Flux RSS
Business
9034 documents trouvés, affichage des résultats 8741 à 8750.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(02/01/2006 16:54:02)
Les dépenses en ligne explosent pendant les fêtes
Le montant des dépenses en ligne aux Etats-Unis a atteint des records à l'occasion des fêtes de fin d'année, selon une étude Goldman, Sachs & Co., Nielsen/Netratings et Harris Interactive. Les magasins traditionnels continuent à voir leur attractivité s'éroder : alors qu'ils regroupaient 78 % des dépenses de fin d'année en 2002, les commerces de l'ancienne économie ont enregistré une perte de dix points en quatre ans. Parallèlement, la part des dépenses en ligne a progressé dans des proportions similaires : elles représentent 27 % des sommes dépensées cette année au cours de la période courant du 29 octobre au 23 décembre, contre 16 % pour la même époque de 2002. L'étude estime à 30,1 Md$ les dépenses réalisées sur Internet pour les fêtes, soit une croissance de 30 % sur un an. Grands gagnants cette année, les vêtements et accessoires se hissent au sommet des ventes avec 5,35 Md$ dépensés, soit 42 % de plus qu'à la même époque l'an dernier. Mais les catégories qui progressent le plus sont incontestablement celles ayant trait aux ordinateurs et autres appareils électroniques. Portées par des prix en baisse sur les portables, les imprimantes et les télévisions plasma, ainsi que par une forte demande pour les iPods et les appareils photo numériques, deux catégories ont le vent en poupe : les ordinateurs et périphériques ont engendré 4,82 Md$ de dépenses et l'électronique grand public 4,79 Md$. Soit des progressions respectives de 126 % et 109 %. La fin de l'année 2005 a par ailleurs permis d'assister au recul de la catégorie jouets et jeux vidéo. Avec 2,3 Md$, le segment ludique perd 9 % sur un an. Une baisse imputable, selon l'étude, à l'absence de produit fort capable de conduire les ventes. En outre, la frontière entre les catégories se fait plus ténue et nombre de nouveaux produits peuvent être classés à la fois comme des jouets, des périphériques informatiques ou des éléments électroniques. Dernier enseignement de l'étude, le taux de satisfaction des e-acheteurs progresse. Ainsi, les 8600 personnes interrogées indiquent à 64 % être satisfaites par leurs achats en ligne. Petit à petit la confiance s'installe : ce taux plafonnait à 61 % en 2004 et 59 % en 2002. Une progression, certes lente, laissant augurer des dépenses en ligne toujours plus importantes. (...)
(29/12/2005 16:42:48)Dégroupage total : baisse homéopathique des tarifs de FT
France Telecom vient de baisser le tarif de location des lignes en dégroupage total après l'adoption par l'Arcep d'une nouvelle méthode de calcul, basée sur le principe des coûts courants économiques. Cette diminution laissera certainement aux opérateurs alternatifs un goût amer : la location d'une ligne leur coûtera désormais 9,29 E par mois, soit seulement 21 centimes de moins qu'auparavant. Les opérateurs tiers estiment que le prix raisonnable devrait se situer entre 7 E et 7,5 E mensuels. Le 15 décembre 2005, une décision de l'Arcep modifiait la méthode de calcul du dégroupage total. L'autorité a choisi d'adopter les principe des coûts courants économiques, censé , d'un côté, inciter FT à "investir de manière efficace dans la boucle locale afin de la maintenir en bon état et d'assurer le renouvellement des actifs quand il est nécessaire", et de l'autre, "à inciter les opérateurs alternatifs à entreprendre des investissements efficaces", notamment dans le développement de réseaux de collecte. FT avait obtenu le droit d'augmenter le prix de l'abonnement mensuel payé par ses abonnés, en échange d'une diminution des tarifs du dégroupage total. Face aux faibles ristournes consenties par l'opérateur historique, les acteurs alternatifs avaient saisi le Conseil d'Etat au cours de l'été 2005. (...)
(29/12/2005 16:41:18)Consolidation : Iliad n'est pas à vendre
Iliad ne cherche pas de repreneur. Olivier Rosenfeld, à la tête de la maison-mère de Free, a voulu couper court aux rumeurs. Des bruits de plus en plus insistants circulaient dernièrement, qui faisaient d'Iliad l'objet d'un achat supplémentaire dans le monde des télécommunications, en perpétuelle consolidation. "Clairement, Iliad n'est pas à vendre, a tenu à préciser, dans un entretien à nos confrères du Journal des finances, le patron du premier opérateur haut débit alternatif. Iliad n'a aucun besoin de s'adosser à un partenaire pour poursuivre son développement. Au contraire, l'indépendance nous a donné une totale liberté". Exit donc les spéculations sur une éventuelle reprise par Bouygues ou Yahoo. Olivier Rosenfeld a par ailleurs réitéré l'intérêt que porte son groupe au WiMax, "un sujet très important pour Iliad". Il n'a cependant pas tenu à fournir davantage de détails sur la stratégie qu'il entend mettre en place. Rappelons qu'Iliad a racheté Altitude Telecom en septembre 2005, le seul opérateur français à détenir une licence nationale WiMax. (...)
