay lance sa plate-forme de développement X.commerce
Le site de e-commerce Ebay vient de dévoiler X.commerce, une plateforme de développement d'applications destinée aux e-marchands et aux développeurs. Celle-ci rassemble des outils et des fonctionnalités d'une variété de sites et de produits du groupe, y compris la place de marché eBay, le système de paiement en ligne PayPal, ainsi que des partenaires. Avec cette plate-forme, eBay entend donner aux e-marchands et aux développeurs d'applications un accès à un ensemble complet de technologies liées au commerce électronique, comme le panier d'achat, les services de paiement et de gestion des stocks.
L'idée est de fournir une large variété d'applications de e-commerce qui répondraient aux scénarios mouvants que les e-commerçants rencontrent, et qui sont notamment marqués par les interactions avec les réseaux sociaux, et le développement du commerce mobile.
Une authentification taillée pour le e-commerce
Parallèlement au lancement de X.commerce, le groupe a annoncé la sortie de PayPal Access, un système d'authentification sur lequel les commerçants peuvent s'appuyer pour que les consommateurs se servent de leur nom d'utilisateur et leur mot de passe PayPal pour s'enregistrer et se connecter à leurs sites de e-commerce.
« En s'appuyant sur PayPal Acess pour gérer l'inscription et l'identification des utilisateurs, le processus est à la fois plus sûr et plus simple », a indiqué eBay.
Cet outil paraît ressembler à ceux proposés par des géants comme Google et Facebook, mais il a été spécifiquement taillé pour les sites e-commerce.
EBay a également annoncé l'intégration du protocole Open Graph de Facebook dans sa
plate-forme Open Source Magento, rachetée en juin dernier, et dans le logiciel de GSI Commerce afin que les développeurs puissent créer des applications qui exploitent les caractéristiques de Facebook.
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