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(13/04/2007 17:36:10)

Services Web : l'Oasis approuve la version 2 de BPEL

BPEL 2.0 est officiellement un standard. L'Oasis a approuvé hier la version deux de ce Business Process Execution Language, langage d'exécution des processus métier, qui décrit la façon dont les processus métiers peuvent être transcrits sous forme de services Web et interagir. Surtout, BPEL décrit la façon dont les exceptions - lorsque tout ne se déroule pas correctement dans l'enchaînement des processus - doivent être gérées. La norme a été initiée en 2002 par Microsoft et IBM. Aujourd'hui, ce sont 37 éditeurs, dont Adobe, Oracle et Sun, qui soutiennent les spécifications. Elles étaient pour l'heure en version 1.1, mais la plupart des éditeurs proposaient déjà des produits supportant la version 2 de la norme dans leurs offres BPM (Business process management) ou SOA (Architectures orientées services). (...)

(13/04/2007 16:49:32)

Les Américains envient les stratégies Internet des présidentiables

Un panel d'analystes américains a déclaré avoir été impressionné par les stratégies Internet mises en place par les candidats à l'élection présidentielle française, nous apprend Reuters. Et incite le prochain président américain à s'en inspirer. Les modèles Internet de Nicolas Sarkozy - qui présente son programme par le biais de vidéos - et de Ségolène Royal - qui consulte ses électeurs depuis son site - ont retenu leur attention. "Le site de Sarkozy est plus abouti que la plupart des sites politiques américains, particulièrement dans l'utilisation de la vidéo", indique Reuters, citant Mike Murphy, un stratège pour le parti républicain. "Cela était intéressant et pourrait être mis en place aux Etats-Unis." David Mercer, qui participe à la campagne d'Hillary Clinton pour les élections de 2008, se dit, quant à lui, séduit par l'approche de Ségolène Royal." Ce qui m'a inspiré dans la campagne de Ségolène était son utilisation d'Internet en tant que réseau", en rappelant les principes de la "démocratie participative". "Il ont créé un Ségoland." (...)

(13/04/2007 16:46:45)

