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(31/12/2007 12:26:19)
Mary Lou Jepsen, CTO de l'OLPC, quitte l'organisation pour faire fructifier son travail
Les technologies embarquées par l'OLPC (One laptop per child, un portable par enfant) s'avérant prometteuses, la CTO (Chief technical officer) de l'ONG (Organisation non gouvernementale), Mary Lou Jepsen, a décidé de créer sa propre société pour les commercialiser. Dans un email, elle affirme que le le travail mené « sur la conception du XO est une première étape pour changer l'informatique » après avoir expliqué que certaines technologies déployées sur l'OLPC pouvaient intéresser les entreprises. Première employée de Nicholas Negroponte, patron de l'OLPC, en 2005, Jespen était en charge des développements sur le hardware et sur l'affichage du XO, destiné aux enfants des pays émergents. Malgré quelques difficultés de commercialisation, l'appareil a reçu de nombreux éloges sur son innovation matérielle et l'utilisation de technologies respectueuses de l'environnement (il fonctionne notamment avec l'énergie solaire ou alimenté par une manivelle et nécessite peu d'énergie). D'ailleurs d'autres constructeurs multiplient les initiatives du même type. Si c'est aujourd'hui, lundi 31 décembre, que Mary Lou Jespen quitte ses fonctions au sein de l'OLPC, elle continuera à apporter son soutien au projet, notamment en tant que consultante. (...)
(31/12/2007 11:40:02)Les développeurs se lassent d'un Java empêtré dans ses ambitions
Alors que Java renfermait la promesse d'un environnement de programmation à vocation universelle et indépendant des plateformes cibles, il semble bien qu'il est surtout utilisé pour la programmation des applications d'entreprise. Java n'est pas à proprement parlé menacé d'obsolescence, mais, sous la pression d'environnements plus modernes et, surtout, plus simples d'emploi, comme Ruby on rails, PHP et Ajax, le langage de Sun perd de sa superbe. Le principal reproche des développeurs à l'encontre de Java porte sur sa complexité. A vouloir qu'il soit présent partout et pour tout type d'usage, ses créateurs en ont fait un monstre qui a surtout gagné en pesanteur. Du coup, des environnements plus légers et plus ciblés - en particulier dans le monde des applications Internet - lui chipent la préférence. La lourdeur de Java est devenue telle qu'il semblerait même que .Net de Microsoft en profite. Autre point faible de Java, sa lourdeur lorsque la cible de programmation est une plateforme mobile. En particulier son interface utilisateur et son empreinte mémoire. On comprend ainsi pourquoi Google travaille sur Android, son propre environnement. Ce constat intervient juste au moment où Sun Microsystems décide de changer son sticker d'identification en bourse SUN pour JAVA. (...)
(31/12/2007 10:48:55)2008, ou l'avènement des suites bureautiques hébergées
Google Apps, Buzzword, ThinkFree, Glide... 2007 aura été le théâtre de l'éclosion d'une kyrielle de produits bureautiques en ligne, véritables suites ou briques isolées. Le point commun entre tous ces outils : ils offrent, souvent gratuitement, l'accès à des fonctions réservées jusqu'à très récemment aux clients lourds, Microsoft Office en tête. Champion de ce domaine, Google propose à ses utilisateurs, avec son service Documents, un traitement de texte, un tableur et un outil de présentation, offrant tous des possibilités de travail collaboratif et de stockage. Conscients de l'enjeu que représente le créneau de la bureautique hébergée, d'autres grands éditeurs emboîtent rapidement le