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(05/01/2007 11:27:23)

IBM et Cray construiront le prochain super-ordinateur du Darpa

IBM et Cray ont quatre ans et 494 millions de dollars pour construire un ordinateur dix fois plus puissants que les plus performantes des machines actuelles. Les deux sociétés ont en effet été choisies par le Darpa (Defense Advance Research Project Agency), en charge de la R&D au ministère de la Défense américain. Leur mission ? Créer d'ici 2010 un prototype de super-ordinateur avec une vitesse de calcul de 2 à 4 petaflops par seconde, soit 2 à 4 mille milliards d'opérations par seconde. L'ordinateur le plus rapide actuellement, l'IBM Blue Gene, effectue 360 milliards d'opérations à la seconde. En plus de ce super-ordinateur qui sera affecté à la sécurité nationale, les deux sociétés devront développer des outils de programmation permettant d'accélérer l'écriture d'applications pour ce type de machine. (...)

(04/01/2007 16:34:04)

La virtualisation installe le grid en entreprise

Traditionnellement réservé aux milieux universitaires et scientifiques, le calcul de grille fait peu à peu son entrée en entreprise grâce à la virtualisation. Selon Steve Wallage et Williams Fellows, analystes au cabinet 451 group, la virtualisation des serveurs sera la clé de son succès. « La virtualisation fournira un calcul de grille idéal, si l'on considère que le calcul de grille est la mise à disposition de ressources de calcul, à la demande, en provenance de différentes sources », écrivent-il dans leur étude V for Virtualization parue mi-décembre. Pour utiliser un grid à l'heure actuelle, il faut d'abord définir les plates-formes capables d'y être intégrées, avec le bon système d'exploitation, les librairies correctes, etc. La virtualisation efface cette étape. « Au lieu de chercher à savoir quelles sont les ressources disponibles et d'y adapter ensuite ses besoins, l'utilisateur peut décrire un environnement de travail et le déployer sur le grid, expliquent-ils. Les machines virtuelles seront capables de coller cet espace virtuel sur des ressources physiques. » De plus, sans machines à préinstaller, il deviendra plus facile de tester la configuration nécessaire. « En assemblant des 'grid virtuels', les utilisateurs pourront ajuster leurs configurations avant de finaliser l'allocation des ressources. » Cette facilité d'installation a également pour conséquence d'ouvrir d'autres applications au calcul de grille. Ayant étudié l'usage du grid dans différentes industries (du monde des médias à la pétrochimie, en passant par le secteur financier ou les entreprises pharmaceutiques, Steve Wallage et Williams Fellows pensent que, loin d'être confiné au calcul pur, celui-ci pourra servir de point d'appui à une SOA (architecture orientée services) globale. Quitte a devenir quasiment invisible au sein du système d'information. (...)

(04/01/2007 11:51:26)

OpenVZ disponible pour les processeurs UltraSparc T1 de Sun

Le logiciel open source de virtualisation OpenVZ fonctionne désormais avec les processeurs UltraSparc T1 de Sun Microsystems. Ce portage a été effectué à la demande d'un client : Jonathan Kinney, d'Advantagecom Networks, un hébergeur et fournisseur d'accès à Internet américain. « Nous avons déjà installé plusieurs environnements virtuels Debian et ils fonctionnent tous parfaitement », affirme-t-il. Il a même fourni un serveur équipé d'UltraSparc T1 aux développeurs du projet OpenVZ. Pour l'instant, la seule version disponible reste en test et ne fonctionne qu'avec des distributions Debian de Linux. Virtuozzo, la version commerciale d'OpenVZ, ne supporte pas encore ce portage, et son éditeur Swsoft n'a pas annoncé officiellement son intention de supporter cette combinaison de processeurs Sparc T1 et de Debian Linux dans sa prochaine mise à jour. (...)

