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(19/05/2008 16:27:31)

4 MdE de revenus pour le marché français de l'ERP en 2007

Selon le cabinet d'études IDC, les ventes de licences de logiciels ERP et les prestations de services associées ont progressé de 5,9% comparé à 2006, générant ainsi 4,03 Md€ de revenus l'an dernier. Les services constituent de loin la plus importante partie du chiffre d'affaires dégagé puisqu'ils ont occasionné 3,13 Md€ de facturation en 2007. Les revenus issus de la vente de licences et de services de maintenance se sont établis quant à eux à 899 M€, soit une croissance de 4,9% sur un an. Par domaines fonctionnels, « l'essentiel des revenus du marché des ERP s'articule encore aujourd'hui autour des modules classiques », à savoir la comptabilité / finance (30% des revenus licences et maintenance en 2007), la gestion des RH (17,5%), la GPAO (14,7%), la gestion commerciale (12,6%) et le CRM (11,7%). Les modules liés à la gestion de projet ou à la gestion de la chaîne logistique ne représentent respectivement que 3,1% et 8% des revenus du marché de l'ERP. A noter que les modules Ressources Humaines et CRM ont été les plus dynamiques en 2007 avec des volumes de ventes de licences en croissance leur respective de 7,1 et 6,5% en 2007. (...)

(15/05/2008 12:43:09)

Coda livre son application développée sur Force.com

Comme prévu, l'éditeur britannique Coda vient de livrer une première version de l'application financière Coda 2go qu'il a conçue en s'appuyant sur Force.com, la plateforme de développement proposée en ligne 'comme un service' par l'éditeur Salesforce.com. Il s'agit d'un processus intégré permettant de gérer une commande depuis la saisie de l'opportunité commerciale dans Salesforce (application de gestion de la relation client -GRC) jusqu'au règlement de la facture. Un processus qui fait intervenir plusieurs utilisateurs à différents niveaux (équipe commerciale, administration des ventes). Coda 2go est aujourd'hui livrée en anglais, mais sera disponible en français dans le courant de cette année. Elle s'utilise sur la base d'un abonnement mensuel actuellement tarifé à 85 euros (125 dollars) par utilisateur et par mois. Coda a prévu de livrer d'autres processus fonctionnels dont les tarifs pourront varier. A noter que l'acquisition de Coda par le groupe néerlandais Unit 4 Agresso, en février dernier, ne modifie en rien les plans de développement de l'éditeur britannique sur cette application. Les ambitions de Salesforce.com autour de Force.com Salesforce.com a fondé de grandes ambitions sur sa PaaS (plateforme as a service) Force.com sur laquelle il compte attirer de nombreux éditeurs. Ces derniers peuvent y bâtir des applications à exploiter en ligne de façon indépendante ou de façon intégrée avec les processus de GRC de Salesforce ainsi qu'avec les applications d'autres éditeurs présents sur Force.com. Lors de l'annonce de ses résultats annuels, en février, Marc Benioff attribuait en partie la progression annuelle de son chiffre d'affaires 2007 (+51% à 748,7 M$) à l'adoption massive de Force.com. Rappelons qu'en avril, l'intégration des outils de productivité de Google dans Salesforce ont élargi les possibilités de développement des éditeurs indépendants sur Force.com en donnant accès aux interfaces de programmation des Google Apps. (...)

(14/05/2008 16:44:28)

Une console décisionnelle pour JD Edwards EnterpriseOne

Oracle propose aux utilisateurs de JD Edwards EnterpriseOne versions 8.11 SP1 et 8.12 un outil décisionnel. Cette "Financial Management and Compliance Console" permet d'afficher en standard une quarantaine d'indicateurs et propose aussi sept alertes en regard avec la conformité de leur activité. Oracle souligne la facilité d'utilisation et d'implantation de cette console qui s'installe directement sur EnterpriseOne. Il est bien sûr possible de paramétrer cette console pour adapter le recueil des informations aux besoins spécifiques d'une entreprise. (...)

(09/05/2008 18:28:04)

