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(12/08/2010 11:12:03)

La SSII Groupe Cella recrute 80 ingénieurs en 2010

Créée en 1995, la société de services informatiques Groupe Cella annonce compte actuellement 420 salariés. En 2010, elle compte recruter 80 ingénieurs. La moitié de ces embauches permet de contrer le turn over naturel dans le métier des SSII, le reste doit assurer la croissance.

Le groupe assure quatre métiers : la maîtrise d'oeuvre en technologie objet, la maîtrise d'ouvrage dans le secteur banques et assurances, la qualité logicielle, le décisionnel. Quatre activités assurées par autant de filiales spécialisées : Virtutis, Eociane, Eositis, Notabilis. « Nous sommes une société à la fois très pointue techniquement et proche de nos salariés », nous précise Sylvain Curiel, qui dirige la SSII avec son frère Guy. Environ 70% de l'activité se réalise dans le secteur banques et assurances.

Restée jusqu'alors très discrète, focalisée sur des prestations techniques, la société veut avant tout préserver son indépendance. Groupe Cella  est détenu majoritairement par deux frères Curiel, Sylvain le fondateur en 1995 et Guy qui l'a rejoint en 2001. La SSII a réalisé 34 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2009, une rentabilité de l'ordre de 5%, jugée correcte, la course aux résultats n'est pas une priorité absolue, les dirigeants entendent avant tout garder la maîtrise de leur développement et mieux se faire connaître afin de recruter à armes égales avec les grandes SSII.

(...)

(11/08/2010 19:17:47)

Une pénurie de DRAM se profile, selon iSuppli

Les fabricants de memoires vives sont actuellement confrontés à des problèmes d'approvisionnement, constate le cabinet d'études iSuppli. D'une part, ils n'arrivent pas à se procurer les équipements de production nécessaires à la fabrication. D'autre part, ils rencontrent des difficultés dans la mise en oeuvre des plus récentes technologies.

Au moment où le marché des ordinateurs personnels repart (22,4% de progression au second trimestre par rapport à l'an dernier), les fabricants de DRAM ont toujours du mal à se remettre de la récession. L'an dernier, beaucoup d'entre eux manquaient de ressources pour acheter de nouveaux équipements. Cette année, ils ont donc inondé les fournisseurs de commandes. Dans le secteur de la DRAM, la concurrence impose aux fabricants de livrer le plus possible de composants, de la taille la plus réduite, dans les délais les plus courts. Cela les oblige à acquérir de nouveaux équipements chaque année mais aussi à avoir plus de compétences pour produire toujours plus de chips par tranche de silicium.

Les prix des PC ont déjà augmenté cette année

Un problème d'approvisionnement en DRAM pourrait pousser les prix à la hausse. D'où le risque de voir le prix des PC augmenter. iSuppli ne fait aucune prévision sur la hausse qui résulterait de ces problèmes. Mais Acer, l'un des plus grands fabricants de PC au monde, fait remarquer que les prix des ordinateurs personnels ont déjà augmenté cette année, pour la première fois depuis cinq ans, pour des raisons similaires. La hausse du prix des mémoires DRAM figurait déjà parmi les coupables.

Le principal outil qui fait actuellement défaut aux fabricants de DRAM est un équipement de lithographie par immersion qui, selon iSuppli, ne seront pas disponibles en nombre suffisant cette année. En effet, le cabinet d'études estime que les entreprises chargées de produire ces équipements essentiels ne pourront pas en livrer suffisamment pour répondre aux besoins de l'industrie. Seuls quelques fabricants de DRAM disposent déjà du matériel dont ils ont besoin.

Trois fabricants de DRAM tirent leur épingle du jeu

L'autre problème soulevé par iSuppli est lié au rendement dans la fabrication des puces. Les fabricants de DRAM s'emploient en permanence à produire des puces plus petites. Mais la technologie pour y parvenir est longue à maîtriser et d'autant plus difficile à mettre en oeuvre que les tailles sont de plus en plus réduites.

Actuellement, les fabricants de DRAM sont confrontés à des problèmes liés à la technologie sub 50-nm, fait savoir iSuppli, indiquant que seuls quelques fabricants de puces ont réussi à faire la transition vers cette technologie de pointe. Selon lui, trois d'entre eux, Samsung Electronics, Hynix Semiconductor et Micron Technology, se trouvent en position favorable pour profiter de la hausse du prix des puces, parce qu'ils maîtrisent déjà la dernière technologie. Un rapport préliminaire publié par Gartner, confirme que Samsung, qui a capté 35,3 % des revenus de l'industrie de la DRAM au cours du deuxième trimestre, a maintenu son avance, suivi par Hynix avec 20,9 %, Elpida Memory avec 17,3 %, Micron avec 13,3 % et Nanya Technology avec 4,4 %. (...)