(03/01/2007 13:05:24)

2007 : le matériel prioritaire dans les dépenses des CIO

A l'approche de 2007, les prévisions de dépenses IT se sont faites de moins en moins optimistes. Les CIO tablent désormais sur une progression de 5,8% sur les douze prochains mois. Au troisième trimestre 2006, ils estimaient qu'ils augmenteraient leurs dépenses de 6,5%. Des chiffres publiés par le trimestriel américain CIO Magazine. Selon l'étude, près des deux tiers des CIO interrogés n'envisagent pas de consacrer une part de leur budget 2007 à la dernière suite bureautique de Microsoft, Office 2007, pas plus qu'à Vista. En revanche, ils semblent plus enclins à investir en matériel, dans le stockage et la sécurité. "Cette prévision de dépenses à la baisse est en ligne avec les précédentes études qui estimaient que les professionnels consacreraient leurs investissements aux domaines les plus fondamentaux", commente Gary Beach, éditeur de CIO Magazine. Les responsables informatiques indiquent que leurs budgets IT ont progressé en moyenne de 5,8% au cours des douze derniers mois. Une légère progression par rapport à la précédente étude, dans laquelle ce chiffre atteignait 5%. Alors que 39,7% des CIO prévoyaient une augmentation de leurs dépenses dans l'étude du trimestre dernier, ils sont 40,7% à faire la même constatation aujourd'hui. La part de ceux tablant sur une diminution de leurs investissements reste stable, à 13,7%. Le matériel informatique est au sommet des priorités de dépenses, cité par 55,8% des CIO, contre 46,9% en septembre. Seuls 11,7% prévoient de faire reculer leurs emplettes dans ce domaine alors qu'ils étaient 16,3% il y a trois mois. Les systèmes de stockage et les outils de sécurité sont les deux autres postes censés recevoir les dépenses des CIO en 2007. Un dernier mot pour finir sur la migration à Vista ou Office 2007. Pour 20,7% des responsables interrogés, il convient avant toute chose d'évaluer le coût et les besoins de formation avant d'envisager un passage vers ces outils. Ils sont 15,8% à estimer qu'ils franchiront le pas en 2007, dont 5,8% pour Office 2007 et 1,7% seulement pour Vista. (...)

(02/01/2007 15:16:07)

Vista, plus grand flop de l'année pour les lecteurs de Computerworld

Vista sera à la fois le système d'exploitation ayant le plus grand impact en 2007 et le plus grand flop technologique de l'année, pensent les lecteurs de Computerworld. Le magazine (cousin du Monde Informatique, groupe IDG) vient de publier son étude prospective annuelle, réalisée cette fois auprès de 252 personnes - professionnels de l'informatique, ayant un profil de décideur. A l'image de la réponse sur Vista, le questionnaire sur les technologies s'avère plutôt paradoxal. La virtualisation de serveurs apparaît par exemple comme la principale technologie testée (à 42%), devant la gestion documentaire (35%) ou la sécurisation du contenu (33%), mais est également mentionnée dans le top 5 des technologies qui devraient plonger en 2007, derrière Vista, donc, mais aussi les technologies mobiles et sans-fil, la voix sur IP, et juste devant les logiciels Open Source. De façon plus concrète, l'étude de nos confrères s'attarde aussi sur les perspectives en matière de ressources budgétaires et humaines. La moitié des personnes ayant répondu estiment que leur budget restera le même qu'en 2006. Il devrait augmenter dans 41% des cas, et baisser pour 9%. Le niveau d'emploi suit peu ou prou la même tendance : 59% pensent conserver leur équipe au niveau de 2006, 8% voient une diminution, et tout de même un tiers prévoit d'embaucher. Les profils les plus recherchés seront liés - dans l'ordre - au développement, à la gestion de projets, à l'expertise métier et IT, à la sécurité et au support technique. (...)

(28/12/2006 17:53:26)

Les douze événements qui ont marqué 2006 (partie 1)

Scandale chez HP : des administrateurs et des journalistes espionnés C'est en septembre que les colonnes des journaux évoquent pour la première fois le scandale qui va chambouler le conseil d'administration d'un des principaux constructeurs informatiques de la planète, et conduire à la démission de sa présidente, Patricia Dunn. L'affaire commence avec des fuites, émanant du Conseil, qui concernaient notamment l'éviction de la précédente PDG, Carly Fiorina. HP entend trouver le ou les auteurs de ces indiscrétions et, pour y parvenir, n'hésite pas à recourir à des méthodes peu recommandables. Voire carrément illégales, comme l'usurpation d'identité. La justice fédérale, et californienne, ne laisse pas passer de telles pratiques et poursuit Patricia Dunn, le responsable de l'éthique Kevin Hunsacker ainsi que plusieurs détectives. En dépit de ce scandale, les clients du constructeur ne se formalisent pas : HP occupe désormais la première place des fabricants en termes de revenus et a même dépassé l'indéboulonnable Dell en volume. Espionnite chez HP : les détails de l'affaire Accord Microsoft-Novell : le mariage du chaud et du froid L'accord d'interopérabilité signé en novembre entre Microsoft et Novell a créé de l'agitation dans le monde Open Source. Le géant de Redmond offre sa force de vente et son support à Suse, la distribution Linux de Novell, renforce l'interopérabilité entre l'OS libre et Windows, et s'engage à indemniser les utilisateurs de Suse et les développeurs qui pourraient se trouver poursuivis pour violation de sa propriété intellectuelle. Bientôt, les détracteurs se font entendre et claironnent que l'accord repose sur des accusations "sans fondement" et que la protection juridique offerte n'a pas lieu d'être car "Linux n'a jamais fait l'objet [de telles] poursuites". Le monde Open Source avait déjà été chamboulé en octobre, avec la décision d'Oracle de fournir le support aux utilisateurs Linux de Red Hat, une initiative qui risquait de malmener le modèle économique de ce dernier. Novell et Microsoft concluent un vaste accord d'interopérabilité Mariage Alcatel-Lucent : symbole de la fièvre des fusions-acquisitions La fusion d'Alcatel et de Lucent Technologies, annoncée en avril, crée un géant des équipements télécoms pesant 18,6 Md€ de revenus annuels et illustre la tendance à la concentration du marché à travers des fusions et des acquisitions. L'initiative semblait nécessaire pour affronter la concurrence dans des domaines en forte croissance au sein d'un marché mature - à l'image de la VoIP - et pour faire face aux constructeurs chinois faisant pression à force de bas prix. En 2006, 3945 fusions-acquisitions auront vu le jour, près de 500 de plus qu'en 2005, le plus grand nombre jamais atteint. Parmi les exemples marquants, citons AMD et ATI, Cisco et Scientific-Atlanta, Red Hat et JBoss, EMC et RSA Security, ... Alcatel-Lucent : naissance officielle d'un géant L'attaque des batteries : les rappels battent leur plein Jamais l'industrie IT et le monde de l'électronique grand public n'avaient connu pareil campagne de rappel. Echaudé par le supposé danger que feraient courir les accumulateurs à ion lithium - susceptibles de provoquer un court-circuit et de s'embraser - Dell rappelle quatre millions de batteries Sony en août. Aussitôt, les autres constructeurs s'engagent sur la même route : Apple, Fujitsu, Hitachi, Lenovo, Toshiba rapatrient à leur tour les éléments susceptibles d'être défaillants. Au final, ce sont dix millions de batteries qui seront rappelées, faisant de 2006 une annus horribilis pour Sony, le constructeur japonais devant déjà faire face au retard de sa Playstation 3 et de faibles ventes de la PSP, sa console portable. Rappel de batteries : Sony fait les comptes (...)

(27/12/2006 14:13:19)

VMware ouvre au public la bêta de son outil de virtualisation pour Mac

VMware vient de rendre publiquement accessible la version bêta de Fusion, son outil de virtualisation pour Mac à base de processeur Intel. L'accès à Fusion était jusqu'à lors réservé à une poignée de testeurs sélectionnés par l'éditeur. Présenté à l'occasion de VMWorld 2006, début novembre dernier, Fusion exploite le même moteur de virtualisation que les autres produits de VMware. Cette caractéristique permet notamment à l'outil de faire fonctionner les machines virtuelles créées avec les autres produits de VMware, y compris sous Windows. La réciproque est également vraie. Par rapport à une solution concurrente telle que Parellels Desktop, VMware Fusion se distingue avec quelques fonctions susceptibles de séduire les professionnels, à commencer par le support des machines virtuelles 32 et 64 bits et la possibilité de définir le nombre de processeurs accessibles par la machine virtuelle. Dans sa version définitive, Fusion devrait en outre supporter l'accélération de l'affichage 3D via OpenGL. Reste que VMware n'annonce pas de date de disponibilité pour cette version finale de Fusion. (...)