(29/12/2005 16:40:35)Les fabricants japonais de puces s'associent
Trois des plus importants fabricants japonais de semi-conducteurs envisagent de s'allier pour produire leurs puces. Toshiba, Hitachi et Renesas prévoient de créer en commun un site de production de semi-conducteurs, qui pourrait être opérationnel dès 2007. Il offrirait aux trois groupe la possibilité de fabriquer des puces sur des lignes de production utilisant la technologie 65 nm. De plus en plus de spécialistes japonais se tournent vers le partenariat pour minimiser les besoins en temps et en argent induits par les nouvelles technologies de fabrication. Les trois sociétés pourraient être rejointes par Matsushita et NEC pour offrir un contre-poids important à leurs concurrents étrangers comme Intel, AMD ou Samsung. Toshiba n'en est pas à son coup d'essai : la société s'était alliée avec Sony en 2004 pour développer des techniques de production, et avait annoncée une alliance avec NEC en novembre 2005. (...)
(27/02/2006 18:01:46)Lenovo veut investir de nouveaux marchés en 2006
Un an après avoir acquis la division PC d'IBM, le chinois Lenovo se déclare prêt à passer à une phase offensive et à s'emparer de nouveaux marchés. "Si nous considérons la première phase de l'acquisition comme une phase défensive, estime Yang Yuanquing, le président de Lenovo, nous allons devenir dès maintenant de plus en plus agressifs pour étendre notre activité et le nombre de nos clients". Le 8 décembre 2004n le groupe annonçait son intention de racheter la division PC d'IBM pour 1,75 Md$. Une initiative qui marquait la première acquisition d'envergure par un constructeur chinois et plaçait Lenovo sous les feux des projecteurs, faisant de la société le symbole d'une Chine dynamique et confiante en sa forte croissance. Certains observateurs se montraient cependant frileux et prédisaient à cet achat un demi-succès, voire un échec total, citant la fusion HP/Compaq comme exemple des difficultés inhérentes aux acquisitions d'envergure. D'autres pointaient du doigt les différences culturelles et l'expérience limitée de Lenovo hors de la Chine. Les concurrents directs du groupe chinois ont profité de ces débats pour tenter de semer le trouble chez les consommateurs. Ainsi, Michael Dell, patron de la marque éponyme, donnait peu de chances de réussite au coup réalisé par le chinois : "quand avez-vous observé une fusion ou une acquisition réussie pour la dernière fois dans l'industrie IT ? Cela n'a jamais existé, ou alors il y a très, très longtemps", affirmait-il en décembre 2004. Un an plus tard, Lenovo a montré à ses détracteurs qu'ils se trompaient. Le groupe continue en effet à engranger les bénéfices et à se développer sur ses marchés clés. Durant la première phase de l'acquisition, le but de la société était essentiellement de conserver une activité stable et d'inciter les clients, les partenaires et les employés à maintenir la confiance qu'ils portaient en l'avenir du groupe. Une fois ce but atteint, Lenovo entend désormais concentrer ses efforts à étendre sa présence sur le marché mondial du PC, tout en poursuivant à accumuler les bénéfices. "Nous allons gagner de l'argent mais nous ne nous focalisons pas sur le profit. Notre but est avant tout la croissance", précise Yang Yuanqing. Selon lui, cette nouvelle phase devrait durer deux ans. "Après ça, ce sera peut-être le bon moment pour parler de suucès". Lenovo compte tirer une grande partie de sa croissance des marchés émergents, Chine et Inde en tête. Mais le repreneur des PC IBM veut également être présent dans les économies matures, comme les Etats-Unis et l'Europe occidentale, où il entend se concentrer sur les PME et le grand public. Dès le début 2006, Lenovo présentera sous sa marque des PC de bureau destinés aux PME américaines et européennes. Des modèles pour le grand public suivront au second semestre. Pour Marvin Lo, analyste chez BNP Paribas à Hong-Kong, pénétrer les marché américain des PME sera ardu et nécessitera de la part de Lenovo davantage de dépenses marketing. "Je sais que l'un de nos concurrents a dit n'avoir jamais vu d'acquisition couronnée de succès dans ce type d'industrie, conclut Yang Yuanqing. J'espère pouvoir lui montrer le premier achat réussi". (...)
