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(03/02/2009 11:51:01)

Divalto a poursuivi sa progression en 2008

« C'est pour nous la sixième bonne année consécutive et nous venons de franchir le cap des 10 M€ de chiffre d'affaires, se félicite Thierry Meynlé, directeur général de l'éditeur. Si une partie de la progression est expliquée par l'acquisition des progiciels du Centre Technique du Décolletage en avril dernier, notre croissance organique a tout de même été de 18% ». Deux évolutions expliquent la bonne performance de Divalto. La première est que l'éditeur a recruté 30 nouveaux partenaires. « C'est plus qu'un réseau, c'est devenu un « écosystème », qui mobilise au total plus de 1 000 personnes et qui génère un chiffre d'affaires de 97 millions d'euros si l'on tient compte des prestations commercialisées par nos 150 distributeurs », explique Thierry Meynlé. Et grâce à son réseau de distribution, Divalto a convaincu près de 400 nouveaux clients en 2008. La seconde évolution concerne la progression de Divalto dans des entreprises de plus en plus importantes : les quatre principales nouvelles références de l'éditeur pour 2008 ont à elles seules permis la vente de plus de 2 000 licences. Un bénéfice record qui représente près de 28% du CA Dans ce contexte, Divalto peut également afficher un résultat d'exploitation record de 2,8 M€, soit près de 28% du chiffre d'affaires. Cette manne permet à l'éditeur de poursuivre ses investissements en R&D et il lancera d'ici l'été la version 6.2 de son ERP. « Cela va aussi nous permettre de renforcer nos investissements en communication et en animation du réseau. Entre autres actions, nous emmènerons cette année nos partenaires sur l'île de La Réunion ». De fait, les événements partenaires de ce type se feront rares cette année sur le marché IT. Divalto affirme par ailleurs que son offre de SaaS, lancée en 2006, commence enfin à décoller : « La progression a été de 654% en 2008, et même si cette activité ne représente encore que 1% du chiffre d'affaires, les projets en préparation confirment que le développement de cette formule va effectivement s'accélérer », conclut Thierry Meynlé. (...)

(30/01/2009 17:57:50)

Les applications en mode hébergé confortent l'assise de Generix

Ce sont les applications de gestion en mode hébergé qui ont enregistré la plus forte croissance dans l'activité de Generix sur les neuf derniers mois. Elles ont généré 4,5 M€ (+32%) du chiffre d'affaires total de 51,1 M€ sur la période. Ces solutions regroupent l'ERP Generix Collaborative Enterprise, la plateforme d'intégration B2B TradeXPress On demand et les portails fournisseurs/clients de la distribution rachetés avec Influe, ainsi que la solution de gestion de la chaîne logistique (SCM, supply chain management) acquise avec Infolog. Ces applications fournies à la demande ne pèsent encore que 15,8% du chiffre d'affaires total sur les neuf premiers mois de l'exercice. Mais leur développement est très prometteur. En effet, la part des nouveaux contrats signés en mode SaaS (software as a service) connaît une progression à 3 chiffres chez Generix. Des contrats qui sont généralement signés sur 3 à 5 ans, selon Jean-Charles Deconninck, président de Generix Group. Par comparaison, les ventes de licences traditionnelles ont reculé de 8% sur les neuf mois écoulés, à 8,5 M$. Les revenus de la maintenance ont augmenté de 11%, à 15,4 M€, et ceux du conseil ont baissé de 3%, à 22,6 M€. Une croissance ralentie par le rachat d'Infolog [[page]]Le rachat d'Infolog, spécialiste de la gestion d'entrepôt, du transport et de la traçabilité, a pesé sur la croissance de Generix en 2008. En incluant cette activité, la progression du chiffre d'affaires du groupe français plafonne à +3%, alors qu'elle atteint +38% à périmètre constant. « Certains de nos clients ont levé le pied en septembre sur leurs déploiements logistiques, explique Jean-Charles Deconninck. Mais nous voyons maintenant une reprise de ces projets. » Il rappelle qu'Infolog a été racheté avec un objectif d'ordre industriel : couvrir la globalité de la chaîne de valeur dans le monde du commerce. La plateforme logistique développée dans le cadre de ce projet commence à être déployée auprès de certains clients. Elle propose des fonctions applicatives à la demande, sur la base d'une architecture multitenant, et sera officiellement lancée à la fin du premier semestre de cette année. « Elle permet de facturer véritablement à la demande, en tenant compte de la variabilité de l'activité des clients, des modules fonctionnels qu'ils utilisent et des volumes gérés », souligne le président du groupe. La supervision des événements de Systar intégrée dans l'offre A noter que Generix vient d'intégrer la technologie de supervision des événements (BAM, business activity monitoring) du Français Systar à sa plateforme d'intégration B2B TradeXpress Entreprise. « Nos clients opèrent dans les métiers de la logistique, sont fournisseurs de la grande distribution ou transporteurs, rappelle Jean-Charles Deconninck. 70% du flux de commandes de la grande distribution française passent par nos serveurs. On doit donner à nos utilisateurs les moyens de piloter leur processus critiques de façon extrêmement serrée. D'où la nécessité de mettre en place une architecture événementielle afin d'associer un niveau de service élevé à nos applications en mode SaaS. » (...)

