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(14/12/2011 16:00:11)
Google s'empare de Clever Sense et de son assistant personnel
Google s'est offert la start-up Clever Sense, créatrice d'Alfred, une application mobile de recommandations personnalisées de lieux, pour un montant non encore divulgué. Le géant des bons de réduction Groupon aurait également été sur les rangs pour racheter Clever Sense. Mais c'est la firme de Moutain View qui a eu le dernier mot avec ce rachat qui lui permettra de se renforcer dans le domaine des recommandations locales. En septembre dernier, Google s'était emparé de Zagat et de ses guides gastronomiques, ce qui lui avait permis de disposer des meilleures offres de restaurants et des recommandations des consommateurs sur leurs endroits favoris.
Alfred est un assistant personnel qui fournit des suggestions sur les restaurants, les bars et sur la vie nocturne dans la localité où l'utilisateur se trouve.
Une application pour le grand public et les professionnels
Babak Pahlavan, co-fondateur et PDG de Clever Sense, a précisé, dans une note publiée sur le site Internet de la start-up, que l'application Alfred pouvait inclure d'autres sources de données et services. Pour lui, la découverte de l'information locale est importante et les particuliers, comme les professionnels, profiteront de l'acquisition de la société.
Le patron de Clever Sense estime aussi qu'aujourd'hui, il est devenu plus que nécessaire d'avoir un assistant personnel compétent, toujours prêt à ses côtés, qui passera au crible la surcharge d'information quotidienne et offrira des choix réellement pertinents en fonction de ce que l'on aime ou ce que l'on veut faire.
Andy Rubin, vice-président de l'activité mobile chez Google, avait cependant déclaré, lors de la conférence AllThingsD Asiad en octobre dernier, qu'il ne pensait pas qu'un smartphone devait faire office d'assistant. « Vous ne devriez pas communiquer avec votre smartphone, mais plutôt être en communication avec quelqu'un grâce à celui-ci », avait-il souligné.
La plateforme, autour de laquelle Alfred est bâti, est décrite par son éditeur comme étant conçue « pour connecter le monde en ligne avec le monde hors ligne en fournissant des recommandations aux utilisateurs, en tenant compte de leur temps, du lieu et de leurs intentions ».
L'assistant est disponible pour les terminaux sous Android et également pour les iPhone et les iPad.
Un moteur d'extraction intégré dans la plate-forme Clever Sense traite d'importants volumes de données non structurées en utilisant le traitement du langage naturel, l'apprentissage automatique statistique, et des algorithmes de data mining. Il est informé des intérêts des consommateurs et de leurs préférences en se fondant sur des interactions avec diverses sources, comme les applications de Clever Sense, mais aussi avec Facebook et Twitter.
(...)
L'UE classe l'affaire de maintenance des mainframes IBM
En juillet 2010, la Commission européenne avait diligenté deux enquêtes. La première était liée aux plaintes déposées par TurboHercules, T3 Technologies et Neon Entreprise, qui se sont vues refuser la fourniture d'émulateurs mainframe pour cause de violation de brevets. Certains de ces droits avaient fait l'objet d'un accord Open Source. En août dernier, les trois acteurs ont abandonné leur plainte après négociation avec Big Blue.
L'autre enquête portait sur le comportement discriminatoire présumé d'IBM vis-à-vis de ces concurrents fournissant des services d'entretien pour les mainframes. La Commission craignait en effet l'existence de pratiques anticoncurrentielles en vue de verrouiller le marché des services de maintenance (en évinçant ses concurrents potentiels du marché), notamment en restreignant ou en retardant l'accès aux pièces de rechange dont IBM est le seul fournisseur. L'exécutif bruxellois indique dans son communiqué que « IBM s'engage à mettre rapidement ses pièces de rechange et ses informations techniques à la disposition des agents de maintenance indépendants, à des conditions commercialement raisonnables et non discriminatoires. » Les engagements sont juridiquement contraignants souligne la Commission et en cas de non-respect de ses obligations, « elle pourrait lui infliger une amende pouvant atteindre 10 % de son chiffre d'affaires total, sans avoir à prouver l'existence d'une quelconque violation des règles de concurrence de l'UE. » (...)
