Flux RSS
Business

9034 documents trouvés, affichage des résultats 4811 à 4820.
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(20/01/2009 16:02:22)
La justice suspend un plan social chez Capgemini Outsourcing
L'action commune en référé lancée au début du mois par les CE et CCE de Capgemini Outsourcing (OS) n'aura pas été vaine. En assignant la direction de la SSII en justice, les organisations syndicales de la division AM (Applications management) ont pu obtenir la suspension d'un plan qui devait entraîner la suppression de 250 postes (150 départs volontaires, 100 reclassements). La décision du TGI de Nanterre a été rendue vendredi dernier, en raison du manque de clarté et de transparence de la procédure. «Le juge a prôné la suspension du plan en pointant notamment l'incohérence des postes ciblés, la limitation du périmètre réservé au volontariat, les incertitudes sur les possibilités de reclassement des salariés, et les aspects incertains de la stratégie commerciale justifiant le déclenchement d'un PSE expose Frédéric Boloré, délégué syndical CFDT de Capgemini OS. Toutefois, l'ordonnance du juge des référés s'estime incompétente pour répondre à la demande d'annulation du plan social, qui devra être renvoyée vers un juge de fond ». Les syndicats appellent à la négociation d'un nouvel accord En attendant, et pour éviter de s'engager dans une longue procédure, les organisations syndicales de l'UES (Unité économique et sociale) de Capgemini appellent la direction à négocier un nouvel accord de sortie de crise qui conviendra à tous. Parmi les points importants acquis suite à l'action en référé, dans l'hypothèse où la direction n'atteindrait pas les 150 volontaires espérés, la direction s'est engagée devant le juge à ne pas procéder ensuite à un plan de licenciements. Ainsi, toute personne qui ne souhaite pas réellement être volontaire au départ, qui n'a pas un projet solide ou qui se sent seulement contraint par sa hiérarchie à se porter candidat, peut être assurée qu'elle ne sera pas intégrée plus tard dans un plan de licenciements. (...)
(20/01/2009 12:27:59)Google condamné à indemniser deux tour operators victimes de ses Adwords
Google France vient d'être condamné par le tribunal de grande instance de Paris pour sa politique de liens sponsorisés. A l'origine de ce dossier, deux tours operators se sont plaints de ce qu'une requête sur leur nom affichait des liens publicitaires - ou Adwords dans la terminologie de Google - renvoyant vers des sites concurrents. Les agences de voyage - Terres d'aventure et Voyageurs du monde, qui appartiennent au même groupe - demandaient donc le versement de dommages et intérêts à titre compensatoire. La cour a entendu les doléances des plaignants et a considéré que les agissements de Google constituaient un détournement de clientèle. Le moteur de recherche a, estime le TGI, manqué à ses obligations en ne prenant pas les mesures pour proscrire cet état de fait. De plus, le tribunal considère que les liens sponsorisés ne sont pas suffisamment différenciés des résultats d'une requête pour que les internautes puissent réaliser qu'il s'agit de publicités. A la lumière de ces éléments, le TGI a condamné Google à verser 200 000 € à Voyageurs du monde et 150 000 € à Terres d'aventure, et à s'acquitter de 60 000 € de frais de justice. En cas de manquement, le moteur de recherche devra débourser 10 000 € d'astreinte par jour de retard. Ce n'est pas la première fois que la justice épingle la façon dont Google gère ses liens publicitaires. En décembre 2007, le même TGI de Paris le condamnait à indemniser le Syndicat de la literie ; en juin 2006, le pantagruélique moteur de recherche devait verser des dommages et intérêts à Vuitton ; la même année, les fabricants d'électroménager obtenaient gain de cause pour des faits similaires. (...)
(20/01/2009 09:27:39)La nouvelle direction de Satyam cherche son repreneur
Renforcé par des membres nommés par le gouvernement indien pour maintenir la société à flots, le nouveau conseil d'administration de Satyam Computer Services se rapproche de banques d'affaires pour trouver un repreneur, selon le quotidien indien The Economic Times. Il s'active aussi beaucoup pour rassurer les clients étrangers de la quatrième SSII indienne spécialisée dans l'externalisation. Des sociétés comme General Electric, American Express ou Citigroup méritent un peu d'égard alors que d'autres comme l'assureur State Farm Insurance dénoncent leur contrat. Parallèlement, l'association indienne professionnelle Nasscom a enjoint ses membres à ne pas profiter du scandale financier pour embaucher parmi les 53 000 employés de Satyam afin de permettre à la société d'honorer ses engagements. Suite au premier conseil d'administration tenu depuis la nomination des trois nouveaux membres, Satyam a publié un communiqué pour expliquer que ses clients sont globalement satisfaits de ses services, et pour assurer qu'elle fait son possible pour payer ses salaires et ses fournisseurs à temps. A noter que dans la mesure où l'ancien président du conseil d'administration et le directeur financier, désormais derrière les barreaux, n'ont toujours pas été remplacés, il a été convenu que la présidence du conseil serait assurée par un membre différent chaque semaine. (...)