L'âge et le clonage : deux critères majeurs d'embauche

Dans un exercice louable d'autocritique et de transparence, les chasseurs de tête et autres consultants en recrutement reconnaissent l'impact qu'a le conformisme des employeurs sur leurs pratiques de détection et de sélection des candidats. Peu de sexisme, certes, parmi la soixantaine de cabinets spécialisés (représentant 1200 consultants) interrogés au troisième trimestre 2006 par Oasys Consultants. Pour 15% d'entre eux, le critère «homme ou femme» leur paraît important. En revanche, au delà des critères déterminants de l'expérience, de la personnalité et des prétentions salariales, l'âge est un facteur rédhibitoire sur lequel, estiment 60% d'entre eux, les employeurs se montrent des plus exigeants. «Un facteur aggravant dans le cas des informaticiens, dont on sait que l'espérance de vie professionnelle, sauf expertise particulière ou talent commercial reconnu, est relativement courte », remarque Bertrand Riedenger, consultant senior d'Oasys. De fait, pour l'embauche aux postes de cadres justifiant le passage par un cabinet ou une chasse de tête, soit un quart du marché du recrutement de cadres, seuls 31% des consultants disent présenter un candidat de plus de 45 ans dans plus de cinq missions sur dix. Et seuls 19% d'entre eux arrivent à placer un candidat senior (45 ans et plus) dans plus de cinq missions sur dix. « La question des seniors va être beaucoup plus compliquée à résoudre que les autres parce qu'elle est assumée par les entreprises », soulignait Sylvain Come, président du groupement Ethique et Recrutement, lors de la présentation, le 14 mars, des données de l'enquête Oasys. Peu de chance pour les outsiders Internet et bases de données aidant, la facilité accrue du « sourcing » (repérage de candidats potentiels) n'élimine pas, loin s'en faut, le penchant naturel des recruteurs - et des employeurs - à pratiquer le clonage. A savoir, la recherche de candidat au profil identique à celui qui occupait le poste jusque là. Ainsi, 40% des consultants-recruteurs reconnaissent recourir au clonage dans une mission sur deux. « Histoire de rassurer le client, avec un candidat a priori opérationnel immédiatement », commente l'analyse de Oasys. Et s'il arrive aux chasseurs de tête de présenter des profils plus exotiques (correspondant à moins de 80% des critères demandés), une fois sur quatre, la candidature d'un tel « outsider » est retenue. De plus, le passage par la case chômage est marqué comme un handicap d'autant plus flagrant qu'il a duré. Pour huit recruteurs sur dix, les chômeurs depuis plus d'un an font l'objet d'un préjugé défavorable. Un préjugé qui concerne également les sans emploi depuis moins d'un an, selon quatre consultants sur dix. Dans tous les cas, la justification d'un « trou » dans le parcours professionnel doit être convaincante et argumentée. Sourcing attentif et facilité par Internet Finalement, pour les chargés de recrutement qui estiment n'avoir que trop peu de marge de manoeuvre face aux exigences des employeurs donneurs d'ordre, la seule rupture possible dans l'exercice de leur métier est bel et bien technique, liée à internet. L'enquête semble, en effet, confirmer l'évolution des pratiques de «sourcing», en amont de l'approche directe et de la recherche sur annonces (un tiers du sourcing leur vient des candidatures spontanées), ainsi qu'au niveau du contrôle des références (pratiqué neuf fois sur dix). Tri automatique proposé par les sites, par les bases de CV et autres moteurs spécialisés, repérage des blogs, des écrits et autres contributions sur la toile ou dans des interventions publiques reprises sur le net... tout est bon pour mieux affiner sa sélection par le « tracing » des carrières. «A tel point qu'il est recommandé aux candidats de veiller à ce que la présentation de leur CV ne s'écarte pas de la réalité des faits, et de faire attention, s'ils prennent publiquement position sur un sujet donné, qu'ils ne puissent pas le regretter ultérieurement », constate Bertrand Riedenger. (...)

(13/04/2007 16:37:10)

XP prendra sa retraite chez les constructeurs en janvier 2008

Il faut laisser la place à Vista. Microsoft a confirmé hier jeudi 12 avril 2007 qu'il stoppera la commercialisation OEM de Windows XP le 31 janvier 2008, pour les constructeurs les plus importants (comme Dell, HP, ou Toshiba). Poussant ces derniers à basculer définitivement leurs machines vers Vista. Vista a été lancé en fanfare par Microsoft en janvier 2007, pour le grand public. L'éditeur a depuis vanté continuellement les mérites de son nouvel OS, en dépit de problèmes, encore non officiellement réglés, d'incompatibilités avec de nombreuses applications et de nombreux pilotes. Récemment, le DSI du ministère américain aux transports avait proscrit toute migration de XP vers Vista, prétextant notamment des soucis de compatibilités et de coûts de mise à jour. En décembre 2006, l'éditeur avait par ailleurs publié une liste de compatibilités pour Vista, les utilisateurs réclamant plus d'informations et de transparence. Dell, de son côté, réagit. Et publie sur son blog Direct2Dell un billet indiquant qu'il poursuivra la commercialisation de machines sous XP jusqu'à cet été, uniquement pour les petites entreprises. Un segment du marché qui "a besoin de plus de temps pour migrer vers un nouveau système d'exploitation". Pas de concession en revanche pour les PC grand public, dont la cible généralement plus encline à adopter rapidement les dernières technologies. Pas d'arrêt du support Si l'achat de PC sous XP ne sera plus possible à partir de janvier 2008, les actuels utilisateurs de l'OS conserveront toutefois le support du système. Selon la dernière feuille de route, un SP3 de XP devrait d'ailleurs voir le jour à partir de juin 2007. Un sortie qui fixe la date d'arrêt du support du SP2 à partir de juin 2009. Microsoft a stoppé le support du SP1 de XP le 10 octobre 2006. (...)

(13/04/2007 16:30:13)

Microsoft retarde les mises à jour de ses outils de virtualisation

Finalement, ni la version bêta de Viridian, ni le premier service pack pour Virtual Server 2005 ne seront disponibles à temps. La première est repoussée à la seconde moitié de 2007 (soit en juillet au plus tôt), et la deuxième au deuxième trimestre 2007 bien qu'il soit déjà bien entamé. Ces annonces faites par Mike Neil, responsable général de la stratégie de virtualisation de Microsoft, ne remettent toutefois pas en cause les dates finales des lancements de ces logiciels. La version commerciale de Viridian sera bien disponible dans les 180 jours suivant le lancement de Longhorn, lui aussi annoncé pour la seconde moitié de 2007 sans plus de précision. Et pour ceux qui ne peuvent attendre le service pack de Virtual Server 2005, Mike Neil leur conseille de télécharger une Release Candidate qui devra être disponible avant la fin du mois d'avril. Ce SP1 permettra de faire tourner trois nouveaux systèmes d'exploitation : Suse Linux Enterprise Server 10, Solaris 10 et la version CTP de « Longhorn Server ». Mais également de faire tourner des machines virtuelles 64 bits sur des serveurs 32 bits et de tirer profit des assistants matériels à la virtualisation tels que AMD-V et Intel VT. Pourquoi un tel retard ? Selon Mike Neil, la version actuelle de Viridian doit améliorer ses performances et sa capacité à monter en charge. Viridian devrait être capable de prendre en charge des processeurs 64 bits, ce qu'aucun de ses concurrents ne sait faire selon Mike Neil. Il devra également gérer des environnements beaucoup plus dynamiques avec notamment des branchements « à chaud » de processeurs, de mémoire ou de disques. (...)

(13/04/2007 16:24:16)

Sun rachète SavaJe

Sun Microsystems a annoncé son intention d'acquérir SavaJe Technologies, entreprise spécialisée dans les plateformes mobiles Java. Les deux sociétés seraient tombées d'accord sur les modalités de cette opération qui ne sont toutefois pas dévoilées. On sait simplement que le montant serait relativement faible, ce qui n'impose pas au constructeur d'obtenir l'aval préliminaire de ses actionnaires. On sait aussi que la vente devrait être finalisée avant la fin du 4e trimestre (qui a débuté le 2 avril) de l'année fiscale 2007 et que les équipes de SavaJe rejoindront Sun. L'annonce officielle de la transaction devrait avoir lieu à l'occasion de la JavaOne Conference qui se tiendra à San Francisco du 8 au 11 mai. Installée à Chelmsford, dans le Massachusetts, SavaJe est une spin off de Lucent, créée avec l'appui de capitaux risqueurs, parmi lesquels on trouve Ridgewood Capital, et le soutien d'opérateurs européens comme Vodafone, T-Mobile ou Orange. Elle dispose d'ailleurs d'un bureau européen à Cambridge en Grande-Bretagne. Le premier fabricant à avoir installé l'OS SavaJe sur un téléphone mobile est cependant le Coréen LG. La société a noué des partenariats stratégiques aussi bien avec Intel, qu'avec Texas Instruments ou ARM. Le rachat de SavaJe s'inscrit dans la logique puisque l'OS SavaJe repose sur le Java développé par Sun Microsystems. (...)

(13/04/2007 15:43:03)