(26/12/2006 17:03:30)

2006 : l'année écolo pour les processeurs serveurs

Depuis près de 18 mois, la consommation énergétique des systèmes informatiques est devenue l'un des grands sujets de préoccupation des constructeurs, notamment dans le monde des serveurs x86. Jusqu'alors largement alignés sur le discours d'Intel, les constructeurs s'étaient très peu préoccupés de la question de la consommation énergétique, préférant mettre l'accent sur l'argument très simple à comprendre de la puissance. A force d'ignorer le problème, le monde des serveurs x86 a buté sur une impasse vers la fin 2005, lorsqu'on a vu arriver des systèmes à haute densité, notamment des serveurs lames, capables de consommer jusqu'à 25 à 30 KW par rack, dans des datacenters le plus souvent conçus pour des puissances cinq à six fois inférieures (un datacenter moyen est calibré pour fournir une puissance au m2 de l'ordre de 1 à 2 KVA). Pour certains, le réveil a été douloureux avec des problèmes de mise en production des nouvelles architectures, une multiplication des défaillances électriques ou, plus prosaïquement, des défaillances de serveur pour cause de surchauffe. Surchauffe dans les datacenters Car, si la course à la puissance a effectivement apporté des MIPS additionnels, elle a aussi apporté avec elle de biens indésirables effets secondaires dont le premier a été l'accroissement de la dissipation thermique. Lorsqu'on visite un datacenter, il n'est pas rare que la salle hébergeant des serveurs Unix soit 5 à 6° plus froide que celle qui héberge les serveurs lames x86. Nombre des salles informatiques modernes ne sont en effet pas capables de faire face aux besoins de refroidissement prodigieux des nouvelles architectures. Certains ont pourtant vu venir le problème, très en amont, même si cela ne leur a pas profité. L'exemple emblématique est celui de RLX, le pionnier des serveurs lames, qui avait conçu ses premières architectures denses autour des puces à basse consommation Crusoe de Transmeta. RLX et Transmeta ont été emportés par le rouleau compresseur Intel, pour avoir eu raison un peu trop tôt... Un autre pionnier de l'économie d'énergie a curieusement été IBM. Big Blue, dont l'une des spécialités est la conception de grands clusters de calcul, a perçu très tôt les problèmes liés à la dissipation thermique et a développé un puce à basse consommation, le PowerPC 440, pour ses supercalculateurs BlueGene, dont le plus puissant est aujourd'hui classé n°1 au Top 500 des calculateurs scientifiques. La course au rapport performance par watt succède à la course aux MHz Mais la vraie raison du virage en masse vers les économies d'énergie est sans aucun doute l'irruption d'AMD sur le marché des serveurs de volume. Dès 2004, l'Opteron a montré le chemin en proposant des performances supérieures à celles des Xeon d'Intel, dans une enveloppe de consommation environ deux fois moindre. AMD a alors chanté les louanges d'un nouveau concept : le rapport performance par Watt. Il est vrai qu'en 2005, un Opteron ne consommait que 65 W contre près de 120 W pour un Xeon à performances similaires... Certains constructeurs comme Sun ont largement axé leur discours d'efficacité énergétique sur les performances de l'Opteron - à la décharge de Sun, la firme a aussi développé le Sparc T1 "Niagara", l'une des puces offrant le rapport performance le plus élevé du marché. Dans les deux cas, le discours a payé en 2006 puisque les ventes de serveurs x86 de Sun sont passées de près de rien à environ 600 M$ par an et que les ventes de serveurs Sparc T1 atteignent désormais 100 M$ par trimestre. Ce n'est qu'en septembre 2005 qu'Intel a officiellement commencé à changer son discours marketing pour s'attaquer à la réduction de la consommation de ses puces. Lors de l'Intel Developer Forum de septembre 2005, Paul Otellini, a pour la première fois annoncé l'évolution des priorités de développement de la firme pour mettre l'accent sur le rapport performance par watt. Cette nouvelle stratégie s'est traduite par l'apparition au premier semestre 2006 des puces Xeon "WoodCrest", des puces capables pour la première fois de rivaliser avec les Opteron en termes de rapport performance par Watt. Pour donner une idée du virage pris par Intel, le Xeon WoodCrest lancé à l'été 2006 a un ratio performances/Watt environ trois fois meilleur que celui des Xeon de 2005. Et sa déclinaison à bas voltage, utilisée dans certains serveurs lames, est encore deux fois plus économe (au détriment toutefois de la performance pure). Les progrès en la matière n'en sont sans doute qu'à leur début. Intel, comme AMD ou Sun, avec ses puces Sparc, misent pour les années à venir sur des puces massivement parallèles dont le nombre de coeur devrait croître fortement sans augmentation de la consommation énergétique. Objectif : délivrer une puissance croissante tout en stabilisant ou en réduisant l'enveloppe énergétique des serveurs. A l'ère de la chasse au gaspi énergétique, la bataille du rapport performance par watt des processeurs et serveurs ne fait que commencer. (...)