(27/02/2006 18:02:07)Flash NAND : vers un partenariat Samsung-Sony
Le sud-Coréen Samsung, numéro un mondial des mémoires flash, serait sur le point de renforcer sa position en signant un accord de fourniture avec Sony. Si un tel contrat était conclu, Samsung livrerait une partie de sa production de mémoires flash NAND au géant japonais, bien décidé à damer le point à Apple, son principal rival, qui le devance sur le marché des baladeurs numériques, grands consommateurs de mémoires flash. Samsung a confirmé réfléchir à un tel partenariat : "Samsung Electronics envisage de signer des contrats de fourniture de mémoires flash NAND avec de grandes entreprises, dont Sony, mais rien de précis n'a encore été arrêté", a ainsi indiqué le groupe dans un communiqué. Cette annonce intervient quelques jours seulement après la création d'une co-entreprise entre les Américains Intel et Micron Technology pour la fabrication de flash NAND. Au troisième trimestre 2005, Samsung contrôlait 50,2 % du marché mondial des mémoires flash NAND. (...)
(29/12/2005 16:38:44)Nortel expérimente le HSDPA en France
L'équipementier Nortel vient de présenter la première démonstration de la future norme HSDPA (High-Speed Downlink Packet Access), permettant aux combinés portables d'atteindre des débits supérieurs à 3 Mbit/s en voie descendante. Conduite en France, cette performance vient compléter une longue série d'annonces faites par Nortel concernant les derniers développements des réseaux mobiles. La technologie HSDPA est la voix choisie par de nombreux opérateurs pour améliorer le débit de leur réseau 3G. Pour sa démonstration, Nortel a équipé un ordinateur portable d'une carte HSDPA construite autour d'une puce mise au point par Qualcomm. Le PC a été placé dans un véhicule en mouvement et a pu accéder à des services comme le téléchargement de mp3 ou la VoD en atteignant un débit de 3,6 Mbit/s. Selon Nortel, c'est la première fois qu'une telle vitesse est atteinte sur un terminal commercialisé, via la 3G+. En attendant l'avènement de cette technologie le groupe poursuit ses tests en collaboration avec plusieurs opérateurs dont O2, Orange et SK Telecom. (...)
(29/12/2005 16:44:03)2006 : l'année de l'open source ?
L'agence IDG News Service s'est penchée sur l'avenir proche de l'open source. Que réserve l'année 2006 pour le logiciel libre ? Selon nos éminents confrères, l'association entre l'open source et l'activité commerciale va s'accélérer l'an prochain. Partant, l'approche marketing du libre s'accentuera. De nombreux éditeurs ouvrant leur code dans l'espoir d'attirer l'attention d'éventuels acheteurs, il devrait être de plus en plus difficile de repérer un véritable projet open source parmi les concurrents. Les aficionados du libre, ceux qui y voient un véritable mouvement social plutôt qu'une stratégie commerciale, se tourneront vers la troisième version de la licence GPL, dont le développement se poursuivra en 2006. Toutefois, précise IDGns, la GPL3 se concentrera sur les brevets et les licences internationales et, par conséquent, aura moins d'effets négatifs sur les entreprises que ce que certaines experts ont affirmé. Les débats sur les clauses les plus litigieuses de la nouvelle licence pourraient conduire à un schisme entre certaines factions de la communauté open source. Nos confrères entrevoient également les prémices d'efforts concertés visant à élargir le marché Linux. Les grands noms de l'industrie IT comme HP et IBM ont depuis longtemps lancé des passerelles pour élaborer des partenariats avec les deux principaux vendeurs Linux, Novell et Red Hat, laissant par là même les acteurs alternatifs, Linspire, Mandriva, Ubuntu ou autre Xandros, sur la touche. Il ne faut cependant pas s'attendre à un renoncement des seconds couteaux : les journalistes d'IDG News Service prédisent en effet que 2006 sera marquée par les premiers grondements visant à affaiblir le duopole Novell/Red Hat. Quel autre point commun partagent Linspire, Ubuntu Mandriva et Xandros ? Ce sont tous des éditeurs Linux qui visent à faire basculer les utilisateurs Windows vers leurs distributions. Doit-on alors s'attendre à une année 2006 placée sous le signe du bureau Linux ? "On peut largement en douter", répondent nos confrères. Tout au plus, nous assisterons à une migration croissante d'institutions, particulièrement dans le secteur public, vers des applications open source, OpenOffice en tête. Le véritable essor de l'open source en 2006 aura lieu dans les systèmes embarqués pour le marché grand public : téléphones mobiles, PDA, et autres caméscopes ou lecteurs multimédia. Certains constructeurs, comme Nokia, Palm, Panasonic ou Sharp, ont déjà commencé à intégrer le libre dans leurs produits. De nombreuses autres marques réaliseront en 2006 que Linux peut être un excellent moyen pour réduire leurs coûts. (...)