(11/08/2010 15:16:43)

Skype veut entrer en bourse

Skype a déposé à la Securities and Exchange Commission un dossier d'introduction en Bourse sur le marché new-yorkais, le Nasdaq. Le prix et le nombre d'actions qui découleront d'une telle proposition ne sont pas encore connus pour l'heure, mais l'entreprise espère de cette façon récupérer 100 millions de dollars environ. Cela peut sembler modeste, mais en dépit de sa notoriété, le chiffre d'affaire de la société sur les six premiers mois de l'année n'est estimé qu'à 400 millions de dollars.

Skype sort d'ailleurs à peine d'une période difficile après avoir été vendu par eBay à un groupe d'investisseurs et subi des troubles judiciaires coûteux entre ses fondateurs (Niklas Zennstrom et Janus Friis) et ses propriétaires. Ebay avait déjà songé à une introduction en Bourse avant de finalement renoncer à sa participation dans la société, la VoIP ne s'étant pas révélée aussi rentable qu'escompté.


Crédit Photo : © Copyright 2006, The Nasdaq Stock Market, Inc. (...)

(11/08/2010 12:16:09)

IBM s'offre Datacap, spécialiste de la capture de documents

Big Blue poursuit sa politique d'acquisition en annonçant, ce  mardi,  le rachat de Datacap, pour un montant qui n'a pas été communiqué. Situé à Tarrytown (New York), Datacap est un éditeur spécialisé dans la capture de documents. Les solutions qu'il propose donnent la possibilité d'extraire des informations à partir de formulaires ou de formats non structurés, tels que les factures ou les déclarations d'impôts, ce qui  permet d'économiser du temps, et de réduire les coûts liés aux processus manuels.

IBM dispose de capacités similaires avec l'offre de gestion de contenu d'entreprise acquise avec le spécialiste américain FileNet. en 2006. Mais la firme d'Armonk semble vouloir utiliser les solutions de Datacap comme fondation de sa stratégie de capture de documents.

200 clients, dont des organismes gouvernementaux

Les administrations et les entreprises doivent traiter un nombre toujours croissant de données non structurées et sont contraintes d'améliorer la gestion de leurs documents archivés en raison des contraintes réglementaires toujours plus exigeantes.

Datacap compte quelque 200 clients, parmi lesquels des organismes gouvernementaux tels que les services fiscaux de Virginie, ou encore la division santé  de Blue Cross Blue Shield of Arizona.

Scott Blau, le PDG de Datacap, a été nommé directeur de la gestion de contenu d'entreprise chez Big Blue. IBM et Datacap sont partenaires de longue date. L'éditeur racheté a également noué des accords avec des concurrents du géant informatique sur le marché de gestion de contenu, tels que Oracle, Open Text et EMC.

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(11/08/2010 11:34:58)

Google pourrait s'offrir un spécialiste de la monnaie virtuelle

Si l'on en croit TechCrunch, Google serait en passe d'acheter Jambool, société créant de la monnaie virtuelle et le système de paiement associé. La firme de Mountain View espère ainsi continuer à glâner tous les éléments constitutifs d'un réseau social capable de rivaliser avec Facebook, à l'instar de ses partenariats avec les éditeurs de jeux comme Zynga, Playfish et autres. Les rumeurs sont ici basées sur diverses sources du site TechCrunch, et n'ont toujours pas été confirmées par l'une ou l'autre des sociétés impliquées. Ces mêmes sources affirment par ailleurs que la transaction aurait coûté entre 70 et 75 millions de dollars à Google.

Plus avantageux que les Facebook Credits pour les développeurs

Jambool est l'éditeur de la plateforme d'achat de monnaie virtuelle Social Gold, qui offre la possibilité aux développeurs d'applications de mettre en place de véritables économies virtuelles au paiement sécurisé à l'entrée. Social Gold est tarifé à la transaction, retenant entre 7 et 10% des sommes gagnées par les développeurs par cet intermédiaire. On peut remarquer quelques similarités avec les Facebook Credits récemment lancés, la principale différence résidant dans le pourcentage retenu par la plateforme, qui dans le cas de Facebook s'élève à 30% de la transaction. Vikas Gupta, directeur de Jambool a d'ailleurs publié une entrée sur son blog, s'intitulant « The Case Against Facebook Credits » pour critiquer le système.