(26/12/2006 17:02:27)

Cognos s'interface avec la nouvelle appliance de recherche d'IBM et Yahoo

Cognos a ajouté un lien entre son moteur décisionnel et l'appliance de recherche pour entreprises récemment annoncée par IBM et Yahoo, l' IBM OmniFind Yahoo, une "boite" capable d'indexer jusqu'à 500,000 documents et plus de 200 formats. L'idée est de permettre une recherche unifiée entre le moteur de recherche de Cognos 8 et celui d'IBM/Yahoo comme cela est déjà le cas entre Cognos8 et l'appliance Google Search. L'interface entre Cognos et IBM OmniFind Yahoo Edition est disponible immédiatement et gratuitement pour les utilisateurs de l'outil de recherche de Cognos. (...)

(26/12/2006 12:12:56)

Trimestriels Red Hat : au-delà des prévisions des analystes

Résultats troisième trimestre Chiffre d'affaires : 105,8 M$ (+45%) Bénéfice net : 14,6 M$ (+31,8%) Si les circonstances pouvaient laisser croire à un affaiblissement de Red Hat au cours du trimestre - au profit d'une concurrence toujours plus acharnée - il n'en a rien été. Le spécialiste de la distribution Linux a bouclé la troisième période de son exercice en dépassant les prévisions des analystes. Le chiffre d'affaires progresse de 45% sur un an, à 105,8M$. D'un trimestre à l'autre, les revenus croissent de 6% et dépassent les 104,1M$ attendus par le consensus des observateurs. Les souscriptions de licences représentent 88,9 M$, en hausse de 48% par rapport à la même période de l'année précédente, Red Hat ayant recruté 12 000 nouveaux clients au cours des trois mois considérés. Sur l'ensemble des revenus réalisés au cours du trimestre, la moitié provient du réseau de partenaires, et l'autre moitié est issue des ventes directes. Le bénéfice net s'inscrit en hausse de 31,8% par rapport au même trimestre de l'exercice précédent, à 14,6M$. Que l'on observe les revenus ou le bénéfice de Red Hat, on ne constate donc pas d'effet tangible de la concurrence qui s'est multipliée au cours de la période. En octobre, Oracle annonçait ainsi le lancement d'un programme de support à moindre coût de la distribution Linux de Red Hat. Le mois suivant, Microsoft et Novell signaient un accord d'interopérabilité portant sur Suse et Windows, qui aurait également pu mettre à mal les performances de Red Hat. Loin de se laisser démonter par ces annonces, Red Hat table sur un quatrième trimestre "prudemment optimiste" et vise un chiffre d'affaires de 112 à 113 M$. Soit plus que les 110,8 M$ des analystes. (...)

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