pas à Google. Signalons également l'initiative, portée par Gaël Duval, consistant à porter la suite Open Source OpenOffice sur le Web. Evoquons enfin l'incursion d'Adobe sur un terrain qui n'est pas le sien : aux premiers jours de l'automne, l'éditeur se payait Virtual Ubiquity et son traitement de texte Buzzword. Si l'offre tend à devenir pléthorique, elle ne parvient pas encore à convaincre les lecteurs du Mondeinformatique.fr. Interrogés en octobre, ils étaient 54,4% à estimer que les offres hébergées ne sont pas à la hauteur des clients dits « lourds ». Au contraire, nos lecteurs sont davantage enclins à adopter un couple services en ligne/client installé sur le poste de travail. C'est, d'ailleurs, le modèle sur lequel Microsoft axe sa stratégie : Office demeure le nerf de la guerre, et est complété par une batterie de services en ligne réunis sous la bannière Office Live. La prochaine évolution consistera peut-être à doper la partie hébergée : si Microsoft ne le fait pas lui-même, d'autres le proposeront à sa place, comme l'a déjà fait Sabeer Bhatia, le cofondateur de Hotmail. Avec Live Documents, il greffe sur Office des fonctions collaboratives et entrevoit des retombées plus juteuses pour ce service que pour Hotmail. Le modèle hybride mis en place par Microsoft, s'il séduit nos lecteurs, n'a aucun avenir, selon Louis Naugès. L'inventeur du terme « bureautique » et président de Revevol estime ainsi que le couple services en ligne / client local « est mort. Microsoft continuera à traîner des pieds pour le faire perdurer et ne pas tirer un trait sur les marges énormes issues d'Office. S'il bouge, l'éditeur crédibilise le concept [du tout hébergé, NDLR] sur lequel il n'est pas le meilleur. » De fait, selon Louis Naugès, la bureautique classique va mourir. Seule subsistera la « bureautique 2.0 ». La seule question valable porte sur le temps que ce mouvement prendra. Si les PME, les particuliers et les milieux éducatifs ont déjà bien entamé le virage, c'est un peu plus délicat en ce qui concerne les grandes entreprises. « Il y aura malgré tout entre 4 et 10 entreprises en France, comptant plus de 5000 salariés, qui passeront aux suites bureautiques hébergées en 2008, prédit Louis Naugès. Le mouvement décolle tout doucement, mais c'est un mouvement de fond inévitable. » Parmi les avantages susceptibles de décider les entreprises, outre l'aspect collaboratif et les possibilités d'utilisation nomade des suites hébergées, figurent évidemment les réductions de coûts qu'elles permettent de réaliser. A titre d'exemple, Google Apps revient à environ 40 € par an et par utilisateur. Une somme qui ne souffre d'aucune comparaison avec Microsoft Office. Certes, le produit de Microsoft offre infiniment plus de fonctionnalités mais, comme le souligne Louis Naugès, « les fonctions sur le poste de travail sont inutilisées à 90% ». Reste à savoir quel(s) acteur(s) va(vont) parvenir à s'imposer sur ce terrain. Si l'offre est actuellement pléthorique, « les petits bricoleurs n'ont aucune chance ». De fait, seuls les spécialistes capables d'investir de lourdes sommes dans une infrastructure capable d'accueillir des millions d'utilisateurs pourront tirer leur épingle du jeu. Parmi eux, Microsoft et Google figurent en bonne place mais pourraient être concurrencés par des acteurs plus inattendus. « Amazon, par exemple, propose déjà des solutions de stockage (S3), de calcul (EC2) et de bases de données (SimpleDB). Il ne serait pas étonnant de le voir débarquer dans les applicatifs bureautiques », conclut Louis Naugès. (...)
