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(07/01/2008 16:14:39)
CES : Bill Gates fait ses adieux en musique
Bill Gates a convoqué des artistes comme Jay-Z, Bono et Slash pour faire, en musique, ses adieux au CES de Las Vegas. Délivrant hier soir le premier 'keynote' du Consumer Electronics Show, le fondateur de Microsoft a encore une fois exposé sa vision d'un monde connecté, mais aussi profité de l'occasion pour rappeler son intention de s'occuper à plein temps de sa fondation à partir de juillet prochain. Il s'agira donc de son dernier discours au CES - du moins en tant que représentant de Microsoft. Le premier datait de 1994, a rappelé l'actuel président du conseil d'administration de l'éditeur. Bill Gates, qui n'est pas un 'showman', a tout de même réussi à conquérir le public présent au Venetian, l'un des plus beaux hôtels-casinos de Las Vegas, avec une vidéo de quelques minutes montrant ce que pourrait être son dernier jour chez Microsoft. Dans cette fiction, Bill Gates n'hésite pas à se moquer de lui-même. On le voit ainsi tentant de démontrer son talent de musicien au rappeur Jay-Z, de convaincre la rock star Bono de lui offrir une place au sein de U2, de passer une audition déguisé en Wolverine (un des X-Men) devant Steven Spielberg, de harceler des présentateurs de la télévision américaine pour obtenir un emploi auprès d'eux, ou encore de se proposer en co-listier aux présidentiables Hillary Clinton et Barak Obama... Plus classiquement, Bill Gates est ensuite revenu sur les quelques années écoulées et le discours qu'il tenait alors sur les appareils connectés pour expliquer que nous entrions dans une autre ère - « the next digital decade » - où l'utilisateur serait au centre. Trois éléments domineront cette décennie, a-t-il indiqué. D'abord, l'image et le son de haute qualité seront partout. Ensuite, tous les appareils délivrant ces services seront interconnectés. Enfin, les interfaces utilisateur vont évoluer, pour prendre en compte le toucher - comme l'iPhone, a expliqué Bill Gates -, la parole ou la reconnaissance des formes ou des gestes. « Nous sommes juste au commencement », a-t-il dit. La console Xbox 360 au coeur de la stratégie grand public Plusieurs démonstrations ont émaillé ce discours d'introduction d'un peu plus d'une heure. Une collaboratrice de Microsoft a montré comment l'authentification unique Windows Live ID pouvait simplifier la vie en rendant possibles les échanges entre tous les services Windows Live, tandis que Bill Gates lui-même a utilisé un prototype de Surface, sa table-écran tactile. Après rappel de quelques chiffres (420 millions d'utilisateurs inscrits sur Windows Live, 100 millions d'utilisateurs de Vista, 20 millions d'utilisateurs de Windows Mobile, 17,7 millions de consoles Xbox livrées...), Bill Gates et Robbie Bach, président de la division Entertainment & services, ont fait quelques annonces. On retiendra notamment que NBC utilisera la technologie d'affichage Silverlight pour la couverture en webcast des Jeux olympiques de Pékin l'été prochain, et que BT sera le premier opérateur à proposer des consoles de jeu Xbox 360 comme plateformes pour la télévision. C'est finalement guitare en bandoulière que Robbie Bach et Bill Gates ont conclu, sur un défi lancé par le premier, sur le jeu Guitar Hero 3, où il s'agit de reproduire les plus grands riffs. Tandis que Robbie Bach s'est fait aider en convoquant une championne de ce jeu, pour une interprétation honnête de l'introduction de Welcome to the jungle, des Guns'n'Roses, Bill Gates a reçu le soutien sur scène de Slash, créateur de ce riff... (...)