(19/01/2009 17:28:02)IBM achète un webmail pour compléter sa plateforme collaborative en ligne
IBM a annoncé son intention d'acquérir les actifs d'Outblaze, un fournisseur de service de courriels en ligne. Ce webmail sera intégré à l'offre Bluehouse, une plateforme en cours de constitution, proposant des services de collaboration et de réseau social aux entreprises. Entreprise hongkongaise non cotée, Outblaze dit servir 76 millions d'utilisateurs. Pour James Governor, analyste de Redmonk, ce rachat va combler un trou dans l'offre d'IBM, qui ne possédait pas, jusqu'à présent, d'offre de webmail. IBM explique de son côté qu'il pourra ainsi répondre aux besoins de messagerie électronique des entreprises, que ce soit sur site ou en ligne, pour les grandes entreprises comme pour les plus petites. Big Blue donnera davantage de détails sur la stratégie d'intégration entre Outblaze et Bluehouse lors de la conférence Lotusphere, qui démarre tout juste à Orlando. (...)
(19/01/2009 17:02:13)Bull distribuera les logiciels de gestion énergétique des datacenters de Cassatt
Bull vient de passer un accord européen de coopération commerciale et technologique avec l'éditeur californien Cassatt. Ce dernier possède à son catalogue une suite de logiciels d'amélioration de l'efficacité énergétique des data centers. Le Français distribuera la suite logicielle de Cassatt en particulier sur ses serveurs Novascale et Escala. Cet accord s'inscrit dans la droite ligne de la stratégie menée depuis plusieurs mois par Bull, avec son Bio Datacenter en particulier, pour aider ses clients à faire de leurs datacenters des infrastructures moins consommatrices d'énergie tout en leur gardant leur efficacité. La suite Active Response de Cassatt, objet de ce partenariat, se décline en trois versions. L'édition standard éteint les serveurs inutilisés, physiques ou virtuels, et les remet en route en fonction de divers paramètres prédéfinis : heure, événement extérieur, capacité de calcul requise, etc. Elle répertorie par ailleurs les interdépendances applicatives qui mettent en jeu plusieurs serveurs. C'est un des autres critères qui engendrera un arrêt ou un redémarrage de machines. Active Response Premium s'appuie sur le même type de politique d'administration d'infrastructure mais elle propose, en sus, de regrouper les ressources dans des pools de disponibilité. Les nouvelles applications mises en place dans le centre serveurs trouvent ainsi plus facilement le support dont elles ont besoin. Jusqu'à 50% d'économies d'énergie pour les environnements de développement Enfin, l'édition Datacenter du logiciel s'intéresse à des infrastructures plus complexes, comprenant plusieurs milliers de serveurs, réparties sur différents sites géographiques. Selon le Californien, de telles méthodes réduiraient d'au moins 30% la consommation électrique pour des applications d'entreprise, et de près de moitié pour des environnements de développement. Outre le support des logiciels Cassatt, Bull continuera de proposer dans le cadre de ce partenariat ses services d'audit de datacenters, de définition de stratégies d'optimisation et de mise en oeuvre de ses propres solutions de gestion de la consommation électrique. Avec cette offre commune, les deux sociétés ciblent principalement l'administration, les télécommunications, la finance, la distribution, l'énergie et l'industrie, autant de secteurs où l'on trouve de nombreux centres serveurs. (...)