(31/12/2007 09:28:39)Top 10 de 2007 : Les PC à bas coût débarquent enfin
LeMondeInformatique.fr a sélectionné les 10 grands sujets qui ont fait l'actualité au cours de cette année 2007. Nous vous les proposerons au fil de l'eau pendant toute la période des fêtes. Texte: Le mûrissement a été difficile, mais les PC à bas coût débarquent finalement en cette fin d'année 2007. La tendance habituelle à la baisse des prix s'est accélérée avec la hausse des ventes de portables, et s'est conjuguée à une volonté politique : équiper les pays émergents. Certes, les fournisseurs classiques avaient bien quelques projets dans leur besace (comme le PIC - Personal Internet Computer - d'AMD, abandonné fin 2006, ou le Classmate d'Intel, à 400$ tout de même), mais c'est Nicholas Negroponte qui aura donné la véritable impulsion. Le fondateur du Media Lab du MIT (Massachusetts Institute of Technology) a créé début 2005 l'association OLPC (One Laptop Per Child), afin de concevoir des ordinateurs à 100$ l'unité, les XO, qui seraient achetés par les gouvernements des pays émergents pour être distribués aux enfants. Le concept évolue - le prix aussi, hélas - et le coup d'envoi est vraiment donné début 2007 avec l'annonce d'une mise en production du XO au troisième trimestre par le Taïwanais Quanta Computer. Les détails sont peu à peu dévoilés. On apprend ainsi que la batterie des ordinateurs OLPC pourra se recharger comme un yo-yo, puis que le XO aura un système de sécurité qui permettra de le désactiver à distance. En octobre, on apprendra même que des chercheurs travaillent à réutiliser l'énergie du bétail pour alimenter le XO ! Tandis qu'un fabricant chinois dit préparer un concurrent au projet de l'OLPC et qu'Asustek élabore un PC ultra-mobile à moins de 300$ qui sera dévoilé au cours de l'été, un prototype du XO est exposé par Red Hat à Paris, sur le salon Solutions Linux fin janvier. Et l'éditeur propose même de télécharger Sugar, le système d'exploitation du XO, afin de s'en faire une meilleure idée. L'enthousiasme est toutefois rapidement tempéré. En avril, le fabricant pressenti pour le XO annonce un retard de quelques mois. Et le projet OLPC augmente de 75% le prix théorique de l'ordinateur, en expliquant que le passage du rêve à la réalité nécessite un tel ajustement, mais que cela n'aura pas d'incidences sur les ventes. Le Brésil, l'Argentine, l'Uruguay, la Libye, le Pakistan et la Thaïlande auraient déjà passé commande. On s'interroge plusieurs mois sur le fait de savoir si les pays riches pourront aussi s'en procurer. La réponse finit par arriver en septembre, et elle est plutôt maligne : oui, les Etats-Unis et le Canada pourront commander des XO, mais à un prix nettement supérieur, afin de financer des XO pour les pays pauvres. C'est le programme « Get One, Give One », qui connaît un tel succès qu'il sera prolongé jusqu'à la fin de l'année. L'OLPC voit arriver un soutien de poids en juillet avec le ralliement d'Intel. L'OLPC s'était en effet engagé aux côtés d'AMD, tandis qu'Intel, fort de son projet Classmate, raillait ce qu'il qualifiait de gadget du MIT. Un autre soutien intéressé arrive en octobre : Microsoft dit travailler à une adaptation de XP aux faibles performances du XO. Les premiers tests de ce XP pour l'OLPC sont prévus pour janvier 2008. D'un coup, la production de masse pour les pays les plus pauvres est devenue un grand enjeu commercial. La polémique entre Mandriva et Microsoft sur les Classmate nigérians le montre bien. Si le but caritatif de l'OLPC ne peut être remis en doute, il est évident que les grands de l'informatique associés à ce projet cherchent quant à eux des relais de croissance. (...)
(29/12/2007 11:47:29)Google au coeur d'un procès pour violation de brevet concernant Toolbar
La barre d'outil de navigation de Google Toolbar est de retour devant la justice. Pour la deuxième fois, HyperPhrase Technologies s'attaque au géant américain pour violation de brevet. En avril 2006, l'éditeur reprochait déjà à Google d'utiliser quatre de ses brevets pour développer des outils publicitaires (AdSense et AutoLink en l'occurence) dans Toolbar. A l'époque, la cour du Wisconsin avait tranché en faveur de Google, estimant que le célèbre moteur de recherche « ne violait aucun des brevets d'Hyperphrase Technologies avec ce type de services ». La cour de Washington n'est pas du même avis (en ce qui concerne la technologie AutoLink, AdSense a recueilli son aval), et considère que le tribunal du Wisconsin a commis « une erreur d'interprétation sur ce dossier ». La cour d'appel fédérale a donc rejeté une partie du jugement précédent, et renvoyé l'affaire aux magistrats du Wisconsin. Google est actuellement en procès avec une dizaine de sociétés pour violation de brevets. (...)