(07/01/2008 15:47:09)L'ODF Alliance dresse un bilan satisfait de son format bureautique ouvert
Selon l'OpenDocument Format Alliance, les Pays-Bas et l'Afrique du Sud sont les derniers pays à avoir rejoint en 2007 le groupe de ceux où les administrations doivent utiliser le format bureautique ouvert ODF. Au total, ce sont douze pays, y compris la France, dont les administrations doivent utiliser des formats bureautiques ouverts, autrement dit ODF. A ces douze nations s'ajoutent six administrations régionales, signe que les services publics du monde entier ont bien compris l'intérêt de créer et d'archiver leurs productions dans un format ouvert, documenté et gratuit. Fondé en mars 2006, l'OpenDocument Format Alliance revendique déjà près de 500 adhérents répartis dans 53 pays. L'association de promotion du format OpenDocument rappelle qu'il a été élevé au rang de standard international sous le numéro ISO 26300:2006. Elle se réjouit d'autant plus du succès grandissant de l'ODF que 2007 fut une année difficile. Après avoir longtemps traité par le mépris cette remise en cause de ses formats bureautiques propriétaires, Microsoft a violemment réagi. L'éditeur a intensifié ses campagnes de lobbying dont les effets collatéraux ont poussé à des démissions en chaîne à la direction de la DSI du Massachusetts, Etat pionnier dans l'adoption d'ODF. Ensuite, risquant d'être évincé d'appels d'offres stratégiques, l'éditeur s'est lancé dans une course effrénée pour élever le format OOXML (Office Open XML) d'Office 2007 au rang de standard international. Malgré une utilisation subtile des arcanes des organismes concernés, le format OOXML n'a toujours pas reçu l'imprimatur de l'ISO. Autant l'utilisation de l'organisme européen Ecma pour accélérer la procédure de validation de l'ISO avait été un succès, autant les autres comités impliqués dans la validation des demandes de Microsoft se sont fait tirer l'oreille pour aller dans le sens de Microsoft... En 2008, l'Oasis, association de professionnels qui a en charge l'évolution du format ODF, devrait lancer la version 1.2 de l'ODF qui supporte, en particulier, des extensions aux métadonnées et les signatures numériques. (...)
(04/01/2008 12:09:16)Secteur financier : des dépenses IT ralenties en 2007
Les dépenses informatiques globales du secteur financier ont atteint 342,1 Md$ en 2007, selon Celent, un cabinet d'études spécialisé dans les applications IT mises en oeuvre par les acteurs de la finance. Les chiffres de Celent sont basés sur les tendances enregistrées dans ce secteur en Amérique du Nord, en Europe, et dans la zone Asie-Pacifique, auxquelles s'ajoute une évaluation des dépenses effectuées en Amérique latine et en Afrique. Par rapport à 2006, ces investissements n'ont progressé que de 5,9%, alors qu'ils avaient augmenté de 8,7% entre 2005 et 2006. « Dans toutes les régions, les taux de progression ont marqué le pas, contribuant à cette baisse généralisée, indique Jacob Jegher, analyste senior de Celent et co-auteur du rapport. Les institutions bancaires américaines ont été plus particulièrement touchées. » En dépit de la conjoncture délicate actuellement traversée par ce secteur d'activité, Celent prévoit une progression annuelle moyenne de 6,3% des dépenses informatiques des banques, organismes financiers et compagnies d'assurance sur les deux prochaines années, ce qui porterait le total des investissements à 386,7 Md$ en 2009. (...)
(31/12/2007 13:12:24)En 2008, les DSI ont les moyens de briser le joug financier des éditeurs
Dans la lutte entre éditeurs de logiciels et utilisateurs, la roue pourrait tourner dans le bon sens en 2008. Tous en coeur, des analystes du Gartner Group, de Forrester Research et de PricewaterhouseCoopers s'accordent à distinguer une conjonction de facteurs favorables à une baisse des prix. On aurait pu croire que la vague de concentration et de retraits de la cote boursière allait avoir pour effet de renforcer les positions des éditeurs de logiciels dominants. Si des géants comme Oracle ou Microsoft continuent d'accroître leurs parts de marché, ce dernier est soumis à la concurrence de nouvelles façons d'utiliser les logiciels. Les logiciels en ligne (SaaS, Software as a service) arrivent en tête de cette nouvelle donne. Avec SalesForce.com en figure de proue, qui attire les regards sur la gestion de la relation client (GRC, CRM), ils vont profondément modifier le paysage. Il convient aussi de se tourner vers la bureautique en ligne. La vache à lait de Microsoft Office est trop grasse pour laisser indifférents les DSI. Sur ce créneau, c'est Google, avec Google Documents, qui occupe l'espace médiatique. Mais il ne faut pas oublier que les communautés du logiciel libre proposent une alternative aux logiciels surfacturés par Microsoft. Toutefois, la bureautique ne figure pas dans le coeur de cible des partisans du logiciel libre. Leur domaine de prédilection demeure l'infrastructure. Là, le succès de Linux estompe ceux obtenus sur les créneaux des SGBD et du middleware. A eux tous, les logiciels à code ouvert mettent sous pression les fournisseurs traditionnels. Ces derniers sont aussi mis sur la sellette avec l'émergence d'une véritable industrie de la tierce maintenance applicative. Pouvoir obtenir du support pour un logiciel auprès d'un autre que le fournisseur de ce dernier fait s'effondrer tout un pan du mur d'enceinte de la prison dans laquelle les clients s'étaient fait enfermer. Enfin, la virtualisation fait aussi souffler un vent de liberté là où l'on s'y attendait le moins : au coeur même des serveurs. Au couple processeur - application, par essence monogame et que l'on croyait indéfectible, succède un esprit libertaire qui préside à une cohabitation communautaire et hétérogène. Une douzaine de machines virtuelles qui se partagent un seul serveur est en passe de devenir monnaie courante. Même s'ils font tout pour verrouiller leurs contrats de licence, les éditeurs sont bien obligés de prendre en compte cette nouvelle souplesse. L'antithèse du carcan dans lequel ils cherchent à enfermer leurs clients. (...)
