La Cnil a indiqué mardi n'avoir pas détecté de publication avérée de messages privés sur Facebook et pointe les modifications "récurrentes et unilatérales" de la plateforme pour expliquer la confusion des utilisateurs français qui avaient cru la semaine dernière à un "bogue". "Il ressort des analyses menées par la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) que les messages incriminés par de nombreux utilisateurs semblent être exclusivement des messages +mur-à-mur+ et non des messages envoyés par l'intermédiaire de la messagerie privée de Facebook", indique-t-elle dans un communiqué.