(30/01/2009 12:03:11)

Désormais SAP entre aussi dans les entreprises par les projets BI (interview)

L'éditeur allemand SAP vient de publier de bons résultats pour 2008 tout en annonçant 3 000 suppressions de postes d'ici à la fin de cette année. Pascal Rialland, directeur général de la filiale française, revient sur les succès et les creux enregistrés dans l'Hexagone par l'entreprise qu'il dirige : réussite de l'intégration avec Business Objects, grands clients repris aux concurrents sur les offres de gestion de la performance, baisse d'activité sur certains secteurs, sans oublier la hausse du tarif de la maintenance à 22% du prix des licences. L'acquisition de Business Objects est une réussite à plus d'un titre. « La BI nous a tirés vers le haut toute l'année, explique Pascal Rialland. Et, désormais, nous sommes capables d'ouvrir un compte SAP sur un projet de Business Intelligence alors qu'auparavant, cela se faisait sur l'ERP. » Sur la maintenance, le patron de SAP France explique que l'éditeur vend depuis deux ans des services complémentaires de maintenance à ses clients, le plus souvent lors de la phase de pré-mise en production d'un système, avec une capacité d'intervention en temps réel. Et rappelle qu'en France, la hausse du tarif sera très progressive et n'atteindra les 22%, au plus vite, que dans quatre ans. Voilà un peu plus de trois ans que Pascal Rialland, qui dirigeait SFR Entreprises, est à la tête de SAP France. Depuis 2005, le chiffre d'affaires de la filiale a doublé (+46% en 2008 par rapport à 2007). Néanmoins, l'année 2009 s'annonce difficile, d'autant que l'éditeur veut parvenir à améliorer sa marge opérationnelle, inférieure à celle de ses concurrents directs, Oracle et Microsoft. - Lire l'interview de Pascal Rialland, DG de SAP France (...)

(28/01/2009 14:40:54)

Annuels SAP : une belle croissance qui n'empêche pas la suppression de 3 000 postes en 2009