(28/12/2007 15:34:49)Les pourriels boursiers s'enrichissent de vidéos
Symantec tire la sonnette d'alarme sur une nouvelle méthode de spams. Le spécialiste en sécurité a identifié une série de pourriels dédiés à la promotion de "penny stocks" pointant vers des vidéos de très bonne qualité. Traditionnellement, explique l'éditeur sur un blog, les pourriels s'attachant aux valeurs boursières de moins d'un euro renferment des fichiers images (jpg), des PDF ou des MP3 de mauvaise qualité. Le principe consiste à tromper les consommateurs en utilisant des vidéos de qualité professionnelle, semblables à un spot publicitaire officiel. Une fois le lien présent dans le message cliqué, l'utilisateur est routé vers une vidéo qui, à l'issue du visionnage, le redirige automatiquement vers un site imitant celui d'un analyste financier. Symantec cite l'exemple d'une société spécialisée dans l'extraction d'uranium cotée sur le marché "Over The Counter Bulletin Board" (petite côte et volume réduit). L'intérêt est notamment de faire varier rapidement les cours des "penny stocks" et d'empocher la plus value, quelques minutes après. La particularité des "penny stocks" est leur importante variation. (...)
(28/12/2007 14:30:31)Top 10 de 2007 : quand le virtuel devient réel
Tous les indices récoltés au cours de l'année 2007 concordent : après de long mois de tests, 2008 sera la première année de la conversion de l'informatique à la virtualisation. Contraints et forcés sous les effets conjugués de la mauvaise conscience écologique, de l'augmentation du coût de l'électricité et de la pression à la réduction des coûts d'achat et d'exploitation, les centres de données vont entamer en 2008 une profonde mutation pour aboutir, d'ici quelques années, à une totale transformation de l'environnement informatique professionnel. A terme, la virtualisation permettra de découpler totalement le matériel du logiciel et des données. Si elle touche en tout premier lieu les serveurs, elle va étendre ses mérites au stockage, à l'architecture réseau, aux postes de travail et même aux applications. Pour ces dernières, la notion d'appliance virtuelle qui pointe son nez tant chez Red Hat que chez Ubuntu - Canonical, peut passer pour un rêve d'administrateur : une application prête à l'emploi qui se pose au dessus d'un hyperviseur et qui se met à jour tout aussi simplement. Effacer les adhérences, les adresses physiques et tout ce qui rend difficile une reconfiguration automatisée ouvrent d'immenses perspectives, mais il y a toujours plus loin de la coupe aux lèvres. L'optimisation des ressources serveur risque ainsi de créer des goulets d'étranglement an niveau des entrées sorties ; de plus en plus de voix s'élèvent pour dénoncer l'opportunisme malsain des éditeurs qui revoient à leur avantages leur politique de licence dont le calcul reposait jusque-là sur des machines bien réelles. Ces deux exemples donnent un indice des difficultés qu'il va falloir surmonter. Un effort d'autant plus difficile à réaliser que ce qui manque le plus pour l'instant, ce sont les compétences. Or, elles sont cruciales pour mettre en place l'armada d'outils d'administration que requiert un centre de données qui se pilotera à partir d'une console qui ramènera le tableau de bord d'un avion de ligne au rang de jeu pour les 5-6 ans. Quoi qu'il en soit, le mouvement est lancé et il est irréversible. [[page]] Les acteurs avec une position clé pour 2008 : - VMware , bien sûr, que sa mirifique introduction en bourse a propulsé en pleine lumière . Cette société, toujours contrôlée par EMC, s'impose comme la référence de la virtualisation sur architecture x64, tant pour ses hyperviseurs que pour ses outils d'administration. Un dossier complet, publié à l'occasion du VMWorld 2007 de septembre dernier, fait le point sur ce qui est en passe de devenir un énorme écosystème. - Microsoft , dont le retard est tel que l'on finit par se demander s'il ne découle pas d'un choix délibéré, devrait livrer son hyperviseur Hyper-V six mois après la sortie de Windows Server 2008. Soit en juillet prochain. En