Une voiture Google parcourt Paris afin de cartographier la ville

Le service Street View de Google nécessite qu'un véhicule se déplace dans les rues des villes afin de disposer d'images vues du sol. L'information provient du site zorgloob.com, spécialisé dans les informations sur Google et qui publie une photo de la voiture en question. Il s'agit d'un modèle Opel, doté d'un impressionnant appareillage de prise de vues sur son toit. Un discret logo Google apparaît sur la portière du véhicule. D'autres villes européennes sont cartographiées de façon similaire. Par le plus grand des hasards Par un hasard des plus étonnants, un véhicule de Google est passé vers treize heures par Puteaux, juste en face des bureaux de notre publication, LeMondeInformatique.fr. Ce véhicule ne possède pas de logo Google sur ses portières, c'est son chauffeur - très pressé alors qu'il était en train de retirer la housse de protection de l'appareillage de prise de vues - qui nous a confirmé travailler pour Google. Un de nos journalistes, Peter Sayer, a eu tout juste le temps de prendre les photos de la voiture afin d'illustrer cet article. Le droit à l'image en France Les prises de vue destinées au service Street View viennent compléter les images par satellite offertes par le service Google Maps. Si ce service va ramener énormément de données à Google, la société risque aussi de récolter quelques poursuites vu le contexte particulier des lois sur le droit à l'image en France, et selon la manière dont les images seront exploitées.[[page]]Vu le beau temps qui règne sur Paris, les terrasses des cafés risquent d'être pleines de monde et elles vont être captées par les appareils photo de Google. Or, vu les règles sur le droit à l'image en France, il est interdit de publier ces photos sans l'accord des intéressés. Les photos incriminées retirées Jusqu'alors, Google attend afin de ne lancer le service en Europe que lorsqu'il a pu s'assurer de respecter les législations locales, a assuré un porte parole officiel du groupe à l'agence de presse IDG News Service. Aux Etats Unis, le service Street View a déjà entraîné quelques poursuites judiciaires depuis son lancement en Mai 2007. La réponse de Google a été de retirer les images incriminées. (...)

(09/05/2008 17:25:45)

Les actionnaires de Google le questionnent sur les droits de l'Homme

Au cours de leur réunion annuelle, les actionnaires de Google ont fini par rejeter deux propositions sur la politique de l'entreprise en matière de droits de l'Homme. Ce faisant, ils ont suivi l'avis du conseil d'administration. Malgré le vote, le sujet a dominé l'ensemble de la réunion. Sergey Brin, co-fondateur et président des technologies, s'est abstenu sur les deux propositions. Il a expliqué être en accord avec leur esprit mais pas complètement avec leur formulation. La première idée des actionnaires provenait d'un fonds de pension des employés de la ville de New York qui représente 200 M$ chez Google. Présenté par Tony Cruz, représentant d'Amnesty International, elle suggérait que Google institue des politiques de protection de la liberté d'accès à Internet. Ce qui aurait impliqué que l'Américain use de tous les moyens légaux pour refuser d'appliquer la censure, qu'il informe les utilisateurs lorsqu'il aurait dû céder sur le sujet, qu'il conserve les informations permettant d'identifier les utilisateurs uniquement dans les pays qui ne restreignent pas l'accès à Internet. Peut nettement mieux faire La seconde proposition refusée à la réunion des actionnaires réclamait la création d'un comité des droits de l'Homme chez Google. Celui-ci aurait vérifier les implications en la matière de la politique globale de l'entreprise. Comme l'a expliqué Tony Cruz, Google participe à une initiative pour définir des règles quant à la façon dont les entreprises devraient répondre aux demandes de censure dans des pays comme la Chine. Un pas dans la bonne direction, comme le confirme le représentant d'Amnesty International, mais Google n'a par ailleurs procédé à aucune amélioration depuis son installation en Chine. Plusieurs entreprises technologiques américaines ont elles-aussi, récemment, été critiquées pour leurs activités en Chine. Et Google était en première ligne avec une version de son moteur de recherche qui se conforme à la censure exercée dans l'Empire du Milieu. Il s'est défendu, arguant qu'il valait mieux avoir une présence dans le pays et offrir un peu d'information à la population plutôt que de ne pas être présent du tout. Google aurait inspiré Baidu vers plus d'ouverture [[page]]Pour défendre les activités de Google en Chine, Sergey Brin assure que l'entreprise veille, bien plus que d'autres éditeurs de moteurs de recherche, à ce que l'information soit librement accessible. Il a sans doute ainsi fait référence à Yahoo qui a fourni aux autorités chinoises des informations qui ont conduit à l'emprisonnement d'un écrivain. Selon son co-fondateur, Google aurait même influencé Baidu, le moteur de recherche local. A l'instar de son homologue américain, ce dernier aurait ainsi commencé à indiquer à ses utilisateurs quand il omettait une information sur demande du gouvernement. Sergey Brin assure que Google ne s'est pas installé en Chine pour les revenus qu'il pourrait en tirer. "Notre objectif premier dans des pays comme celui-là n'est pas de générer le maximum de chiffre d'affaires, affirme-t-il. Nous pourrions abandonner notre site demain sans que cela n'ait aucun effet sur nos résultats. En Chine, notre but était de faire ce qu'il y avait de plus positif. » Une remarque qui fut loin d'apaiser l'ensemble des actionnaires présents dans la salle. (...)

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