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(06/07/2006 18:07:57)

Recrutement : Crit reçoit les informaticiens à Lille

Le groupe de travail temporaire Crit (360 agences en France) a ouvert un département recrutement à Lille, conformément à ce que lui permet la loi de cohésion sociale de janvier 2005, qui a ouvert une brèche dans le monopole des cabinets spécialisés. Ayant de plus en plus de demandes d'informaticiens de la part de ses clients, il organise le 12 juillet (entre 9h et 12h) une matinée dédiée aux métiers de l'informatique afin de rencontrer des candidats et de leur présenter des postes. Comme il le signale, le marché étant plus tendu qu'auparavant, ce type d'actions s'avère nécessaire pour aller chercher les candidats qui sont moins nombreux à postuler spontanément. Crit a notamment une centaine de postes d'ingénieurs en informatique à pourvoir en CDI (dont 70% en région Nord) pour le compte de deux grandes SSII nationales implantées en région. Il cherche en particulier des futurs ingénieurs « études et développement », « développement de systèmes », « étude de grands projets internationaux » et « développeur de produits de messagerie », des personnes qui sont débutantes ou avec une première expérience et qui maîtrisent l'anglais. Le recruteur travaille parallèlement avec des entreprises utilisatrices (70% de PME et 30% de grands comptes au niveau national) qui ont elles aussi besoin d'informaticiens. Les postes sont plus ouverts pour ces typologies d'entreprise qui recrutent également des profils de niveau Bac + 2, par exemple pour des postes des techniciens réseaux et des techniciens hotline. Cette diversité de clientèle constitue d'ailleurs l'une des particularités des acteurs venant du travail temporaire par rapport aux cabinets de recrutement traditionnel. « Nous avons des clients dans tous les secteurs d'activité et de toutes les tailles et entretenons des liens de proximité avec eux. C'est ce qui constitue l'une de nos valeurs ajoutées pour les candidats», estime-t-on chez Crit. (...)

(06/07/2006 18:08:00)

Cigref : Didier Lambert prend la suite de Jean-Pierre Corniou

Le fauteuil de président du Cigref est désormais occupé par Didier Lambert, le DSI du groupe Essilor. Le conseil d'administration du Club informatique des grandes entreprises françaises l'a nommé hier, en remplacement de Jean-Pierre Corniou, l'ex-DSI de Renault qui, poussé à la démission chez le constructeur automobile, a dû abandonner son mandat. Didier Lambert connaît bien le Cigref puisqu'il a d'abord été son administrateur, avant d'être nommé vice-président en 2003, en charge des relations avec les fournisseurs. Il a aussi une expérience des clubs utilisateurs pour avoir notamment assuré la présidence de l'AUFO, l'association qui réunit les clients d'Oracle. Ce changement d'homme à la tête du Cigref ne devrait pas se traduire par des virages spectaculaires dans la politique du club. Didier Lambert s'inscrit dans la continuité. Il se dit attaché à poursuivre les axes d'action que s'était donné le club sous son ancienne présidence, dans une interview donnée au Monde Informatique (numéro du 7 juillet 2006). « Ce n'est ni une révolution de palais, ni un changement d'orientation. J'accède à la présidence de façon mécanique. Ma priorité sera d'insister sur le programme Cigref 2010 qui résume nos priorités stratégiques ». Parmi les chantiers à poursuivre, il évoque notamment le dossier des licences logicielles (opacité des conditions commerciales proposées) avec les éditeurs, ainsi que la collaboration démarrée avec le Syntec, la chambre syndicale des SSII, qui vise notamment à établir des contrats commerciaux types comme base des relations contractuelles. Il ajoute qu'il faudra aussi faire évoluer l'image un peu vieillissante du Cigref, même si il ne l'estime justifiée. (...)

(06/07/2006 18:08:05)

RMLL : la communauté est au rendez-vous

En se promenant dans les allées du campus de l'Université Henri Poincaré de Vandoeuvre-lès-Nancy, qui héberge les Rencontres Mondiales du Logiciel Libre, il saute aux yeux qu'on est ici dans un pur événement communautaire, bien plus que commercial. On cherche en effet en vain les stands, présentoirs, hôtesses en tailleur et cadres en cravate qu'on a l'habitude de voir dans un salon comme Solutions Linux. Une orientation clairement revendiquée par les organisateurs de l'événement : "toutes les entrées sont gratuites, les conférenciers ne sont pas rémunérés et toute l'organisation est bénévole" assure Vincent Mollimard, le trésorier. "Je suis surprise de voir autant de grand public arriver, dès le premier jour : ici les utilisateurs rencontrent les contributeurs et développeurs", renchérit Chantal Bernard-Putz, l'organisatrice en chef. Et de se vanter de programmer dix fois plus de conférence que Paris-Capitale du Libre , par exemple : plus de 300 conférences sur une trentaine de thèmes. Mais toutes n'attirent pas le même monde : si celle sur la loi sur les droits d'auteur (DADVSI) a séduit presque une centaine de personnes, d'autres, nettement plus pointues comme les problématiques de clustering, n'en attirent guère plus d'une dizaine. Bonne nouvelle : les salles sur le multimédia (montage et musique) ainsi que celles sur le jeu libre sont combles ! À mi-chemin des Rencontres, les organisateurs prévoyaient au final un total d'environ 2000 visiteurs. (...)

(06/07/2006 18:07:52)

Aux Rencontres mondiales du logiciel libre, Tiny ERP prend ses marques

: L'univers du logiciel libre respire au rythme de grandes réunions qui permettent à la communauté de se construire, de se compter, et surtout de présenter ses projets. Les 7es Rencontres mondiales du logiciel libre, organisées chaque année en France, et cette fois-ci en Lorraine (du 4 au 8 juillet 2006 à Vandoeuvre-lès-Nancy), n'échappent pas à la règle. L'occasion de remarquer à quel point le logiciel libre commence à marquer des points, discrètement mais sûrement, dans la gestion d'entreprise. Les progiciels ERP5, bien sûr, issu d'une nouvelle réflexion sur la nature des relations inter-entreprises, mais aussi TinyERP, ont ainsi affiché une présence remarquée. Venu tout spécialement de Belgique pour présenter sa solution, Fabien Pinckaers, président et fondateur de TinyERP, a eu le plaisir de prononcer sa conférence devant un auditoire curieux et attentif. Il a souligné sa solide communauté d'utilisateurs : "plus de 600 téléchargements par jour, avec des clients qui vont de la société de 20 à 300 personnes dont le groupe de restauration Costes ou les fermes urbaines sponsorisées par E. Leclerc, à l'utilisateur indépendant, et un réseau de seize revendeurs en France". A l'assaut du marché américain Fort de ce succès, TinyERP vient d'embaucher trois nouveaux développeurs, portant la société à dix salariés, et se lance dans la foulée sur le marché nord-américain. Pour ce faire, Fabien Pinckaers a créé une nouvelle société, TinyAtWork, en association avec deux entreprises québécoises : Revolution Linux pour la partie intégration réseau et Epsilon pour les conseils en ERP. "Notre objectif est d'aller plus loin que le marché franco-belge, et d'avoir un point d'attache et de référence là-bas. Et aussi de répondre aux nombreuses demandes qui nous parvenaient, auxquelles nous ne pouvions pas fournir de solutions" continue Fabien Pinckaers. Outre qu'il a dû adapter son logiciel aux normes québécoises et canadiennes (" Très rapidement fait ", assure-t-il), TinyERP va aussi se frotter à une concurrence acharnée : d'une part des géants bien installés comme SAP ou Microsoft, mais aussi à des micro-entreprises, spécialisées dans des marchés de niche, à l'image de cet ERP spécialement écrit pour les armoires froides de la restauration. Ses atouts ? La licence libre du logiciel, bien sûr ! "Très intéressante en avant-vente, elle permet aux responsables en entreprises de télécharger et tester par eux-mêmes le logiciel, sous toute ses coutures, et de souscrire ensuite à des services payants, s'ils jugent que le produit correspond à leurs besoins. Un net avantage par rapport au monde du logiciel propriétaire, où des contrats très cloisonnés amènent souvent à un énorme dépassement des coûts, et où la non-conformité aux besoins est fréquente", explique-t-il encore. De nouvelles fonctions en développement Enfin, pour enrichir sa solution, Fabien Pinckaers annonce plusieurs nouveaux modules à venir, actuellement en développement : un outil d'évaluation des compétences en fonctions de critères, un autre de gestion du temps professionnel, un autre de business intelligence, une fonction d'analyse par cube OLAP (OnLine Analytical Processing), ainsi qu'une interface e-commerce, pour que TinyERP puisse travailler de concert avec des plates-formes comme OS-Commerce ou Jumla. Pas si minuscule que ça, Tiny ERP ! (...)

(06/07/2006 18:08:06)

Microsoft annonce l'interopérabilité ODF/OpenXML

Microsoft, plutôt que de se battre en vain contre OpenDocument, le format ouvert mis au point par l'Oasis OpenDocument, a finalement choisi d'en assurer l'intéropérabilité avec OpenXML, son format maison, dans Office 2007. C'est ce qu'a annoncé le géant du logiciel ce 6 juillet. Prenant à contre-pied les acteurs du Libre en préférant supporter ODF dans la prochaine version de sa suite bureautique plutôt que d'en ignorer l'existence, le groupe de Redmond ne pousse cependant pas le vice jusqu'à l'intégrer nativement dans Office. L'utilisateur devra en effet effectuer la démarche d'aller télécharger l'add-on OpenXML Translator sur sourceforge.net pour pouvoir utiliser le format ODF. "Nous préférons l'intégration dynamique pour que les utilisateurs téléchargent et disposent toujours de la dernière version", plaide Bernard Ourghanlian, le directeur technique et sécurité de Microsoft France. Mis au point par CleverAge, une société française qui s'était précédemment illustrée en développant une extension à Office 2003 permettant l'importation de documents OpenOffice, le traducteur OpenXML/ODF repose sur une licence Open Source de type BSD "pour s'assurer que l'ensemble de la communauté ODF pourra contribuer à ce projet", précise Bernard Ourghanlian. Une version bêta est d'ores et déjà disponible pour Word 2007 sur sourceforge.net. La version finalisée devrait être publiée en décembre, celles pour Excel et Powerpoint suivront dans les premiers mois de 2007. L'interopérabilité entre OpenXML et ODF ne sera cependant pas complète : "quand on utilise un traducteur, il peut y avoir plusieurs mots pour une même traduction, le compromis consiste à choisir le meilleur mot, explique Bernard Ourghanlian. Notre traducteur doit être le meilleur pont possible [entre les deux formats]". Et le directeur technique et sécurité de s'appuyer sur l'exemple de l'implémentation des formules mathématiques : "ODF les documente en neuf pages, OpenXML en 400. Il y aura forcément des différences". De fait, l'enregistrement de documents OpenXML en ODF pourra altérer le contenu des fichiers reposant sur des fonctionnalités nouvelles, auquel cas l'utilisateur sera averti des incompatibilités. Ce dernier point permet à Microsoft de rebondir et de clamer la supériorité de son propre format sur ODF "qui ne permet pas autant de fonctionnalités". L'éditeur mise toujours sur OpenXML et veut en faire une norme ISO dans les prochains mois. Après que l'International Organization for Standardization eut approuvé l'ODF, le Gartner tablait sur un rejet de l'OpenXML par l'organisation. Pour Sophie Gautier, la responsable en France du projet OpenOffice.org (suite bureautique Open Source utilisant le format ODF), l'initiative de Microsoft d'assurer l'interopérabilité "est une bonne chose... qu'il faut encore tester". Si les commentaires restent prudents quelques heures seulement après l'annonce de l'éditeur, Sophie Gautier note toutefois que, sous la pression de plusieurs administrations, le groupe de Redmond pourrait ne pas avoir eu le choix de développer ou non son traducteur. Rappelons que l'Etat du Massachusetts s'était fait le fer de lance du format ODF avant que la Belgique, le Danemark et, dans une moindre mesure, la France l'adoptent ou manifestent leur intérêt. (...)

(06/07/2006 18:07:53)

Marché des ESB : Cape Clear et BEA distingués par Forrester

Pour Forrester, Cape Clear et BEA Systems se situent en tête du peloton dans la catégorie des ESB (Enterprise services bus). Ces bus applicatifs fournissent l'infrastructure nécessaire pour rendre accessibles à l'ensemble du système d'information les services applicatifs, et cela où qu'ils soient déployés. Les ESB implémentent un certain nombre de standards sur la connexion, le mode d'invocation, la transformation du contenu, le routage... Les services plus évolués concernent l'orchestration des services, la capacité à annuler des transactions tout en maintenant la cohérence du système, les contrôles d'accès, la gestion de la qualité de service, un système d'annuaire de services, des outils de diagnostic... Forrester a utilisé en tout une centaine de critères pour comparer huit offres du marché. Ces éditeurs ont été choisis parce qu'ils proposaient un ESB autonome (indépendant du reste de leur offre), présentaient des références clients et avaient « une présence tangible sur le marché ». Software AG et IBM, nouveaux entrants performants Nouveaux venus selon ces critères, Software AG et IBM se classent directement dans la catégorie des leaders, « illustrant la capacité des grandes organisations à aligner rapidement de nouvelles fonctionnalités ». Le cabinet souligne notamment l'intérêt de l'ESB de Software AG en liaison avec le référentiel CentraSite et pour la connexion à de l'existant mainframe. Parmi les autres éditeurs distingués comme leaders, Sonic est remarqué pour son offre mature et riche (surtout avec le rachat d'Actional, par Progress, la maison-mère de Sonic, qui fournit une suite d'outils d'administration) à un prix raisonnable. Autre vétéran du middleware, Iona a su avec Artix « établir une niche dans le haut de gamme du marché ». PolarLake handicapé par une stratégie limitée Des deux maillots jaunes, Cape Clear a « l'une des implémentations disponibles les plus complètes de la couche de services Web », et a su conquérir un marché plus important que ne le laisse supposer sa taille. Tandis qu'AquaLogic Service Bus, l'ESB de BEA Systems, a séduit Forrester, qui souligne toutefois que toutes les dépendances envers WebLogic, le serveur d'applications, n'ont pas encore été éliminées. En queue de peloton viennent des acteurs tout de même qualifiés de « strong performers », donc des acteurs sérieux : Fiorano Software, un éditeur déjà ancien sur le marché mais handicapé par sa petite taille, et PolarLake, autre spécialiste de l'intégration depuis plusieurs années. Mais la stratégie de PolarLake a été de surtout se concentrer sur la simplicité d'utilisation, déplore Forrester, aux dépens de la couverture en profondeur de la couche de standards des services Web. Au classement général, c'est tout de même PolarLake qui obtient la note de la meilleure offre, avec 4,38 sur 5. La meilleure présence sur le marché appartient à IBM (note de 4,84 sur 5) et la meilleure stratégie revient à Software AG (4,44 sur 5). (...)

(06/07/2006 12:00:32)

Faillite : SGI veut sortir la tête de l'eau en septembre

Silicon Graphics a présenté son plan de réorganisation et espère sortir de sa situation de faillite en septembre. Le fabricant de stations de travail hautes performances, qui accumulait les pertes depuis les années 2000, a récemment déposé son bilan et s'est placé sous la protection du "chapitre 11", la loi américaine sur les faillites, pour renégocier sa dette avec ses créanciers. Le plan proposé par SGI, visant à faire sortir le groupe de la faillite, doit maintenant être validé par la justice américaine. Dans ses grandes lignes, le plan mis au point par le constructeur vise à faire sortir le groupe du chapitre 11 en tant qu'entreprise publique. Il s'appuie sur un programme mondial d'accords passés avec les créanciers et ne prévoit aucune indemnité pour les actionnaires. Selon le groupe, la dette s'en retrouverait ramenée de 345 M$ à 70 M$. L'un des grands défis technologiques de SGI consistera à résister à la concurrence croissante sur le segment des stations de travail économiques, basées sur des plates-formes x86. Le groupe a, à ce propos, récemment annoncé qu'il comptait investir ce marché et fournir ses propres serveurs x86 à base d'Intel Xeon 5100. (...)

(06/07/2006 18:07:51)

Antitrust : Microsoft perd aussi en Corée du Sud

La Haute cour de Séoul a rejeté ce 4 juillet l'appel interjeté par Microsoft visant à suspendre les sanctions prises contre lui dans le cadre du procès antitrust intenté par la commission de la concurrence sud-coréenne. C'est un nouveau camouflet pour le géant du logiciel, déjà condamné en mars 2004 par la Commission européenne et sur le point de se voir infliger une nouvelle amende par l'exécutif communautaire pour avoir failli à se conformer à ses exigences. La Korean Fair Trade Commission (KTFC), le régulateur sud-coréen de la concurrence, a établi en 2005 que Microsoft s'était rendu coupable d'abus de position dominante et l'a condamné à une amende de 35,4 M$. L'éditeur a également été enjoint, comme en Europe, de proposer deux versions différentes de Windows XP : l'une dépourvue de Media Player et de Windows Messenger, l'autre intégrant des liens vers des sites Internet proposant des produits concurrents. Soucieux de gagner du temps, Microsoft s'est empressé d'interjeter appel auprès de la Haute cour de Séoul et de demander un sursis dans l'exécution des mesures complémentaires à sa condamnation, une exécution censée devenir réalité au plus tard le 24 août. Sans se prononcer sur le fond de l'affaire, la Haute cour indique que la date butoir ne saurait être modifiée et que Microsoft doit donc s'y conformer. L'éditeur note qu'il respectera la décision de la KTFC en fournissant les versions alternatives de son système d'exploitation, tout en réitérant sa volonté de voir son appel aboutir. "Alors que Microsoft considère que la décision de la KTFC va freiner l'innovation technologique en Corée, il reste décidé à y poursuivre ses activités et à fournir des technologies innovantes à ses clients coréens", indique le groupe de Redmond dans un communiqué. (...)

