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(07/07/2008 14:23:26)
Le nouveau président de l'Acsel veut fédérer tous les métiers de l'économie numérique
Pierre Kosciusko-Morizet, fondateur et PDG de PriceMinister, a été élu président du nouveau conseil d'administration de l'Acsel (Association pour le commerce et les services en ligne, qui regroupe 150 sociétés des technologies émergentes). Ce conseil a été renouvelé le 26 juin lors de sa dernière assemblée générale. Pierre Kosciusko-Morizet succède ainsi à Henri de Maublanc (cofondateur et PDG d'Aquarelle, le fleuriste en ligne), qui a occupé ce poste durant 14 ans, et devient président d'honneur de l'association. Le tout jeune président de l'Acsel (31 ans à peine) est membre de l'association depuis 2001, et administrateur depuis 2005. Il a pour ambition de continuer à fédérer l'ensemble des métiers gravitant autour de l'économie numérique : acteurs du Web 2.0, opérateurs mobiles, sites d'e-commerce, hébergeurs, portails, avocats, investisseurs... « La caractéristique principale de l'Acsel, c'est sa transversalité », explique Pierre Kosciusko-Morizet. Belle progression en perspective pour les achats en ligne Selon lui, la France a un retard à rattraper en termes d'économie numérique : « Seuls 50% des foyers disposent d'une connexion Internet (contre 75% en Grande-Bretagne, jusqu'à 85% dans les pays nordiques), et l'âge moyen d'un PC dans les universités est de sept ans ! », souligne-t-il en effet. Un constat que corrobore le rapport remis en janvier dernier par Henri Isaac à Valérie Pécresse, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. Pierre Kosciusko-Morizet déplore également certaines orientations que prend le gouvernement pour « légiférer dans tous les sens sur un mode d'achat qui fonctionne bien, et qui reçoit l'adhésion de millions d'internautes ». Les achats en ligne ne représentent que 5% du commerce de détail en France selon l'Acsel, mais devraient augmenter, notamment dans des secteurs comme les voyages, le high-tech, les produits culturels et aujourd'hui le textile, grâce au nombre croissant d'internautes femmes. (...)
(04/07/2008 17:35:48)Découvrir le tour de France en 3D grâce à Google Street View
Google inaugure Street View dans l'Hexagone à l'occasion du Tour de France, qui démarre demain 5 juillet à Brest. Ce service, déjà disponible aux Etats-Unis, vient compléter le catalogue d'images récoltées par satellite pour Google Maps. Les internautes peuvent ainsi endosser le maillot des cyclistes et parcourir les 21 étapes du tour de France, avec la possibilité d'avancer, de reculer, de visionner le panorama à 360° et de basculer la carte en mode relief. Cette prouesse est le résultat d'un travail de fourmi : des voitures Google ont arpenté le trajet prévu pour le peloton, photographiant mètre par mètre le parcours sous plusieurs angles. Afin d'éviter les problèmes de protection de la vie privée, Google s'est engagé à flouter les visages des personnes ainsi que les plaques d'immatriculation des voitures. La Cnil a salué cette initiative, tout en soulignant que le système de floutage était imparfait (notamment pour les visages de profil). Elle invite les internautes à signaler à Google toute « erreur d'inattention » de son logiciel, via le lien Street View help. Street View devrait être étendu à plusieurs grandes villes françaises. Les voitures Google ont d'ailleurs déjà photographié et cartographié plusieurs villes de la région parisienne . (...)
(04/07/2008 16:33:31)Google contraint de fournir les identifiants des utilisateurs de YouTube à Viacom
Le juge fédéral de New York a décidé hier d'obliger Google à fournir l'ensemble des informations concernant les vidéos diffusées sur YouTube, y compris celles qui ont été supprimées du site, ainsi que celles de leurs utilisateurs (identifiants et adresses IP). Cela correspond à 12 To de données. Cette décision de la cour intervient dans le cadre de la procédure judiciaire lancée en mars 2007 par Viacom, le géant des médias américains, contre YouTube et sa maison mère Google pour violation massive et intentionnelle du droit d'auteur. La cour a en revanche rejeté la demande de Viacom en ce qui concerne l'ouverture du code source de Video Identification, l'outil de filtrage vidéo lancé en octobre dernier, ainsi que l'accès aux algorithmes de recherche de Google. Viacom reproche à YouTube d'avoir diffusé 160 000 vidéos sans autorisation de sa part. Ces vidéos auraient été visionnées plus d'un milliard et demi de fois par les internautes. Viacom réclame un milliard de dollars de dommages et intérêts. En mars dernier, David Eun, vice-président des partenariats de contenu chez Google avait estimé que ce procès était infondé et constituait une attaque envers l'innovation sur Internet. Google s'est toutefois engagé à se conformer à l'ordonnance du tribunal, mais a demandé à Viacom de garder anonymes les identifiants, dans un souci de protection des données personnelles. Pour rappel, Google a ajouté aujourd'hui un lien à propos de sa politique de confidentialité sur sa page d'accueil. Une partie concerne d'ailleurs YouTube, mais pour le moment l'affaire Viacom n'y est pas mentionnée. (...)
(04/07/2008 15:46:03)Les blogs institutionnels ennuient tout le monde
Forrester Research s'est penché sur la qualité éditoriale des blogs institutionnels des sociétés. Après avoir passé au crible 90 d'entre eux issus de sociétés du Fortune 500 dans le marché du BtoB, les conclusions du cabinet sont sans appel. Ces blogs ont échoué dans leur quête d'audience et ne suscitent parmi leurs rares lecteurs, que peu d'intérêt ou de réactions, lorsque celles-ci sont autorisées. On les comprend : 71% des sujets abordés portent sur des informations sans grand intérêt sur la société ou le secteur concerné, 16% seulement contiennent une touche personnelle et 56% "régurgitent" des discours déjà émis (communiqués de presse...). D'ailleurs, 53% des responsables marketing des entreprises concernées reconnaissent qu'ils ne tiennent pas compte de leurs blogs institutionnels dans leur stratégie de communication. (...)
(04/07/2008 12:48:00)Google joue enfin la transparence sur sa politique de confidentialité
Google a rajouté en toute discrétion un petit lien sur sa page d'accueil, renvoyant sur une présentation de la notion de confidentialité vue par le célèbre moteur de recherche. Il s'agit souvent d'informations qui existaient déjà, mais qui étaient encore moins mises en évidence pour les internautes. Avec ce petit lien, Google se met en réalité au diapason avec une loi californienne datant de 2003, et qui impose à tout site collectant des données personnelles sur ses visiteurs de les en informer clairement. La présentation se divise en trois parties principales : les champs d'application, où Google détaille comment il recueille certaines informations personnelles ou utilise les cookies, en agrémentant ses explications de vidéos ; les utilisations qu'il peut faire de ces données (que ce soit dans un but commercial ou juridique) ; les choix enfin, dont dispose l'internaute, comme celui de modifier ou de supprimer certaines informations. Google saupoudre évidemment le tout d'une rasade de bonnes intentions : les informations personnelles sont utilisées dans le but d'offrir de meilleurs services ou de prévenir les fraudes, et si leur modification est autorisée, elle est toutefois vivement déconseillée, car « certaines fonctionnalités et certains services pourraient en pâtir ». Des détails sur les déclarations de confidentialité Google a également ajouté sur la gauche de la page « confidentialité » une série de liens détaillant les déclarations de confidentialité de certains de ses services (Gmail, Google Talk...) et filiales. Parmi elles on retrouve YouTube, actuellement au coeur d'un conflit qui oppose Google et Viacom, le géant des médias américains, qui lui reproche d'avoir autorisé le visionnage de 160 000 vidéos dont il est propriétaire. Le tribunal fédéral de New York vient d'obliger Google à fournir l'ensemble des données concernant les vidéos diffusées sur YouTube depuis sa création, y compris celles qui ont été supprimées. (...)
(04/07/2008 07:40:08)Rose Dieng-Kuntz, éminente chercheuse de l'Inria, s'est éteinte
Depuis lundi 30 juin, l'Inria est en deuil. Rose Dieng-Kuntz, chercheuse à Sophia Antipolis, s'est éteinte à 52 ans des suites de maladie. Spécialiste en intelligence artificielle, elle dirigeait depuis plusieurs années des travaux sur la gestion des connaissances et le web sémantique. Elle avait été la première femme africaine admise à l'Ecole Polytechnique en 1976, et détenait un diplôme de l'ENST, un DEA en informatique et une thèse sur la spécification du parallélisme. Après des débuts chez Digital Equipment, elle était entrée à l'Inria de Sophia Antipolis pour participer à des projets d'intelligence artificielle en 1985. Sur le wiki de témoignages ouvert par l'Inria, Pierre Haren, fondateur d'Ilog, se souvient de « Rose Dieng depuis 1969, ma première distribution des prix au lycée Van Vollenhoven, à Dakar, où elle avait raflé tous les premiers prix. [J'ai] admiré sa trajectoire fulgurante qui n'avait pas entamé sa modestie.» C'est avec lui qu'elle allait intégrer l'Inria quelques années plus tard. En 2005, le parcours de Rose Dieng-Kuntz avait été récompensé par le prix Irène Joliot-Curie qui récompense des femmes scientifiques d'exception. L'année suivante, elle avait été nommée chevalier de l'ordre national de la Légion d'Honneur. « Un esprit visionnaire et un talent immense » J'ai eu le plaisir de l'interviewer il y a quelques années et je garde le souvenir d'une chercheuse à la fois passionnante, sympathique et d'une grande joie de vivre. Dans un communiqué, la ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche, Valérie Pécresse a exprimé sa profonde tristesse à l'annonce du décès de Rose Dieng-Kuntz. « La France et la science viennent de perdre un esprit visionnaire et un talent immense, » a-t-elle ajouté. (...)
(03/07/2008 17:34:35)Yoono lève 2,5 millions d'euros pour développer de nouveaux widgets
La Silicon Valley porterait-elle chance aux start ups françaises ? Dix jours après la levée de fonds de 6 M€ réalisée par Seesmic,, le site de partage et de conversation vidéo créé par Loïc Le Meur, c'est au tour de Yoono de récolter 2,5 M€ auprès d'AGF Private Equity. Il s'agit de la deuxième levée réalisée par la société française, qui a déjà encaissé 1,6 M€, toujours auprès du même capital-risqueur (qui a notamment investi dans Meetic, Critéo ou encore Dailymotion). Créé en septembre 2007 par Pascal Josselin et Laurent Querel, deux anciens de la société de service SI System, Yoono a commencé par développer un logiciel d'extension pour navigateur Web. A chaque recherche effectuée, il propose des sites en relation avec la page visitée ou avec les favoris de l'internaute. Yoono a lancé il y a dix jours la version bêta d'une interface de navigation complètement personnalisable, grâce à des widgets. L'internaute peut l'enrichir avec les réseaux sociaux dont il est membre (Facebook, Twitter, FlickR, FriendFeed et Piczo pour le moment, MySpace très prochainement), ses sites favoris ou ses messageries instantanées. Il peut ainsi travailler sur autre chose, tout en gardant un oeil sur le statut de ces différents widgets, grâce à un petit logiciel baptisé BuzzIt qui assure toutes les notifications. Un aggrégateur de contenu contextualisé [[page]]L'internaute peut aussi discuter avec ses contacts, échanger des fichiers, et ce même si les deux interlocuteurs n'utilisent pas le même outil de chat. En d'autres termes, Yoono est une sorte d'aggrégateur de contenu, un peu comme Netvibes. « A une différence près, et de taille, défend Pascal Josselin. Nos pages sont automatiquement contextualisées en fonction de ce que l'internaute visionne, alors que les informations récoltées par Netvibes sont figées et ne s'adaptent pas à sa navigation ». En ce qui concerne le modèle économique, Yoono a noué un partenariat avec Yahoo en avril dernier. Le premier fournit au second une série d'informations sur l'internaute (historique de navigation, favoris, centres d'intérêts...) et le portail se charge de générer des publicités ciblées. « En aucun cas nous ne monnayons ces informations, et elles ne sont pas stockées sur nos serveurs, » tient à préciser Pascal Josselin. Les fonds serviront à recruter 5 personnes aux Etats-Unis La société emploie déjà une trentaine de personnes, à Paris et à San Francisco et elle compte investir les fonds récoltés pour embaucher cinq personnes aux Etats-Unis (en marketing ainsi qu'en R&D). La start-up souhaite aussi développer des widgets d'achat en ligne personnalisés (en partenariat avec des sociétés comme eBay) et mails. Yoono revendique 1,4 million d'utilisateurs, 200 000 visites uniques par jour, et affirme séduire 2000 internautes supplémentaires chaque jour. L'interface n'est disponible que sur Firefox pour le moment, mais le sera bientôt sur Internet Explorer. Elle peut être téléchargée gratuitement. (...)
(03/07/2008 14:15:47)Microsoft achète Powerset et sa technologie de recherche sémantique
Microsoft met la main sur Powerset Inc et sa technologie de moteur de recherche sémantique. Le montant de la transaction n'a pas été précisé. Ce sont les talents de la jeune pousse de San Francisco qui a suscité l'enthousiasme du premier éditeur mondial, a précisé Satya Nadella, Senior VP en charge des activités Recherche, Portail et Publicité. Powerset est spécialisé dans la recherche en langage naturel. Une technologie qui permet, notamment, de faire la différence sémantique entre des homonymes (par exemple, le mot cancer qui désigne à la fois la maladie et le signe du zodiaque). Powerset fonde son savoir-faire sur des travaux réalisés au Xerox PARC (Palo Alto research center). En mai dernier, Powerset avait réussi une levée de fonds de 10 M$ et mis en ligne une démonstration de sa technologie à partir des articles de Wikipedia. Tous les porte-parole de cette petite société se réjouissent de son acquisition. Ils considèrent que la puissance financière de Microsoft va permettre de diffuser largement leur technologie. Deux acquisitions dans les moteurs de recherche en deux mois C'est la deuxième acquisition de Microsoft dans le domaine des moteurs de recherche en à peine deux mois. En avril dernier, il avait bouclé l'acquisition du Norvégien Fast Search and Transfer, annoncée en janvier, pour 1,2 Md$. L'achat de Powerset tombe juste après l'échec de la tentative de reprise de Yahoo. Les deux opérations n'ont qu'un objectif : combler le retard de Microsoft par rapport à Google. Selon Hitwise, ce dernier s'est arrogé en mai plus de 68% des requêtes des internautes américains, très loin devant Yahoo (20%) et MSN qui n'atteint pas les 5%. Microsoft a laissé entendre qu'il entendait ne pas s'attaquer directement à Google, mais qu'il comptait viser des prestations différentes. Avec le savoir-faire de Powerset, l'éditeur compte répondre aux tiers des requêtes auxquelles les moteurs actuels ne savent pas répondre. (...)
(03/07/2008 12:46:51)L'accord Yahoo/Google sous la loupe de la justice américaine
Le ministère américain de la Justice a lancé hier, mercredi 2 juillet, une enquête sur le partenariat entre Yahoo et Google, annoncé en juin dernier (quelques heures après le refus de l'offre de rachat faite par Microsoft). Cet accord prévoit l'affichage de publicités en provenance de Google sur les pages de résultats de Yahoo. Le DoJ (Department of Justice) sera chargé de vérifier si cette alliance ne bafoue pas les droits de la concurrence et ne lèse pas le consommateur. Microsoft avait été le premier à s'insurger contre ce rapprochement (qui devait initialement durer deux semaines), en le qualifiant d' « anticoncurrentiel sur le marché de la publicité en ligne », déjà largement accaparé par le mammouth Google. De son côté, Yahoo a du affronter le scepticisme, voire la colère de certains actionnaires - le milliardaire Carl Icahn en tête -, qui auraient préféré que Jerry Yang, PDG de la société, accepte l'offre de rachat de Microsoft pour 44,6 Md$. Jerry Yang et Roy Bostock, président de Yahoo, ont expliqué à leurs actionnaires les raisons de ce refus, ainsi que les bénéfices qu'apporterait l'accord avec Google. Selon eux, celui-ci devrait générer un revenu compris entre 250 et 450 M$ dès la première année, puis 800 M$ par an. (...)
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