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(21/01/2009 15:41:07)
L'Efrei forme une soixantaine de chômeurs aux métiers de la BI
Période de crise ou pas, les entreprises sont toujours demandeuses d'outils qui les aideront à mieux analyser leurs activités. Mais les spécialistes de la BI (Business Intelligence- informatique décisionnelle) sont trop peu nombreux pour répondre à l'augmentation de la demande. Pour inverser la tendance, l'Efrei (Ecole française d'électronique et d'informatique) a décidé d'assurer la formation d'une soixantaine de demandeurs d'emploi à ces métiers avec le concours de Pôle emploi (qui réunit désormais Assedic et ANPE) et de l'éditeur d'outils analytiques SAS. Le programme est ouvert à tout demandeur d'emploi inscrit, ayant droit à l'Are (Aide de Retour à l'Emploi) et possédant. une expertise métier et/ou informatique. Les candidats - de niveaux Bac+2 (BTS DUT - DEUG), Bac+3 et 4 (Licence - Maîtrise) ou Bac+5 (DESS - DEA - Grande école - pourront postuler en envoyant lettre de motivation et CV par courriel à l'adresse topp@efrei.fr. Entièrement prises en charge par les ex Assedic, les sessions démarreront à partir du mois prochain à raison de 430 heures sur trois mois. A la clé, une place en SSII Les participants pourront intégrer une équipe projet d'une des SSII partenaires dès la fin du programme : Business & Decision, Umanis, Sopra group, Lincoln, Odesys, Groupe HLi, Acane Consulting ou Micropole Univers. Les salaires bruts iront de 30 à 40K€/an, suivant l'expérience et la formation initiale. (...)
(21/01/2009 08:24:20)Mainframes : T3 Technologies accuse IBM d'abus de position dominante
IBM risque d'être poursuivi par la Commission européenne pour abus de position dominante à la demande de la société américaine T3 Technologies. La plainte porte sur le comportement d'IBM sur le marché des mainframes. La petite société de Floride accuse Big Blue de refuser de vendre son système d'exploitation à des utilisateurs pour le faire tourner sur les machines compatibles de T3 Technologies et d'empêcher l'accès à des technologies clés. Les systèmes de T3 Technologies sont conçus à partir d'éléments standards et émulent les API d'IBM grâce à la technologie de PSI (Platform Solutions Inc.). Mais IBM, après s'être battu en justice avec PSI, a décidé d'acheter la société en juillet dernier. A la suite de ce rachat, T3 Technologies se retrouve bien seul. Non seulement il poursuit l'action initiée contre IBM devant la justice américaine sans PSI, mais il est obligé de réclamer au géant américain l'utilisation de la technologie de PSI pour ses systèmes. Depuis quelques temps, les grands systèmes IBM ont renoué avec des croissances annuelles à deux chiffres. Si ses machines ne génèrent que moins de 30% du CA du constructeur, elles dégagent près de 40% de ses résultats. Avant que les agissements d'IBM n'amputent son activité, PSI revendiquait 10 à 20 M$ de CA. (...)
(20/01/2009 18:10:20)Yahoo supprime 20% de ses effectifs en France, et coupe dans sa R & D
Dans l'informatique, comme ailleurs, pas un seul jour ne passe sans l'annonce d'un nouveau plan de restructuration. Dernier contributeur à la longue liste des plans sociaux, le portail Yahoo, annonce à son tour la suppression de 20% de ses effectifs en France : seront concernés un peu plus d'une cinquantaine de salariés des sites de Paris et Grenoble (sur un effectif de 251 collaborateurs). Cette annonce est la conséquence directe d'un plan de restructuration annoncé en octobre dernier par le californien au niveau mondial. Reste que, sur l'ensemble des filiales concernées par des coupes, ce sont les activités de l'Hexagone qui seront les plus touchées : « Une réorganisation s'imposait dans les centres de R & D de Paris et de Grenoble, en raison de l'importante représentation des ingénieurs au sein des effectifs français », a précisé la communication de Yahoo France. Depuis des mois, Yahoo se débat dans la tourmente . La tentative de rapprochement avec AOL/Time Warner, et surtout l'échec de la tentative de rachat par Microsoft, ont émaillé une annus horribilis, qui devrait coûter cher aux employés de la firme. (...)
(20/01/2009 17:32:39)Intel baisse le prix de ses processeurs en réponse à la crise... et à AMD
Face à la crise économique dont découle un affaiblissement de la demande, Intel vient d'annoncer la baisse du prix de plusieurs de ses processeurs. Certains modèles seront désormais vendus presque deux fois moins cher que jusqu'alors. Ces chutes de prix ne sont pas réservées aux modèles d'entrée de gamme du fondeur, puisque les puissants Core 2 Quad sont concernés. Ainsi, le Q9650, cadencé à 3 GHz, voit son prix fondre de 40%, à 316 $ pour 1000 unités. Même tendance pour les Q9550, Q9440, Q8300 et Q8200, dont les prix de vente reculent de 16% à 20%. Aucune baisse de prix ne concerne malheureusement les Core i7, qui constituent le fleuron de la marque. Du côté des serveurs, Intel abaisse également le prix de ses Xeon : le X3370 pers 40%, à 316 $, le X3360 est désormais vendu 266 $, le X3350 coûte 266 $ et le X3330 224 $. Enfin, plusieurs processeurs plus anciens connaissent le même sort, à l'image des Pentium bi-coeurs E5300 et E2200 (-14%), et des Celeron mobile 585, 570, 560, 540 et 530, dont les prix reculent jusqu'à 48%. Ces initiatives s'inscrivent quelques jours seulement après qu'Intel a annoncé des résultats financiers catastrophiques. Au quatrième trimestre de l'exercice 2008, le chiffre d'affaires du fondeur s'écroule ainsi de 23%, et le bénéfice net s'effondre de 90%. Face à une demande en berne sur le marché des PC en raison du ralentissement économique, Intel préfère donc grignoter un peu plus sur ses marges et ses revenus en baissant le prix de ses processeurs, plutôt que de voir se constituer des montagnes de produits invendus. Ces baisses de prix constituent également une réponse à celles annoncées récemment par AMD sur ses Phenom II X4, des puces quadri-coeurs gravées en 45 nm et lancées il y a seulement quelques jours. Le Phenom II X4 940 est vendu 235 $ (-15%) et le X4 920 vaut 195 $ (-17%). (...)
(20/01/2009 16:36:31)Oracle-BEA : premier forum commun des utilisateurs de middleware
C'est ce qu'on appelle le changement dans la continuité : Oracle a réuni aujourd'hui à Paris les clients et partenaires français de son offre middleware, respectant ainsi la tradition des 'BEA Convergence Day' organisés par BEA tous les ans en janvier. Renommé Oracle Fusion Middleware Forum, l'événement intervient donc un an après le dernier séminaire de BEA, au lendemain duquel on apprenait le rachat de l'éditeur par Oracle, pour 8,5 Md$. Oracle ayant publié sa feuille de route concernant l'intégration des produits BEA dans son propre portefeuille de solutions middleware, il y avait peu à apprendre lors de la session générale du matin pour un utilisateur ayant suivi l'actualité - l'après-midi étant consacrée aux cas d'utilisation (avec la participation des gros intégrateurs habituels dans le domaine du middleware : Capgemini, Atos Origin, Logica, Metaware et Sopra). Toutefois, la crise économique est passée par là, et avec elle des interrogations sur la pertinence de projets stratégiques à long terme, comme les projets liés aux architectures orientées services (SOA). Dans ce contexte, le discours d'Oracle était plutôt attendu. Le middleware ? Un système de circulation de l'information C'est à Andrew Sutherland, vice-président senior Oracle EMEA pour l'offre Fusion Middleware, qu'est échue la lourde tâche d'expliquer le rôle d'un middleware, et de promouvoir la stratégie et quelques-uns des très nombreux produits de l'éditeur. Andrew Sutherland a ainsi eu recours à une métaphore biologique pour décrire le middleware - que les puristes nomment « intergiciel » - qu'il considère comme un système de circulation de l'information. Un élément vital, donc, dont l'absence ou le mauvais fonctionnement peuvent handicaper gravement le corps entier, c'est-à-dire l'entreprise. Pour illustrer le rôle des produits, Andrew Sutherland a proposé de regarder en vidéo le témoignage d'un client d'Oracle, Marvel Entertainment, sous une forme très originale : au lieu du sempiternel témoignage face caméra, Marvel a réalisé un petit dessin animé montrant l'usage de différentes technologies middleware d'Oracle pour gérer les actifs de l'entreprise (les personnages comme Spiderman, Iron Man, etc.), prédire les ventes, détecter des atteintes à la sécurité... Selon Andrew Sutherland, cela illustre à la fois les capacités de gestion de contenu, de gestion des identités, de SOA et d'automatisation des processus métier, de décisionnel, et aussi d'entreprise 2.0 (pour les aspects collaboratifs). Dans un entretien avec quelques journalistes à la suite de sa présentation, Andrew Sutherland a expliqué que pour lui, le middleware recouvrait en fait des services qui ne lui sont pas forcément considérés comme rattachés par d'autres éditeurs, comme la gestion de contenu ou le décisionnel. Mais pour lui, cela fait partie de la circulation de l'information et des services prêts à être consommés. « SOA est un adolescent, pourquoi le tuer ? » [[page]] Fervent défenseur de l'orientation services, le vice-président senior d'Oracle est évidemment revenu sur le billet d'Anne Thomas Manes, du Burton Group, proclamant « SOA is Dead; Long Live Services » (SOA est mort, vive les services). « C'est un très bon titre, mais il faut analyser ce qu'il y a derrière. Déjà, qu'entend-on par SOA ? Le A signifie architecture, et c'est une bonne chose que de penser avec le futur en tête. Donc le A n'est pas mort. Est-ce l'orientation services ? C'est la façon dont les entreprises font des affaires aujourd'hui, elles produisent et consomment