(06/07/2006 12:03:22)

OpenWengo défie les étudiants pour des vacances studieuses mais libres

La communauté de développement OpenWengo, parrainée par la jeune filiale du groupe Neuf Cegetel, Wengo, lance un concours cet été - l'OpenWengo Code Camp - pour faire avancer des projets de développement Open Source. Les inscriptions sont ouvertes jusqu'au 9 juillet. Il s'adresse à des étudiants qui devront choisir un thème de travail parmi les projets en cours ou à venir, intégrés au concours. Les amateurs d'Open Source devraient trouver leur bonheur, estime OpenWengo, étant donné la diversité des projets inclus qui vont de la création d'un éditeur d'interface XUL (langage de description d'interfaces graphiques basé sur XML créé par la fondation Mozilla) au portage du moteur VoIP openWengo sur des plates-formes embarquées telles que la PSP de Sony. La liste et le formulaire d'inscription sont disponibles sur le site web d'OpenWengo. Les jeunes retenus pour participer au concours seront guidés et encadrés dans leurs développements par des contributeurs au projet. Ces contributeurs se prononceront à la fin de l'été sur les résultats obtenus. Les jeunes qui auront atteint leurs objectifs se verront récompensés d'une somme de 3500 euros. Les tuteurs toucheront de leur côté 500 euros. Cette initiative s'inscrit pleinement dans la philosophie de Wengo qui, dès son démarrage en janvier 2005, a opté pour un développement de son logiciel de communication VoIP WengoPhone, sous licence GPL. Le projet OpenWengo fédère des développeurs de l'ensemble de la communauté Open Source qui souhaitent faire évoluer les fonctionnalités de son logiciel. (...)

(06/07/2006 09:22:32)

Paris détaille son rêve de capitale numérique

Bertrand Delanoë, toujours soucieux de faire de Paris une capitale high tech, n'entend pas laisser aux mégapoles d'Asie ou d'Amérique "le monopole du volontarisme en matière de numérique". Trois mois après s'être extasié devant le réseau WiFi déployé à San Fransisco par Google, le maire de Paris a présenté le 4 juillet les détails de son plan. Au programme : la multiplication des accès à Internet et la réduction de la fracture numérique. Pour que Paris devienne "la capitale la plus connectée" au monde, Bertrand Delanoë annonce la multiplication des hotspots (points d'accès WiFi). La Ville mettra à la disposition des opérateurs une partie de son mobilier urbain - lampadaires, panneaux, etc. - et les immeubles municipaux afin qu'ils y installent leurs antennes et autres relais. Paris déploiera également des accès WiFi gratuits dans les mairies d'arrondissement, les bibliothèques et les centres sociaux. Au total, plus de 400 bornes d'accès Internet sans fil devraient voir le jour dans la capitale avant fin 2007. A côté du chapitre WiFi, Paris s'intéresse également aux connexions réalisées à domicile. Actuellement, environ 60 % des Parisiens disposent d'un accès haut débit. Une proportion que le maire veut voir passer à 80 % d'ici à 2010, et plus seulement par le câble ou l'ADSL mais en s'appuyant sur la fibre optique. Pour y parvenir, la redevance facturée aux opérateurs, dans le cadre du déploiement de leur réseau, sera réduite de 25 %. Plus spectaculaire, la facture pour le raccordement des 400 derniers mètres jusqu'à l'habitation fondra de 90 %. Ces mesures sont partie prenante au projet de réduction de la facture numérique : l'idée est de permettre au plus grand nombre l'accès au web. Dans cette optique, d'autres pistes sont ouvertes. La Ville donnera ainsi 6000 ordinateurs de son parc informatique à des associations chargées de les redistribuer et reliera 200 000 logements sociaux à Internet. (...)

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