(19/01/2009 17:01:12)Antitrust : Microsoft à nouveau dans le collimateur de Bruxelles, cette fois pour IE
C'est une communication des griefs qu'a envoyée, le 15 janvier, la Commission européenne à Microsoft. Le document, premier maillon des enquêtes antitrust conduites par Bruxelles, reproche à l'éditeur l'inclusion du navigateur Internet Explorer dans Windows. Ce dossier tire son origine dans une plainte déposée il y a un an par Opera Software, l'éditeur d'un navigateur concurrent d'IE. De fait, l'exécutif européen reprend les arguments avancés par Opera, qui regrettait qu'un « monopole effectue les choix à la place des consommateurs ». La Commission va même plus loin, en indiquant qu'elle « apporte la preuve » que la vente liée d'IE et de Windows nuit à la concurrence. Bruxelles fonde son argumentaire sur trois points. En premier lieu, l'inclusion d'IE dans Windows, en ce qu'elle aboutit sur la présence du navigateur sur 90% des PC commercialisés dans le monde, « confère à IE un avantage artificiel en matière de distribution, avantage que les autres navigateurs Web sont incapables d'offrir ». Ensuite, la Commission européenne estime que la concurrence faussée fait naître un « préjudice au rythme de l'innovation et à la qualité des produits que les consommateurs obtiennent en fin de compte ». Cet argument pourra être contesté par Microsoft, qui n'aura qu'à évoquer la richesse des développements issus de Mozilla - avec Firefox 3 - ou de Google - avec Chrome - pour illustrer l'existence d'une réelle innovation dans ce secteur. Enfin, Bruxelles déplore que « l'omniprésence d'IE incite artificiellement les fournisseurs de contenu et les développeurs à concevoir des sites ou des logiciels essentiellement pour Internet Explorer ». Microsoft a huit semaines pour répondre Autant d'éléments susceptibles d'inquiéter Microsoft et de réjouir Opera. Jon von Tetzchner, le PDG d'Opera Software, se félicite de l'intérêt porté par Bruxelles à cette affaire. « Il est clair qu'ils prennent cela très au sérieux », commente-t-il. Mais l'homme reste prudent, notamment en ce qui concerne les conclusions auxquelles pourra aboutir Bruxelles. Ainsi, Jon von Tetzchner ne souhaite ainsi pas que la Commission impose à Microsoft de commercialiser une version de Windows amputée d'IE. « Le seul moyen d'offrir aux consommateurs un réel choix, est d'extirper IE de Windows et de le remplacer par un navigateur concurrent ou de proposer une liste de navigateurs alternatifs. » Microsoft dispose de huit semaines pour apporter ses réponses aux questions soulevées par la Commission. Au-delà de ce délai, l'éditeur pourra être auditionné. Bruxelles, de son côté, évoque la possibilité d'infliger une amende à l'éditeur, de l'obliger « à mettre fin à l'abus » et lui imposer une « mesure corrective (...) qui permettra d'assurer une concurrence par les mérites ». En mars 2004, l'exécutif européen avait condamné Microsoft pour son abus de position dominante sur le marché des systèmes d'exploitation du fait d'imposer la présence de Media Player dans Windows. Le géant de Redmond avait écopé d'une amende de 497 M€, confirmée en appel en 2007, à laquelle s'est greffée une astreinte de 899 M€, prononcée en février 2008 pour le non respect des obligations prononcées quatre ans plus tôt. (...)
(19/01/2009 15:51:19)Ubifrance et la DGCIS poussent les PME des pôles de compétitivité à l'international
Avec l'objectif de promouvoir les pôles de compétitivité à l'international, Ubifrance, l'agence française pour le développement international des entreprises, a signé la semaine dernière une convention de partenariat avec la DGCIS, direction générale de la compétitivité, de l'industrie et des services (*). C'est le pôle System@tic Paris-Région, pôle à vocation mondiale, qui a accueilli les protagonistes de cette signature, Christophe Lecourtier, DG d'Ubifrance, et Luc Rousseau, directeur de la DGCIS, en présence d'Anne-Marie Idrac, secrétaire d'Etat chargée du commerce extérieur. Ce pôle francilien fédère quelque 360 acteurs industriels (100 établissements de grandes entreprises, mais également 170 PME, 80 laboratoires de recherche et 15 collectivités territoriales) dans des domaines développant des systèmes où les logiciels sont prépondérants. La collaboration entre les deux entités publiques vise à développer les partenariats industriels et technologiques entre les PME membres des pôles et des entreprises étrangères. Concrètement, un financement complémentaire doit être fourni par la DGCIS à Ubifrance pour soutenir ses opérations sur des secteurs prioritaires. Il est prévu de mener des actions collectives internationales portées par les pôles des secteurs des TIC, des biotechnologies, des technologies de l'environnement et des énergies renouvelables, ainsi que du transport. (*) Depuis janvier 2009, la DGCIS regroupe la DGE (Direction générale des entreprises), la DCASPL (Direction du commerce, de l'artisanat, des services et des professions libérales) et la DT (Direction du tourisme). (...)