des services ; c'est un très bon système. Non, je crois que c'est vraiment dommage de proclamer la mort des SOA alors que cela commence justement à intéresser une large audience. Et même si c'est juste le terme qui meurt, cela veut dire qu'il faudra trouver un autre langage commun entre le métier et l'IT. SOA est un adolescent, pourquoi le tuer ? » Des échecs, d'accord, mais bien davantage de succès dans les SOA Même s'il reconnaît que certains gros projets associés aux SOA peuvent être considérés comme des échecs, Andrew Sutherland estime que « les SOA en tant que concept sont un succès ». Se contenter de bâtir des services et encore des services, dit Andrew Sutherland, conduit forcément à l'échec. En revanche, « mettre en place un modèle de production et de consommation de services est la technologie la plus prometteuse ». En outre, indique-t-il, les SOA servent de fondation aux projets middlewares de type gestion des processus métier ou gestion des événements complexes. Mais si le middleware en général et les SOA en particulier sont indispensables au bon fonctionnement d'une entreprise, la réduction des budgets des DSI risque de les affecter en premier, puisque par définition il ne s'agit pas de projets visibles aux yeux des directions métier. Pour Andrew Sutherland, il s'agit d'un faux problème : « Les DSI peuvent toujours trouver de l'argent pour des projets générateurs d'économies. » Ainsi, la gestion des identités serait « un vrai moyen de faire des économies » puisque cela simplifie grandement la tâche des administrateurs, de même que les technologies de collaboration et de gestion de contenu, qui aident les gens à devenir plus efficaces. Et cela est valable aussi pour les SOA, le tout étant de « réaliser des petits projets, avec un retour sur investissement se comptant en mois, mais en gardant à l'esprit un objectif stratégique à plus long terme ». Rien de nouveau, donc, puisque c'était déjà ce que préconisait l'analyste Christophe Toulemonde lors du BEA Convergence Day de 2007. (...)
(20/01/2009 16:04:45)Les SSII de petite taille plutôt sereines face à la crise
En menant cette enquête de conjoncture fin 2008, le syndicat professionnel 3SCI (Syndicat des sociétés de services et de conseil en informatique) s'attendait à devoir publier des résultats alarmistes. « La situation des petits prestataires IT est loin d'être catastrophique, explique Olivier Bouderand, secrétaire général du 3SCI. La quasi-totalité des sociétés interrogées compte moins de 20 salariés et gèrent des projets informatiques de taille petite ou moyenne, qui semblent être les moins impactés par les coupes budgétaires ». S'il n'est pas question de « catastrophe », il n'est pas pour autant question de « développement ». En termes de chiffre d'affaires, 67% des répondants tablent sur une stagnation du chiffre d'affaires. Quant à ceux qui prévoient une baisse de leur carnet de commandes - ils représentent tout de même plus du quart du panel - ils expliquent d'abord ce recul par une diminution d'es achats de matériels. Un mal en chiffre d'affaires pour un bien en marge ? « Cette baisse des achats de matériels n'est pas nécessairement une mauvaise nouvelle, dans la mesure où le report des renouvellements de parcs impliquent un surplus d'activité dans le domaine de la maintenance », note Olivier Bouderand. Le point le plus positif de cette enquête concerne l'accès au crédit pour ces sociétés de services. Là encore, il n'est pas à l'ordre du jour de parler d'une amélioration, mais le fait est que cette population n'est pas demandeuse de nouveaux crédits et que, par définition, elle risque plus rarement de se heurter à un refus. Dans le même ordre d'idées, on peut noter qu'aucun des répondants n'a vu son encours modifié et que, de toute façon, 94% des adhérents qui ont répondu n'ont pas demandé d'encours supplémentaires. Cela explique que les petites sociétés de services conservent une relation « apaisée » avec leur(s) banque(s) : 87% d'entre elles n'ont constaté aucune dégradation ou tension nouvelle. Les seuls changements notables sont notifiés par les rares prestataires qui souhaitent réaliser de nouveaux emprunts. Dans ce ces, les banques effectivement de nouveaux gages, comme la caution du dirigeant ou la preuve de nouveaux projets. Un manque de visibilité persistant [[page]] Les principales craintes des sociétés de services ne concernent pas leur activité à court terme mais leur manque de visibilité sur le moyen terme. Les chiffres d'affaires 2009 pourraient en effet être pénalisés par l'incapacité de certaines entreprises clientes à financer leurs petits projets. « A partir de mars, lorsque les bilans 2008 seront mieux connus, les banques seront peut-être amenées à faire de nouveaux arbitrages, ce qui peut conduire à l'annulation ou au report de certains projets », commente Olivier Bouderand. Environ 20% des adhérents du 3SCI ont répondu à l'enquête. Si les résultats permettent de considérer 2009 autrement que comme une « annus horribilis », le syndicat professionnel est le premier à reconnaître qu'il existe bien un risque de « distorsion » entre ces données plutôt rassurantes et la réalité : « il est possible que les sociétés qui ont répondu soient les mieux portantes, sachant que celles qui sont en difficulté avec leur banque n'ont pas envie de s'en vanter », conclut Olivier Bouderand. Dans tous les cas, le message est porteur d'au moins une bonne nouvelle : en 2009, être une « petite » SSII ne sera pas forcément un handicap... (...)
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