Malgré la crise, certains acteurs de la IT ont pu tirer leur épingle du jeu en 2008, en partie grâce à leur stratégie de croissance externe. C'est le cas de SAP, dont l'action a progressé de 6% à la bourse de Frankfort, après l'annonce de ses résultats. Son chiffre d'affaires annuel s'établit à 11,57 Md€ pour l'année 2008, en progression de 13% en incluant l'activité de Business Objects dans sa comparaison avec l'année 2007. Le résultat opérationnel progresse en valeur absolue de 4% à 2,84 Md€. En revanche, la marge opérationnelle est impactée par le rachat de BO, dont les coûts de fonctionnement étaient supérieurs à ceux de SAP : elle tombe à 24,6% du chiffre d'affaires, contre 26,7% l'an dernier. Le bénéfice net recule de 2% à 1,88 Md€ (1,91 Md€ en 2007). L'exercice 2009 de SAP sera beaucoup plus incertain et le numéro 1 mondial des logiciels d'ERP prévoit, d'ici à la fin 2009, de supprimer 3 000 postes sur un effectif mondial de 51 500 salariés (en octobre dernier, il avait déjà réduit ses dépenses et gelé ses embauches). Pour y parvenir, il va réduire au minimum ses recrutements et tabler sur les départs « naturels ». Mais il prévoit aussi un plan de départs volontaires. Pour l'instant, aucun détail n'est fourni sur la répartition des suppressions par zone géographique ni par domaines d'activité. On en saura sans doute davantage sous peu puisque l'éditeur s'apprête à entamer les discussions avec les partenaires sociaux. En passant de 51 500 à 48 500 collaborateurs, il prévoit d'économiser de 300 à 350 M€ sur ses coûts annuels pour commencer 2010. +30% sur les ventes de licences et de maintenance en France au 4e trimestre Sur l'année 2008, SAP a réalisé globalement une croissance de 14% sur ses ventes de licences logicielles et de maintenance qui s'élèvent à 8,457 Md€ (calculées suivant les normes US GAAP). Mais ces performances sont, là aussi, atteintes à périmètre courant, c'est-à-dire en tenant compte de l'absorption du Français Business Objects, le 21 janvier 2008. A périmètre constant, c'est-à-dire sans tenir compte du rachat, les ventes de licences et de maintenance de SAP n'ont progressé que de 6% d'une année sur l'autre (un calcul réalisé en outre à taux de change constant et sans s'appuyer sur les normes US GAAP). En France, SAP a réalisé une progression de 46% sur le chiffre d'affaires total en 2008. « La fin d'année a été forte, avec une progression de 30% des ventes de licences et de maintenance au quatrième trimestre », détaille Pascal Rialland, DG de la filiale française. « Après une période de grave incertitude entre le 15 septembre et fin octobre, il y a eu un apaisement et un effet d'amortisseur dans l'économie française qui nous a permis de rester sur une dynamique très positive », explique le dirigeant. Depuis son arrivée à la tête de SAP France, il y a trois ans, le chiffre d'affaires de la filiale française a doublé (300 millions d'euros en 2005). Le succès non démenti du décisionnel de BO [[page]] Toujours dans l'Hexagone, l'activité liée aux solutions décisionnelles de Business Objects a, à l'évidence, tiré les revenus vers le haut, alors même que BO avait déjà des parts de marché importantes sur le secteur. Au printemps dernier, l'éditeur a recomposé son catalogue BI en conjuguant ses propres produits et ceux réunis par BO. Quatre offres ont très bien fonctionné : Profit & Cost Management (héritée de BO/ALG), la planification budgétaire acquise par SAP avec le rachat d'OutlookSoft, Financial SCM qui permet d'optimiser la gestion de la trésorerie (une offre BO/Cartesis) et, enfin, la gestion des risques et de la conformité (rachetée avec Virsa Systems). De gros contrats avec Areva et Schneider Electric D'autres domaines ont bien marché. « Le manufacturing, l'un de nos secteurs historiquement fort, a beaucoup investi ces derniers temps, même s'il est par ailleurs touché par la crise, souligne Pascal Rialland. D'une part, parce que ces entreprises ont voulu réduire les temps de déploiement de leurs projets pour en réduire les coûts. D'autre part, parce qu'elles ont souhaité accélérer l'alignement de leurs équipes sur les mêmes outils informatiques et les mêmes processus ». Parmi les contrats remportés, le DG de SAP France cite notamment Areva et Schneider Electric. Les ventes ont moins bien marché sur le secteur public, en comparaison de 2007, année de Chorus. En revanche, sur 2009, la filiale a de gros projets en ligne de mire (notamment l'Opérateur national de paye ou ONP pour les fonctionnaires civils). « Il y a énormément à faire dans la réforme de l'Administration », pronostique Pascal Rialland. +39% sur les PME, mais 2009 sera difficile Du côté des PME, la filiale française a réalisé une progression de 39% en 2008 sur l'ensemble de cette activité qui vise les entreprises réalisant moins de 500 M€ de chiffre d'affaires. Dans cet ensemble, il convient de distinguer l'augmentation de 116% sur sa ligne de produits Business One, destinée aux PME de moins de 200 personnes (où dont le CA est inférieur à 150 M€). En 2009, en revanche, Pascal Rialland estime que le marché des PME ne sera pas facile pour en France. « Ce secteur va souffrir. Nous voyons des PME qui ne peuvent pas investir car elles doivent gérer des problèmes de trésorerie ». Enfin, concernant l'offre hébergée SAP Business ByDesign, proposée aux PME en mode SaaS (software as a service), l'éditeur continuera à se focaliser sur les six pays sur lesquels elle a déjà été commercialisée, dont la France, qui compte plusieurs clients. L'éditeur a prévu d'attendre avant de la lancer sur de nouveaux pays. (...)

(26/01/2009 12:43:25)

Oracle adapte Tuxedo aux spécifications SCA

Désormais disponible en version 10g R3, le vénérable moniteur transactionnel Tuxedo continue son adaptation aux architectures orientées services (SOA), entamée avec BEA, cette fois sous l'égide d'Oracle. Pour la première mise à jour de Tuxedo depuis le rachat de BEA il y a un an, Oracle confirme en effet l'orientation services Web prise par BEA avec sa technologie Salt (Services architecture leveraging Tuxedo). Le but de Salt est d'exposer des fonctionnalités du moniteur transactionnel sous forme de services, afin de les inclure dans une SOA. La version 2.0 de Salt, présentée en octobre 2007, s'ouvrait aux services bi-directionnels, et supportait le protocole WS-Security. Avec Tuxedo 10g R3, Oracle ajoute le respect des spécifications SCA (Service component architecture) dont le but est d'établir un modèle de référence pour le développement de produits destinés à s'insérer dans des SOA, afin de faciliter l'intégration entre les produits de différentes provenances. Elaboré par 18 éditeurs dont Oracle, SCA a été soumis à l'Oasis au printemps 2007, et est désormais régi par l'organisme de standardisation. Oracle a par ailleurs fait en sorte d'intégrer au mieux Tuxedo avec le reste de son portefeuille de produits middleware, notamment la suite de gestion des identités et Clusterware, son offre pour 'clusteriser' les applications. Dans tous les cas, Oracle semble rester fidèle à sa promesse : Tuxedo continue d'évoluer, mais sans présenter de dépendances à d'autres produits ou technologies Oracle. Tuxedo était un des joyaux du portefeuille de BEA. Fin 2007, alors que BEA faisait en sorte qu'Oracle augmente son offre, Massimo Pezzini, expert en middleware chez Gartner, soulignait que Tuxedo n'avait pas d'équivalent chez Oracle. Et quelles que soient les vertus des derniers serveurs d'applications Java, les moniteurs transactionnels restent inégalés pour ce qui est de supporter des nombres de transactions très élevés avec des temps de réponse satisfaisants. (...)

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