ASG Software Solution acquiert Atempo, spécialiste du backup et de l'archivage
Le fournisseur américain de logiciels professionnels, ASG Software Solution a annoncé le rachat de la société californienne, Atempo. Celle-ci est spécialisée dans les solutions d'archivage et la protection des données. Basée à Palo Alto, elle va enrichir le portefeuille d'AGS Software en matière d'archivage et de sauvegarde des données. Atempo possède 13 bureaux dans le monde et plus de 4500 clients manipulant de larges volumes de données, dans différents secteurs d'activités comme notamment l'industrie, l'audiovisuel, la santé, les télécommunications, le secteur public et l'éducation. La technologie d'archivage d'Atempo permet la préservation des contenus numériques sur le long-terme, l'optimisation des ressources de stockage et la gestion des métadonnées répondant aux besoins de recherche/e-discovery et de conformité réglementaire.
Une orientation vers le cloud
Michael Wall, président directeur général d'Atempo, explique que « ASG apporte à Atempo une plateforme de croissance et d'expansion sur le marché du cloud ainsi qu'une plus grande couverture à l'échelle mondiale. » De son côté, Arthur Allen, président directeur général d'ASG, estime que « la flexibilité d'Atempo est idéale pour renforcer plusieurs de nos champs de compétence comme notamment notre offre cloud et nos solutions de gestion de l'information et d'infrastructure ». Si l'orientation vers le cloud computing ne fait aucun doute, les termes financiers de l'acquisition n'ont pas été dévoilés.
L'Inria et France Brevets s'associent pour valoriser les brevets
France Brevets est un fonds de 100 millions d'euros qui s'inscrit dans le cadre du programme d'investissements d'avenir (PIA) lancé en 2009. Il est géré par la Caisse des Dépôts et l'Etat avec pour mission d'aider la recherche publique et privée à mieux valoriser ses portefeuilles de brevets. Après avoir passé un partenariat avec l'Institut Telecom en juin dernier, c'est au tour de l'Inria de signer aujourd'hui un accord avec France Brevets. La coopération portera sur plusieurs volets, le premier est l'apport des droits de propriété intellectuelle des laboratoires de recherches de l'Inria en collaboration avec des industriels et/ou des pôles de compétitivité. Ce portefeuille servira à la création de grappes de brevets spécifiques à certains secteurs. Bruno Portisse, directeur du transfert et de l'innovation à l'Inria explique : « cela peut concerner l'Internet du futur, le travail sur les protocoles, sur les codecs dans le multimédia ». Les TIC ont été la priorité de France Brevets pour l'année 2011, « ce secteur est très dynamique avec un fort potentiel. Il irrigue aussi d'autres secteurs comme l'énergie, la santé » précise Jean Charles Hourcade, directeur général de France Brevets. Des équipes comprenant des experts techniques et juridiques sont constituées pour mener à bien cette mission de suivi et d'identification des groupes de brevets.
Valorisation et standardisation
Les autres axes du partenariat portent sur la valorisation de ce portefeuille de brevets, notamment sur les aides financières pour protéger et valoriser ces droits. « Il s'agit d'un accompagnement sur un temps long. Par exemple, la brevetabilité du logiciel est un mécanisme sur le long terme » souligne Bruno Sportisse et Jean Charles Hourcade d'ajouter, « cela pérennise aussi les efforts de PME qui inventent, créent, dans les différents secteurs concernés, allant du dépôt jusqu'aux extensions à l'internationale ». Pour la valorisation, France Brevets dispose de plusieurs moyens, soit un mandat de valorisation avec une commission sur la cession des droits, soit il obtient un droit de sous-licencier, enfin le fonds n'exclut pas d'acquérir des brevets en propre. Enfin, le partenariat insiste sur l'impact des groupes de brevets sur la standardisation et la normalisation. Si 2011 a vu la priorité aux TIC Télécom, France Brevets va se pencher en 2012 sur d'autres sujets comme la chimie et les matériaux, mais aussi les sciences du vivant.
