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(09/01/2009 10:43:59)

Maintenance SAP : le club USF sollicite les conseils d'un cabinet d'avocats

L'USF, club des utilisateurs de SAP francophones, a informé hier soir 8 janvier, qu'il était toujours en alerte et suivait de près les actions menées par le Sugen (SAP User Group Executive Network) autour du nouveau contrat de maintenance logicielle Enterprise Support au coût majoré. En novembre, ils avaient obtenu certains aménagements de la part de SAP et avaient semblé faire contre mauvaise fortune bon coeur. Mais, l'USF rappelle que, depuis, les utilisateurs germanophones ont obtenu dans certaines conditions le maintien du contrat à 17% en 2009, alors que l'éditeur indiquait que ce n'était « industriellement » pas possible. L'USF a donc décidé de missionner un cabinet d'avocats spécialisé pour l'aider à « mieux décrypter les aspects juridiques du changement contractuel induit par la nouvelle politique de tarifs de maintenance ». Le nom du cabinet d'avocats en question n'est pas communiqué pour l'instant. L'objectif est de noter des « points de vigilance, applicables lors de la négociation de nouveaux contrats ou lors de la renégociation de contrats en cours afin d'éviter à l'avenir de nouvelles déconvenues. » De manière officieuse, il s'agit également pour certains adhérents de l'USF d'obtenir les arguments juridiques afin de faire pression sur l'éditeur et obtenir satisfaction, y compris le cas échéant devant les tribunaux. (...)

(23/12/2008 16:28:00)

Bilan 2008 : SAP augmente ses tarifs de maintenance, ses utilisateurs se rebellent

Au premier trimestre 2008, l'éditeur allemand SAP, numéro un mondial des ERP (progiciels de gestion intégrés), propose à ses nouveaux clients un contrat de maintenance aux fonctions étendues. Jusque-là, ceux-ci pouvaient opter pour un support de base, dit « Basic », facturé annuellement 17% du prix de la licence payée, ou bien choisir le contrat « Premium » à 22% pour bénéficier d'un service plus avancé. Or, à partir d'avril 2008, le contrat Enterprise à 22% devient le seul support possible pour les nouveaux clients : une formule accessible 24h/24 et 7j/7, incluant des engagements sur les temps de réponse. L'éditeur explique que les nouvelles applications composites qui intègrent des solutions SAP et non SAP nécessitent un support avancé. Pourtant, certains analystes font remarquer que tous les clients n'auront pas besoin d'un tel niveau de service et qu'ils risquent de trouver la note un peu salée. Sur les forums, les réactions fusent. En mai, sur sa conférence Sapphire de Berlin, l'éditeur allemand réaffirme pourtant l'intérêt de sa démarche. Le contrat Enterprise aurait déjà convaincu 200 clients. SAP veut faire passer tous ses utilisateurs au contrat à 22% En juillet, l'éditeur va encore plus loin. Il annonce soudainement qu'il invitera finalement l'ensemble de ses clients à basculer sur le support à 22% dès le 1er janvier 2009. A la grande stupeur de la majorité des clubs utilisateurs. Même s'il est prévu que le passage du contrat à 17% au contrat étendu soit progressif, beaucoup d'entreprises sont certaines qu'elles n'auront pas l'utilité d'un tel niveau de support. Pour preuve, elles estiment déjà ne pas utiliser pleinement le contrat Basic. Assez rapidement, les clubs utilisateurs se mettent en ordre de marche pour parler d'une seule voix à SAP et tenter de le faire revenir sur sa décision. En novembre, l'éditeur accepte d'envisager un allongement du support sur ERP 6.0 et de mettre en place une mesure de satisfaction des utilisateurs. Cela ne suffira pas aux utilisateurs allemands qui, en raison d'une législation particulière, ont vu leur contrat brusquement interrompu. Face à leur grogne qui s'amplifie, SAP lâche du lest et leur accorde un sursis d'un an. Cet arrangement préfigure-t-il d'autres assouplissements en 2009 ? A lire sur ce sujet : - Le 11 décembre : Les clients allemands de SAP obtiennent un sursis sur les tarifs de la maintenance - Le 27 novembre : Le club américain des utilisateurs SAP se sépare de son président - Le 12 novembre : Guerre de la maintenance SAP : les utilisateurs se rangent derrière leur éditeur - Le 07 novembre : Les utilisateurs de SAP obtiennent un geste sur la maintenance - Le 16 octobre : Convention des utilisateurs SAP francophones : l'éditeur défend sa maintenance majorée - Le 13 octobre : Hausse de la maintenance SAP : Forrester suggère des parades - Le 10 octobre : Entretien avec Jean Leroux, président de l'USF, club des utilisateurs SAP francophones - Le 30 septembre : Les clubs d'utilisateurs de SAP sondent les clients sur le contrat Enterprise Support - Le 14 août : Hausse des tarifs SAP : les clubs utilisateurs en ordre dispersé - Le 22 juillet : Interview de Jean Leroux, président de l'USF, club des utilisateurs SAP francophones - Le 21 juillet : Les utilisateurs de SAP déçus mais attentifs à la valeur - Le 16 juillet : Tous les clients de SAP paieront la maintenance au prix fort - Le 28 mai : SAP affirme le succès de sa maintenance facturée 22% du prix des licences - Le 13 mars : Forrester et le CXP pointent le coût de support révisé de SAP (...)