(28/12/2007 14:30:31)Top 10 de 2007 : quand le virtuel devient réel
Tous les indices récoltés au cours de l'année 2007 concordent : après de long mois de tests, 2008 sera la première année de la conversion de l'informatique à la virtualisation. Contraints et forcés sous les effets conjugués de la mauvaise conscience écologique, de l'augmentation du coût de l'électricité et de la pression à la réduction des coûts d'achat et d'exploitation, les centres de données vont entamer en 2008 une profonde mutation pour aboutir, d'ici quelques années, à une totale transformation de l'environnement informatique professionnel. A terme, la virtualisation permettra de découpler totalement le matériel du logiciel et des données. Si elle touche en tout premier lieu les serveurs, elle va étendre ses mérites au stockage, à l'architecture réseau, aux postes de travail et même aux applications. Pour ces dernières, la notion d'appliance virtuelle qui pointe son nez tant chez Red Hat que chez Ubuntu - Canonical, peut passer pour un rêve d'administrateur : une application prête à l'emploi qui se pose au dessus d'un hyperviseur et qui se met à jour tout aussi simplement. Effacer les adhérences, les adresses physiques et tout ce qui rend difficile une reconfiguration automatisée ouvrent d'immenses perspectives, mais il y a toujours plus loin de la coupe aux lèvres. L'optimisation des ressources serveur risque ainsi de créer des goulets d'étranglement an niveau des entrées sorties ; de plus en plus de voix s'élèvent pour dénoncer l'opportunisme malsain des éditeurs qui revoient à leur avantages leur politique de licence dont le calcul reposait jusque-là sur des machines bien réelles. Ces deux exemples donnent un indice des difficultés qu'il va falloir surmonter. Un effort d'autant plus difficile à réaliser que ce qui manque le plus pour l'instant, ce sont les compétences. Or, elles sont cruciales pour mettre en place l'armada d'outils d'administration que requiert un centre de données qui se pilotera à partir d'une console qui ramènera le tableau de bord d'un avion de ligne au rang de jeu pour les 5-6 ans. Quoi qu'il en soit, le mouvement est lancé et il est irréversible. [[page]] Les acteurs avec une position clé pour 2008 : - VMware , bien sûr, que sa mirifique introduction en bourse a propulsé en pleine lumière . Cette société, toujours contrôlée par EMC, s'impose comme la référence de la virtualisation sur architecture x64, tant pour ses hyperviseurs que pour ses outils d'administration. Un dossier complet, publié à l'occasion du VMWorld 2007 de septembre dernier, fait le point sur ce qui est en passe de devenir un énorme écosystème. - Microsoft , dont le retard est tel que l'on finit par se demander s'il ne découle pas d'un choix délibéré, devrait livrer son hyperviseur Hyper-V six mois après la sortie de Windows Server 2008. Soit en juillet prochain. En attendant, le premier éditeur mondial pose des jalons (ou des chausse-trappes, c'est selon) un peu partout. Déjà, Microsoft a rendu quasi impossible la virtualisation au niveau des postes clients sous Windows. Au niveau des centres de données, il place Virtual Machine Manager en embuscade au niveau de l'administration et indique qu'il faut payer le prix fort pour installer Windows Server en environnement virtuel, - Citrix , spécialiste du client déporté, a pris une position clé en rachetant XenSource, l'entité commerciale du projet Xen, hyperviseur Open Source concurrent de VMware, très en vogue dans le monde Linux. Allié objectif de Microsoft, Citrix veut jouer un double jeu, un pied dans chaque camp. Plutôt que de maintenir une division Xen, Citrix a fait le choix de disperser le savoir-faire de Xen dans toute l'entreprise. Cette décision montre que cet éditeur propose une troisième voie qui va directement du serveur au poste client. - Oracle , avec