attendant, le premier éditeur mondial pose des jalons (ou des chausse-trappes, c'est selon) un peu partout. Déjà, Microsoft a rendu quasi impossible la virtualisation au niveau des postes clients sous Windows. Au niveau des centres de données, il place Virtual Machine Manager en embuscade au niveau de l'administration et indique qu'il faut payer le prix fort pour installer Windows Server en environnement virtuel, - Citrix , spécialiste du client déporté, a pris une position clé en rachetant XenSource, l'entité commerciale du projet Xen, hyperviseur Open Source concurrent de VMware, très en vogue dans le monde Linux. Allié objectif de Microsoft, Citrix veut jouer un double jeu, un pied dans chaque camp. Plutôt que de maintenir une division Xen, Citrix a fait le choix de disperser le savoir-faire de Xen dans toute l'entreprise. Cette décision montre que cet éditeur propose une troisième voie qui va directement du serveur au poste client. - Oracle , avec son talent unique de trouble-fête, a annoncé une offre de virtualisation maison fondée sur Xen. L'éditeur de SGBD et d'applicatifs, qui avait déjà semé le trouble en pillant le Linux de Red Hat, en profite pour sous-entendre qu'il serait risqué d'utiliser VMware. Même si cela est faux, ce genre de propos laisse des traces. Il reste aussi à citer Cisco, IBM, HP et Sun. Cisco parle depuis fin 2005 de VFrame, son outil d'administration des ressources virtualisées. Cette société a fait le choix de s'allier avec VMware en entrant à son capital et en annonçant l'intégration de VFrame Datacenter à Virtual Infrastructure. Quant à IBM et HP , très en retrait au niveau des logiciels systèmes, ils disposent de deux bras de levier : à eux deux ils fournissent la majorité des serveurs x64, sur lesquels ils peuvent préinstaller en mémoire flash l'hyperviseur de leur choix, et ils disposent de la palette d'outils d'administration la plus large. Dans le trio des constructeurs historiques, c'est Sun qui a la stratégie la plus originale. Non seulement, il a annoncé son propre hyperviseur pour faire cohabiter Solaris avec les autres OS x64 (Windows, Linux), mais il se lance aussi dans l'administration avec xVM Ops Center. Etant le moins bien implanté des trois sur le marché x64, il est celui qui a plus à perdre. (...)
(28/12/2007 12:36:09)Les DSI appréhendent Noël et ses cadeaux numériques
La période des fêtes de Noel est particulièrement mal vécue par les directions informatiques. C'est ce que montre une étude commandée par SafeBoot, spécialiste des solutions de sécurité pour terminaux mobiles. Menée auprès de 1000 DSI, l'enquête montre ainsi que 46% d'entre eux redoutent cette période de l'année, en raison d'une déferlante de cadeaux multimédias au bureau : lecteurs MP3, PDA, caméras digitales, autant de joujoux numériques reçus à Noel par les salariés qui s'empressent de les utiliser au travail, au risque d'impacter le système d'information de l'entreprise. Et même si 56% des répondants ont proscrit l'installation de produits numériques sur le réseau, la moitié considère que leurs employés passent outre cette interdiction, au risque d'affecter la sécurité des données du réseau. "Lorsque janvier arrive, les responsables informatiques sont inquiets et prient pour que l'arrivée de nouveaux périphériques externes n'endommagent pas le réseau, commente Tom de Jongh, responsable produit chez SafeBoot. L'interdiction de ces équipements est une bonne initiative, mais est-elle vraiment respectée ? En tout état de cause, les équipes informatiques doivent prendre des mesures pour empêcher toute connexion sur le port USB et protéger les données des attaques potentielles. En cas de doute, mieux vaut prendre des mesures pour éviter le pire, ce qui devrait nous permettre de passer une bonne année." L'éditeur en profite également pour dispenser ses conseils : chiffrement plus performant, renforcement d'un contrôle d'accès aux données, implémentation de mesures de sécurité transparentes. Des fonctionnalités notamment proposées... par ses solutions. (...)
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