(15/12/2008 14:40:50)

Infor réduit ses effectifs de 5% au niveau mondial

Après Lawson Software en novembre dernier, c'est au tour de l'éditeur Infor de réduire ses effectifs pour, dit-il, se mettre en phase avec les 'réalités' du contexte économique global. Considéré comme le troisième fournisseur mondial d'ERP -progiciels de gestion intégrés- derrière SAP et Oracle, cet éditeur américain (basé en Géorgie) indique que ces réductions touchent 5% de son effectif mondial (environ 9 000 salariés). La direction française ne sait pas encore dans quelle mesure ces dispositions affecteront la filiale hexagonale. Celle-ci emploie 410 personnes. Infor, qui fait actuellement évoluer son offre vers une architecture orientée services (SOA), a présenté à ses utilisateurs français les dernières mises à jour de ses gammes à l'occasion de sa conférence Inforum, organisé à Paris en novembre. En France, 3 700 entreprises sont sous contrat de maintenance avec l'éditeur, dont la base installée mondiale ne compte pas moins de 70 000 clients. Une entreprise rentable Le communiqué diffusé pour confirmer les réductions d'effectifs mentionne qu'Infor est une entreprise saine et rentable. La société, non cotée, prévoyait en 2008 un chiffre d'affaires global de 2,2 milliards de dollars. Détenu par le fonds d'investissement Golden Gate Capital, Infor s'est constitué par croissance externe au cours des récentes années (avec un coup d'accélérateur en 2006) en récupérant les offres et bases installées d'éditeurs comme SSA, Baan, Mapics, Epiphany, Extensity, Systems Union... Le fournisseur se trouve donc à la tête d'un vaste catalogue qui rassemble non seulement des ERP (très implantés dans le monde AS/400-System i d'IBM), mais également des offres de gestion de la performance financière, du cycle de vie des produits (PLM), de la relation client (CRM) et des ressources humaines (notamment en France, avec Anaël). (...)

(11/12/2008 16:48:11)

Les clients allemands de SAP obtiennent un sursis sur les tarifs de la maintenance

La grogne persistante des utilisateurs allemands de SAP contre la hausse du coût de la maintenance annuelle annoncée en juillet (de 17 à 22% du prix initial des licences) aura finalement porté ses fruits. L'éditeur d'ERP -progiciels de gestion intégrés- va finalement permettre à ceux d'entre eux qui le souhaitent de conserver en 2009 leur contrat de maintenance Standard à 17%. Il en ira de même pour les clients autrichiens. De fait, ces entreprises avaient vu SAP mettre un terme à leur contrat de maintenance en cours pour les faire passer à la nouvelle formule, Enterprise Support. Une formule très enrichie, certes, comme le souligne constamment SAP, mais beaucoup plus chère (même si l'éditeur affirme que le client doit y trouver son compte dans la durée et faire baisser son coût total de possession). La résiliation des contrats mal interprétée par certains clients allemands, selon SAP Volker Merk, le patron de SAP Allemagne, a reconnu mardi dernier lors d'une conférence téléphonique, que la résiliation des contrats avait été mal interprétée par certains clients qui l'ont, en quelque sorte, ressenti comme une rupture de la relation de confiance qu'ils avaient avec leur éditeur. SAP explique, dans un communiqué cité par nos confrères d'IDG News Service, que les modifications apportées aux contrats existants s'appuient sur les législations en vigueur, différentes dans chaque pays. En Allemagne et en Autriche, il aurait ainsi fallu résilier les contrats existants pour faciliter le passage au contrat Enterprise Support. C'était sans compter la levée de boucliers des utilisateurs locaux. Une centaine d'entreprises, parmi lesquelles Miele, Bahlsen ou encore Villeroy & Boch, se sont notamment regroupées pour protester contre cette politique de prix qu'ils jugent « irresponsable et injustifiée », selon l'édition locale du Financial Times. Jusque-là, SAP s'était montré inflexible, en dépit des offensives répétées des clubs utilisateurs pour qu'il révise la nouvelle tarification de son support. En novembre dernier, le Sugen, qui fédère ces clubs au niveau mondial, avait bien obtenu quelques aménagements (notamment l'allongement du support d'ERP 6.0 et la mise en place d'un contrôle de la satisfaction des utilisateurs), mais sans revenir sur la hausse programmée. une action en recul de 2,90% [[page]] Selon le DSAG, club des utilisateurs germanophones de SAP , les clients allemands et autrichiens vont avoir la possibilité de conserver leur ancien contrat ou d'y revenir pendant toute l'année 2009. Une décision qu'ils devront notifier d'ici le 30 mars prochain. SAP devrait sous peu leur écrire à ce sujet. Pour les clients qui choisiront de conserver le contrat Standard, l'augmentation de tarif n'interviendra alors qu'à partir du 1er janvier 2010 et se calera sur l'indice du coût de la main d'oeuvre (LCI, Labour cost index), un indice harmonisé au niveau européen. Cet aménagement, qui se limite aujourd'hui à l'Allemagne et à l'Autriche, ne fait évidemment pas les affaires de SAP. L'éditeur voit la croissance de ses ventes de licences ralentir. Et les revenus de la maintenance représentent à eux seuls plus de 40% de son chiffre d'affaires (sur les neuf premiers mois de l'année). D'autant plus que l'arrangement proposé aux utilisateurs germanophones risque d'inciter les clients des autres pays à maintenir leur demande de révision de tarif. Conséquence directe ou non, l'action de SAP le 11 décembre à 14h53 avait enregistré un recul de 2,90% à 25,82 euros. En France, l'augmentation du taux est progressive En France, comme l'a rappelé fin novembre Lionel Schwirtz, directeur des ventes de maintenance chez SAP, dans un entretien avec CIO-online.com, « le taux de 22% ne concerne pour l'instant que les nouveaux acquéreurs de solutions SAP, les anciens clients de la maintenance à 17% bénéficiant d'une période d'adaptation où la maintenance va progressivement passer de 17 à 22%, aujourd'hui 18,3% », en soulignant que l'augmentation est donc « similaire à ce que l'on constate dans l'indice Syntec ». (...)

(04/12/2008 14:42:21)

Adobe clôt l'année moins bien que prévu et supprime 8% de ses effectifs

L'éditeur Adobe fait à son tour les frais du ralentissement économique. A l'occasion de la publication, mercredi dernier, des résultats préliminaires de son quatrième trimestre fiscal, le groupe a indiqué qu'il allait supprimer l'équivalent de 600 postes dans le monde, soit 8% de ses effectifs. Sa nouvelle gamme Creative Suite 4, qui comprend des produits comme Photoshop et Dreamweaver, ne se serait pas vendue aussi bien que prévu en raison de la baisse des investissements des entreprises. "La crise économique mondiale a touché de manière significative notre chiffre d'affaires au cours du quatrième trimestre", s'est ainsi justifié Shantanu Narayen, PDG d'Adobe. L'éditeur prévoit sur son quatrième trimestre fiscal un chiffre d'affaires compris entre 912 et 915 M$, alors que ses précédentes estimations s'établissaient entre 925 et 955 M$. Les bénéfices, en revanche, seront plus élevés qu'attendu, entre 0,59 et 0,60 dollar par action avant charges (les analystes tablaient sur 0,51 dollar). Pour le premier trimestre de son exercice 2008-2009, le groupe table sur un chiffre d'affaires de 800 à 850 M$ (alors que les analystes attendaient 944 M$). Serait-ce également des raisons économiques qui ont conduit Adobe à ne par participer à la prochaine grand messe annuelle du Monde Mac ? En tout état de cause, l'éditeur a fait savoir qu'il n'exposerait pas au MacWorld Expo 2009 à San Francisco, sans préciser si cette décision résultait d'un souci de réduction des coûts. (...)

(03/12/2008 17:47:10)

Geodis rachète IBM Global Logistics pour 300 M€

Geodis, filiale transport et logistique de la SNCF depuis avril dernier, vient de racheter l'activité logistique d'IBM pour un montant de 300 M€. Partenaire de Big Blue depuis dix ans, Geodis a été choisi parmi d'autres prestataires comme UPS ou Fedex au terme d'une sélection qui a duré neuf mois. Le groupe continuera de gérer l'ensemble de la chaîne d'approvisionnement d'IBM (transports, formalités douanières, gestion des pièces détachées...) Un contrat juteux qui lui permet d'engranger 1 Md$ par an durant une période de quinze ans. Par ailleurs, Geodis proposera cette plateforme de pilotage à d'autres clients, afin de mutualiser les ressources. « Ce service est opérationnel et offre une parfaite traçabilité de la marchandise. Il correspond aux besoins de secteurs où les flux sont tendus et les stocks réduits, comme les produits high-tech (informatique, imagerie médicale...) ou les biens de consommation à forte valeur ajoutée », explique Jean-Louis Demeulenaere, directeur général délégué de Geodis. A terme, la société devrait décliner ce service pour la gestion des pièces détachées (dans le high-tech toujours, mais également l'automobile). Les équipes d'IBM Global Logistics (1200 personnes, dont une trentaine en France) rejoindront celles de Geodis au courant du premier trimestre 2009. La chaîne logistique d'IBM n'est pas très 'green' Cette opération ne fait toutefois pas l'unanimité. Les syndicats de la SNCF se sont immédiatement insurgés contre cette transaction, qu'ils qualifient de « 'Monopoly' démentiel ». « Ce rachat est complètement incohérent, conteste un syndicaliste de SUD-Rail. Alors que la SNCF manque de fonds pour améliorer son propre service, elle décide de mettre 300 M€ sur la table pour se procurer une branche logistique qui n'a rien de ferroviaire ! » IBM achemine ses produits depuis ses usines d'Asie, d'Irlande ou des Etats-Unis en majorité par fret maritime. Les pièces de plus grande valeur transitent quant à elle par avion. Une fois en Europe, ce matériel est ensuite envoyé dans les points de vente par camions. Selon les syndicats, la SNCF se contredit donc en ce qui concerne sa politique de protection de l'environnement. La vente de sa plateforme logistique permet en revanche à IBM d'améliorer de manière détournée ses pratiques vertes. D'après l'étude « Green IT rapport 2008 » publiée par Capgemini en octobre dernier, la plupart des entreprises interrogées (dont IBM) « soulignent la difficulté d'étendre leur politique verte à l'ensemble de leur chaîne d'approvisionnement, en raison de sa complexité. » IBM explique pour sa part les raisons de ce rachat par un recentrage sur son coeur de métier. « Les entreprises créent d'autant plus de valeur qu'elles se concentrent sur des domaines critiques qui leur permettent de se différencier, tout en cherchant à nouer des partenariats pour les activités qui ne font pas parte de leur coeur de métier », a commenté Gary Smith, vice-président d'IBM Global Logistics. IBM France précise par ailleurs que cette vente est en réalité « la suite logique d'une transformation de la supply chain qui a débuté il y a dix ans par l'externalisation de certains services et qui se finalise aujourd'hui par un transfert complet des compétences. » (...)

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