Si les rumeurs s'avéraient fondées, il s'agirait là de la 18ème acquisition de Google pour 2010, dont plus récemment Slide, éditeur d'applications à destination des réseaux sociaux, pour un montant compris entre 180 et 230 millions de dollars. Ces dernières acquisitions sont donc toutes dans la même lignée de perfectionnement de Google Me, le futur réseau social du géant d'Internet.

Crédit Photo : Jambool

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(10/08/2010 19:14:23)

Départ de Mark Hurd : HP souhaitait-il changer de PDG ?

A posteriori, l'explication officielle fournie pour expliquer le départ du PDG de HP suscite quelques interrogations. La démission de Mark Hurd a été annoncée après la fermeture des marchés vendredi dernier par le Conseil d'administration du groupe, justifiée par l'existence d'une plainte pour harcèlement sexuel et par des notes de frais improprement libellées et des dépenses injustifiées. La société n'avait-elle pas d'autres options que cette annonce brutale qui a attiré sur elle une attention peu flatteuse. A moins, relèvent nos confrères de Computerworld, que les problèmes rencontrés par Mark Hurd n'aient constitué pour ses administrateurs une opportunité de renouvellement à saisir.

Il est possible que le conseil d'administration ait souhaité opérer un changement dans la direction du groupe. A la tête de HP, Mark Hurd a dû surmonter la récession et relancer la croissance. Il a supprimé des milliers de postes et contraint les collaborateurs de l'entreprise à réduire leur salaire dans tous les secteurs. Le groupe a aussi revu drastiquement son fonctionnement opérationnel, faisant passer le nombre de ses datacenters de 85 à 6. Ce fut une tâche rude et éprouvante et la société veut peut-être un nouveau visage pour diriger le groupe.

Sous sa direction, HP avait racheté EDS, 3Com, Palm...

Mark Hurd était un opérationnel. Il se concentrait sur les investissements, les livrables et veillait à maintenir la confiance des investisseurs. Il ne parlait pas souvent de sa vision, il se contentait de la mettre en oeuvre. Sous sa direction, HP a racheté EDS pour 13,9 milliards de dollars, 3Com pour 2,7 milliards de dollars et Palm pour 1,2 milliard de dollars. De même qu'une série de solides éditeurs de logiciels parmi lesquels Opsware, pour 1,6 milliard de dollars. Ses efforts pour créer une entreprise aussi concurrentielle dans les services que dans la fourniture de solutions complètes pour les entreprises a incontestablement porté ses fruits.

Mais il est néanmoins possible que le conseil d'administration se soit demandé si Mark Hurd était la bonne personne pour procéder à l'intégration d'acquisitions telles que 3Com ou Palm, ou encore pour rester dans la course sur le marché de la mobilité pris d'assaut par Android, ou encore sur celui du cloud. Le groupe a besoin d'un innovateur.

L'influence de Marc Andreessen, icône de la "Valley"

L'intérêt de HP pour un profil qui s'approcherait davantage de celui de Steve Jobs a filtré vendredi dernier dans les propos de Marc Andreessen, l'un des membres du conseil d'administration. Celui qui fut en son temps co-fondateur de Netscape (l'un des acteurs phares des navigateurs Web) a aussi apporté à HP quelques technologies clés dans le domaine des serveurs et datacenters, avec la revente en 2007 d'Opsware, la société qu'il dirigeait. Marc Andreessen figure parmi les icônes de la Silicon Valley, connu pour être à l'origine de nombreuses innovations. Or, sa voix s'est fait tout particulièrement entendre lors de la conférence téléphonique avec les analystes financiers en fin de semaine, expliquant que le départ de Mark Hurd était requis et que HP n'était pas l'affaire d'une personne. L'ancien dirigeant de Netscape fait partie du comité chargé de recruter le nouveau PDG.

Mark Hurd est consécutivement le deuxième PDG de HP à quitter le groupe en de mauvais termes. Avant lui, en 2005, Carly Fiorina a dû laisser son poste à la suite de désaccords avec le Conseil d'administration sur la stratégie de la société. La démission de Mark Hurd résulte peut être d'un souhait interne de restructurer les postes de direction et de redistribuer le pouvoir afin de faire de la place pour de nouvelles approches. (...)

(10/08/2010 17:01:23)

Trimestriels Steria : prise de commandes en forte hausse

Steria a affiché un chiffre d'affaires étal, à 417,5 M€ (-0,1%), sur le deuxième trimestre 2010 par rapport à l'an dernier. Lors de la communication de ses résultats financiers la semaine dernière, la SSII française a en revanche souligné la hausse de 17,6% enregistrée sur la prise de commandes pendant cette période.