(19/01/2009 14:30:59)AMD annonce de nouvelles suppressions de postes et baisse le salaire de ses managers
AMD ne finit plus de se restructurer pour tenter de résister à la crise. Après avoir supprimé 1 600 postes en 2008, le fabricant de microprocesseurs a indiqué à la Securities and Exchange Commission (SEC), vendredi dernier, qu'il envisageait de réduire de nouveau sa masse salariale de 9%, soit 1 100 réductions supplémentaires dans le monde. Les premiers départs interviendront dès le mois prochain, et concerneront quelque 9 000 employés, à tous les niveaux et dans tous les secteurs d'activités. Seuls les 3 000 salariés de The Foundry Company , co-entreprise associant AMD à des fonds d'investissement, ne seront pas concernés par cette réorganisation. La firme de Sunnyvale a également prévu d'autres mesures qui devraient l'aider à dégager des économies supplémentaires. Le groupe a en effet décidé de baisser temporairement les salaires de ses cadres et managers. Ainsi, Dirk Meyer, directeur général, et Hector Ruiz, président du conseil de surveillance, verront leurs salaires réduits de quelque 20%. Les cadres devraient quant à eux subir une baisse de leur rémunération de l'ordre de 5% à 10%. Au début du mois, AMD avait annoncé qu'une centaine de postes allaient s'ajouter aux 500 coupes déjà annoncées en décembre 2008. Egalement frappé par la crise, le principal concurrent d'AMD, Intel, faisait état, vendredi dernier, d' un chiffre d'affaires en baisse de 23% et d'un bénéfice net en chute de 90% pour le quatrième trimestre de son exercice fiscal 2008. (...)
(19/01/2009 12:29:30)Les patrons de Yahoo et Microsoft relancent les rumeurs de rapprochement
Quelques jours seulement après la nomination de sa nouvelle PDG, Yahoo reprend contact avec Microsoft. Le New York Times indique ainsi, dans son édition datée du 16 janvier, que Steve Ballmer et Roy Bostock, les présidents des deux géants de l'IT, se sont rencontrés informellement la semaine dernière. Mercredi, Carol Bartz, qui vient de succéder à Jerry Yang au poste de PDG de Yahoo, expliquait à ses salariés qu'elle aussi avait pris contact avec le même Steve Ballmer, par téléphone cette fois. Ces deux entretiens en quelques jours peuvent simplement illustrer la volonté des deux groupes de poser les bases d'une relation cordiale. Mais ils sont également susceptibles de poser les jalons d'un rapprochement, que Jerry Yang s'est toujours acharné à refuser mordicus. Même si Carol Bartz estimait, mercredi, qu'un accord publicitaire entre Yahoo et Microsoft n'était pas une bonne idée, elle précisait néanmoins qu'elle allait se pencher davantage sur la question. De son côté, Steve Ballmer répète inlassablement son désir d'une alliance entre les deux challengers de Google sur le terrain de la recherche en ligne. En décembre, il précisait même que « le plus tôt serait le mieux » . Le feuilleton Yahoo/Microsoft a rythmé l'année 2008. Débuté en février, avec l'offre de 44,6 Md$ formulée par le géant de Redmond, il a connu son lot de rebondissements, entre les faux retraits de Microsoft et les vaines tentatives de renversement du conseil d'administration de Yahoo. (...)
(19/01/2009 12:28:09)L'ONU s'intéresse à l'ERP de SAP dans le cadre d'un contrat de 300 M$
Les Nations Unies ont engagé des négociations avec l'éditeur allemand SAP en vue d'installer son ERP (progiciel de gestion intégré, enterprise resource planning), a indiqué vendredi dernier un porte-parole de l'organisation internationale, en précisant toutefois qu'aucun contrat n'avait encore été finalisé. De son côté, le quotidien économique allemand Handesblatt a évalué mercredi dernier le montant de ce possible contrat à 300 M$. Si ces approches se concrétisent, ce ne sera pas la première fois que SAP équipe l'ONU. Fin 2007, l'éditeur avait déjà annoncé la mise en place d'applications de sa ligne SAP for Public Sector par les Nations Unies et d'autres organisations internationales (l'Unesco, le programme alimentaire mondial, l'OCDE...), dans le cadre d'un contrat de 151 M$. (...)
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |