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(26/01/2009 17:47:40)

Intel s'inquiète de la filialisation de la fabrication des puces AMD

A l'occasion de l'annonce de résultats financiers catastrophiques, AMD a fait savoir qu'Intel avait fait connaître par courrier son souhait rencontrer ses dirigeants à propos de la création de The Foundry Company . Cette co-entreprise, dont AMD ne détient que 34,2 % des parts et les Emirats Arabes Unis 65,8 % via la société ATIC (Advanced technology investment company) est le résultat de la séparation en deux entités du californien. Pour Intel, se pose la question de savoir si The Foundry Company doit être ou non considérée comme une filiale d'AMD. En effet, les deux fabricants de puces ont signé des accords de licences autour de l'architecture x86 qui s'appliquent aussi aux filiales d'AMD. Si l'entreprise se révèle une simple tierce partie, elle ne pourrait utiliser les technologies concernées par ces accords et devrait négocier de façon séparée avec Intel. Pour AMD, cette demande n'est rien « qu'une nouvelle tentative d'Intel de semer le doute » à l'approche de la création officielle de The Foundry Company prévue le mois prochain, si les actionnaires approuvent l'opération lors de leur réunion du 16 février. Sans surprise, Intel dément par l'intermédiaire de son porte-parole Chuck Mulloy : « Nous ne nous inquiétons pas de la création ou non de cette nouvelle entreprise. Mais nous voulons être surs de nos droits, et de ce qu'ils deviendront après cette création. Notre courrier concerne nos inquiétudes quant aux questions de propriété intellectuelle. » Il s'agit sans doute aussi de l'occasion pour Intel d'avancer des arguments en vue d'une renégociation globale des accords actuels lorsque ceux-ci arriveront à échéance en 2011. (...)

(26/01/2009 17:37:47)

AMD livre la version à haute efficacité énergétique de son Opteron Shanghai

Fort du lancement réussi, en novembre dernier, de son Opteron Shanghai fondu en 45 nm, AMD livre, dans les délais promis, les versions HE (Highly Efficient) et SE (Special Edition). Avec une consommation moyenne (ACP, Average CPU Power) annoncée de 55 Watts, les cinq versions estampillées "Highly Efficient" sont dites 27% moins gourmandes que les versions précédentes par AMD. Ces puces quadricoeurs pour serveurs adaptent en effet leur consommation en fonction de leur charge de travail. Et en mode inactif (idle), elles consommeraient « jusqu'à 20% de moins que des systèmes comparables de la concurrence », dit AMD, qui cite un test réalisé par ses soins comparant son Opteron HE avec les Xeon quadricoeurs d'Intel. Les puces HE sont proposées à des cadences allant de 2,1 à 2,3 GHz. Les versions SE, dont la fréquence monte à 2,8 GHz, affichent un ACP de 105 Watts. Elles sont destinées aux serveurs orientés hautes performances. (...)

(26/01/2009 17:30:45)

A peine arrivée, la patronne de Yahoo annonce un gel des salaires

Les temps sont durs pour les salariés de Yahoo. Une semaine seulement après sa nomination aux commandes du portail, leur nouvelle patronne Carol Bartz a déjà pris la décision de geler les salaires : « Sur la base de l'environnement économique actuel, nous avons décidé de réviser la structure de nos coûts et de les aligner sur nos revenus, a déclaré Kim Rubey, un porte-parole de Yahoo à nos confrères de Computerworld. En conséquence, nous estimons que l'allocation d'augmentations de salaires annuelles n'est pas dans l'intérêt de l'entreprise, ni de ses actionnaires. » Premier élément d'une stratégie basée sur la réduction des coûts Mais pour les analystes, cela fait déjà un certain temps que l'entreprise se débat dans la tourmente, et ce, bien avant que le ralentissement économique ne s'installe. Allan Krans, analyste pour le compte du cabinet Technology Business Research, estime ainsi « que le gel des salaires constitue le premier indice d'une stratégie axée sur la réduction des coûts, et que l'on attend, en outre, de Carol Bartz plus de fermeté que ce qu'a pu montrer son prédécesseur Jerry Yang. Pendant ce temps, certains, comme le site Forbes.com, s'attendent à ce que le portail annonce de nouvelles suppressions de postesqui pourraient se monter à 10% de l'effectif, à la fin de son quatrième trimestre. Pour d'autres, la patronne de Yahoo pourrait recevoir un bonus sur son salaire si elle atteint certains objectifs, dont la réduction de la masse salariale de la nouvelle entreprise qu'elle a choisi de diriger. (...)

(26/01/2009 16:49:35)

Nicolas Sarkozy promet d'aider la presse en ligne

Nicolas Sarkozy a un plan pour sauver la presse, et notamment la presse en ligne. Vendredi 23 janvier, le président de la République a présenté ses propositions, issues des travaux des Etats généraux de la presse écrite. Celles-ci visent à « répondre à l'urgence créée par l'effondrement des perspectives publicitaires sur la situation économique des entreprises de presse pour 2009 ». L'un des chantiers prioritaires de Nicolas Sarkozy concerne la presse en ligne. « Ce n'est pas le sujet le plus facile », souligne le chef de l'Etat, mais c'est un dossier incontournable car « si la presse ne prend pas le virage d'Internet, elle n'aura aucune réponse à offrir aux générations natives du numérique ». La situation est d'autant plus compliquée qu'il n'existe « toujours pas de modèle certain de réussite pour la presse en ligne ». Vers un statut d'éditeur de presse en ligne Nicolas Sarkozy évoque en premier lieu la création d'un statut d'éditeur de presse en ligne. Il sera accordé aux entreprises qui répondent au moins à deux critères. D'abord, l'emploi de journalistes professionnels. Ensuite - et c'est un critère qui mériterait une exégèse - « le caractère journalistique du traitement de l'information ». Dans un souci de clarification des statuts d'hébergeur et d'éditeur, Nicolas Sarkozy prévoit de soumettre les éditeurs de presse en ligne à un « régime de responsabilité exigeant adapté à la réalité de la presse en ligne qui se nourrit de la participation des internautes. Ce n'est pas parce qu'on est sur Internet qu'on doit être irresponsable. » Les éditeurs de presse en ligne bénéficieront du régime fiscal des entreprises de presse, ce qui inclut notamment une exonération de la taxe professionnelle. Par ailleurs, le locataire de l'Elysée rappelle qu'il poursuit « un travail de conviction indispensable auprès des partenaires européens pour obtenir que les taux réduits de TVA soient étendus à la presse en ligne ». De fait, le chef de l'Etat déplore « une situation doublement stupide où la presse en ligne est défavorisée par rapport à la presse papier et la presse numérique payante est défavorisée par rapport à la presse numérique gratuite. Ca n'a pas de sens. » Les droits d'auteur adaptés à la presse en ligne Autre mesure, l'Etat doublera ses dépenses de communication institutionnelle vers la presse écrite, dont la presse en ligne. Celle-ci pourra aussi profiter de dons des particuliers : un système de mécénat sera mis en place, qui permettra aux donateurs de déduire de leurs impôts 66% des sommes versées aux titres de presse. Enfin, « l'innovation suppose que le régime des droits d'auteur soient adaptés » à l'ère numérique. Selon Nicolas Sarkozy cela consiste à « remplacer un droit lié à un support par un droit lié à un temps d'exploitation de 24 heures ». Ce projet, qui sera proposé au législateur « dans les meilleurs délais », vient bouleverser le système actuel de la presse écrite, où chaque article « doit être payé autant de fois qu'il est publié ». Une situation mal vécue par les patrons de presse, source de nombreux conflits dans les rédactions. Si Nicolas Sarkozy reconnaît que « 24 heures, c'est un peu court » avant que les journalistes perdent leurs droits sur leurs écrits, sa proposition constitue « un premier pas ». (...)

(26/01/2009 16:31:33)

La SNIA propose une spécification pour la consommation énergétique du stockage

La plupart des études estiment que le stockage contribue pour près d'un tiers à la consommation électrique d'un datacenter. Une bonne raison pour les acteurs de ce marché de s'attaquer à la question. Ainsi, la Storage networking industry association (SNIA), qui regroupe la plupart d'entre eux, vient de rendre publique la première version de sa spécification pour une mesure de la consommation énergétique des infrastructures de stockage du marché. Publiée dans le cadre de sa Green storage initiative (GSI), la première mouture de la Green storage power measurement specification (Spécification pour la mesure de la consommation électrique du stockage vert) propose, entre autres, une taxonomie pour classer les offres de stockage en fonction de la cible qu'elles visent et un guide de mesure des périphériques en mode veille. La taxonomie de la Green storage power measurement specification a pour objectif de comparer la consommation électrique d'offres de stockage qui soient effectivement comparables. Ainsi, sont-elles organisées en fonction des caractéristiques de leur consommation énergétique, mais pour un certain type d'applications aux besoins desquelles elles sont censées répondre. Les cinq catégories d'utilisation identifiées par la SNIA vont du stockage à la maison ou dans une petite entreprise jusqu'aux environnements complexes des très grands comptes. Chacune de ces catégories d'applications est identifiée par les niveaux requis pour la protection des données, la redondance, le service, le temps d'accès aux données ainsi que par la consommation énergétique. Les systèmes sont eux aussi répartis dans cinq classes: le stockage en ligne, les bibliothèques média amovibles, les bibliothèques média non amovibles, les appliances et les switches. La spécification de la SNIA, qui peut être téléchargée, consultée et commentée, reste néanmoins un document de travail, comme tient à le préciser l'association. En 2009, la GSI compte élargir sa spécification à la consommation des matériels en mode actif, à l'efficacité énergétique des alimentations des systèmes de stockage et surtout à la promotion et la publication complète des mesures de chaque fournisseur du marché. (...)

(26/01/2009 14:35:17)

Le Macintosh fête son 25e anniversaire

22 janvier 1984 : la foule assistant au Super Bowl, la finale du championnat de football américain, découvre un clip publicitaire réalisé par Ridley Scott, qui deviendra culte dans les années qui suivront. « Le 24 janvier, Apple Computer lancera le Macintosh. Et vous verrez pourquoi 1984 ne sera pas comme '1984' », scande le spot, en référence au roman de George Orwell. Le jour J, Steve Jobs dévoile la machine devant 3 000 personnes réunies à Cupertino. « Personne ne doutait qu'il s'agissait d'un événement historique », raconte l'analyste Richard Doherty, de l'Envisionering Group. Vendu 2 495 $, le Macintosh est le premier ordinateur personnel à fonctionner avec une souris et une interface graphique, en lieu et place de la ligne de commande. En réalité, l'Apple Lisa, lancé l'année précédente, reposait déjà sur une interface graphique, mais, vendu près de 10 000 $, il n'était pas parvenu à s'imposer. C'est donc le Macintosh, avec ses 128 Ko de mémoire vive, son processeur cadencé à 8 MHz, son écran monochrome 9 pouces et son lecteur de disquette 3 pouces, qui devient la première vedette de l'informatique personnelle. En 1986, Apple met à jour sa machine en quadruplant la quantité de RAM embarquée (512 Ko), et en permettant aux utilisateurs d'y installer jusqu'à 4 Mo. L'année suivante, le Macintosh II voit le jour. La machine, qui constitue le haut de gamme de la marque à la pomme, rompt avec le format tout-en-un de ses prédécesseurs. Elle innove également en proposant des emplacements pour disques durs et en renfermant un processeur Motorola 68020 à 16 MHz. Parallèlement, Apple lance le Mac SE, qui complète la gamme, et permet au constructeur de compter un million d'utilisateurs de ses ordinateurs personnels. [[page]] La suite de cette 'success story' passe par le lancement des premiers Mac portables en 1989, l'abandon des processeurs Motorola 680x0 en 1993 au profit des Power PC, l'avènement du Power Mac G3 en 1997, une année qui marque également le retour de Steve Jobs à la tête du groupe après douze ans de disgrâce. En 1998, c'est au tour de l'iMac de voir le jour : Apple inaugure la présence des ports USB sur ses machines et délaisse les connectiques SCSI. L'iBook est commercialisé en 1999 et bénéficie d'un ravalement de façade en 2001, en même temps que sort le PowerBook G4, Mac OS X et l'iPod. En 2006, les puces Intel font irruption dans les Mac. Ce sont d'abord l'iMac et le MacBook Pro qui remplacent leurs processeurs PowerPC par les CPU Intel, puis, dans le courant de l'année, toute la gamme Mac. Le constructeur lance parallèlement Boot Camp et des outils de virtualisation, qui autorisent les utilisateurs à faire fonctionner Windows sur leurs machines estampillées d'une pomme. En 2008, un an après la sortie de l'iPhone, le MacBook Air devient l'ordinateur portable le plus léger du marché. Il est construit en aluminium, comme les MacBook et Macbook Pro qui sortent en fin d'année. Encensés par les uns, décriés par les autres qui ne les voient que comme des machines réservées aux 'happy fews', les appareils signés Apple peuvent se targuer de compter un public fidèle. A tel point que, dans un marché des PC en pleine déconfiture, le constructeur américain se paye le luxe de voir ses ventes progresser de 9% sur un an au premier trimestre de 2009. Un trimestre présenté comme le meilleur de l'histoire d'Apple, mais qui est marqué par le retrait - provisoire - de Steve jobs pour raisons médicales. Et déjà les Cassandre redoutent que l'éloignement du patron charismatique ne signe le début de la fin d'Apple, vingt cinq ans après l'avènement du révolutionnaire Macintosh. (...)

(26/01/2009 14:17:59)

Un porte-parole d'IBM Canada confirme l'existence d'un plan de suppressions de postes

IBM rejoindra t-il la longue liste des contributeurs aux plans de licenciements ? Après avoir fait l'objet, au début du mois, de rumeurs sur des suppressions de postes massives, et en dépit d'excellents résultats financiers, il semble que Big Blue se soit finalement décidé à passer à l'action. Le syndicat Alliance@IBM/Communication of Workers, parle d'une première vague de 1 419 suppressions de postes, suivie de 1 500 réductions supplémentaires dans les ventes et la distribution. D'après les commentaires postés par des salariés licenciés sur le site Alliance, une partie de ces pertes d'emplois seraient déjà intervenues au sein du laboratoire de recherche d'IBM à Toronto, qui a plus de quarante ans d'existence. Vendredi dernier, Mike Boden, porte-parole d IBM Canada, confirmait l'existence d'une réorganisation dans l'entreprise, déclarant que des suppressions étaient actuellement en cours au sein de la firme, y compris au Canada, mais que le nombre exact des coupes n'avaient pas encore fait l'objet d'une annonce officielle. Une restructuration qui découlerait des rachats Pour le Canadien, ces restructurations résultent des acquisitions actuellement en cours chez IBM, rachats qui imposent à l'entreprise une meilleure gestion de ses ressources pour qu'elles puissent répondre aux besoins de ses futurs clients. Le porte-parole de Big Blue Canada a ajouté que certains des employés touchés par les restructurations seraient reclassés à d'autres postes au sein de l'entreprise, et qu'IBM Canada les aiderait à chercher d'autres opportunités internes. « Les récents résultats financiers ont été bons, a rappelé le porte-parole. Mais ils ne font que traduire une partie des efforts déployés par IBM pour gérer au mieux les équipes dont il dispose en fonction des besoins actuels et futurs de l'ensemble de ses clients. » De son côté, la direction d'IBM France n'a pas donné suite à notre demande et n'a donc pas commenté ces informations. (...)

(26/01/2009 13:13:55)

Bernard Liautaud entre au conseil d'administration de Talend

Sur fond de crise économique, l'éditeur français Talend réalise la prouesse de boucler un troisième tour de table. La start-up fondée par Bertrand Diard et Fabrice Bonan vient de lever 12 M$ auprès de son actionnaire historique AGF et du fonds britannique de capital risque Balderton Capital. Lequel compte parmi ses associés Bernard Liautaud, fondateur de Business Objects. Mieux encore, l'emblématique patron de BO, qui a revendu sa société à SAP en septembre 2007, fait son entrée au conseil d'administration de Talend. Il s'est dit séduit par l'offre d'intégration de données développée par l'équipe française et par le parcours que la start-up a effectué depuis son premier tour de table, au printemps 2006. Aujourd'hui, Open Studio, le logiciel d'ETL (extraction, transformation et chargement de données) proposé par Talend en Open Source, a été téléchargé 3,3 millions de fois dans le monde et Bertrand Diard évalue à 200 000 le nombre des utilisateurs du produit. Au-dessus du coeur gratuit Open Studio, l'offre de Talend comporte des briques complémentaires fournies sous forme d'abonnement, avec support avancé. C'est sur ces offres à valeur ajoutée que Talend a bâti son modèle économique. En 2007, après un trimestre d'exercice, la start-up avait déjà engrangé plus d'un million de dollars de chiffre d'affaires. Un revenu qu'elle a multiplié par six sur l'année écoulée. De trente collaborateurs, début 2008, la société est passée à cent personnes douze mois plus tard, et compte 150 partenaires intégrateurs dans le monde. Une tarification très concurrentielle En moins de trois ans d'existence, l'éditeur français a su gagner la confiance de nombreuses grandes entreprises ; des clients qui, en outre, le dispensent souvent de la démarche d'approche commerciale puisqu'ils le contactent régulièrement eux-mêmes après avoir déjà téléchargé et essayé son ETL. C'est en partie ce qui permet à Talend de proposer des tarifs très concurrentiels - pouvant descendre jusqu'à 30% de certaines offres, face à ses concurrents directs, aux cycles commerciaux plus lourds (les Informatica, IBM avec son offre Datastage héritée du rachat d'Ascential, ou encore Oracle avec l'offre rachetée à Sunopsis). Son tarif n'est pas basé sur le nombre de serveurs, ni sur le nombre de bases cibles et sources (comme chez Oracle), mais sur le nombre de développeurs. « Nous avons gagné 350 nouveaux clients en 2008 », comptabilise Bertrand Diard. Dans le portefeuille de Talend figurent, en France, des entreprises comme SFR, Orange, Virgin Mobile, cdiscount, Eurofins Scientifique ou Boloré. Et aux Etats-Unis, région qui génère 30% des revenus de l'éditeur, Open Studio a été choisi par des groupes tels que US Cellular, Yahoo, eBay, Sony et DuPont de Nemours. Tous clients qui ont recours à l'outil d'intégration de Talend pour traiter de très gros volumes de données. Chez SFR, notamment, il est utilisé pour la génération des factures clients. Bertrand Diard promeut l'Open Source à l'Afdel Sur son marché, Talend participe par ailleurs aux initiatives menées pour développer l'industrie française du logiciel. A la fin de l'année dernière, son PDG Bertrand Diard, a pris la tête, dans le cadre de l'Afdel (association française des éditeurs de logiciels), d'une commission sur l'édition en environnement Open Source. Si l'année 2009 se joue dans un contexte économique compliqué, Bertrand Diard table sur le fait que sa solution va permettre aux DSI d'accompagner leurs réductions des coûts. Sans compter l'incontestable crédibilité qu'apporte l'arrivée de Bernard Liautaud au conseil d'administration de la société. Balderton Capital, le fonds de capital risque qu'il représente, fut l'un des tout premiers à investir dans la société suédoise MySQL, qui s'est revendue en janvier 2008 à Sun pour un milliard de dollars. Son intérêt pour Talend (il a apporté 9 M$ et AGF 3 M$ de plus) semble donc de fort bon augure. (...)

(26/01/2009 12:43:25)

Oracle adapte Tuxedo aux spécifications SCA

Désormais disponible en version 10g R3, le vénérable moniteur transactionnel Tuxedo continue son adaptation aux architectures orientées services (SOA), entamée avec BEA, cette fois sous l'égide d'Oracle. Pour la première mise à jour de Tuxedo depuis le rachat de BEA il y a un an, Oracle confirme en effet l'orientation services Web prise par BEA avec sa technologie Salt (Services architecture leveraging Tuxedo). Le but de Salt est d'exposer des fonctionnalités du moniteur transactionnel sous forme de services, afin de les inclure dans une SOA. La version 2.0 de Salt, présentée en octobre 2007, s'ouvrait aux services bi-directionnels, et supportait le protocole WS-Security. Avec Tuxedo 10g R3, Oracle ajoute le respect des spécifications SCA (Service component architecture) dont le but est d'établir un modèle de référence pour le développement de produits destinés à s'insérer dans des SOA, afin de faciliter l'intégration entre les produits de différentes provenances. Elaboré par 18 éditeurs dont Oracle, SCA a été soumis à l'Oasis au printemps 2007, et est désormais régi par l'organisme de standardisation. Oracle a par ailleurs fait en sorte d'intégrer au mieux Tuxedo avec le reste de son portefeuille de produits middleware, notamment la suite de gestion des identités et Clusterware, son offre pour 'clusteriser' les applications. Dans tous les cas, Oracle semble rester fidèle à sa promesse : Tuxedo continue d'évoluer, mais sans présenter de dépendances à d'autres produits ou technologies Oracle. Tuxedo était un des joyaux du portefeuille de BEA. Fin 2007, alors que BEA faisait en sorte qu'Oracle augmente son offre, Massimo Pezzini, expert en middleware chez Gartner, soulignait que Tuxedo n'avait pas d'équivalent chez Oracle. Et quelles que soient les vertus des derniers serveurs d'applications Java, les moniteurs transactionnels restent inégalés pour ce qui est de supporter des nombres de transactions très élevés avec des temps de réponse satisfaisants. (...)

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