Par zone géographique, la France a vu son chiffre d'affaires progresser de 4,9% en organique, à 128,6 M€ sur le trimestre. Le Royaume-Uni (39% du CA global sur le trimestre contre 31% pour la France) a reculé de 3,9% à 163,3 M€, mais les résultats du trimestre sont néanmoins supérieurs à ce que prévoyait la SSII. En Allemagne, le CA a augmenté de 1,3% à 57,6 M€ et sur le reste de l'Europe, il a baissé de 0,8% à 68 M€ sur le trimestre.

Infogérance et BPO en hausse

Depuis le début de l'année, sur six mois, l'activité conseil et intégration a reculé de 1%, avec un chiffre d'affaires de 507,2 M€. A l'inverse, Steria a vu progresser de 5,4% ses activités infogérance et BPO (business process outsourcing) à 324,8 M€ sur un chiffre d'affaires total de 832,1 M€ (+1,4%).

Sur l'ensemble de son premier semestre, en France, la SSII a enregistré une croissance organique de 3,7% de son chiffre d'affaires, à 259,9 M€ (+3% en Allemagne à 115,2 M€, mais -1,2% au Royaume-Uni, à 325,3 M€).

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(10/08/2010 10:59:38)

Semestriels Logica : légère baisse du CA, frémissement des commandes

La SSII Logica (*) a publié les résultats financiers mondiaux de son 1er semestre 2010. Le chiffre d'affaires baisse de 1% à 1,871 milliard de livres (2,25 milliards d'euros), contre 1,876 milliard de livres pour la même période de l'exercice précédent. Le profit opérationnel ajusté passe de 127 millions de livres à 125, en baisse de 2%. Le second trimestre a été stable laissant espérer une modeste progression au second semestre et une marge d'exploitation 2010 comparable à celle de 2009. Le dividende par action s'élève à 1,9 pence (+0,9%).

La société met par ailleurs en relief des données plus encourageantes. Le bénéfice d'exploitation, par exemple, qui est passé à 93 millions de livres contre 39 M£,  pour la même période de l'exercice précédent. Le carnet de commandes (book to bill) a progressé de 2% au cours des six premiers mois de 2010 avec, fortement tiré par l'infogérance.

Au 30 juin 2010, Logica employait 39 074 personnes contre 38 780 fin décembre 2009.

(*) Logica, née en Grande-Bretagne, a racheté la SSII française Unilog en  septembre 2005.

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(09/08/2010 16:46:40)

Google rachète Slide, créateur de mondes virtuels

Avec l'acquisition de la société Slide, spécialisée dans le développement de communautés virtuelles, Google va pouvoir ajouter d'autres fonctions de réseau social à ses services, a expliqué en fin de semaine dernière David Glazer, directeur du développement chez Google, sur un billet de blog. Il souligne au passage que Gmail, Docs, Blogger, Picasa et YouTube proposent déjà de solides outils dans ce domaine.

Slide développe des applications utilisées sur des réseaux tels que Facebook et MySpace. Son PDG fondateur, Max Levchin, fut aussi le co-fondateur de PayPal en 1998, une société qu'il porta en Bourse en 2002 et revendit à eBay dans la foulée pour 1,5 milliard de dollars. Le jeune dirigeant n'avait alors que 26 ans. Sur son site web, Slide explique « créer des mondes virtuels où les utilisateurs peuvent s'amuser et même gagner de l'argent ». La société cherche à construire des communautés où l'on pourrait créer et distribuer des biens virtuels.

Un rachat évalué entre 180 et 230 millions de dollars

Google n'a pas communiqué le montant de la transaction. TechCrunch, qui fut le premier à signaler le rachat, l'évalue à 182 millions de dollars. Le New York Times, de son côté, l'estime à 228 millions de dollars.

Parmi les rumeurs soulignant l'intérêt de Google pour les réseaux sociaux, il a été évoqué une prise de participation dans la société Zynga, la société qui développe Farmville, jeu populaire sur Facebook. Il a également été dit que le géant du Web discutait avec des acteurs du jeu pour construire une plateforme sur ce terrain. Pourtant quelques-unes de ses précédentes tentatives dans ce domaine ont échoué, notamment Google Buzz, qui permettait aux utilisateurs de Gmail de partager statuts, photos ou vidéos. Ce service a déclenché un tohu-bohu à sa sortie lorsqu'on s'est aperçu que les listes de « followers », générées automatiquement sur la base des destinataires des courriels envoyés, étaient publiquement partagées avec les autres utilisateurs. Google a par la suite modifié sa politique de protection des informations privées.

Son service Orkut a connu un certain succès dans plusieurs régions, notamment au Brésil, mais il n'a pas rencontré l'engouement suscité par MySpace et Facebook.

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