(27/02/2006 18:02:39)2006 : l'industrie IT européenne perd du terrain
Les entreprises IT européennes, jugées peu flexibles et pratiquant des tarifs élevés en comparaison de leurs homologues américaines et asiatiques, devraient avoir du mal à percer sur les dynamiques marchés d'Asie selon une étude menée auprès de DSI par KMPG. Plus de 120 DSI et autres responsables IT issus d'une vingtaine de pays ont été interrogés dans le cadre de l'étude baptisée "A wake up call for Europe" (un réveil pour l'Europe). Une série de questions leur a été soumise, portant toutes sur la l'opportunité d'un partenariat avec une société européenne. Si ces dernières sont favorisées sur leur sol natal pour l'attention qu'elles portent à la réalisation de leurs produits, "on commence à observer des groupes asiatiques effectuer des percées significatives sur les marchés européens", note Crispin O'Brien, président de KPMG Royaume-Uni. Les comparaisons de prix et la flexibilité renforcent en outre les positions des fournisseurs asiatiques. Et Crispin O'Brien de citer le chinois Huawei Technologies, choisi par BT pour son réseau triple play 21th Century Network, un contrat de 10 md£. Si les entreprises européennes sont jugées à la traîne pour les services IT, le matériel, les applications grand public et la microélectronique, elles jouissent en revanche d'une bonne image pour la production d'appareils mobiles et les applications professionnelles. Pour 84 % des responsables interrogés, les Etats-Unis recèleront la plupart des fournisseurs de matériel IT au cours des deux prochaines années. Suivent l'Inde, citée par 72 % des répondants, et la Chine, 64 %. Le premier pays européen, l'Allemagne, n'arrive qu'en quatrième position avec 40 %. "Les Etats-Unis continuent à être perçus comme le principal acteur de la technologie", indique Crispin O'Brien. Pour renforcer leur position, les groupes européens ont intérêt à cherche un partenaire asiatique, explique le président de KPMG. Ils doivent également aborder avec prudence la délocalisation de leur production dans des pays comme la Chine où la fourniture risque d'adopter des délais très longs. (...)
(27/12/2005 17:12:14)Bilan 2005 : Oracle, King Kong du royaume des applications
Le drapeau blanc hissé cette année par Siebel face à Oracle, alors que son concurrent PeopleSoft s'était battu jusqu'à la dernière limite pour résister à l'offensive de la firme de Larry Elisson, a illustré de façon poignante les chamboulements vécus par les éditeurs de progiciels au cours des deux dernières années. Les années fastes des méga-contrats et de la croissance rapide des ventes sont désormais loin, et les éditeurs doivent se contenter d'achats incrémentaux et des revenus de maintenances, à l'heure ou les DSI mettent l'accent sur des retours sur investissement rapides. Dans cet environnement Siebel a préféré rendre les armes et se vendre au nouveau colosse des progiciels, Oracle. Autant la bataille avec Peoplesoft avait été emplie d'acrimonie, autant la fusion annoncée entre Siebel et Oracle au début du mois de septembre s'est faite en douceur. Oracle doit désormais relever un double défi, celui de l'intégration de la douzaine de sociétés rachetées au cours des deux dernières années mais aussi un défi plus grand celui de < a href=" https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-oracle-veut-rassurer-les-utilisateurs-de-ses-outils-recemment-acquis-15831.html" target="_blank">rassurer ses clients. Le géant a annoncé le lancement du projet Fusion qui vise à produire un jeu complet de nouvelles applications à partir des différents composants hérités d'Oracle Applications et des applications acquises par l'éditeur. La bataille n'est pas gagnée d'avance si l'on s'en tient aux performances passées d'un autre champion des acquisitions, CA, dont la vague d'acquisition tout au long des années 90 n'a finalement laissé qu'un large champ de ruines. A n'en pas douter c'est ce sur quoi mise le principal concurrent d'Oracle, SAP. Mais il n'est pas dit que le géant californien ne saura pas tirer parti des leçons du passé... (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |