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(26/12/2008 12:21:36)
Assurance chômage : ce qui risque de changer en 2009
Il suffira de la signature d'un seul syndicat de salariés et d'un seul syndicat d'employeurs pour que les nouvelles règles d'indemnisation de l'assurance-chômage entrent en vigueur. Si accord il y a, il s'appliquera pour une durée de deux ans aux demandeurs d'emploi à compter du 1er janvier 2009. Les chômeurs déjà indemnisés resteront soumis aux règles actuelles. Ainsi, la période d'affiliation minimum pour prétendre à une indemnisation - mesure qui concerne les salariés précaires- pourrait être portée à quatre mois, contre six actuellement. Cependant, pour prétendre à une nouvelle période d'indemnisation, les précaires devront, dans les 12 mois suivants, avoir travaillé au minimum six mois. En outre, le texte prévoit que la durée d'indemnisation devra être égale à la durée d'affiliation plafonnée à 24 mois pour les salariés âgés de moins de 50 ans. Ceux de plus de 50 ans devront avoir travaillé 36 mois pour prétendre à une indemnisation d'une durée équivalente. Les taux de cotisations des employeurs et des salariés seront parallèlement réduits, au 1er janvier et au 1er juillet de chaque année, si le résultat du régime d'assurance chômage du semestre précédent est excédentaire d'au moins 500 millions d'euros. Enfin, la durée maximale d'une CRP (Convention de reclassement personnalisé) sera portée à douze mois, et son indemnisation maintenue à 80% pendant les huit premiers mois, puis passera à 70% les quatre mois suivants. Ces mesures concernent de nombreuses catégories professionnelles, parmi lesquelles les informaticiens. A la fin du mois d'octobre, 20 165 informaticiens étaient chômeurs, inscrits en catégorie 1. (...)
(26/12/2008 11:43:58)Les ventes de PC portables dépassent pour la première fois celles des machines de bureau
Pour la première fois, le nombre de PC portables vendus dans le monde est plus important que celui des machines de bureau, explique iSuppli. Le mouvement était en marche depuis plusieurs années, avec des taux de croissance largement plus élevés pour les ventes de laptops que pour les PC fixes. Sur un an, le volume de portables écoulés a progressé de 40%, pour atteindre 38,6 millions au troisième trimestre 2008. Dans le même temps, les PC de bureau ont vu leurs ventes reculer de 1,3%, à 38,5 millions d'unités. Si ce constat ne constitue pas une surprise pour qui suivait l'évolution du marché des machines personnelles, il marque néanmoins une étape importante. Selon Matthew Wikins, analyste pour iSuppli, « il s'agit d'un événement majeur sur le marché des PC : l'entrée dans l'âge du portable. » En dépit de la crise économique, les livraisons mondiales de PC, tous types de machines confondus, ont crû de 15,4% au troisième trimestre, pour atteindre 79 millions d'unités. HP est toujours en tête des constructeurs avec une part de marché de 18,8%, devant Dell (13,9% du marché). La plus belle progression est à mettre au crédit d'Acer, dont les ventes bondissent de 79% sur un an, grâce à une forte demande pour ses PC portables et ses netbooks. En 2009, la croissance des ventes de PC devrait connaître un sérieux coup de frein : iSuppli ne table que sur une progression de 4,3%. (...)
(24/12/2008 16:16:03)Bilan 2008 : Le datacenter au coeur des économies d'énergie
2008 a sans nul doute été l'année de l'explosion du Green IT. Mais pour ses débuts, le concept a surtout été lu par l'industrie informatique sous l'angle de la réduction de la consommation énergétique. Et en toute logique, les datacenters se sont trouvés dans la ligne de mire. Ces centres serveurs ont la mauvaise habitude d'avaler les kW en mode glouton. Mais ce n'est pas tout. Ils émettent aussi de la chaleur en grande quantité. Il faut donc les refroidir pour qu'ils ne tombent pas en panne, avec des systèmes qui eux-mêmes consomment beaucoup d'électricité. Dans un datacenter, l'informatique n'est responsable que d'un tiers de la consommation électrique ! Pour le reste, il faut blâmer la climatisation et... l'alimentation électrique. Il est urgent d'agir. Et pour une fois, la crise tombe plutôt bien. Les économies d'énergie riment en effet avec des économies sonnantes et trébuchantes, incitant les industriels et les utilisateurs à se mobiliser. Tout au long de l'année, analystes et fournisseurs se sont battus pour dispenser des conseils afin d'améliorer la performance énergétique des datacenters. Les plus pragmatiques, comme Bull et APC, ont expliqué comment réorganiser les salles serveurs afin de les optimiser : définition d'allées de confinement, climatisation près des points chauds, etc. VMware et les autres adeptes de la virtualisation ont rappelé qu'il est possible d'augmenter l'efficacité des serveurs souvent exploités à tout juste 10% de leur puissance. En diminuant leur nombre, on réduit mécaniquement la consommation électrique. Un datacenter sur un bateau et un autre sous une tente D'autres acteurs du marché ont fait fonctionner leur imagination sans crainte de passer pour illuminés : ainsi, Google a-t-il réfléchi à installer un datacenter sur des bateaux alimentés par l'énergie des vagues, quand Microsoft a testé le rafraîchissement à l'air libre de ses machines, sous une tente exposée à tous vents. Plus sérieusement, du côté de la dissipation de chaleur, IBM a utilisé les calories rejetées par un de ses centres situé en Suisse pour chauffer la piscine municipale. Système qu'il décline aujourd'hui pour tout type de bâtiment. Le géant a aussi installé un datacenter 'vert' témoin à Montpellier pour ses clients. L'heure est grave, au point que même les gouvernements se sentent concernés. Le prix Nobel de physique Steven Chu, chargé des questions relatives à l'énergie par Barack Obama, fait partie des plus concernés par le sujet. Pour le futur centre de calcul du laboratoire Lawrence Berkeley National qu'il dirigeait, il a ainsi opté pour des processeurs spécialisés particulièrement économes. Et hier, le gouvernement français a lancé un groupe de réflexion sur le green IT dans lequel la réduction de la consommation énergétique des datacenters est en bonne place. L'optimisation énergétique des datacenters est en route. Et c'est tant mieux. Car ils sont de plus en plus puissants. Et nombre d'entre eux servent à mieux comprendre le réchauffement climatique. A lire sur le sujet : - le 23 décembre : Le gouvernement lance un groupe de réflexion sur le Green IT - Le 17 décembre : Un adepte du green IT en charge de l'énergie et de l'environnement pour Obama - Le 26 novembre : IBM améliore l'outil de gestion de l'énergie de ses serveurs - Le 19 novembre : Onze conseils de Gartner pour optimiser l'efficacité énergétique des datacenters - Le 10 novembre : Poussés par la réglementation, les clients japonais d'Accenture prisent le green IT - le 5 novembre : HP commercialise des outils pour limiter la consommation de ses serveurs - Le 24 septembre : Les datacenters refroidissent à l'air libre - le 17 septembre : Le datacenter est dans un bateau - Le 19 aout : IDF 2008 : le "Green IT" tente de faire débat - Le 30 juin : Microsoft croit aux datacenters en container - Le 3 juin : Bull et APC s'associent sur des audits complets de datacenters - Le 13 mai : AMD réduit la consommation de ses quadri-coeurs - Le 2 mai : Les datacenters véritables gâchis énergétiques - Le 28 avril : HDS se lance à son tour dans la course au datacenter vert - Le 3 avril : Une piscine publique chauffée par des serveurs IBM - Le 5 février : Datacenter : l'utilisation du courant continu permet une économie de 40% (...)
(24/12/2008 15:29:43)Unisys supprime 1 300 emplois dans le monde
Les réductions d'effectifs deviennent monnaie courante dans le secteur de la high-tech. Dernier contributeur à la longue liste des plans de suppressions d'emplois, le fournisseur de services informatiques Unisys. L'américain vient en effet d'annoncer qu'il supprimait 1 300 de postes au niveau mondial, dans le cadre d'une politique agressive de réductions descoûts et de retour à la rentabilité. Gel des salaires et arrêt des contributions aux plans de retraite Les réductions ont déjà commencé et elles se poursuivront en 2009, a précisé la direction d'Unisys, lundi dernier, dans une déclaration. Pour économiser environ 225 M$ par an, le groupe a également prévu de geler les salaires de ses collaborateurs sur l'ensemble de l'année 2009. La contribution de l'entreprise aux plans de retraite sera également arrêtée. La plupart des employés qui ne seront pas touchés par des réductions de postes ne percevront pas d'augmentation de salaires avant un bon moment. Au cours du troisième trimestre 2008, Unisys avait affiché une perte nette de 34,7 M$, encore plus importante que les 31 M$ de déficits réalisés sur la même période l'année précédente. (...)
(24/12/2008 14:09:34)Bilan 2008 : le feuilleton de l'OPA de Microsoft sur Yahoo
Tout commence en janvier dernier, lorsque Microsoft lance une offre d'achat sur Yahoo. Le montant proposé est alléchant : 44,6 Md$ pour l'ensemble de la société. Pourtant, Jerry Yang, PDG de Yahoo, refuse. Pour lui, la proposition sous-évalue le potentiel de la société. Mais plusieurs actionnaires de la société ne sont pas du même avis : d'une part, la somme proposée par Microsoft leur semble plus qu'honnête, d'autre part, ils reprochent à Jerry Yang de faire passer ses ressentiments vis à vis de Microsoft avant les intérêts de l'entreprise. Microsoft pose un ultimatum S'engage alors un véritable jeu du chat et de la souris. Tout y passe : Microsoft courtise Yahoo, qui joue les effarouchées et cherche refuge auprès d'AOL et de Google. Face à de telles réticences, Microsoft finit par poser un ultimatum. Jerry Yang joue alors toutes les cartes dont il dispose. Il tente ainsi de convaincre ses actionnaires de la pertinence de sa stratégie et prédit le pire à ses employés en cas de succès de l'OPA de Microsoft. En avril, Yahoo crie victoire : Google, le géant du Net, ennemi juré de Microsoft, le prend sous son aile en lui proposant un contrat autour de la publicité en ligne sur son moteur de recherche. Contrat sensé apporter à Yahoo un revenu de 800 M$ par an. Une chance pour l'éditeur car début mai, l'ultimatum de Microsoft qui avait augmenté son offre à 33$ par action, valorisant la société à plus de 50 Md$, expire sans qu'un accord ait pu être trouvé. En novembre, l'accord entre Yahoo et Google tombre à l'eau Mi-novembre, blâmé d'avoir refusé une telle proposition, Jerry Yang est discrètement poussé vers la sortie. Il abandonne son poste de PDG mais reste officiellement au sein du conseil d'administration de Yahoo. L'action s'écroule sous les 10$. Début décembre, patatras. Sous la pression du département américain de la justice (DoJ), Google laisse tomber Yahoo. Penaud, Jerry Yang se tourne à nouveau vers Microsoft, le suppliant de revenir sur sa décision. En toute logique, Steve Ballmer répond par le dédain : Microsoft n'est plus intéressé et peut même poursuivre son chemin seul dans le monde des moteurs de recherche en ligne. Mais le géant de Redmond pèse bien peu sur ce secteur (9%) face au mastodonte Google (65 %). Un rapprochement avec Yahoo (20%) semble donc inéluctable. Reste à savoir quand. A lire sur le sujet : Le 8 décembre : Steve Ballmer à propos d'un accord avec Yahoo : « le plus tôt sera le mieux » Le 5 décembre : L'accord Google/Yahoo abandonné juste avant que la justice américaine ne s'y attaque Le 18 novembre : Après une gestion désastreuse de Yahoo, Jerry Yang quitte son poste de PDG Le 7 novembre : Microsoft reste de marbre face aux supplications de Jerry Yang Le 6 novembre : Yahoo à Microsoft : « au secours, revenez nous rachetez ! » Le 22 octobre : Trimestriels Yahoo : hémorragie du bénéfice et des effectifs Le 7 juillet : Microsoft trépigne d'impatience à l'approche de l'AG de Yahoo Le 13 juin : Yahoo abandonne définitivement Microsoft pour Google Le 16 mai : Carl Icahn veut renouveler le conseil d'administration de Yahoo Le 14 mai : Microsoft/Yahoo : un épilogue en forme de proxy fight Le 6 mai : Sous pression, Jerry Yang joue une dernière carte Le 5 mai : Microsoft retire son offre sur Yahoo Le 28 avril : Yahoo/Microsoft : l'accord expire sans accord trouvé Le 24 avril : Microsoft / Yahoo : Steve Ballmer soigne son bluff Le 18 avril : Yahoo et Google prolongent leur accord Le 10 avril : Microsoft et Yahoo multiplient les alliances chacun de leur côté Le 6 mars : Yahoo est décidé à dégoûter Microsoft Le 20 février : Microsoft se tourne vers les actionnaires de Yahoo Le 11 février : Yahoo pourrait se retourner vers AOL pour esquiver Microsoft Le 11 février : Yahoo rejette officiellement l'offre de rachat de Microsoft Le 7 février Yahoo traîne des pieds devant l'offre de rachat de Microsoft Le 4 février : OPA sur Yahoo : Google s'inquiète, Microsoft le rassure Le 1er février : Microsoft veut racheter Yahoo pour 44,6 Md$ (...)
(24/12/2008 12:43:15)HP EDS : les syndicats appellent à une grève européenne début janvier
Les syndicats du nouvel ensemble HP/EDS ont décidé d'organiser une nouvelle journée d'action à l'échelle européenne au début du mois de janvier 2009. Les fédérations Uni-Europa et FEM comptent sur ce mouvement pour obtenir un véritable processus d'information et de consultation qui permettrait d'aboutir à une solution acceptable pour l'ensemble des salariés. Les salariés du nouvel ensemble HP/EDS sont extrêmement inquiets pour leur avenir depuis que la groupe a annoncé la suppression de près de 10 000 emplois, dont 90% côté EDS. Pourtant, la direction refuse toujours de communiquer les chiffres précis concernant les futurs licenciements et la manière dont sera mis en application le plan de restructuration dans chaque pays, En outre, le constructeur aurait annoncé que ce processus, qui devait se dérouler sur une période de deux ans, serait raccourci à trois mois, soulevant l'indignation des fédérations syndicales. (...)
(24/12/2008 12:32:54)Citigroup revend son activité informatique indienne à Wipro
L'américain Citigroup se sépare de sa filiale indienne de développement logiciel et d'outsourcing d'infrastructure, Citi Technology Services. Il la revend à Wipro, numéro trois du service informatique en Inde pour 127 M$. L'opération s'assortit d'un contrat spécifique dans le cadre duquel Wipro s'engage à fournir à Citigroup des services de maintenance, de développement d'applications et de gestion d'infrastructures durant six ans. Cet accord devrait se monter au moins à 500 M$. Nombre d'entreprises américaines, en particulier dans le monde de la finance, préfèrent disposer de leurs propres centres offshore en Inde ou ailleurs, plutôt que de faire appel à des prestataires externes. En effet, Citigroup n'utilisait pas sa filiale uniquement pour le développement logiciel et le support technique, mais aussi pour la gestion d'infrastructures à distance (réseaux, postes de travail, serveurs, mais aussi bases de données). L'entreprise a « démontré que l'outsourcing d'infrastructure était réalisable en offshore, explique Soumitro Ghosh, vice-président senior des solutions de finance chez Wipro. Ce que nous voulons, c'est faire monter cette activité en puissance, pas seulement pour Citigroup, mais aussi pour d'autres clients. » Citigroup s'était déjà délesté en octobre de sa filiale indienne de BPO Installé depuis 2005 à Bombay et Chennai, Citi Technology Services, compte environ 2 000 employés, tous formés aux processus et aux technologies de Citigroup. La transaction devrait être finalisée avant la fin du premier trimestre 2009. En octobre, le géant de la finance avait déjà vendu à Tata Consultancy Services (TCS) ses intérêts dans Citigroup Global Services, son activité indienne de business process outsourcing (BPO), pour environ 505 M$. Là-encore, TCS s'est engagé à fournir des services de BPO à Citigroup dans le cadre d'un contrat de neuf ans et demi d'un montant de 2,5 Md$. A noter que Citigroup a annoncé le mois dernier la suppression de 52 000 postes.. (...)
(24/12/2008 11:19:47)Deux des trois câbles sous-marins rompus réparés avant la fin de la semaine
Le trafic Internet entre l'Europe, le Moyen-Orient et l'Asie devrait retrouver une situation normale avant la fin de la semaine, avec la réparation de deux des trois câbles sous-marins qui ont été rompus la semaine dernière. Selon Reliance Globalcom, propriétaire de FEA (Flag Europ Asia), une des liaisons affectées, la remise en service devrait avoir lieu le 27 décembre. Le fournisseur de services indique que d'ici là, ses clients n'auront été que modérément affectés par les incidents grâce à un re-routage du trafic. Seule conséquence, selon Reliance Globalcom, le temps de latence a fortement augmenté, passant de 37 ms entre la France et l'Inde, à 250 ms.De son côté, France Télécom table sur une réparation du câble Sea Me We 4 pour demain soir. La cause de cette rupture de câbles reste encore incertaine mais il semblerait que l'hypothèse d'un tremblement de terre sous-marin soit finalement exclue, ce qui privilégierait le scénario d'un accrochage par l'ancre ou le filet de pêche d'un bateau. (...)
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