Nokia Siemens Networks cède ses activités télécommunications fixes
Moins d'un mois après avoir annoncé la suppression de 17 000 emplois, Nokia Siemens Networks (NSN) poursuit sa restructuration. Le conglomérat vend ses activités de télécommunications fixes à haut débit au fournisseur britannique d'équipements de réseaux et de communications Adtran. 400 employés de NSN passeront à Adtran dans des fonctions de recherche et développement, de marketing ou de services aux entreprises.
Marc Rouanne, responsable de la branche Mobile Broadband chez Nokia Siemens Networks, a expliqué cette vente : « Ce projet de cession s'inscrit dans le cadre de notre nouvelle stratégie visant à accroître notre attention au marché du haut débit mobile et des services.»
La transaction devrait, selon le communiqué, être complétée d'ici la fin du mois d'avril 2012. Les détails financiers n'ont pas été divulgués. Pour mémoire, NSN, qui compte 74 000 salariés, a annoncé en novembre dernier la suppression de 17 000 emplois dans le monde d'ici fin 2013. Une décision qui fait suite à des problèmes de rentabilité. Au troisième trimestre 2011, le bénéfice d'exploitation de NSN s'élève à six millions d'euros pour 3,41 milliards d'euros de chiffre d'affaires.
ICTJournal.ch (...)(14/12/2011 10:05:32)Marketing et réseaux sociaux, les internautes toujours méfiants
Alors que les marques déploient des plans marketing soigneusement étudiés pour capter l'attention des internautes sur les réseaux sociaux, une majorité de ces derniers (57%) ne souhaitent pas interagir avec elles, selon l'étude annuelle Digital Life de TNS Sofres publiée le mardi 13 décembre. Elle recense les comportements de 72 000 internautes dans 60 pays. Au total, 59% des français interrogés ne veulent pas s'engager avec les marques via les médias sociaux. Toujours en France, seulement 29% des consommateurs postent des commentaires en ligne sur leurs offres et leurs produits.
L'étude Digital Life indique toutefois les raisons pour lesquelles les individus s'engagent parfois avec les marques. Par exemple, 47% des internautes français postant des commentaires le font, certes pour fournir des conseils, mais surtout de manière intéressée puisque parmis eux 53% espèrent pouvoir bénéficier de promotions et d'offres spéciales.
Au final, seulement 15% des internautes français considèrent les réseaux sociaux comme un bon endroit pour acheter des produits. Ils sont en outre 21% à avoir déjà participé à des achats groupés, mais seulement 8% ont déjà payé via leur mobile (contre 14% en Europe et 34% en Chine).
(...)(14/12/2011 10:44:42)Symantec conjugue sauvegarde et protection dans 2 packs pour TPE
Pour les entreprises ayant moins de dix postes de travail, Symantec a constitué deux packs de sécurité Norton pour les ordinateurs sous Windows XP, Vista et Windows 7. Des outils de protection des PC y sont associés à cinq licences de Norton Ghost 15.0, logiciel de sauvegarde et de restauration des données. Ce dernier peut effectuer la sauvegarde d'un système complet ou se limiter à certains dossiers, de façon programmée ou en réponse à un événement. Il peut aussi enregistrer des « points de récupération » sur des sites distants via FTP.
Outre Ghost, le premier pack inclut cinq licences de la suite Norton Internet Security 2012 qui combine un antivirus et une protection contre les logiciels espions et les vols d'identité. Cette offre met en oeuvre les technologies Insight 2.0 et Sonar pour prévenir les menaces et avertir l'utilisateur si l'une de ses applications est touchée par un malware. Norton Safe Web affiche des alertes lorsque l'utilisateur navigue sur le web et bloque les sites non sécurisés.
Le deuxième pack associe le logiciel de sauvegarde à cinq licences de Norton AntiVirus 2012.
Ces Pack Small Business sont respectivement vendus 80 euros environ, pour celui incluant Norton Internet Security 2012, et 50 euros avec Norton AntiVirus 2012 (prix moyens constatés). Ils couvrent la protection de cinq postes sur une durée d'un an.
SAP s'associe à NetBase pour analyser les médias sociaux
SAP va revendre le logiciel d'analyse des médias sociaux de l'éditeur NetBase. Ce dernier fait partie d'une catégorie d'acteurs qui se développe. Sa plateforme ingère les données issues de médias sociaux, tels que Facebook et Twitter. Elle analyse ensuite ces informations pour récupérer les commentaires émis sur les produits et les marques qu'elle communique aux entreprises concernées. L'offre de NetBase est concurrente de celle de l'éditeur Radian6 qui a été acheté au début de l'année par Salesforce.com. Des fonctions de surveillance des médias sociaux existent également dans la suite de RightNow, acquise de son côté par Oracle.
Selon Byron Banks, vice président marketing pour les solutions analytiques métiers, SAP aurait pu lui-même développer ce type de technologie (*), mais s'associer avec NetBase lui permet d'entrer dans le jeu plus rapidement. Il n'a pas précisé pourquoi SAP n'avait pas plutôt racheté l'éditeur. Le logiciel sera vendu à partir de janvier comme une extension, sous le nom de SAP Social Media Analytics (by NetBase). Son prix sera basé sur le nombre d'utilisateurs et le nombre de sujets qu'une entreprise voudra suivre sur les médias sociaux, a indiqué Lisa Joy Rosner, responsable marketing de NetBase.
30 téraoctets de données sur un an
L'application cloud de NetBase consiste en une base d'informations de 30 To, rafraîchie au fur et à mesure au rythme d'environ 90 millions de « posts » chaque jour, selon Byron Banks. Le système rassemble les « opinions » récupérées sur une année complète à travers les médias sociaux. Mais ce qui différencie vraiment NetBase des autres offres de ce type, ce sont ses capacités de traitement en langage naturel, souligne Lisa Joy Rosner. « Lorsque quelqu'un dit : « J'aime l'iPhone, il est cool », notre système comprend que « il » se rapporte à l'iPhone », donne-t-elle en exemple. NetBase peut aussi détecter différents niveaux dans l'expression, notamment la distinction qui s'exprime entre « I like iPhone » et « I adore the iPhone ».
SAP a déterminé environ une douzaine de point d'intégration possibles avec ses autres produits, en particulier avec ses modules CRM (gestion de la relation client) et son portefeuille de solutions décisionnelles BusinessObjects BI. Pour l'instant, aucune des ces intégrations n'est disponible, mais les clients pourront accéder à une API (sous la forme d'un service web) pour les projets qu'ils souhaiteront lancer rapidement.
L'éditeur allemand compte proposer le produit NetBase au-delà des départements marketing, selon Byron Banks. Selon lui, les équipes commerciales peuvent l'utiliser pour ajuster leur stratégie de tarification et mieux comprendre les clients. Les équipes de développement produit pourraient s'en servir pour améliorer leur processus de planification. « Quelles tendances dans la mode pour le printemps prochain ? Si vous produisez en offshore, vous devez le savoir », souligne le vice-président marketing.
Dépasser la surveillance des médias sociaux
Pour l'analyste Zach Hofer-Shall, de Forrester Research, les entreprises devraient dépasser la simple surveillance des médias sociaux. Il faudrait mettre ces données dans des tableaux de bord marketing, écrit-il en citant une banque de détail ayant créé un 'index de santé des marques' qui combine le volume et les sentiments exprimés dans les conversations en ligne, les scores de ses enquêtes en ligne et les réponses recueillies par téléphone.
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Plus encore, les entreprises devraient relier les données des médias sociaux à celles de leurs clients, afin de cibler particulièrement les clients ayant des discussions sur les sites communautaires. « Cette approche soulève des questions relatives au respect de la vie privée et présente des limites lorsqu'il s'agit d'associer les informations entre elles, mais elle a montré son efficacité pour certaines marques grand public », selon lui. Des entreprises comme Fliptop proposent des services censés faciliter cette démarche, ajoute-t-il. Fliptop permet de constituer, à partir d'une adresse e-mail, des profils incluant des informations issues de Twitter, Facebook et LinkedIn.
SAP veut aller au-delà du département marketing
Il est important de reconnaître que l'analyse des médias sociaux n'en est qu'à ses débuts, souligne de son côté Susan Etlinger, analyste chez Altimeter Group, qui a conseillé NetBase et plusieurs de ses concurrents. « C'est tellement nouveau et cela vient de partout », a-t-elle confirmé à nos confrères d'IDG News Service. C'est constitué d'un ensemble d'acteurs de différents types qui sont liés les uns aux autres ». Elle ajoute que Radian6, avec ses tableaux de bord, représente un peu l'archétype général. Tandis que des sociétés telles que NetBase et Crimson Hexagon disposent de capacités d'analyse textuelle plus avancées.
NetBase a également constitué une base de données plus importante, ce qui lui donne un avantage sur ses rivaux, estime encore Susan Etlinger. Concernant le partenariat avec SAP, « il faudra faire des études de faisabilité », considère-t-elle. « Entre Radian6 et Salesforce.com, les structures ne sont pas si différentes, tandis que les outils de SAP et NetBase sont très différents. Il ne s'agit pas seulement de marketing, mais de développement de produits, de planification logistique, et par essence, tout endroit dans l'organisation d'une entreprise où les médias sociaux pourraient mettre les données en perspective ».
(*) Début 2010, SAP France avait présenté un prototype d'outil destiné à l'analyse des réseaux sociaux, SNA (Social network analyser), développé par le Centre d'innovation de SAP BusinessObjects.
Apple désire acheter Anobit, spécialiste du stockage flash
Cela fait longtemps qu'Apple n'a pas fait d'acquisition notamment sur la partie hardware, les dernières étant Intrinsity et P.A Semi. Les rumeurs reviennent en force sur une probable acquisition dans le domaine. Selon un article d'un quotidien économique hébreu Calcalist, Apple serait en négociation pour racheter Anobit. La société israélienne, fondée en 2006, a inventé un circuit spécial, appelé Memory Signal Processor, qui renforce la fiabilité et la longévité des mémoires flash MLC Nand, à travers un algorithme de correction d'erreurs.
Son produit s'adresse aux tablettes et aux smartphones pour améliorer la performance de la mémoire flash. La firme de Cupertino pourrait débourser entre 400 et 500 millions de dollars pour acquérir les technologies d'Anobit, qui dispose de 25 brevets validés (sur 91 au total). Apple fait déjà partie des clients d'Anobit, tout comme Samsung et Hynix qui fournit la mémoire de l'iPhone 4S.
Google Apps commence à séduire les grands comptes
« Nous allons annoncer dans les quatre à six prochaines semaines, la signature de contrat avec plusieurs sociétés, avec des centaines de milliers d'utilisateurs migrant sur les Google Apps » a déclaré dans une interview Amit Singh, vice-président de Google Entreprise. Les contrats comprendront des entreprises, des administrations et des établissements universitaires, ce qui montre que les applications hébergées dans le cloud gagnent du terrain pré ajoute encore le dirigeant. Les Apps, une suite d'outils de collaboration et de communication, ont été lancées en 2007, principalement pour les petites entreprises. Mais la firme de Moutain View a rajouté des fonctionnalités pour séduire les DSI des grandes entreprises.
Bien que la plupart des logiciels de collaboration et de communication restent sur site, un marché dominé par Microsoft et IBM, les entreprises commencent à porter ces applications vers le cloud. Les sociétés saluent le fait de ne plus avoir de maintenance des logiciels sur leur datacenter et de gérer les matériels (achats, paramétrage, administration). Microsoft a répondu à ce phénomène en présentant Office 365, qui semble-t-il recueille un certain succès auprès des PME.
En attendant Google + version entreprise
Amit Singh a réitéré les propos d'autres responsables de Google en indiquant que les clients des Apps disposeront prochainement d'une version entreprise du réseau social Google+. Cette dernière est déjà utilisée en interne chez Google, où elle a contribué à améliorer la productivité et la façon dont les gens collaborent, souligne le dirigeant. Quand Google+ version entreprise sera intégré aux Apps, l'éditeur s'attend à un fort décollage des contrats.
Le marché des logiciels de collaboration intégrant un composant réseau social d'entrepris, va croître annuellement de 61 % jusqu'en 2016. Cette année-là, Forrester Research estime que ce marché représentera aux Etats-Unis 6,4 milliards de dollars contre 600 millions de dollars en 2010.
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