Annuels Infosys : « rien ne vient contrarier la croissance », selon Ovum

Résultats exercice 2007 : Chiffre d'affaires : 3,1 Md$ (+44%) Bénéfice net : 850 M$ (+53%) D'une année à l'autre, l'ébouriffante santé des acteurs indiens de l'offshore ne se dément pas. En témoignent les résultats annuels publiés par Infosys, l'un des trois géants du secteur avec Tata Consultancy Services et Wipro. Sur l'exercice clos le 31 mars, Infosys a réalisé un chiffre d'affaires de 3,1 Md$, en progression spectaculaire de 44%. Même ordre de progression pour le bénéfice net : il bondit de 53%, à 850 M$. Des résultats d'autant plus spectaculaires qu'ils s'inscrivent dans un contexte de parité roupie/dollar défavorable pour la monnaie indienne, d'augmentation du coût du travail dans le sous-continent et d'un ralentissement de certains segments de l'IT aux Etats-Unis. Autant de facteurs qui ne contrarient en rien la vitalité des grands acteurs de l'externalisation. Wipro et Tata devraient, eux aussi, publier dans les prochains jours d'excellents chiffres. La comparaison avec les entreprises européennes oeuvrant dans le secteur des TIC est, bien évidemment, peu flatteuse pour le Vieux continent. « Si on ne regarde que la marge opérationnelle, commente Dominique Raviart, analyste chez Ovum, on atteint 8 ou 10% en Europe contre 27,6% pour Infosys. Soit environ trois fois plus. Même chose en ce qui concerne la croissance des revenus : 44%. Ca n'existe pas en France ». Et cette progression des revenus est encore spectaculaire du fait qu'elle ne résulte pas d'acquisitions mais presque exclusivement de croissance interne. Si le coeur de métier d'Infosys réside dans les services applicatifs, le groupe entend diversifier ses activités. Cependant, « sa velléité de grandir dans d'autres secteurs n'a pas entravé la croissance dans son métier d'origine », explique Dominique Raviart. De même, « on pensait que les marchés américains ou britanniques tendaient à être saturés, or on constate qu'Infosys continue d'y croître ». A croire qu'aucune difficulté ne pourrait entraver la marche en avant du groupe. Le turnover élevé ne devrait pas être un problème Une ombre pourrait se profiler : celle des difficultés de recrutement. « Infosys compte 72 000 salariés, soit 20 000 de plus qu'il y a un an, observe Dominique Raviart. En une année, il sont passés de la taille d'Atos à celle de Capgemini ». Alors qu'on pourrait penser qu'avec un tel rythme de croissance, les SSII indiennes pourraient facilement s'approprier des groupes européens (on pense à Atos, dont les rumeurs de rachat enflent), les acquisitions ne semblent pas être une priorité pour l'instant : « les responsables des grands groupes indiens nous explique qu'avec 40% de croissance organique ils sont incapables de gérer des opérations de croissance externe importantes. Leur problématique, en permanence, est liée au recrutement ». De fait, le taux de turnover est d'environ 10 à 12% dans les secteurs d'activité d'Infosys. Et il atteint 40% pour les salariés des centres d'appels. Pour autant, l'analyste d'Ovum ne considère pas ces données comme un frein au rythme de croissance d'Infosys : « les gros acteurs déjà implantés ont la capacité de recruter. Le problème se pose essentiellement pour les groupes indiens de taille plus restreinte ou pour les étrangers récemment installés ». Pour Infosys comme pour ses principaux concurrents, la marge de progression reste donc intacte : « je ne vois rien qui, à court terme, pourrait contrarier la croissance d'Infosys », résume Dominique Riviart. Signe que le baromètre est au beau fixe du côté de Bangalore : Infosys prévoit de réaliser un chiffre d'affaires d'environ 4 Md$ cette année, soit une progression de 28 à 30%. (...)

(13/04/2007 12:33:43)