son talent unique de trouble-fête, a annoncé une offre de virtualisation maison fondée sur Xen. L'éditeur de SGBD et d'applicatifs, qui avait déjà semé le trouble en pillant le Linux de Red Hat, en profite pour sous-entendre qu'il serait risqué d'utiliser VMware. Même si cela est faux, ce genre de propos laisse des traces. Il reste aussi à citer Cisco, IBM, HP et Sun. Cisco parle depuis fin 2005 de VFrame, son outil d'administration des ressources virtualisées. Cette société a fait le choix de s'allier avec VMware en entrant à son capital et en annonçant l'intégration de VFrame Datacenter à Virtual Infrastructure. Quant à IBM et HP , très en retrait au niveau des logiciels systèmes, ils disposent de deux bras de levier : à eux deux ils fournissent la majorité des serveurs x64, sur lesquels ils peuvent préinstaller en mémoire flash l'hyperviseur de leur choix, et ils disposent de la palette d'outils d'administration la plus large. Dans le trio des constructeurs historiques, c'est Sun qui a la stratégie la plus originale. Non seulement, il a annoncé son propre hyperviseur pour faire cohabiter Solaris avec les autres OS x64 (Windows, Linux), mais il se lance aussi dans l'administration avec xVM Ops Center. Etant le moins bien implanté des trois sur le marché x64, il est celui qui a plus à perdre. (...)
(28/12/2007 09:02:14)EMC se paie Document Sciences
EMC, spécialiste du stockage, a annoncé le rachat de Document Sciences, acteur expert dans l'envoi de mailing personnalisé, pour 85 M$ en numéraire. Dans un communiqué, le groupe explique que cette opération devrait renforcer sa position sur le marché de la gestion de contenu transactionnelle, un segment très porteur selon lui. Les actifs de Document Sciences seront transférés dans la division gestion de contenu et archivage d'EMC. Document Sciences édite notamment xPression, une application d'automatisation de création et de personnalisation de documents, qui pioche ses données dans les systèmes d'entreprise, comme les PGI et les GRC. xPression est intégré à Documentum, plateforme de gestion de contenu de la marque, depuis 2004. La transaction, encore sujette à l'approbation des autorités, doit être finalisée fin mars. (...)
(27/12/2007 12:55:35)NetSuite, éditeur en mode SaaS, réussit son entrée en bourse
L'introduction en bourse de NetSuite, éditeur californien de progiciels intégrés de gestion en ligne pour PME, a atteint 185,4 M$. Le montant récupéré, deux fois plus élevé que ce que l'éditeur pensait au départ générer par cette opération, est un signe positif pour le marché des logiciels fournis comme un service (Software as a service, SaaS). NetSuite a été créée en octobre 1998 par Evan Goldberg, un ancien d'Oracle, sur l'idée de proposer des logiciels en souscription, à exploiter à partir d'une connexion Internet. Quelques mois après, en mars 1999, Marc Benioff, un autre ex-collaborateur d'Oracle, créait Salesforce.com sur le même principe. Après avoir mis un certain temps à convaincre, ce mode d'utilisation des logiciels professionnels constitue désormais une alternative sérieuse aux applications installées dans l'entreprise. Contrairement à Salesforce, NetSuite n'est pas encore implanté en France, mais dispose d'une antenne en Grande-Bretagne. Il compte 5 400 clients actifs dans le monde selon son prospectus d'introduction en bourse. En 2006, il a réalisé un chiffre d'affaires de 67,2 M$ et une perte nette de 35,7 M$. Au cours des neuf premiers mois de cette année, son chiffre d'affaires s'est élevé à 76,8 M$ et sa perte nette de 20,6 M$. Larry Ellison, PDG d'Oracle, qui détenait 31,9 millions d'actions de NetSuite au 30 novembre, les a transférées vers une holding, NetSuite Restricted Holdings. L'objectif est d'éliminer le pouvoir de son vote afin d'éviter les potentiels conflits d'intérêts, indique encore le prospectus. (...)
(27/12/2007 12:07:45)Thales, GE et Medasys perdent un contrat de 75 M€ auprès de l'AP-HP
Coup dur pour Thales, GE (General Electric) et Medasys (éditeur de logiciels médicaux) : l'AP-HP (assistance publique et hôpitaux de Paris) annule le marché signé avec le consortium fin mars dernier. Le projet consistait en la mise en place d'un outil technique commun dans 43 hôpitaux, dans le cadre de la création du « dossier patient unique » (centralisation des données du patient, à savoir identité, ordonnances, examens médicaux, résultats...). Il s'agissait par ailleurs du plus gros contrat informatique jamais passé en France dans le milieu hospitalier (75 M€). Le groupe avait remporté l'appel d'offres grâce au prix proposé, relativement bas, en comparaison avec celui des sociétés concurrentes. L'AP-HP a expliqué ce retournement de situation par les difficultés du consortium à répondre dans les temps à la proposition initiale. Le projet comprenait une première phase de prototypage, sur une durée de 18 mois, suivi d'un test pilote, puis d'un déploiement sur l'ensemble des hôpitaux. Medasys, qui a cédé un droit le licence de son logiciel DxCare à Thales, a déploré cette décision, en déclarant qu'il « n'est pas directement impliqué dans les relations avec l'AP-HP, mais suit l'évolution de la situation avec une attention toute particulière ». La société a également rappelé que son DxCare fonctionnait déjà de façon opérationnelle dans une cinquantaine d'hôpitaux français, et gérait quotidiennement plus de 10 millions de dossiers patients. L'AP-HP ne renonce pas à son projet de modernisation informatique, et à d'ores et déjà lancé un nouvel appel d'offres. (...)
(24/12/2007 10:09:20)SAP met son offre CRM 2007 à l'heure du Web 2.0 et de la VoIP
Pour faciliter l'adoption de ses solutions, SAP s'est mis au diapason des usages popularisés sur Internet. SAP CRM 2007, la dernière version, tout juste livrée, de son application de gestion de la relation client (GRC) tire ainsi parti des technologies Web 2.0. « Les attentes des utilisateurs sont dictées par les expériences qu'ils vivent quotidiennement, admet Renaud Sibel, responsable du développement de l'offre CRM pour l'Europe. Dans un contexte professionnel, ils s'attendent donc à pouvoir personnaliser leur environnement de travail à la manière d'un Yahoo ou d'un iGoogle. » Des fonctions qui n'ont rien d'accessoires dans des projets de CRM qui requièrent une réelle adhésion des utilisateurs pour réussir. L'éditeur s'est appuyé sur Ajax pour développer l'interface de SAP CRM 2007. Il est devenu possible de réorganiser l'affichage, de déplacer ou de masquer des zones de saisie, de renommer des libellés, de recevoir des flux RSS ou d'afficher placer des widgets. Des fonctions de VoIP dans un processus complet L'autre évolution importante de cette nouvelle version réside dans l'ajout de fonctions de communication dans des processus métiers complets, avec l'arrivée de SAP Business Communications Management. Un recours à la voix sur IP qui sera notamment mis à profit dans le centre d'appels. Les agents qui traitent les appels entrants pourront, par exemple, faire intervenir directement un expert dans la conversation en lui transférant parallèlement la fiche client. Si l'expert n'est pas à son poste, il sera joint de la même façon sur son mobile et à la fin de l'appel, c'est lui qui clôturera le ticket d'incident avec un SMS. SAP CRM 2007 inclut une nouvelle application de gestion prévisions de vente qui propose de recourir à des scénarios de type « what if » (que se passera-t-il si ?) pour effectuer des mesures d'impact sur les objectifs. Dans la démarche de vente, une autre application, Real-Time Offer Management, permet de récupérer sur les clients des informations qui serviront à augmenter le volume des ventes par des recommandations ou des offres pertinentes (vente incitative, vente croisée...). La nouvelle version couvre aussi la gestion des pièces de rechange (approvisionnement, inventaire, visibilité par dépôts, réservation, retour). Des solutions verticales pour les télécoms, la high tech... SAP propose des déclinaisons verticales de SAP CRM 2007. L'une de ces solutions, adaptée aux besoins du secteur des télécommunications, servira par exemple à gérer les campagnes de marketing dans le cas d'offres packagées composées d'éléments vendus habituellement de façon séparée. Elle s'ajoute à la solution de prise de commande déjà disponible. D'autres versions verticalisées de l'offre (il en existe 19) ont été développées pour le secteur public, la finance, l'industrie de la high tech et celle des biens de consommation. Le mois dernier, Oracle, le principal concurrent de SAP sur cette offre CRM, profitait de sa conférence utilisateurs annuelle pour pré-annoncer trois solutions destinées aux équipes commerciales. Ces nouveautés, qui ne sont attendues que pour le premier semestre 2008, seront les premières pièces de Fusion Applications, la nouvelle génération d'applications d'Oracle, construite sur une architecture orientée services. (...)
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