Un bain d'huile pour refroidir les processeurs

Pour refroidir les ordinateurs, il existe traditionnellement deux choix : soit placer un ventilateur près du processeur, soit utiliser un système de refroidissement à eau. La société anglaise Very-PC en propose désormais un troisième : mettre les processeurs dans un bain d'huile. Selon Peter Holton, directeur de la société : «il est possible de réduire la consommation électrique de moitié. Avec ce système, il n'est plus nécessaire de faire tourner des ventilateurs inutiles». Very-PC a déjà commencé ses tests en utilisant d'abord de l'huile de moteur. Celle-ci étant corrosive pour les composants, la société travaille actuellement sur un nouveau bain d'huile et pense commercialiser ses premiers produits d'ici à 2008. Toutefois, cette nouvelle méthode de refroidissement ne fait pas l'unanimité. Suresh Garimella de l'université américaine de Purdue, s'interroge : «Je ne sais pas pourquoi ils ont choisi de l'huile plutôt que des fluides diélectriques (comme le Fluorinet, utilisé dans ce but depuis les années 80, NDLR). L'idée revient au même, et les fluides sont propres, non-toxique et respectueux de la couche d'ozone.» Sur le même sujet : -Refroidissement liquide : IBM va licencier sa technologie -Egenera lance les serveurs avec refroidissement liquide intégré (...)

(13/04/2007 12:27:58)

Dans les PME, plus de syndicats, mais pas plus de syndiqués

Effet collatéral de la RTT et de sa mise en place, la présence syndicale dans les entreprises de plus de vingt salariés s'est intensifiée durant la dernière décennie. Toutes proportions gardées, puisque selon l'étude de la Dares (direction des études statistiques du ministère de l'emploi) publiée début avril, en l'espace de quinze ans, le taux des établissements ayant des délégués syndicaux est passé de 33% (en 1999) à 38% en 2004-2005. Au dessus de cinquante salariés, le taux est de 49%. Pour les entreprises multi-établissements, le taux d'implantation syndicale est de 74% ; de 30% pour celle qui n'ont qu'un seul site. Sans surprise, la présence de délégués syndicaux progresse surtout là où l'ancrage syndical est ancien : le secteur bancaire (63%), l'industrie (40%), l'éducation/santé/social (49%), devancent nettement le secteur des services aux entreprises (36%) dont relèvent les SSII. Pour autant, le taux de syndicalisation des salariés reste faible : 7% (pour les 3000 établissements ayant répondu à l'enquête). Et ce, alors qu'ils en reconnaissent l'utilité (quatre salariés sur dix pensent être en mesure de défendre directement leurs intérêts) et qu'ils disent avoir une opinion d'autant plus positive des organisations syndicales lorsqu'elles sont effectivement présentes sur leur lieu de travail. (...)

(13/04/2007 12:16:38)

Présidentielle : l'Afnet lance son pacte pour doper l'usage du numérique en France

L'Agence régionale de développement d'Ile de France et l'Association francophone des utilisateurs du Net viennent de lancer un appel aux candidats à la magistrature suprême visant à accroître la place accordée au numérique dans les échanges économiques et citoyens. Le Pacte numérique pour une France compétitive et solidaire propose une série de mesures pour permettre à l'Hexagone de « préserver et développer son niveau de vie et son influence en Europe et dans le monde, mieux innover et être plus compétitive pour créer des emplois, apporter de meilleurs services aux citoyens, réduire les inégalités ». Les prétendants à l'Elysée sont invités à signer le pacte, tout comme les électeurs qui expriment ainsi leur volonté de voir appliquées les mesures énoncées. Des mesures qui concernent non seulement l'action de l'Etat, mais aussi les entreprises et les citoyens. Parmi les propositions, citons la mise en place d'incitations juridiques et fiscales pour favoriser la création d'entreprises innovantes, le développement du numérique dans les échanges clients/fournisseurs (présenté comme un facteur clé de la compétitivité), la mise en oeuvre de mesures réglementaires permettant la signature de contrats en ligne ou l'adoption d'une fiscalité offrant à chacun (citoyens et PME) la possibilité de se doter des outils numériques minimaux. Selon les organismes à l'origine du pacte, il y a urgence : le retard d'investissement et d'usage des TIC coûterait ainsi « au moins 0,5% du PIB par an, qui se traduisent directement en écart de croissance et de création d'emplois ». Sur le même sujet : -Le Syntec Informatique propose un pacte au futur président de la République -Quinze mesures pour réduire la fracture numérique -Le Pacte PME revu par ses initiateurs, version campagne électorale -Le rapport Rocard recommande un accès ADSL à tarif social (...)

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